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 SydG's Brunch

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Sydney Grey
Sydney Grey


Date d'inscription : 16/09/2018
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MessageSujet: SydG's Brunch    SydG's Brunch  I_icon_minitimeDim 14 Oct - 20:46


SydG’s Brunch

Interview With A Real Legend

With Sydney Grey




SydG

- Hey ! Bonjour à tous et à toutes, vous êtes à l’antenne de L.A.Rock, LA radio de Los Angeles et c’est  ‘’SydG’’ qui est avec vous jusqu’au retour à la maison.

Aujourd’hui, j’aurai la chance d’avoir en interview une personnalité flamboyante dont on a tous et toutes entendu parler et qui a beaucoup à nous raconter sur le Sanitarium Tour !

Tout de suite après Never Cared de, vous l’aurez deviné, Roadtramp, j’aurai au bout du fil nul autre que The Best, Daniele Ricci !




SydG

-Never Cared. On ne saurait se lasser d’entendre une si belle chanson. Tel que promis, grâce à la magie du téléphone, je me trouve en compagnie du manager le plus influent dans le monde actuel de la musique : Daniele Ricci.


Daniele Ricci

-Bonsoir à tous.


SydG

-Partout où il passe le Sanitarium Tour bat des records d’achalandage. On en parle même comme de la tournée la plus prolifique des dernières années, croyez-vous que c’est la combinaison surprenante d’Olivia Cortez avec Roadtramp qui en est le secret ?

Admettez que ce fut un risque de confier une première partie à une adolescente qui n’avait que deux single à son actif…


Daniele Ricci

-Oui, c’était un risque… Mais j’ai pris le pari d’emmener Cortez sur la tournée car j’ai vu dans son single un talent indéniable. Je savais qu’il y avait des risques que ça ne plaise pas au public de Roadtramp car le style de Cortez n’a rien à voir avec le style de mon groupe. Mais elle s’est bien débrouillée, elle a réussi à s’approprier ce public inconnu et à en mettre plein la vue à tout le monde.

Je pense que Cortez ira loin si elle continue sur cette voie. Quant à savoir si c’est la combinaison de Cortez et de Roadtramp qui est le secret de la réussite de la tournée… C’est difficile à dire… C’est rarement une seule donnée qui fait le succès de quelque chose mais un ensemble de données. Mais je n’ai aucune doute que cette combinaison surprenante et leur bonne entente est un des ingrédients de ce succès.


SydG

- Bien évidement, la rigueur habituelle de BSC ne laisse rien au hasard.

Vous étiez bien préparé et le publique réceptif. Qu’en est-il pour le Japon qui est un peu plus hermétique et sensible ? Avez-vous planifiez une approche différente ?


Daniele Ricci

-Vous savez... Je pars du principe qu’il ne faut pas changer une tactique qui gagne… Si on change, ça peut ne pas fonctionner alors qu’il est plus facile de continuer sur la même lancée avec les mêmes automatismes. Roadtramp et Cortez ont eu du succès dans leur pays et ont conquis l’Europe… Je pense qu’on devra garder la même ligne de conduite pour qu’ils se fassent aimer aussi par les Japonais. Vous verrez… Ils vont adorer.


SydG

-On parle maintenant de Roadtramp comme d’un groupe phare de la génération X et, forcément celui qui influencera la génération Y.  Est-ce que Cort et sa troupe ont eu le temps de réaliser le nouveau statut qui lui est conféré ?  


Daniele Ricci

-Je ne pense pas qu’ils réalisent encore bien ce qu’il leur arrive. Leur statut est tout récent. Ils se sont rendu compte aujourd’hui du succès qu’ils avaient. Je crois qu’il faudra encore le temps avant qu’ils en prennent bien conscience mais ça viendra. Puis, ils sont encore jeunes, ils pensent surtout à l’instant présent.  


SydG

-Le moins que l’on puisse dire c’est qu’encore une fois, vous avez eu du flair et que cela vous a souri !

Monsieur Ricci, avez-vous des anecdotes de tournées, des primeurs, peut-être, à nous annoncer ?


Daniele Ricci

-Laissez-moi réfléchir… J’en ai tellement.

A Boston, après le concert. C’était tellement une réussite qu’on avait arrosé ça avec Roadtramp. Ils sont rentrés à l’hôtel avant moi, moi j’avais continué la fête avec quelques roadies… Il était cinq heures du matin quand je suis rentré à l’hôtel sauf que je me suis complètement trompé d’hôtel. Je ne m’en suis rendu compte qu’après m’être réveillé dans une chambre qui ne ressemblait aucunement à ma chambre d’hôtel. Il semblerait que même bourré je sois capable de me faire comprendre et de réussir à me payer une chambre à la dernière minute. Ou bien est-ce juste parce que je m’appelle Daniele Ricci que le personnel à tout mis en œuvre pour m’accueillir comme il se devait ? Je n’en sais rien, je ne m’en rappelle plus


SydG

-Ne sous-estimez pas la valeur de votre nom, Monsieur Ricci ! Je crois qu’un peu partout dans le monde, ce serait un honneur que de prétendre vous avoir accueilli pour une nuit !

Chers auditeurs, nous allons faire une courte intervention musicale et nous reviendrons ensuite pour conclure cette interview !




Daniele Ricci

- Ah Syndey ! Avant que vous ne recommenciez l’interview, j’ai une annonce à faire. Moi, le grand Daniele Ricci, j’offre à un de vos auditeurs deux billets pour le dernier concert de la tournée de Roadtramp qui aura lieu à Los Angeles.

Pour ça il vous faudra répondre à une seule question : « dans quel quartier de Rome a grandi Daniele Ricci ? ». Comme nous sommes à Rome, la question me semble appropriée.  


SydG

-Après l’interview, chers auditeurs et auditrices, vous aurez 10 minutes pour nous appeler  et valider votre réponse nous prendrons le huitième appel !

Il semble que plusieurs veulent déjà tenter leur chance!


Daniele Ricci

-C’est normal ! Personne ne voudrait rater ce concert pour rien au monde !


SydG

Comme nous l’avons mentionné un peu plus tôt, la tournée est jusqu'à présent couronnée de succès. Une telle aventure engendre généralement beaucoup de projets. Pouvons-nous espérer voir découler du Sanitarium tour un nouvel album ou qui sait, une reprise single  de Never Cared par Olivia Cortez ? On dit que son interprétation à elle seule vaut largement le prix du billet, ce n’est pas rien. Ou encore, une collaboration entre elle et Roadtramp ?


Daniele Ricci

-Je ne saurais pas vous répondre pour la petite Cortez… Elle ne m’a rien dit là-dessus ni sur un prochain album de sa part… Je suppose que c’est la suite logique des choses et que la petite Cortez va passer par la case studio. Je peux vous assurer, par contre, que Roadtramp aura de quoi enregistrer un nouvel album une fois rentré.

Quant à une collaboration entre eux… Il faudra demander aux artistes. Ils n’en ont pas encore réellement exprimé la volonté mais vous savez, parfois, ils se décident sur un coup de tête. Seulement, il faudra voir ce que ça donne. Ce n’est pas parce que deux choses séparées sont très bonnes qu’elles font un bon cocktail ensemble.


SydG

-Avant de vous laisser le mot de la fin, je voudrais vous remercier pour votre générosité et le temps que vous nous avez accordé.  Ce fut un plaisir que de m’entretenir avec vous le temps de quelques questions et j’ai très hâte d’assister au retour triomphale de Roadtramp ici même à Los Angeles !


Daniele Ricci

-Je vous remercie aussi, Sydney ! Le plaisir était partagé ! Vous ne serez pas déçue ! Vous verrez qu’après une longue tournée Roadtramp sera autant en forme qu’au premier jour.



©️️ Billy Lighter

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Sydney Grey
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MessageSujet: Re: SydG's Brunch    SydG's Brunch  I_icon_minitimeVen 21 Déc - 17:25


SydG’s Brunch

Interview With A Control Freak

With Sydney Grey




SydG

-Hey ! Bonjour à tous et à toutes, vous êtes à l’antenne de L.A.Rocks, LA radio de Los Angeles et c’est  ‘’SydG’’ qui est avec vous jusqu’au retour à la maison. C’est encore une très belle journée, il fait beau, il fait chaud alors je vous invite à bouger, allez mettre le nez dehors mais… après mon émission car aujourd’hui, en interview nous recevons  Timmy Evans, manager de Bleeding Heart et The Burning Fire.

Monsieur Evans, tout d’abord je vous souhaite le Bonsoir puisqu’il est tout près de 20h à Londres si je ne m’abuse.


Timmy Evans

-Bonsoir ! En effet, il est bien 20h ! Ravi d’être parmi vous.


SydG

- Le moins que l’on puisse dire c’est bien que le Dynamite Tour fait parler et pas seulement pour ses concerts. Il faut des nerfs solides pour tenir les rênes. Vous avez un secret où est-ce que le professionnalisme  prend le relais sur les personnalités colorées de vos artistes ?


Timmy Evans

-Nous allons dire qu’il faut bien quelqu’un de calme et de posé pour canaliser l’énergie du groupe. J’essaye d’être cette personne calme et c’est le seul secret afin que tout se passe bien. Les artistes qui composent The Burning Fire ne sont pas des artistes pour rien. Ils ont de fortes personnalités qui leur permettent de nous offrir des chansons de qualités. Sans ceci, The Burning Fire serait fade. Cependant, je ne pense pas que les membres du groupe soient moins gérables qu’un autre groupe.


SydG

- Est-ce qu’une personnalité. Plus sage, comme celle des membres de BleedingHeart serait synonyme de retenue au niveau musical ?


Timmy Evans

-Les membres de BleedingHeart ne sont pas plus sages. Ils sont différents. Ils font moins de frasques mais ont un fort caractère qui s’entend parfaitement dans leur musique contestataire digne du mouvement qu’ils représentent. Ce n’est pas les mêmes personnalités que les membres de The Burning Fire mais nous ne pouvons pas les qualifier de « plus sage ». Ils ont une autre façon d’exprimer leur forte personnalité.


SydG

- N’y a-t-il pas d’autres façons de vendre sa musique qu’en multipliant les situations nébuleuses ?


Timmy Evans

-The Burning Fire se vendait très bien avant même que leurs frasques ne fassent les unes des magazines. Ce n’est que récemment et avec la nouvelle mouture que les frasques du groupe se sont multipliées mais c’est parce que nous avons affaire à des musiciens plus jeunes au talent que tout le monde connait.


SydG

- Est-ce que la rupture annoncée entre Apolline McLagan et Howard Stone a créé des tensions au sein même du groupe ?  Vous parliez de fortes personnalités, est-ce que même à ce niveau vous parvenez à maintenir un climat propice à se concentrer sur l’objectif premier de cette tournée ?


Timmy Evans

-Il n’y a aucune tension. Leur relation a pris fin mais ils sont tous les deux suffisamment professionnels que pour mettre cela de côté quand il s’agit de faire de la musique ensemble. Ce sont de fortes têtes mais ils veulent tous les deux le bien du groupe.

Donc, même à ce niveau je n’ai pas eu besoin de les concentrer sur l’objectif premier de la tournée, ils ont réussi à le faire seul. Mon travail n’a pas changé et n’est pas devenu plus compliqué depuis cette rupture.


SydG

- Il est loin de le temps de Kayden James et David McAvoy. Le départ de ce dernier a fait mal à The Burning Fire, n’êtes-vous pas de cet avis?


Timmy Evans

-Le départ de chacun des membres de l’ancien The Burning Fire a fait très mal. Certains étaient très chéris du public comme Kayden ou l’ancien Nathan. Cependant, le groupe n’est pas mort et la nouvelle mouture se débrouille très bien.


SydG

- Vous aurez la chance de produire vos groupes à Werchter en Belgique. Dynamite Tour rencontrera Sanitarium Tour. Était-ce planifié de base par MTI et BSC de croiser le fer lors de ce festival ?


Timmy Evans

-Je ne me suis pas concerté avec BSC pour planifier la tournée de The Burning Fire et BleedingHeart. Werchter est un très bon festival européen et c’est pour cela que nous nous sommes mis à l’affiche de celui-ci. Le fait d’y retrouver Roadtramp est un hasard du calendrier.


SydG

- Le duo single d’Apolline Mclagan et Olivia Cortez n’a pas connu le succès escompté. Néanmoins, plusieurs s’attendent à voir les deux jeunes femmes monter sur scène pour l’interpréter. Est-ce quelque chose qui s’est négocié entre les deux maisons de disques ?


Timmy Evans

-Oui j’ai négocié quelque chose avec Jack Perry afin que les deux femmes puissent avoir l’occasion de se produire en live avec leur chanson commune. Le public devrait être comblé. Ce qu’ils n’ont peut-être pas aimé en version studio, ils l’aimeront certainement dans une version live plus travaillée et avec d’autres musiciens aux commandes.


SydG

- C’est Howard Stone qui sera heureux de revoir Olivia Cortez, sans aucune doute !




SydG

- ’’ I’ll Go Wherever You Will Go’’ nous a bercé le temps de cette courte interlude musical, nous sommes toujours en compagnie de Monsieur Timmy Evans, manager de Bleeding Heart et The Burning Fire qui sont actuellement à la conquête du marché Européen. Monsieur Evans, avez-vous des anecdotes de tournées, des inédits à raconter à nos auditeurs ?


Timmy Evans

-L’anecdote qui m’a le plus marqué fut le jour où mes deux groupes se sont rassemblés pour un jam une après-midi avant un concert. Ils étaient en parfaite entente et en parfaite communion. C’était un très beau moment et ceci bien que leurs styles de musique soient très différents. Sinon, je pourrais vous raconter les fins de soirées de Stone mais j’ai bien peur que cela soit redondant.

Des anecdotes ainsi que des surprises, il y en aura d’autres. La tournée mondiale ne fait que commencer.


SydG

- Il me tarde d’en entendre parler ! Monsieur Evans, on peut dire que votre carrière en tant que manager va plutôt bon train, vous avez le vent dans les voiles. D’ailleurs, vous avez récemment prit Peyton ‘’ Lola ‘’ Davis sous votre aile.  Une artiste à la réputation haute en couleur, c’est le moins que l’on puisse dire, il semble que vous avez un faible pour les caractériels. Avec vous déjà des projets établis avec la chanteuse ?


Timmy Evans

-Davis est bien plus professionnelle qu’on ne l’imagine. Nous avons des projets, bien entendu. Elle souhaiterait sortir des clips avant de s’atteler à réaliser un nouvel album. Elle déborde d’idées et de projets et les fans seront plus que comblés.


SydG

- Tout ceci semble bien prometteur ! On ne peut qu’avoir très hâte ! En terminant Monsieur Evans, je vous laisse le mot de la fin !


Timmy Evans

-Je souhaite un très bon concert à tous ceux qui seront au Royal Albert Hall ce soir. Je remercie aussi tous les fans de The Burning Fire et BleedingHeart pour leur fidélité.

SydG

-C’était Timmy Evans, manager de The Bleeding Heart et The Burning Fire, en direct de Londres. Restez avec nous, après la pause publicité, nous allons continuer en musique avec, entre autre, ‘’We’ve Got The American Jesus’’ et ‘’ I’m Not Alone’’.







©️️ Billy Lighter

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Sydney Grey
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MessageSujet: Re: SydG's Brunch    SydG's Brunch  I_icon_minitimeMer 26 Déc - 2:52


SydG’s Brunch

Yes, The Show Must Go On !

With Sydney Grey




SydG

- Bon vendredi chers auditeurs ! Vous êtes à l’antenne de L.A.Rock, LA radio de Los Angeles et c’est  ‘’SydG’’ qui est avec vous jusqu’au retour à la maison.  Aujourd’hui, en ma compagnie, j’ai l’honneur avoir Evan ‘’ Sniper’’ Kurtz qui est venu pour nous parler de son nouvel album.

Evan, tout d’abord, merci d’avoir accepté notre invitation !


Sniper

-De rien, SydG… Avec plaisir. Moi on m’a dit : « Tu sors un album, tu vas devoir faire la blinde d’interviews. » Alors moi j’ai dit : « Bah j’attends que ça. »


SydG

- Votre nouvel album vient tout juste de sortir pour notre plus grand bonheur et surprise. Je dois avouer que j’étais conquise d’avance et qu’après ma première écoute, j’étais encore plus sous le charme. Qu’est-ce qui vous a amenez à vous relancer dans l’aventure ?


Sniper

-Merci à vous. Heu…

Je sais pas faire autre chose… Je ne sais faire qu’écrire des chansons et jouer de la guitare. Reprendre l’aventure, c’était pas un problème…

C’était m’arrêter qui était pas une bonne idée.


SydG

- L’attente a valu la peine. Quand on écoute votre album, ce qui me vient tout de suite c’est la profondeur musicale. Ensuite, le vécu, les différentes zones que vous avez traversées. C’est un album beaucoup plus personnel que vous nous offrez.

Après 11 longues années d’absence, qu’est-ce qui vous frappe le plus sur l’évolution de la musique en une décennie ?


Sniper

-Moriarty m’a déjà posé cette question-là... Ou plus ou moins. C’est pas une question facile. Je suis plutôt du genre « j’aime » ou « j’aime pas »… Après pourquoi « j’aime » ou « j’aime pas »…

…j’en sais rien. C’est une question de sensibilité, j’imagine. Et puis je peux très bien adorer une chanson d’un groupe et détester une autre chanson du même groupe.

Je laisse la question à ceux qui s’y connaissent en musique. En ce qui me concerne, je fais ce que je fais puis après, les gens ont aussi droit de dire « j’aime » ou « j’aime pas ».


SydG

- La profondeur de vos textes m’a touchée. Est-ce que vous voyez cet album comme la délivrance des dernières années ?


Sniper

-Je ne sais pas si c’est une délivrance… J’ai peut-être pas encore assez de recul pour le dire. L’album vient juste de sortir. Disons que j’avais des choses à dire et que je les ai dites… Et que j’ai été content de pouvoir le faire avec Daniele Ricci, pour le coup. Je sais que c’est très critique ce que je dis dans l’album. Et je veux pas qu’il le prenne pour lui seul.

Mais comme vous dites, c’est un album personnel. Parce que déjà ben… je suis tout seul… J’ai pas un groupe avec qui me concerter c’est pour ça que ça sonne peut-être un peu différent de The Army… Puis pour la « profondeur musicale », les solos de guitare plus long, la musique plus lisse et calme, c’est probablement dû aux fait que je suis techniquement limité par ma surdité et que je n’entends plus certains sons même avec mes prothèses.


SydG

- D’avoir eu le courage de mettre en musique plusieurs de vos… « revers »… vous être parvenu à livrer un album personnel qui est magnifique.


Sniper

-Ils vont pas voir ça… … les gens qui écoutent la radio…

Nan, plus sérieusement… Le courage, c’est pas ce que j’ai eu besoin pour écrire cet album…

Mais un bon coup de pied au cul que j’ai eu besoin, ça ouais.


SydG

-Vous avez bien choisis vos mots pour illustrer tout votre discours sans donner une lourdeur redondante à votre album. Êtes-vous allé chercher du support pendant votre période de composition, parmi vos proches, vos amis ?


Sniper

-Bah déjà y a ma fille, Jess… on l’entend au début de l’album… Puis y a Tony Ricci, mon filleul…

Mon ex, Natacha, parce qui faut bien rendre à César ce qui appartient à César…

Ce qui veut dire que je suis libre comme l’air, au passage…


SydG

- Je suis certaine que nos auditrices l’ont bien compris !


Sniper

Puis Daniele… Le seul, l’unique… toujours, depuis le temps.


SydG

-Votre collaboration, pour ne pas dire amitié,  avec Daniele Ricci ne date pas d’hier. Était-ce donc une association logique que de le faire collaborer à votre album ou aviez-vous senti le besoin de vous exprimer tous les deux d’une même voix ?


Sniper

-C’était plus que logique… C’était… je voulais pas dire ces choses sans le faire avec Daniele. Je ne sais pas comment expliquer correctement en parlant ce que l’album raconte plus simplement en chansons… Quelque chose comme : « Ouais l’industrie de la musique est sans pitié… mais on le sait… »

« On le sait et on joue le jeu… »… La preuve, je suis revenu avec un album… C’est que j’en veux pas tant que ça à l’industrie de la musique… Et encore moins à Dany.


SydG



Sniper

-Vous êtes toujours avec moi ? Vous passez jamais de musique dans cette émission ?


SydG

- Je buvais littéralement vos paroles !  Nous allons enchaîner avec une chanson, ‘’ Where were you’’ et l’entrevue se poursuit immédiatement après !




SydG

-Vous êtes toujours à l’antenne de L.A.Rock, la radio qui rock à Los Angeles et c’est SydG qui est avec vous et pour ceux qui attrapent l’émission en cours de route, j’ai la chance de discuter avec Evan ‘’Sniper’’ Kurtz qui est venu nous parler de son tout dernier album.

Where were you est à mon avis la chanson la plus… représentative de votre parcours des dernières années. J’y ai perçu comme un cri du cœur envers… les mains qui n’ont peut-être pas su  être autant secourables que vous l’auriez souhaitez, je me trompe ?


Sniper

-Ouais… non… heu… C’est pas tout à fait que j’en voudrais à ceux qui auraient pu m’aider et ne l’ont pas fait… Dans la chanson… le narrateur est paumé… Mais quand il dit : « While you were hanging yourself on someone else's words / Dying to believe in what you heard… »… Heu… on se rend compte que… l’autre est aussi paumé que celui qui… parle… Donc pour que le deuxième aide le premier, c’est un peu foutu…

Je sais pas si je suis clair. Enfin soit, de toute façon peu importe ce que, moi, j’ai voulu dire, au final. Parce que la chanson m’appartient plus maintenant. Elle est au public et chacun s’en fera sa propre interprétation pour en faire la bande originale de sa propre vie…

Je crois que c’est que quand une chanson atteint ce stade qu’on sait que c’est une bonne chanson.


SydG

- Effectivement. J’ai moi-même d’ailleurs plusieurs chansons associées à différentes périodes de ma vie.


Sniper

-Ouais, voilà, c’est ça. C’est à ça que les chansons doivent servir… Enfin de mon point de vue, quoi…


SydG

- Votre album vient tout juste de se retrouver sur les tablettes qu’on murmure déjà qu’il est le plus gros vendeur du mois.  N’est-ce pas là une belle tape sur votre épaule de la part de vos fans qui ont répondu présent à votre appel ?


Sniper

-C’est les échos en retour, les commentaires, plus que le chiffre de vente qui est un bel encouragement. Plus qu’une tape sur l’épaule, c’est le coup de pied au cul dont j’avais besoin. Et je remercie les gens pour ça.


SydG

- Aurons-nous la chance de voir un clip éventuellement ?


Sniper

-Heu…

J’en sais foutrement rien… Mais pourquoi pas ?… Faut encore avoir l’imagination pour faire ce genre de truc. Puis faudrait que je puisse en parler à Daniele et là il est en tournée. Mais disons que… je prends note de l’idée… Parce que j’y avais pas pensé.


SydG

- Nous pouvons entendre votre fille sur la première pièce. Elle est maintenant une adolescente avec ses propres goûts. Est-ce qu’il est difficile de concilié une relation père/fille et le travail qu’un album demande ?  A-t-elle prit part à l’aventure en donnant son avis, peut-être ?


Sniper

-Bah heu… On a pas vraiment ce problème de… je la vois que le mercredi après-midi… et de temps en temps le week-end pour une sortie ou l’autre. Mais… C’est pas comme si elle vivait chez moi. Ce qui veut pas dire qu’on a pas une vraie complicité…

J’étais encore hier… non, ce matin, en fait, à 2 heures du mat’, au téléphone avec elle… Jusqu’à ce qu’elle me dise gentiment : « Papa, pas que j’ai cours demain et qu’il est 2h mais c’est tout comme. »

Mais ouais, elle a donné son avis… Qui est aussi constructif que quand moi je donne mon avis quoi : « Oh c’est trop cool ! », « Oh c’est nickel… » ou « ouais… mais ça par contre, c’est de la merde »…

Jess quoi…


SydG

- Quand elle sera à son tour une maman, elle se souviendra beaucoup plus de ces conversations nocturnes avec vous que n’importe quelle autre babiole à prix exorbitant. Le temps de s’achète pas.


Sniper

-Quand elle sera une maman ? Merci pour le coup de vieux…


SydG

-L’adolescence… un âge pas toujours facile. Rêve-t-elle d’un jour faire le même métier que papa ?


Sniper

-Ah ouais, vous croyez ?... Oh elle a pas l’air de le vivre trop mal…

Et heu… Ouais, elle a un foutu putain talent à la guitare ! Et ouais, ça lui déplairait pas de devenir musicienne… Quand elle veut pas devenir actrice ou mannequin quoi… Un jour sur trois, en gros.

Elle a que 15 ans en même temps.


SydG

- Comment ça se passe au quotidien quand on est Evan Kurtz ? Est-ce que les gens dans la rue vous arrêtent pour vous bombarder de questions ? Les plus chanceux d’entre eux qui auront eu par miracle un appareil photo en poche vous demande une photo ?


Sniper

-Heu…

Ben je me lève, café, clope, brossage de dent, comme tout le monde…

Disons que quand j’ai commencé à repointer mon nez dehors… Les gens me reconnaissaient pas… J’ai un peu changé depuis 1971… J’ai coupé mes cheveux.

Mais là, ouais, maintenant de temps en temps y a des gens qui viennent me voir ou pour une photo, ouais… Mais les gens sont vraiment sympas. J’ai jamais eu de problème… ni avant, ni maintenant. Ou alors c’est juste que j’aime ça…


SydG

- Vous arrive-t-il parfois de vivre des moments loufoques ou effrayant vis-à-vis certains admirateurs… ou devrais-je surtout dire admiratrices ?


Sniper

-Je pourrais écrire une putain d’encyclopédie là-dessus. La plupart des histoires du genre se sont passées en tournée y a une éternité… Mais si la jeune fille qui m’a roulé une pelle monumentale sur scène à Montréal après avoir escaladé les roadies se reconnait, je lui passe le bonjour. Je me suis fait engueuler comme pas deux en rentrant à la maison.


SydG

- La rançon de la gloire est une médaille à double tranchant. Vous vivez comment avec  le phénomène The Army qui vous collera à jamais à la peau ?


Sniper

-J’espère bien que ça me collera à la peau jusqu’à ma mort. J’ai signé l’album « Sniper ». Mais…

Je sais que chanter encore, c’est permettre à mes amis, Nuts, Captain et Sherman, de vivre encore… D’une certaine façon. Et que personne les oublie, moi le premier.

Je suis toujours le chanteur de The Army.


SydG

- Je crois que… oui il est temps de faire une seconde pause musicale. C’est ‘’ Please Wake Me’’ qui nous attend après un court bloc publicitaire. Restez à l’antenne !




SydG

- Evan '' Sniper'' Kurt, ce fut un plaisir de partager l'heure du lunch avec vous ! Que puis-je dire pour conclure, sauf peut-être, que du succès avec votre nouvel album, et que nous avons tous déjà hâte de voir les dates de concerts s'afficher !


Sniper

-Merci à vous, SydG… Et j’aurai beaucoup de plaisir à remonter sur scène, en espérant voir un public nombreux.



©️️Billy Lighter

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MessageSujet: Re: SydG's Brunch    SydG's Brunch  I_icon_minitimeVen 30 Juin - 13:22

SydG Brunch
Interview with the tramps

With SydG


SydG

-Bonjour chers auditeurs et auditrices de L.A.Rocks ! Vous ne rêvez pas, c’est bien moi, SydG qui reprend du service pour la prochaine heure et j’ai le bonheur de la partager avec nul autre que Roadtramp !

Roadtramp, bienvenue ! Est-ce que je peux dire que vous rayonnez ? Je peux dire ça de rockstar ? Quel magnifique retour tout en force vous venez de nous offrir !


Eddy Cort

-Merci, SydG ! C’est un honneur pour nous aussi de t’accorder notre première interview d’une tournée de promo où on ira à la rencontre de nos fans !

Ouais, je pense effectivement qu’on rayonne… C’est toujours excitant de pouvoir jouer des nouvelles chansons, mais c’est surtout le fait de pouvoir les présenter à notre public qui nous rend heureux.


SydG

-Votre public vous rend heureux mais vous avez rendu votre public également très heureux avec ce dernier album intitulé tout simplement Roadtramp.  Le jour de sa sortie, je l’ai écouté de la première chanson à la dernière, puis encore une fois, cette fois en tenant bien en main le livret des paroles, je ne voulais rien rater.

Eddy Cort

-Oh et bien c’est très… gratifiant d’entendre ça.

Frank "Clepto" Harrison

-On espère que tout le monde aime cet album. Mais on l’a fait parce qu’on voulait parler de certaines choses avant tout.

SydG

-La première chanson donne le ton. I Burn est un véritable coup de poing au ventre, comme si vous aviez voulu, dès le départ, nous dire: "Hey, nous sommes toujours là !". Avez-vous eu peur que les attentes envers votre album soient très élevées puisqu’il s’est un peu fait attendre ?

Eddy Cort

-Non, on avait pas peur des attentes. On y a même pas pensé, en fait. Notre but, c’était simplement de faire notre musique. Faire du Roadtramp. Quelque chose qu’on pouvait pointer du doigt et directement reconnaître.

Vu l’accueil du public, je pense que ce but est atteint. Quant au délai… Ouais, on s’est fait un peu attendre. Mais je crois que les gens ne se rendent pas compte du travail que ça demande… Et donc du temps que ça demande.

Notre but n’est pas de produire à tout prix.


SydG

-C’est mission accomplie ! Votre son est unique et vous représente bien. Je crois même qu’on peut parler d’une référence dans ce style. Vu le résultat, l’attente valait la peine, cela ne fait aucune doute.

Eddy Cort

-Certains diront que c’est « commercial » comme style, parce que beaucoup de gens aiment bien. Et dans leur bouche, ça sonne péjoratif. Mais… tant mieux, non ? Si on est aimé du plus grand nombre, c’est que notre musique est bonne.


SydG

Cette chanson me fait penser aux courses de voitures illégales auxquelles s’adonnent les jeunes, un passe-temps problématique de plus en plus répandu au travers le pays. Est-ce que c’est un peu en vous préoccupant de ça que la chanson à été composée ?

Eddy Cort

-Heu… Non… on ne s’en préoccupe pas. En fait, on ne considère pas ça comme un problème. On est musiciens, pas flics. Notre chanson n’est pas là pour dénoncer un problème mais pour illustrer quelque chose qu’on considère comme faisant partie du folklore de L.A.


Frank "Clepto" Harrison

-Je nous vois déjà faire la morale à travers nos disques ! Non, loin de nous cette idée !

SydG

-Beaucoup de jeunes s’identifient à vous tant au travers de votre musique qu’avec leur look vestimentaire. Comment composez-vous avec cette reconnaissance ?

Eddy Cort

-Et ben… On le gère pas en fait. On est jeunes nous aussi et pas différents de nos fans. Ce n’est pas à nous de leur dire ce qui est bien ou mal.

Pas sûr qu’on le sache nous-même, d’ailleurs… Mais bien sûr, ça fait plaisir de voir des gens avec des t-shirts Roadtramp et tout ! Ça c’est vraiment fun. Mais on ne se sent pas pour autant investis d’une mission morale envers eux. Tout ce qu’on veut, c’est leur donner de la musique. Et je pense que c’est tout ce qu’ils veulent aussi.




SydG

-De retour à l’interview, vous venez d’entendre I Burn la première pièce du dernier album Roadtramp. Il y a une chanson qui me touche particulièrement sur cet album et, de mémoire, vous l’aviez fait live il y a un moment de cela lors de votre précédente tournée. Never Free, Never Me. C’est bien simple, chaque fois que je l’écoute, j’en ai des frissons.

Eddy Cort

-Ah ouais, on l’avait fait live pour la première fois au Japon. En fait, ma copine de l’époque, Carolyn, vivait une grossesse difficile et dangereuse. Ça n’a pas été une période facile, ni pour elle, ni pour moi… Et ces paroles me sont venues pour leur envoyer des bonnes ondes, grâce au public, qui a bien joué le jeu.

Elle a été très appréciée, cette chanson. Et elle me venait du plus profond de mes tripes. Il fallait bien qu’elle se retrouve sur un album un jour.


SydG

-C’est une très belle façon de dire les choses en les chantant. En tous les cas ça a donné une super chanson et maintenant que j’en connais le sens, je vais l’apprécier encore plus. Merci de nous avoir partager cet anecdote.

Eddy Cort

-Merci SydG… J’espère que cette chanson parle aux gens et les aide à traverser les épreuves de la vie.

SydG

-Donc ton p’tit bout d’homme doit avoir environ deux ans si je ne m’abuse ? Votre passage au japon remonte à environ ça, deux ans. Il doit commencer à bien babiller et toi à courir derrière lui !

Eddy Cort

-Ouais, c’est ça… C’est un petit garçon très vif qui a défié tous les pronostics par rapport à sa naissance prématurée.

Et ouais, je cours déjà derrière lui.


SydG

-Je ne parlerai pas de couches et de biberons, je vous rassure ! Mais s’il est à l’écoute, tu peux le saluer.

Eddy Cort

-Salut Lucky ! C’est papa. Soit sage avec maman que je salue aussi. C’est la meilleure.

SydG

-Je passerai par-là moi aussi. Je t’appellerai si j’ai besoin de conseils !

Quand j’ai lu le livret de paroles de vos chansons, j’ai remarqué que Forgive Me est une composition de Finan Quinn. Je n’en revenais pas ! Je me disais: "Ok, wow ! C’est magique !"" J’ai toujours adoré découvrir des collaborations entre artistes, ça donne un aspect de lien tissé serré. Comment est-ce arrivé pour vous ?


Eddy Cort

-Et bien… C’est assez simple en fait… Finan et nous, on se connait depuis quelques années déjà parce qu’on jouait notre musique au Stryge Bar. Mais il n’était pas encore connu à l’époque alors que nous, on commençait déjà à percer. Enfin bref, c’est au mariage de nos managers qu’on s’est revus et Finan avait dans sa poche une chanson qu’il n’arrivait pas à chanter. Il a dit que quand il essayait, c’était ma voix qu’il entendait. Alors il m’a offert ce texte, comme ça, au mariage.

Ce sont des collaborations qui se font naturellement… En générale on a de très bons contacts avec les autres artistes. Quand ça bloque, c’est plus souvent au niveau du management.


SydG

-Je comprends que ça ne doit pas toujours être facile au niveau du management, probablement aussi quand deux maisons de disques sont impliquées mais heureusement que, comme dans ce cas, rien n’a su empêché l’enregistrement de cette chanson car elle est excellente. Comme le reste de l’album d’ailleurs, au cas où vous douteriez encore de ce que j’en pense !

Eddy Cort

-Heureusement que ça s’est fait ! Après tout, nos managers sont mariés, même s’ils font partie de deux maisons de disque différentes… ça aurait été dommage, voire inquiétant qu’ils ne soient pas d’accord.

SydG

-Heureusement, en effet ! Cela aurait été bien dommage qu’aucune entente ne survienne car elle est excellente, cette chanson ! Laissons l’administration au manager, en effet !

Le processus de création est parfois complexe, c’est ce qui revient souvent quand j’interviewe un artiste. Souvent c’est par manque d’inspiration, par soucis de vouloir se surpasser ou justement parce que la pression du management est trop écrasante. Quand on ajoute certaines contraintes comme pour les collaborations, ça doit parfois être frustrant, je suppose.


Eddy Cort

-J’imagine que pour certains, ça doit être difficile. Chaque groupe a sa façon de fonctionner, son mode d’écriture et tout…

Mais nous on est loin d’être en manque d’inspiration ou frustrés. On a de la matière pour bien des albums encore, même si ces chansons ne sont pas encore finalisées. Quant aux collaborations… ben en général, on se contente de les faire et on laisse les managers se démerder après… Pour leur plus grand bonheur !

Je crois pouvoir dire que Roadtramp est fait pour durer…




SydG

-Nous venons d’entendre The Sandman, la troisième chanson de ce percutant album, encore tout chaud sorti. Vous entamez une tournée promotionnelle pour parler de ce tout dernier chef d’œuvre. Avez-vous des rencontres prévues avec vos fans ?

Eddy Cort

-Ouais, bien sûr ! Nous serons notamment chez Empire Records samedi à 13h. Et nous aurons quelques dates promotionnelles pour des mini-concerts dans les clubs de L.A., dont le Stryge où tout a commencé.

SydG

-Roadtramp, j’ai été vraiment très heureuse de partager ce moment avec vous et je vous promets que, dès votre premier concert local, vous me verrez en première rangée avec mon t-shirt !

Eddy Cort

-Merci surtout à vous, Syd. Et merci à nos fans de toujours être là pour nous !


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