Les loceaux de BSC  sont decorés de murs violet sombre et d'un plafons  blanc.  Mes pieds sur un parquet noir ebene le font grinçait lorsque que je  fis des petits sauts. Je suis pas bien lourde au contraire mais j'aime bien qu'on m'entende arriver. Les murs sont tapisser de poster des groupes du label,des affiches de tournée ou encore de sorti d'album. D'ailleur ya la mienne,  j'ai souris. Jade Hewans la poupée Rock'n'roll.  Nouvel album le 15 décembre. J'ai passer ma petite  main  aux ongles vernis de noir dans mes cheveux blond neige avant de m'etirer. J'avait vraiment l'air d'une poupée :  une taille d'un peu plus qu'un metre cinquante, un beau visage enfantin, de grand yeux bleu-gris, une peau laiteuse et une cheveulure platine.  Aujourd'hui j'ai mis un bandanna  bleu foncé dans mes cheveux,un perfecto, une montre, un jean troué ainsi qu'un debardeau blanc. Accesoirisé d'une paire de plaque militaire  et d'un chapelet personnaliser ( j'ai virer la croix pour y mettre je lame de rasoir. ) J'arrive  a la fin du couloir et  je soupire. Trois couloirs  Lequels conduis au bureau de Ricci ? Bon je suis peu etre a la boure mais j'aime me faire attendre alors j'ai pris celui de gauche,  et si je me plantais je  ferais demi-tour.

J'aimais bien les studios de BSC malgres leur nom assez nul. Apres tout,  j'ai signé ici pour avoir Ricci comme Manager rien d'autre. C'est peu etre pretencieu mais je pense qu'il sauras faire se qu'il faut sans cela il seras  pas aussi connu. Tiens sur les murs il y a memes des disques de platines. J'arrive au bout et la je vois " Studio 1" marquer sur la porte. Ah . Visiblement c'est pas la. Je soupire quand j'aperçois Matt,  un ingenieur son deja croiser a plusieurs reprise. Je m'approche de lui avec un sourire.

- Dis moi, c'est ou le bureau de Ricci ?  J'ai un gros problemes avec les  bureau.

J'ai ajouté  un grand sourire a ma demande  . Il m'as sourit et m'a indiguer le chemin a suivre en me surnomant poupée  . Je l'ai remercier et je suis  reparti aussi vite. J'ai suivi la route indiquer et j'ai trouver son bureau. J'ai souris a moi-meme  et poser une main sur la poignet.

J’étais un mec surbooké et je le savais. Entre les fêtes, le recrutement, la gestion de mes groupes et toute la paperasse qui allait avec ça j’avais de quoi remplir mes journées. Mais bon, j’étais quand même un être humain. Le meilleur, certes, mais un être humain quand même. J’étais donc crevé, exténué, mort et tous les synonymes possibles et imaginables.

C’est donc bien à cause de cette horrible fatigué que je suis arrivé en retard aux locaux de BSC ce matin. Et je dis bien : à cause de la fatigue et non à cause de la cuite que j’avais pris hier après un concert de l’un des groupes dont je m’occupais.

Malgré mon retard, les gens me souriaient, me saluaient et j’en passe. En gros, ils étaient contents que je sois enfin arrivé… Je me rendis dans mon bureau décoré à la Ricci et m’installai devant mon bureau sur mon superbe siège en cuire. J’adorai le cuire, c’était classe. Je mis mes pieds sur mon bureau et mes mains croisées derrière ma tête.

Je n’allais pas commencer la paperasse tout de suite, je préférais plutôt cuver en paix et réfléchir à deux trois choses. Premièrement, au cas Roadtramp. C’était un très bon groupe, ils avaient de la bonne musique et ça plaisait aux fans de métal. Leur problème ? Un manque de maturité et une grande naïveté. Mais bon, il était clair qu’ils étaient presque prêts à percer… Fallait donc que je les tienne à l’œil ! Deuxièmement, le cas The Burning Fire… Kayden ne me l’avait pas encore dit officiellement et de vive voix mais j’avais entendu des échos comme quoi leur manager leur avait fait une sacrée proposition pour qu’ils restent chez MTI. Fallait que je face gaffe à Evans, il était fort ce type là… Discret, mais intelligent.

Donc, comme le recrutement de The Burning Fire me semblait compromis, j’avais décidé de m’occuper d’une autre rockstar j’avais volé à un autre manager de ma propre boîte. Il s’agissait de la jeune Jade Hewans. Elle avait du talent et cela depuis longtemps. C’était une valeur sûr et son physique était tout à son avantage.

J’avais programmé le rendez-vous à… Ben maintenant… Afin que nous discutions des albums et tournées à venir et de ma manière de travailler. J’aimais que les choses soient au clair.
Je me frottais les yeux pour essayé de faire disparaitre mon mal de crâne dû à l’alcool d’hier et entendit la poignée de ma porte se tournée. C’était sûrement Jade. Elle entra et je lui offris mon plus grand sourire.

-Bonjour, Jade. Installes-toi.

Je lui montrais le siège en face de mon bureau en signe de politesse.

-Comme tu le sais sûrement, je suis ton nouveau manager. Tu deviens une star très importante, il te fallait donc le manager adéquat pour te permettre de faire des choses encore plus grandioses.

Je souris de plus belle et sorti… Ben une bouteille d’eau parce que j’étais incapable de boire de l’alcool maintenant. Je me servis un verre et le bus en entier avant de reprendre.

-D’abord, et je commence toujours par ça. Est-ce que tu as des exigences précises à propos de notre future relation professionnelle ?

Valait toujours mieux commencer par le négatif pour moi…

J'ai poussé la porte en découvrant le decord. Le bureau avait etait décorer aux maniere de Ricci. Simple,  du cuire mais pas trop, a l'imagine de mon narcissique nouveau manager. Il avait quelques papier sur soon bureau mais il etait relativement vide. Quand je l'ai vu j'ai pris le temps de le regarder de haut en bas.  J'ai eu un petit rictus avant qu'il me salue et qu'il me propose de m'installer ason bureau. Je m'en suis rapproché,  lui ai sourit avant de  m'asseoir face a lui, jambe croisé. Je l'ai laisser de parler du fait que je sois de plus en plus connu et importante a qui il fallait un managuer adequat. Et que c'etait lui. Il allait me permettre de continuer mon voyage dans les hauteur.

-Grandiose ? A quel point ?


Ais-je demander avec un petit sourire diabolique. J'aimait deja ce type.  Je me lui lever et je me suis rapprocher d'un des cadre y etait placer un disque de platine il me semble. Oui  c'etait bien ça. J'ai véhiculer dans la piece come si j'etait chez moi.  Il m'avait demandé si j'avait des "exigences "  sur   notre futur relation professionnelle . J'avais quelques exigences en effet :  garder mes composions et les chanter, monter  sur scene comme je le sens et pas changer.  Je suis passer deriere  lui  avant de faire le tour de son bureau  pour rejoindre mes affaire. Une fois assise je lui repondu.

-Ma musique, reste ma musique.

Elle s’était assise en face de moi et j’avais déblatérer tout mon petit speech que je faisais à beaucoup de mes nouveaux poulains. En même temps, c’était la meilleure manière de présenter les choses. Ce qui était bien c’était qu’elle avait tout écouté du début à la fin et ça c’était déjà une preuve qu’on allait bien s’entendre.

Le mot « grandiose » semblait l’intéressé et je souris à sa question. Bien, elle avait de l’ambition c’était une très bonne chose. Je ne savais pas si elle faisait de la musique pour être célèbre ou si elle avait pris goût à la célébrité par la musique.

-A quel point ? Je recherche toujours à ce que mes poulains obtiennent une reconnaissance mondial pour ce qu’ils font. En gros, je vais essayer de faire mon maximum pour que tes albums soient parfaitement promotionnés et que tu puisses tourner à travers le monde entier.

Je souriais. C’était ce que souhaitaient pas mal d’artistes qui débutaient. Or, Jade ne débutait pas, elle avait déjà un album dans les bacs et il se vendait très bien… D’où mon vol…

-J’espère que la célébrité ne te fais pas peur.

Je laissai, à mon tour, apparaitre un petit rictus. Certains croient pouvoir gérer facilement tout ce que la célébrité apporte mais quand ils l’obtiennent, ils deviennent dépressifs ou pire encore.
Elle se leva alors et je la suivis du regard. Elle se posta près de mon disque de platine. Enfin plutôt le disque de platine qu’un de mes groupes avaient obtenus. Mais bon c’était en partie grâce à mon travail qu’il l’avait eu donc… Elle fit le tour de mon bureau avant de se rasseoir.

J’espérai qu’elle n’aurait pas trop d’exigence et je fus satisfait d’entendre qu’elle souhait juste pouvoir faire ça musique et rien d’autre. Bien ! Je n’avais jamais d’exigences artistiques à imposer à mes groupes.

-Très bien, on va bien s’entendre. Artistiquement, tu as carte blanche sur tout. Après tout, si on t’as recruté c’est que tu gères à ce niveau-là.

Il fallait désormais que je lui dise un peu ma façon de travailler.

-Moi je m’occuperai de la promotion de tes disques et de ton image. Je rameuterai les meilleurs magasines, les meilleures photographes et les meilleures promoteurs.

Je marquai une pause afin de boire un coup d’eau. Ce mal de crâne ne me quittait toujours pas.

-Je m’occuperai de l’organisation de tes tournées. Les endroits, les dates, la durée. Tu ne devras donc pas te prendre la tête avec çà.

Je la laissais déjà digérer ses informations là avant de continuer.

-Pour le moment, cela te convient ?

Ricci recherche toujours à ce que ses "poulains" obtiennent une reconnaissance mondial pour ce qu’ils font. En gros, il va essayer de faire son maximum pour que mes albums soient parfaitement promotionnés et que je puisse tourner à travers le monde entier. Moi ça m'allait tres bien pour le moment. Il avait l'air satisfait d'etre mon manager vu que j'avais deja u album dans les bac qui marchait vraiment bien. Puis il a dit qu'il esperait que j'aime la celebrité. Disons que j'y ai pris gouts. Les fans super gentiles qui me disent que je suis genial,  que j'ai   un grand talent ou ds trucs comme ça. J'aime bien tout cet univers les fans,  les studios,  les photoshoots.
Il m'a annoncer que j'avait carte blanche pour ma musique, il avait l'air satisfait de mes exigences.  J'ai souris en plongeant mon regard de grey dans le siens. Puis il m'a expliquer comment il travailler. Lui, il s’occuperai de la promotion de mes disques et de mon image. La je suis pas vraiment d'accords fallait voir se qu'il voulait faire de moin image.

- Attends. Pour mon image, je changeras pas. Mon image vas avec ma musique.

Il rameuterai les meilleurs magasines, les meilleures photographes et les meilleures promoteurs.il s’occuperai de l’organisation de mes tournées: les endroits, les dates, la durée. Je devrai donc pas me prendre la tête avec çà. Ça il fait se qu'il veux. J'ai sourit et j'ai fini d'ecouter se qu'il avait a dire. Pour j'ai passer une main dans ma nuque en soupirant hormis mon image j'etait ok.

-Oui en gros oui. Par contre ...

J'ai hesiter quelques secondes avant de finir ma phrase.

- Je peu avoir les cles d'un des studio de repet ?

Je voyais dans le regard de Jade toute la détermination de la jeune fille. Elle semblait savoir ce qu’elle voulait et ce n’était pas plus mal. Les gens indécis m’avaient toujours ennuyé. Or, elle, elle ne semblait pas l’être ce qui était tout bénéfice pour notre collaboration.

Mes dires semblaient lui convenir, excepté cette histoire d’image. Je laissais apparaitre un petit sourire. C’était dingue que, dés qu’on parlait de leur image, les stars s’emballaient en croyant qu’on voulait tout changer à ce niveau-là. Je tenais donc à rassurer la jeune femme sur ce fait.

-Je ne veux pas changer ton image. Je veux juste la promotionner. En gros, l’image que tu as actuellement marche donc il est évident qu’on ne va rien changer à se niveau. Je veux juste mettre en place une campagne de pub autour de cette image et la renforcée.

Et puis, il n’y avait de toute façon rien à changer. Cette image de poupée rock’n’roll marchait à la perfection et semblait totalement convenir à la jeune femme.

Le reste semblait lui plaire. Bien. Je rassemblais mes idées. J’avais encore quelques trucs à lui dire. Je voulais qu’elle soit au courant de tout. J’étais un manager mais je n’étais pas inhumain comme certains. Surtout ceux de MTI, en fait ! Eux, ils étaient nuls ! En fait, je crois que j’en voulais énormément à Evans.

Je me reconcentra sur le regard de grey de la jeune femme. Elle avait de très beaux yeux… Et, elle semblait vouloir les clés d’un studio pour répéter. Je souris.

-Bien sûr je te donnerai les clés d’un des meilleurs studios que l’on a. Tu pourras y répéter quand bon te semble. Ce ne serait pas pareil si tu avais signé à MTI.

Et j’étais fier de cet avantage que l’on donnait aux artistes qui travaillaient pour nous. Je sortis un trousseau de clés de mon tiroir et en tendit une juste devant le regard de Jade attendant qu’elle le saisisse. J’avais l’avantage d’avoir les doubles de toutes ces clés ce qui me donnait un accès illimité à tous les studios.

Donc j’avais parlé de la promotion, des tournées… Ah, les albums.

-Pour ce qui est des albums je m’occuperai de tous les trucs légaux qu’il y a autour et de sa diffusion. Après tout, c’est quand même ça le boulot principal d’une maison de disques…

Cela me semblait évident…

-Et tu pourras faire la fête quand tu le souhaite… Surtout si tu m’invite.

J’esquissais un sourire attendant ses réactions.

Il m'a de suis rassurer sur mon image : " -Je ne veux pas changer ton image. Je veux juste la promotionner. En gros, l’image que tu as actuellement marche donc il est évident qu’on ne va rien changer à se niveau. Je veux juste mettre en place une campagne de pub autour de cette image et la renforcée." Avait il did. J'ai souris mais ça  rester a voir. Monter au sommet en restant sois meme c'etait pour moi impossible. J'avais peu etre tord ou raison mais bon j'ai rien dis et me  suis  contenté de l'ecouter. Puis il a sembler de concentré sur mon regard de grey avant de continuer .  Il m'a repondu qu'il me donnerai les cles d'un des meilleurs studio de repetitions qu'a BSC, en presicant que j'aurais pas eu cela si j'avait signer chez MTI. J'ai souri,ça me convenais.
Il a ensuite parler des albums. Il s'occuperait des "trucs legaux," j'ai hocher la tete sans savoir de quoi il parler exactements. Pour lui ça paraisser evident mais pas pour moi.  

-Hum...  Il y a une cuisine ici ?

J'ai demander ça parce que j'avais faim et qu'il m'arrivait souvent de passer des heures  en salle de repeter. Puis il a jouter que je pourraus faire la fete quand je voudrais. Comme si j'avais besoin de son accords pour ça.....

La jeune fille m’avait écouté sans dire un mot et sans autres objections aucune. Car, hormis sont image, elle semblait pleinement me faire confiance. J’avais bien de la chance d’être tombée sur elle car bien d’autres artistes ont des exigences bien plus complexes que cela. Mais… Bon… Ils sont tous chez MTI alors ! Et je souris en pensant à cela et à la difficulté que devait avoir les managers de MTI pour s’occuper de groupe dans le genre de The Lightening. Il n’y avait qu’Evans qui avait de la chance à ce niveau… Evans, encore lui !

Ensuite, alors que j’attendais de voir si Jade avait d’autre questions concernant la suite de notre future relation professionnelle, elle me demanda si j’avais une cuisine… D’abord un peu décontenancé, je fini par répondre.

-Heu… Bien sûr.

Je lui montrai une porte qui menait vers une petite kitchenette. J’avais le bureau le plus spacieux de BSC et c’était bien normal. J’étais aussi le mieux payé… Et tout le monde le savait et, jamais personne ne s’était plein.

-Pourquoi tu as faim ?

Je me doutais que oui et je me levai afin d’ouvrir la porte vers ma petite cuisine. Elle était simple et clean. J’ouvris l’un des placards afin de voir ce que je pourrais bien offrir à la jeune rockstar.

-J’ai des biscuits, des céréales… Il y a de quoi se préparer des œufs aussi je crois…

En fait, je n’avais pas grand-chose. Il faudra que je fasse les courses. Je sortis de l’aspirine que je mis dans mon verre d’eau que j’avais pris avec jusqu’à la cuisine. Il fallait vraiment faire passer cette gueule de bois…

-Tu n’as pas d’autres questions concernant notre collaboration ?

Je m’appuyais contre la cuisine laissant la jeune femme choisir ce qu’il lui plairait de manger.

Il m'a paru un peu étonner quand je lui ai demandé si il y avait une cuisine au lieu de lui parler de notre travail futur. J'etait comme ça : parler d'une chose,faire une pause parler d'un autre sujet et revenir au premier comme si de rien n'etait. Apres quelques secondes pour comprendre et analyser ma requete il m'a repondu que oui il y avait bien une cuisine dans les studio avant de me montrer une porte qui y menait. Il avait son petit air superieur mais respectieu et donc ça m'a pas déranger. Ensuite il m'a demandé pourquoi ma question et si j'avais faim. J'ai souris. Oui,j'avais faim et c'etait bon a savoir pour mes futurs nuits studios.

Il a du se doutait que ma reponse etait positive car il s'est leverde son bureau puis s'est dirigé vers la cuisine ou il est entrée et ou je l'ai suivi, la il a commencer a rechercher de quoi manger dans les placards. Le vide intersideral. Voila ce que je voyais d'ou j'etait.
J'ai souris,il faudrais faire des courses regulieres ,ce qui n'etait qu'un details, mais hormis ça c'etait parfait. Je m'etait arreter a l'encadrement de la porte ou j'etais adossé en le regardant. La piece etait petite mais simple et cleane et en plus il y avait une cafetiere ! Il m'a proposer des biscuits, des cereals et peu etre de quoi faire cuire des œufs. Et bien ils etaient vide de chez vide leurs placards. Je lui ai sourit avant d'ajouter.

- Tu comptes faire quelques choses pour le vide néantiques des placard ?

J'ai refais un sourire avant de me decider a entrer dans la cuisine et de choisir une boite de gateau avant de m'adosser contre un meuble face a mon nouveau Manager. Il c'etait pris une aspirine j'en conclus donc qu'il avait encore la gueule de bois. Le citrons devrais l'aider.

- Tu as encore la gueule de bois? Le citrons est ton ami !

Pour revenir au sujet de ma presence ici il m'a demandé si j'avais d'autres questions a propos de notre collaboration. Je me suis mordu la levre inferieur pour reflechir. Non je n'avais pas d'autres questions... ah si !

- Je peu aller ou bon me semble ?

Je l'ai regarder avec mon paquet de gateau a la main d'un air tres serieux.

Je regardais, tantôt mes placards plus ou moins vides, tantôt la jeune femme qui s’était appuyé contre l’encadrement de la porte de ma petite cuisine. Je lui faisais des propositions de ce qui me restait mais ce n’était pas exceptionnel. La jeune femme s’en rendit vite compte en parlant de vide néantique. Et alors que j’essayais, je ne sais pour quelle raison, de savoir si cette expression relevait du pléonasme ou de la tautologie, je finis par lui sourire.

-Je suis un manager occupé et demandé, c’est rare quand j’ai le temps de me poser pour faire des courses.

Elle entra dans la cuisine et je me fis un petit cocktail eau-aspirine qui pouvait sauver bien des vies lors de lendemain de cuite. Bon, je devais avouer que d’être dans un tel état devant un de ses futurs poulains, cela ne le faisait pas. C’était pas très professionnel, mais, quelque part, ma réputation de buveur et fêtard me précédait alors cela ne servait à rien de se cacher.
Elle me confia alors une technique pour résoudre mon problème. Tiens… J’avais jamais entendu cette technique…

-C’est vrai ?! Faut que j’essaye !

Je cherchais désespérément un citron dans mes placards mais il n’y en avait pas le moindre.

-Bon ben, il faudra que j’aille en chercher tout à l’heure…

Puis on en revint à des choses plus professionnelles et à la raison même de sa présence dans mon bureau. Elle voulait savoir si elle pouvait voyager où bon lui semblait. Je regardai, tantôt la rockeuse, tantôt la boite de gâteau qu’elle avait finalement choisis afin d’en faire son casse-croute.

-Bien sûr ! Les locaux de BSC te sont entièrement ouverts. Ton studio aussi. Et, aux dernières nouvelles, on ne surveille pas nos artistes. Les médias le font pour nous…

Je souris. Quelque part, ce n’était pas faux… Dés que tu devenais célèbre, difficile d’aller où bon te semble sans être suivit par l’un ou l’autre média.

-J’espère d’ailleurs, que tu n’as pas encore trop de problème avec les paparazzi...

Je bus d’une traite mon eau-aspirine tout en regardant la jeune femme.

- Je pourrais  le faire...

J'ai soupirer c'etait essentiel la bouff pour mes sessions studios. J'ai souris en grignotant un a un les biscuits. J'avais raison la veille une petite soirée un peu trop d'alcool et c'est la gueule de bois assuré. Il fut etonné  quand je lui ai proposer du citron comme medicament  contre la migraine des lendemains de soirees.  Il a chercher desesperement du citron  dans les placards mais rien pas de citrons.  C'etait le vide cideral puis il c'est tournee vers moi avant de degreter qu'il irait en chercher apres notre entrevu .

Puis retour a la conversation dite boulot.  Il m'a regarder puis mon paquet de gateau puis encore moi avant de me repondre que bien sur j'avait le droit d'aller ou d'aller je voulait et ainsi qu'un acces  libre aux studios et les loceaux de BSC.  D'apres lui lui ils ne suiveiller pas leurs poulains et c'etait les medias qui s'en charger pour eux. Tiens c'est vrai que les medias qui fonds le sales boulots. D'ailleurs des que tu deviens un peu celebre les paparazzi sont la pour toi. De mon coté  j'etait plutot tranquilles ces derniers temps ils etait plus a rechercher les scoop chez les membres de The Lightening qui ont un chanteur anthropophobe et  un guitariste camé.  Alors je rentrer a peine d'une tournee  et j'aller entrer en studio sans prendre le temps de sortir me gaire voir dans les bars.

-Non pas vraiment disons que j'en ai pas eu le temps

Je regardais Jade qui semblait un peu avoir pitié du vide qui régnait dans mes placards. Je cru bien quelle se proposait même pour faire les courses. Cette jeune fille, pleine de vie, était une modèle pour certaine rockstar qui débute. Elle ne se prenait pas la tête et faisait son travail sans vraiment prendre la grosse tête. Et pourtant, bien des gens mettaient en valeur sa beauté. Plus encore que sa valeur musicale qui était, pour moi, le plus important pour un artiste.

-Ne t’en fais pas… Je remplirais ses placards bientôt. On fera les courses ensemble si tu veux.

Je rigolai. J’étais quand même un peu déçu de ne pas avoir de citron… Cet aliment sonnait comme un remède miracle contre mon mal de tête actuel.

Puis on revint à une conversation plus sérieuse. Enfin pour moi, parler boulot relevait du domaine de l’amusement. Nous parlâmes médias. Pour moi, c’était une bande de rapaces. Mais il fallait faire avec… Ils ennuyaient autant les stars que les managers. Et j’avais déjà fait leurs beaux jours.

Toutefois, la jeune femme n’était, pour l’instant, pas trop ennuyer par les paparazzi. Quelque part c’était une chance pour elle… Mais cela ne faisait que peu de temps qu’elle était connue et, avec moi comme manager, elle allait monter les échelons.

-Tant mieux. Mais fait attention, plus tu seras connues, plus tu entendras parler d’eux. Certains valoriseront ta musique, mais la majorité essayeront de te descendre et seront au tournant si tu fais le moindre faux pas.

Au moins elle était prévenue. Même si j’étais sûr qu’elle savait déjà tout ça.

-Si tu as un problème avec eux, vient me voir. J’ai quelques trucs pour les éviter.

Je souris, j’étais devenu un as pour ça. Parfois j’arrivais même à tourner une interview à mon avantage.

J’invitai Jade à me suivre avec ses gâteaux. On revint dans mon bureau et je me réinstallai dans mon siège. Fallait que je m’asseye…

-Voilà, je crois que je t’ai tout dis au niveau professionnel…

J'avais reelement pitié du vide intersideral, non neantique des placards et de cette cuisine question nourriture. J'ai tellement eu pitier que j'ai proposer d'aller faire moi meme les courses. Mais heureusement j'aurais pas a le faire puisque Daniele Ricci m'a repondu de pas m'en faire et qu'il remplrai ses placards bientot. Encore fallait il que je connaisse le temps correspondant au therme bientot chez mon nouveau manager. Je l'ai longuement regarder de la tete au pied avnt j'acquisser d'un simple "ok " Il a rit mais je pense qu'a sa place j'aurais amerement regretter l'absence de citron.

puis on revint au sujet beaucoup plus serieux qui meritait toute mon attention si je ne voulait pas quon me retrouve en photo dans un magazin la tete renverser ou entrain de faire quelques actes nuisible a mon image. D'apres Ricci je devaiss faire attention, plus je serais connue, plus j'entendrais parler d’eux. Certains valoriseront ma musique, mais la majorité essayeront de me descendre et seront au tournant si je fais le moindre faux pas. Bon ben au moin j'etais prevenu encore une fois. J'ai ecouter attentivement comprennenet l'enjeu sur mon image. Il m'a memme dis que si j'ai si un probleme avec eux il saurais le regler.

-Okey pas de probleme... en plus j'aime pas vraiment etre interroger pour quoi que ce soit...


Car malgres mon amour de la scene j'avait vraiment du mal a donner des interview, donner des infos sur moin en gros etre celebre. Quand je parler a mes fans c'etait comme des potes maisbdesbqu'onnme vouvoyer je perder mes moyens...
Qu'est ce que je pouvais comprendre ces rockstars qui en venait a detester les fans ou la presse. J'ai soupirer aavant de suivre Ricci : retour dans son bureau. J'ai pas abandonné pour autant mon paquet de gateau que j'ai emmener avec moi. Bah oui j'avais la dalle .Il deait etre pas bien et il s'est assis dans son fauteil avant d'annoncer qu'il avait tout dit sur le plan professionnel. Je suis rester la devant lui en bouffant mes chateau au chocolat comme une gamine avant de lui repondree la bouche pleine.

-Vroui.... Je crois et cha me va...

Je lui donnai quelques conseils. Même si j’en avais encore plein d’autres en réserves sur beaucoup d’autres sujets, que se soit en gestion de la célébrité ou en gestion du stress. C’était un peu ça aussi le travail de manager. On était une aide pour nos poulains. Et je devais avouer que j’étais le meilleur en matière de conseils.

Jade n’aimait pas être interrogée sur n’importe quoi. Elle avait raison ! C’était la chose la plus chiante qui existait. Certains journalistes étaient très bons et critiquait en argumentant très bien, mais d’autres ne cherchaient qu’à descendre les artistes ET les managers et, ceux-là, c’étaient les pire de l’espèce.

-T’as bien raison ! Le mieux c’est encore de tous les éviter comme ça tu es sûr de ne pas être embêté.

Ca c’était clair, et pour les éviter il y avait des trucs bien drôles. J’en révèlerais certains à Jade quand elle se sentira oppressé par tous ces barbares.

On finit par rejoindre la pièce principale de mon bureau. L’aspirine commençait à faire effet et je me sentais déjà mieux. L’avantage des gueules de bois c’était qu’elles finissaient toujours pas disparaitre au fur et à mesure de la journée. Et tant mieux d’ailleurs !

Je n’avais plus grand-chose à dire et Jade me confirma cette idée tout en mangeant ses gâteaux. Elle parlait la bouche pleine et je levai un sourcil tout en souriant. Cette scène cassait le mythe de la petite poupée parfaite que voulait lui coller certaine personne. Et, quelque part, je trouvais ça drôle et ça prouvait, aussi, qu’elle était encore jeune. Et donc qu’elle avait un grand avenir devant elle.

-Très bien ! Si tu as des questions voici mon numéro de téléphone. De toute façon nous serons amenés à nous revoir très vite.

Je lui tendis ma carte où était marquée mes coordonnée et lui souris tel un commercial endurcit.

Tout ce blabla pour me pevenir des danger des photographes. IL etait un bon manager ça se voyait mais peu etre u peu trop narcissique c'est qu'un deail qui lui va bien d'ailleur. Les photos et moi ça fait deux alors deja pourt les photoshoot de l'album c'est dure de me faire sourie alors les photographes je les evite avec joie. D'ailleur la seul photoou je sourit sur les deux album c'est celle ou je suis en pleure.comique hein? les autres sont souvent stereotypé d'une poupée rebelle, mon image quoi et elle me conviens plutot bien je doit dire.

IL etait dans son fauteille , verre vide a la main, l'aspirine devait certainement faire effet a present. je lui aio sourit avant de finallement de rasseoir en gardant le paquet de gateau entre les main,oui j'avait faim et ça avaoit l'air de le faire rire. Je pense que ça casse pas mal l'image qu'on essais trop souvent me coller et a plait au publique et bon la celebrité ça marche grace au publique en grande partie.

IL m'a dit que si j'avait des questions il me donnait ses cordonné,et de toute maniere on se reverrait tres vite. j'ai pris la carte avec un sourire, remis bien ma veste et me releva pour lui serrer la main quand tout a coup j'allais oublier mon studio; les clefs.

-Et pour le studio? IL va me falloir lkes cles je pense...

Je lui ai sourit, tendu un main vers lui et attendis qu'il me donne une reponse quelquonques avant de finalement le saluer,le remercier de m'avoir reçu et sortir de son bureau.