Who Am I? Age: 42 Date de naissance: 25/05/44 Localisation: San Fernando Valley Birth place: Los Angeles Je suis: nerveux... Song: One Of My Turns - Pink Floyd
Sujet: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Mar 27 Fév - 22:15
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
Christopher & Grace North’s Residence
Il était 4 :15 du matin quand Bailey et moi, on se retrouva dans la chambre que j’avais occupée durant pratiquement toute la cure de désintox de ma fiancée. Grace nous avait salués dans le salon, nous embrassant tous deux sur les joues avec un sourire radieux bien qu’un peu fatigué. Mon frère, lui, nous accompagna jusqu’à la chambre d’ami afin de montrer à Bailey tout ce que Grace, qui était probablement déjà allée se coucher, avait préparé pour elle à la salle de bain attenante à ce qui serait notre chambre pour une nuit. Des crèmes de nuit, de jour et un millier d’autre truc alors en attendant qu’il ait fini, je m’étais laissé tomber allongé sur le lit, tout habillé, et j’avais fermé les yeux comme si j’étais beaucoup trop fatigué…
J’avais juste pas envie qu’il traine ici plus longtemps.
Une fois que Christopher eut terminé son inventaire, ils revinrent tous deux dans la chambre et je sentis bien plus que je vis le sourire en coin légèrement sarcastique de Stopher…
-C’est ça… essaye de me faire croire que tu vas dormir maintenant…
Il embrassa Bailey sur la joue, lui souhaita gentiment la bonne nuit et se retira… J’ouvris un œil… et ce fut justement à ce moment-là qu’il se retourna et me capta… Lui et ma mère étaient de vraies plaies à ce niveau-là !
-Hank… C’est noël alors la seule règle à respecter…
Il regarda brièvement Bailey avant de revenir sur moi et de me pointer de son index, pas vraiment menaçant, plutôt rigolard.
-Faites ce que vous voulez… mais ne cassez rien.
Je rigolai.
-Promis.
Il se retira enfin et ferma la porte derrière lui. J’attendis quelques secondes, mes deux yeux bien ouverts maintenant, attendant que ses pas dans le couloir s’éloignent jusqu’à devenir inaudibles. Puis, je me redressai en position assise et attrapai les deux mains de Bailey pour l’attirer vers moi jusqu’à ce qu’elle se retrouve à califourchon sur les cuisses.
Je levai mon regard vers elle et vint chercher ses lèvres pour un baiser langoureux autant que prometteur… Puis, je lui murmurai :
-J’espère que tu n’es pas fatiguée… Parce qu’il est hors de questions que notre premier noël ensemble soit chaste.
Je rigolai et mes mains vinrent doucement remonter le long de son dos jusqu’à trouver le zipper de sa robe que je fis doucement descendre tandis que mes yeux amoureux la dévisageaient.
-J’espère que tu as passé une bonne soirée, chérie. Jusque-là, tu as probablement vu ce que les North avaient de pire… Moi…
Je souris plus largement.
-Maintenant, tu sais que tu as aussi gagné une famille…
@ Billy Lighter
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Dernière édition par Hank North le Jeu 1 Mar - 14:45, édité 2 fois
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Mer 28 Fév - 1:54
Love Is What We Are ft. Hank North
Quand nous arrivons chez Grace et Christopher, je ne fais ni une ni deux et je retire mes chaussures à talons haut. Mes pieds me font souffrir et j’ai les orteils en feu. Grace nous salut pour la nuit, son éternel sourire sur les lèvres seulement, j’ai l’impression qu’il est légèrement moqueur celui-ci. Bon, elle doit bien se douter qu’Hank ne va pas me raconter l’histoire du petit chaperon rouge pour aller au lit… quoi que je ne serais pas contre me faire dévorer par le grand méchant loup !
Dans la chambre, Hank se laisse tout de suite tomber sur le lit alors que son frère m’entraîne dans la salle de bain annexée à la chambre et me fait l’éventaire de ce qu’à mit à ma disposition Grace. Ma belle-sœur est la bonté incarnée et ses attentions à mon endroit ne me font que l’aimer encore plus.
- Je me sens comme à l’hôtel !
J’allais dire qu’une fois, avec un client, nous avions utilisé la suite penthouse mais je me ravise. C’est Noël. Le moment n’est pas indiqué pour relater des anecdotes de ma vie de prostituées. Et de toute façon, ça n’a rien de commun pour mon beau-frère, les chambres d’hôtel luxueuses. Il doit en avoir vu plus qu’une, en voyage d’amoureux avec sa femme ou pour le travail.
Nous revenons dans la chambre et après m’avoir souhaité bonne nuit, ouvrit la porte pour sortir mais se retourna au dernier moment et je tournais la tête en même temps que lui en direction de Hank et restais là, à écouter l’échange entre les deux frères en rigolant. Impossible de rester sérieuse devant une telle scène.
Ils sont savoureux !
Quand il conseilla fortement à Hank qu’on ne casse rien, je répondis à l’unisson avec mon fiancé.
- Promis… Bonne nuit Christopher…
Et alors qu’il sortit de la chambre, je me suis rapproché du lit juste assez près pour qu’une fois que nous sommes certains qu’il ne reviendra pas, Hank m’attrape par les mains et me ramène à lui sur le lit.
Mon front contre le sien, mes mains à plats sur son torse encore recouvert de sa chemise, j’effleure ses lèvres des miennes l’écoute à moitié me parler de notre premier Noël ensemble. Chaste ? Ce n’est même pas dans mon vocabulaire. N’y a-t-il eu une seule nuit / journée où nous n’avons rien fait ? Ma cure ne compte pas, quoi que même en cure, nous sommes parvenus à nous envoyer en l’air et pas que dans la chambre.
J’acquiesce d’un signe de la tête quand il me dit que j’ai gagné une famille tout en glissant vers le bas le long de mon dos, la fermeture éclair de ma robe. Une famille en or au cœur immense dont je suis tombé complètement sous le charme dès les premières secondes en leur compagnie.
Mais je n’écoute plus Hank, au-delà de ça. Je suis trop occupé à défaire un a un les boutons de sa chemise avant d’en ouvrir grand les pans et de la faire glisser de ses épaules puis de le caresser en sens inverse jusqu’à revenir sur son torse alors que de mes lèvres, je l’embrasse sur la bouche, sur les joues, au creux du cou, puis je relève ma robe sur mes cuisses et dévoile le cadeau de mes beaux-parents que je porte toujours.
- Je ne devrais que porter ça… tu en penses quoi ?
@ Billy Lighter
Hank North
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Jeu 1 Mar - 15:40
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
Bailey, à son visage radieux, semblait ravie des attentions que Grace avait eues pour elle en lui laissant de quoi se faire une beauté demain au réveil. Tant mieux. Si elle était contente, je l’étais aussi. Mais en ce qui me concernait, je serai personnellement heureux quand Stopher aura passé le pas de la porte de la chambre d’ami pour me laisser seul avec ma fiancée.
Notre petit échange la fit d’ailleurs bien rire, ce qui eut le don de me faire sourire et on promit à Stopher, tous les deux, qu’il n’y aurait pas de casse.
Bien que… ça restait à voir parce que si mon frère me faisait faire cette promesse, c’était effectivement en connaissance de cause. Après tout, c’était chez lui, et non dans ma chambre chez nos parents, que j’avais fait mes premières expériences avec des jeunes filles de ma classe… J’avais bien trop peur de me faire prendre au lit avec une fille par ma mère… quand j’avais 15 ans et que j’étais pas encore tout à fait fini… Alors Stopher avait toujours laissé gracieusement une chambre pour moi chez lui, histoire que je puisse passer de l’état d’adolescent à celui d’homme adulte.
Et j’avais cassé… pas mal de trucs… dont au moins deux sommiers de lits… avant de devenir un homme.
Une fois Christopher parti s’amuser de son côté (parce que la fatigue de Gracie, j’y croyais pas non plus), j’avais attiré Bailey à moi pour qu’elle s’installe sur mes cuisses.
Je lui avais brièvement parlé de la soirée que je ne voyais pas se terminer en dormant simplement dans le bras l’un de l’autre en cuillère. Et aussi, de la famille qui l’avait adoptée. Bailey s’était contentée de répondre d’un hochement de tête, mais il fallait dire que mes mains qui couraient dans son dos pour ouvrir la fermeture éclair de sa robe n’étaient pas vraiment pour l’aider à philosopher. Pas plus que les boutons de ma chemise qu’elle faisait doucement sauter un par un pour mon plus grand plaisir.
Ce n’était pas le but non plus. On avait déjà essayé, ça ne fonctionnait pas.
Alors je me tus aussi, fermant les yeux pour profiter de ses caresses par-dessus ma chemise et de son souffle qui se mêlait au mien alors que nous étions front contre front. Combien de fois pendant la soirée, même si je m’amusais au plus haut point, n’avais-je pas pensé avec impatience à ce moment où nous nous retrouverions enfin tous les deux ?
Je soupirai d’aise et sentis mes muscles se détendre quand Bailey embrassa mon visage et finit par ouvrir grand les pans de ma chemise pour la faire ensuite glisser de mes épaules. Je m’en débarrassai et l’embrassai à mon tour, partout où je pouvais l’atteindre. Mes mains caressaient son dos de haut en bas jusqu’à passer la limite de la fermeture éclair de sa robe et pouvoir redécouvrir la courbe douce de la naissance de ses fesses.
Bailey se redressa un peu, juste assez pour que je rouvre les yeux pour la regarder relever sa robe et dévoiler le magnifique cadeau de noël de mes parents. Puis, je souris à Bailey, espiègle, relevant mes yeux bleu-vert vers elle quand elle proposa de ne porter que ça.
-Ça… et nos bagues de fiançailles. C’est tout ce dont on a besoin.
Tout en l’embrassant à nouveau langoureusement, ma langue allant chercher la sienne pour un ballet sensuel, je me redressai pour qu’on se retrouve d’abord debout face à face. Puis, je mis fin au baiser pour passer derrière elle et, très délicatement, faire glisser les bretelles de sa robe de ses épaules que j’embrassai, mon bassin tout contre ses fesses encore couvertes pour lui faire sentir déjà combien je la désirais.
On ne s’arrêtait jamais. Et pourtant, ce désir en question ne semblait pas vouloir faiblir ou se lasser… Que du contraire.
D’une main sur chacun de ses bras, je fis glisser plus bas sa robe, jusqu’à ce que, d’elle-même, elle tombe à terre. Puis, prenant doucement la main de ma fiancée, je la fis se retourner vers moi pour lui sourire tout en laissant trainer mes doigts sur sa peau, lentement, ralentissant encore lorsque j’arrivai sur son mamelon jusqu’à m’y arrêter. Alors, je l’embrassai sur les lèvres plus avidement, prenant son sein en coupe dans ma main et soutenant le bas de son dos pour la maintenir contre moi de l’autre.
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Ven 2 Mar - 22:36
Love Is What We Are ft. Hank North
Le moins que je puisse affirmer, c’est que j’ai vécue une soirée riche en émotion. J’ai vécu probablement mon plus gros coup de foudre pour une famille au grand complet avec qui, je le sais, je serai toujours protégée et aimée. Qu’importe ce qui arrive.
J’étais si bien chez Robin à célébrer avec eux que je n’ai pas vu le temps passer ni même ressentis la fatigue. Et, maintenant qu’Hank et moi somme de nouveau seul, il me tarde de renouer avec lui, pour une chose que nous nous sommes retenus toute la soirée de faire.
Je me retrouve bien vite sur ses cuisses, lui, glissant déjà la fermeture éclair de la robe vers le bas, moi, déboutonnant un a un les boutons de sa chemises jusqu’à la lui glisser du corps tout en lui embrassant amoureusement le visage, geste que jamais je ne me lasserai de faire.
Les mains de mon fiancé glisse sous le tissu de ma robe maintenant ouverte plein dos pour glisser jusqu’à mes fesses et je me soulève légèrement, le temps de remonter ma robe et lui montrer la jarretière que je porte toujours et dont j’ai envie de porter pendant nos ébats. Ça et nos bagues, comme il me le dit si bien.
Nos langues de trouvèrent dans un baiser difficilement plus chaud puis Hank se leva, m’entraînant avec lui et mit un terme au baiser en passant derrière moi. Je ferme les yeux, renversant la tête vers l’arrière, cherchant à m’appuyer contre lui-même si je le temps tout près de par son érection qui effleure mes fesses. Je m’en mords la lèvre, résistance mal à l’envie de me retourner, lui tirer le pantalon vers le bas et lui donner de bonnes raisons d’appeler tous les Saints.
Mais je me laisse faire. Je le laisse nous guider alors qu’il fait glisser ma robe s le long de mon corps. Elle tombe lâchement sur le sol, entourant mes chevilles. Hank vient ensuite me faire me retourner, comme si nous dansions. Le mouvement est lent, suave, sensuel. Je me retrouve face à lui dont les mains découvrent déjà mes courbes de mon corps depuis mes hanches jusqu’à ma poitrine sont il vient délicatement souligner d’une main.
De nouveau il m’embrasse et, à l’instar de son bras dans le bas de mon dos, je l’enlace, pressant mon corps contre le sien. C’est moi cette fois qui met un terme au baiser, rectifiant l’inégalité entre nous en lui ouvrant le pantalon puis en le tirant vers le bas, boxer y compris. Et, tant qu’à y être, pourquoi je garderais ma culotte ? Je la retire donc pour ne conserver que ma jarretière.
Vêtue uniquement de cette magnifique pièce de tissu, je me sens incroyablement sexy.
Maintenant que nous sommes tous les deux nus, je me presse de nouveau à Hank jusqu’à le faire reculer puis assoir sur le lit et ainsi reprendre ma position initiale sur ses cuisses. Seulement, j’entrouvre les miennes, posant mes genoux de chaque côté de lui, frottant mon sexe humide au sien fièrement dressé.
Mes lèvres l’embrasse avec une douceur presque irréelle. Mon bassin appel le sien en le provoquant de frêle petite poussée et, entre mes cuisses, mon excitations enduit son sexe qui, de plus en plus, réclame mon attention.
Je me soulève alors, sans le quitté des yeux, puis redescend alors très lentement, jusqu’à le sentir me pénétrer et je ne m’arrête que lorsque physiquement, nous ne puissions aller plus loin, et je recommence tout aussi lentement, le même mouvement, encore. Et encore.
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Dim 4 Mar - 22:24
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
Bailey ne pouvait pas le voir, mais je me mordis la lèvre en suivant le mouvement de sa robe qui tomba au sol en accrochant ci et là légèrement à ses courbes magnifiques jusqu’à s’étaler lâchement autour de ses chevilles.
J’avais eu pour épouse une actrice talentueuse et un mannequin dont le corps était littéralement sculpté pour ce métier. Mais la toute petite et très jeune Bailey de l’Eastside n’avait rien à leur envier, ni à l’une, ni à l’autre. Elle avait une beauté bien à elle, simple, et qui n’avait pas besoin d’artifices, quoi qu’elle en pense.
Et j’espérais toujours trouver en elle ce que je n’avais pas pu trouver dans ce monde où m’avait plongé mon talent… et mes relations, je n’allais pas le nier. S’appeler North ouvrait des portes à Los Angeles. J’espérais trouver en Bailey une forme de sérénité bien que jusque-là, ça ait été plutôt houleux à l’instar de mes deux premiers mariages.
Cependant… cependant, il y avait quelque chose dans ma relation avec Bailey qui était complètement différent de ce que j’avais connu avec Helen et Kate : quand venait le temps de nous retrouver, seuls, au lit ou ailleurs et à n’importe quel moment de la journée… Quand venait le temps de nous aimer au sens le plus pur et primal du terme (ouais, j’ai une vision de la pureté bien à moi… « naturel » serait probablement le terme juste)… Bailey et moi étions toujours sur la même longueur d’onde. Bailey ne me donnait pas l’impression que Helen, Dieu la garde, me donnait : elle de s’offrir littéralement à moi et de « faire son devoir conjugal »… Bailey ne soupirait « encore ! » que pour en demander plus et non pour me faire comprendre que j’étais beaucoup trop demandeur.
Bailey ne frappait, ne griffait, ne mordait, que dans des jeux consentis et sans jamais pousser l’exagération jusqu’à me marquer pour plusieurs semaines ou à vie…
Ma fiancée n’était pas parfaite… Et j’étais loin de l’être moi-même. Nous excellions dans des moments comme ceux-ci, alors que je la retournais vers moi pour l’embrasser, moi à moitié nu, elle encore seulement vêtue de son dernier sous-vêtement et de sa jarretière de future mariée. Mais ces moments faisaient, peut-être à tort, passer tous les autres moments où nous ne savions trop que faire l’un avec l’autre, impulsifs, émotifs et têtus que nous étions. Même si sur ce dernier point, j’étais probablement le pire des deux.
L’heure n’était pas aux calibrages, à savoir qui était qui ou comment faire quoi. Parce que ce que nous faisions maintenant, nous savions le faire bien. Et c’était là que je trouvais la sérénité que je cherchais désespérément et en permanence.
Bailey avait la faculté de mettre délicieusement mon cerveau trop actif en veille.
Je gémis quand Bailey vint m’enlacer doucement, frissonnant au contact de sa peau sur la mienne. Elle mit fin au baiser et nous débarrassa du reste de mes vêtements qui ne me servait de toute façon plus à rien. Devant Bailey, je pouvais paraître tel que j’étais. Elle se débarrassa elle aussi de son dernier vêtement et, alors qu’elle voulait me guider sur le lit à nouveau, je la stoppai juste une seconde.
-Laisse-moi te regarder.
Ce que je fis tout en parlant, l’admirant et me demandant encore comment il était possible que personne avant moi n’ai voulu garder Bailey pour lui. Je la laissai ensuite se presser contre moi et me guider à nouveau, soupirant d’aise puis souriant en la regardant dans les yeux quand elle se retrouva à nouveau à califourchon sur moi.
Mon visage levé vers le sien, je laissai remonter mes deux mains de ses hanches jusqu’à ses seins, en caressant la pointe du pouce. Je sentais sa jarretière chatouiller ma cuisse et ma hanche, l’une puis l’autre au rythme de ses doux mouvements qui m’excitaient doucement.
On était loin de l’effervescence de nos retrouvailles dans la cuisine de ma villa de San Fernando Valley, mais ça n’en était pas moins bon.
Je soufflai et gémis quand son baiser se fit tellement doux, amoureux et sensuel que tout mon corps en frissonna de plaisir. Je voulais essayer d’être aussi doux qu’elle, mais sans aucune certitude d’y arriver, frôlant sa peau du bout de mes doigts, portant mes lèvres à la pointe de ses mamelons pour les effleurer doucement…
Puis Bailey poussa un peu plus, en une provocation presque innocente de son bassin qui me fit glisser plus longuement entre ses lèvres intimes. Plus vite aussi. Je gémis, la regardai et puis rigolai brièvement avec elle. Elle se souleva alors et mes yeux ne quittèrent pas les siens. Mes deux mains allèrent la soutenir sous ses fesses pour l’accompagner et l’aider dans son mouvement. Elle se laissa descendre et j’entrai doucement en elle, mes yeux qui la regardaient la perdirent de vue en roulant de plaisir et je grognai gentiment.
Quand je fus tout en elle, je la regardai à nouveau et lui murmurai :
-Je t’aime, Bailey.
Je ne lui disais pas souvent… Probablement vraiment pas assez souvent pour une femme comme elle qui avait cruellement besoin de l’entendre dire même si je le lui prouvais tous les jours de plein d’autres manières.
Elle montait et descendait aussi lentement et sensuellement que dans son premier mouvement… Je pris son visage à deux mains après les avoir laissé glisser pour remonter tout le long de son échine, et l’embrassai passionnément tout en me laissant aller doucement en arrière pour me retrouver allongé sur le lit. Mes lèvres goûtaient les siennes, les suçotaient parfois et je laissai finalement vagabonder à nouveau mes mains le long de son dos. Je mis fin au baiser pour grogner d’extase et me cambrer en arrière…
Avant de nous faire rouler sur le lit pour échanger nos places et prendre les rênes de nos ébats.
Avec toute la douceur qui avait caractérisé nos échanges jusqu’ici, je vins attraper ses deux mains pour les guider jusqu’au-dessus de sa tête et, nos doigts entrelacés, les maintenir là et profitant de l’effort que ça me demandait pour me soulever un peu, la laissant profiter de la vue plongeante qu’elle pouvait ainsi avoir sur mon torse où des gouttes de sueurs traçaient des sillons improbables. Tandis qu’entre ses cuisses, je me donnais et accélérai légèrement en profitant toujours du contact doux de la jarretière sur sa cuisse relevée contre ma fesse.
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Jeu 8 Mar - 17:59
Love Is What We Are ft. Hank North
Mon regard est plongé dans celui de l’homme que j’aime alors que lentement, je nous unis d’un mouvement aussi sensuel que doux. Ses mains sur mes fesses me guident, me caressent. Et ça me rassure. Oui je l’avoue j’ai sens cesse besoin d’être rassurée. J’ai peur que mon conte de fée prenne brutalement fin, comme si ce que je vis en ce moment ne peut être autre chose qu’un rêve.
C’est comme s’il arrive à me décoder parfaitement puisque c’est à ce moment précis qu’il me murmure un mélodique « Je t’aime, Bailey » qui fait chavirer mon cœur comme si c’était la première fois qu’il me le disait. Pour toute réponse, je pose ma main sur ta joue pour le caresser, et, sans cesser de le regarder avec autant d’amour que dans son murmure, je commence à lentement aller et venir sur lui, levant et redescendant mes fesses.
Ses mains remontèrent le long de mon corps dans un tracé parfait, épousant chaque détails de mon corps pour finir sur mon visage qu’il encadre avant de porter ses lèvres aux miennes et de m’embrasser en se laissant aller vers l’arrière, sur notre lit.
Hank est capable d’une étonnante douceur au lit. Dans ses bras, je me sens toute petite, fragile. Il pourrait facilement me broyer entre ses bras musclés mais il se sert de sa force pour m’amener plus loin encore. Pour me faire voyager sans même quitter notre lit.
En nous faisant rouler sur le matelas, Hank retient fermement mes mains au dessus de ma tête que je relève un peu que pour le voir aller et venir entre mes cuisses. Admirer ses muscles se contractés alors qu’il se donne en moi.
Mes soupires deviennent des gémissements de plus en plus sonore alors que mon futur époux augmente la cadence. A chaque de ses coups de bassin, je cambre des hanches pour en recevoir encore plus et plus profondément.
Je parviens sans vraiment m’en rendre compte à déprendre une de mes mains que je viens immédiatement poser sur sa hanche alors que je remonte ma jambe du même côté. Ses mouvements nous font légèrement bouger sur le matelas, ou est-ce carrément le lit qui bouge, je n’en sais rien.
Et plus il se donne en moi, plus je gémis et plus je gémis, plus Hank se montre intense. C’est un cercle délicieusement vicieux dans lequel nous nous étourdissons.
J’en viens à m’exclamer, à crier son nom. Ma voix en résonne dans la chambre beaucoup trop grande.
- HANK !!! OH… HAAAANK !!!
C’est bon. C’est si bon ! Trop même pour rester subtile et discrète.
Et puis, quand l’orgasme m’envahit, et avec la puissance qu’il le fait, jamais je n’aurais pu le dissimuler même en étouffant mes cris dans l’oreiller.
J’implore Hank de ne pas s’arrêter. De continuer, encore et encore. J’en veux plus et j’en veux toute la nuit, bien que déjà dehors, le soleil pointe ses premiers rayons.
- Je t'aime tant, Hank !!
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Ven 9 Mar - 21:04
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
Quand Bailey me caressa la joue après mon aveu qui n’avait plus rien de vraiment secret, mais que ma fiancée accueillit avec plaisir, je fermai les yeux te tournai un peu la tête pour venir embrasser sa paume, juste au moment où elle se mit à aller et venir doucement en montant et descendant sur moi. Puis j’avais capté à nouveau son regard, encadré son visage de mes deux mains… et je l’avais embrassée passionnément avant de nous laisser aller pour nous allonger sur le lit.
Il y avait souvent des tensions entre Bailey et moi, une certaine forme de violence qu’on s’infligeait l’un à l’autre sans le vouloir, sans nous en rendre compte même parfois. Il y avait d’autres fois où c’était conscient et où on se menait la vie dure. Il y avait surtout qu’on avait déjà chacun du mal à dealer avec nous-même et que devoir en plus communiquer avec l’autre rendait les choses encore plus compliquées. Et si on ajoutait à ça encore la dimension du monde extérieur, ça devenait carrément chaotique.
Mais je gardais, personnellement, l’espoir et l’intention d’apprendre.
En attendant, nous restait un endroit où, ni l’un, ni l’autre ne faisions de faux-semblant… Un seul endroit où on se comprenait parfaitement et où aucun de nous deux ne pouvait renier son amour pour l’autre. Certains diraient que notre relation était purement sexuelle. Et pourtant, c’était justement à ce moment-là, paradoxalement, que je pouvais être sûr que ce n’était pas le cas.
J’échangeai nos places sur le lit, dans une infinie tendresse malgré ses mains que je maintins prisonnières au-dessus de ta tête… Bien que pas vraiment prisonnières puisque lorsqu’elle en ressentit l’envie, elle ne dut aucunement forcer pour défaire une de ses mains de mon emprise. Je l’avais simplement lâchée et laissée aller sur mon corps jusqu’à ce qu’elle s’arrête sur ma hanche, remontant sa jambe pour que je me donne en elle plus fort encore.
Le lit… Ce foutu lit que j’avais occupé maintes et maintes fois, seul ou accompagné, et en avait sans doute beaucoup trop vécu, vacillait sur ses vis fatiguées et le sommier accompagnait nos mouvements de plus en plus intenses à mesure que le plaisir grandissait en nous. La tête de lit tapait contre de mur… Désolé Stopher… Et les quatre pieds couinaient en pivotant d’avant en arrière au rythme que j’imposais.
Mais je ne les entendais même pas parce qu’entre les gémissements de moins en moins discrets de Bailey, qui provoquaient mes propres grognements de plaisir, voire des gémissements pas retenus du tout, les couinements du lit faisaient pâle figure… Je ne sentais pas les vacillements non plus parce que j’étais persuadé que c’étaient juste nos mouvements que le plaisir me donnait l’impression d’être amplifiés.
Plus je gémissais fort, plus Bailey gémissait fort, se mettant carrément à crier mon nom (histoire qu’il n’y ait aucun doute sur le coupable de tout ce tapage nocturne), plus j’y allais fort… Et puis au bout d’un moment je ne me contentai plus d’y aller seulement fort mais accélérai brutalement au point que je n’en étais même plus capable d’étouffer certains de mes gémissements en embrassant Bailey. A la place, mon seul recours était d’enfouir mon visage dans le creux de son cou pour la mordiller. Mais ça aussi finit par ne plus suffire et je criai son nom, au moment de l’orgasme, dans le creux de son cou alors que Bailey, elle, s’en donnait à cœur joie dans toute la chambre.
J’étais à bout de souffle, mais rigolai et ne m’arrêtai pas quand Bailey me supplia de ne pas le faire. Je continuai à aller et venir en elle, certes un peu plus lentement, en des mouvements plus sensuels qui me permettaient à nouveau de l’embrasser de temps en temps, entre deux gémissements de plaisir dans son cou ou contre son oreille que je venais mordiller.
Entre deux souffles, je lui répondis.
-Haan… Bailey… Je t’aime… Et putain, c’est bon de t’aimer…
Me demandez pas comment je fis… Je n’en ai foutrement aucune idée… Mais après avoir un rien repris mon souffle, je recommençai à y aller plus fort, sans même m’être vraiment arrêté. En regardant Bailey et en rigolant, par jeu plus qu’autre chose, jusqu’à la mener à un second orgasme… Et je sentis même que j’aurais pu y arriver aussi…
BOUM !
Si les pieds du lit n’avaient pas décidé d’abdiquer à ce moment-là… Me coupant dans mon élan en me faisant prendre une grande inspiration de surprise et m’envoyant une bonne giclée d’adrénaline dans la foulée…
Je regardai Bailey, très sincèrement pris de court, complètement abasourdi de surprise, les yeux complètement écarquillés alors que j’étais encore en elle. Je finis par morde ma lèvre avant de souffler un…
-Et merde…
Parce que ça avait fait vachement beaucoup de bruit, cette histoire…
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Ven 9 Mar - 22:50
Love Is What We Are ft. Hank North
L’orgasme est aussi puissant qu’il est bon mais malgré ça, j’en veux encore plus ! Rien à faire de mon cœur qui bat à tout rompre, de mon corps complètement en sueur et des crampes dans les fesses, je suis partante pour un second tour et ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd.
Hank est encore vigoureux et aussi insatiable que je ne le suis. Si ce n’était pas des contraintes de la vie, je crois que jamais nous ne nous arrêterions de faire l’amour. Si ça peut sembler être un cercle pervers pour certains, pour nous, c’est une façon de communiquer certaines choses que nous n’arriverions pas à nous dire autrement.
Ce n’est pas que sexuel. C’est viscéral et divinement libérateur.
Ça vient peut-être de moi, ou c’est Hank, ou alors c’est nous deux mais la douceur du début laisse place à une fougue bestiale qui nous arrache des gémissements dignes de l’Homo sapiens. Y’a même un bruit étrange qui se joint à nos voix, comme le grincement ou je craquement je ne sais pas trop. Je m’en fou, tant qu’il ne me dit pas ensuite que c’était ses os !
Hank, dans un élan de romantisme qui lui est propre s’exclame tout en jurant combien il lui est bon de m’aimer. Et si son amour est proportionnel à la ferveur avec laquelle il reprend ses coups de bassin, je suis la femme la plus aimé de Los Angeles !
Seulement, ce fut probablement trop fort pour le lit qui craque et fatalement, cède en nous expédiant au sol.
- Bah…. Merde alors !
J’y crois pas. Enfin, je n’ai pas le choix d’y croire puisque c’est bel et bien arrivé mais nous venons de casser le lit de la chambre d’invité de mon beau-frère ! Ça risque pas de s’oublier dans les histoires de la famille North ça et ce sera probablement le scoop de la soirée du jour de l’an !
Je secoue la tête, ne sachant trop quoi faire. Tout m’apparaît étrangement très silencieux à l’exception fait de nos deux cœurs qui battent à l’unisson en se répercutant jusque dans mes tympans.
- Continue !
C’est tout ce que je trouve à dire alors que je suis dévorée par un fou rire. Fou rire qui ne tarde pas à se répercuter dans la chambre et quine fait qu’amplifier quand on toque à la porte.
Bien sûr, le vacarme provoqué par nos ébats n’a pas passé inaperçue et c’est ma belle-sœur et son mari qui entrent dans la chambre me forçant à tirer sur le drap comme je le peux pour couvrir les fesses de Hank qui lui, me cache de son corps
- Nous avons… eu un accident de matelas…
Dis-je toujours en rigolant, rire contagieux qui atteint Grace puisqu’elle se couvre maintenant la bouche d’une main en riant autant que moi. Et que dire du visage de Stopher. Si mon beau-frère se la joue grognon, il apparait évident qu’il déploie des efforts surhumains pour ne pas se foutre de notre gueule.
Je réussis à m’enrouler dans un drap, alors que Hank se relève et que nous puissions mieux constater les dégâts.
- Peut-être… que ce serait plus sage de mettre le matelas par terre, non ? , dis-je dans une tentative vaine de ne pas rire.
@ Billy Lighter
Hank North
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Who Am I? Age: 42 Date de naissance: 25/05/44 Localisation: San Fernando Valley Birth place: Los Angeles Je suis: nerveux... Song: One Of My Turns - Pink Floyd
Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Dim 11 Mar - 17:03
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
BOUM !
C’était le bruit qu’avait fait le lit quand ses pieds avait céder, me crispant le temps de la chute complètement et me laissant, une fois au sol, complètement surpris et les yeux écarquillés. J’avais laissé échapper un « Et merde… » quand j’avais réalisé ce qui s’était passé. Bailey fut prise d’un fou rire après m’avoir dit de continuer. Et non seulement je me mis à rire aussi… Mais je fis exactement ce qu’elle me demanda : continuer.
Je repris mes mouvements et l’excitation revint aussi vite que la surprise ne l’avait mise en suspens. Je recommençai à gémir, grogner et rigoler, ou les trois à la fois, ou je ne savais pas trop hormis que putain comme j’avais envie de continuer !
Mais c’était sans compter sur le bruit qui, évidemment, avait alerté Stopher et Grace…
Et quand il frappa à la porte, j’étais incapable de m’arrêter d’aller et venir en Bailey, ce qui était très embêtant…
-Heu !! Non ! Non non !
J’avais gémis mes protestations dans le cou de Bailey ce qui fit que, du coup, le couple derrière la porte ne m’entendis pas… Ce qui était un peu le comble de l’histoire après le boucan qu’on venait de faire.
Stopher et Grace déboulèrent dans la chambre et Bailey eut le magnifique réflexe de me couvrir avec le drap. Je gémis encore, de dépit, mon visage rouge de honte caché dans le creux du cou de Bailey tandis que ma fiancée annonçait ce qui était un peu flagrant : on avait eu un petit problème.
Les deux filles se mirent à rire de concert et je souris avant de m’y mettre aussi. Seul Christopher arriva encore à se retenir juste le temps de dire à mon attention :
-T’es… vraiment… un boulet, Hank…
Puis il se mit à rire aussi… Quant à moi, il fallut que je me résigne à quitter le giron bien chaud et confortable de Bailey pour me relever, en attrapant au passage un coussin pour camoufler au moins mon sexe encore complètement tendu comme je pouvais, et constater les dégâts en me grattant la tête avec un air un peu désolé pour Grace.
-L’était vraiment vieux ce lit…
Sans le vouloir, j’avais imité les airs innocents d’Howard à la perfection, de même que sa façon de parler. Bailey, elle, demanda si ce ne serait pas mieux de mettre le matelas par terre, mais elle était incapable d’arrêter de rire. Sopher hocha la tête en rigolant lui aussi toujours.
-Ouais, on va faire ça. Ne bouge pas, Bailey. Aide-moi, Hank. On va faire glisser le matelas du sommier.
Je secouai la tête.
-Je peux pas… Tenir le coussin et tirer avec toi sur le matelas en même temps.
Grace éclata tellement fort de rire qu’elle dut se retenir au chambranle de la porte de la chambre. Stopher, lui, eut un sourire sadique.
-Ben démerde-toi… Tu fais des conneries, tu assumes.
Tenant le coussin pour préserver ce qui me restait de dignité, je vins me placer à côté de mon frère et tirai avec lui d’une seule main sur le matelas où ma fiancée était toujours assise, drapée dans les draps comme une magnifique déesse. Mais évidemment, comme je tirais moins fort que Stopher, du coup, j’eus le réflexe de revenir prendre le matelas de mon autre main aussi ce qui fait que… ben… je lâchai le coussin quoi.
-Haaan… C’est pas vrai ça !
Grace était maintenant tellement morte de rire qu’elle s’était laissé glisser au sol et qu’elle en pleurait, la tête appuyée dans l’encadrement de la porte. Le matelas complètement au sol, je repris le coussin avant de venir m’asseoir au côté de Bailey…
-Fallait pas vous en faire… Je gérais…
Christopher, à moitié hilare, désigna le mur…
-Ouais… Bailey nous a laissé entendre ça…
Je souris...
-Oooh Stopher... Serait-ce de la jalousie que j'entends dans ta voix?
Il secoua la tête en faisant "non"... Mais Grace secoua la tête en faisant "oui". Puis mon frère reprit:
-Bon… Je suppose que vous avez cassé tout ce qu’il y avait à casser…
Puis, il regarda Bailey et soupira.
-Essaye de l’épuiser à mort, d’accord?… Qu’il dorme 24 heures d’affilées après ça…
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Dim 11 Mar - 20:38
Love Is What We Are ft. Hank North
J’hésite entre dire que le plus surprenant dans ce qui vient de nous arriver est le bris du lit en lui-même ou le fait de ne pas s’être fait mal. Parce qu’on a quand même vachement glissé dans l’aventure et que de la façon dont Hank se donnait entre mes cuisses, ça aurait pu être fatal pour son membre reproducteur.
Mais fort heureusement, aucun dommage sur ce plan puisque, quand je lui demande de continuer avant d’éclater de rire, il se remet en marche comme si rien ne venait de se produire. Enfin, rien étant un bien grand mot puisqu’il rit autant que moi. Faut-il le croire ? Il n’y aura jamais rien sauf nous même pour nous arrêter de faire l’amour.
Sauf peut-être Stopher et Grave qui entrent malgré la protestation de mon fiancé qui se voit dans l’obligation de ralentir ses ardeurs. Je n’ai que le temps de tirer sur le drap pour couvrir le cul d’Hank que Stopher analyse déjà la scène comme s’il cherchait à comprendre comment nous avions pu parvenir à un tel exploit.
Je me redresse sur mes coudes, prenant soin de me couvrir avec le drap alors que Hank lui se contente d’un coussin pour cacher sa nudité ce qui provoque encore plus d’hilarité chez moi et Grace tant la scène est surréaliste. Le genre de truc qu’on ne voit que dans les films.
Il faut se rendre à l’évidence : Le lit a rendu l’âme ! Aucune manœuvre de réanimation ne sera effectuer ce soir et mon beau-frère se range de mon avis comme quoi le mieux est de glisser le matelas directement sur le sol. Le plan aurait été que je me relève pour qu’ils puissent le replacer mais chez les North, pas de temps à perdre avec les détails (le détail ici c’est moi, nue sous le drap qui me recouvre). Stopher ordonne à Hank de l’aider à déplacer ce qui reste du lit.
Il n’est pas aussi habile mon fiancé alors qu’il se cache d’une main tenant toujours le coussin contre lui puis le matelas de l’autre. Et ce qui devait arriver, arriva. Hank se retrouva à poil, tirant sur le matelas sur lequel je trône tel une duchesse de carnaval et, pour la cause, je fais le salut de la main.
Grace, toujours dans l’embrassure de la porte, de meurt de rire alors qu’elle se laisse glisser au sol et je la rejoins, dans le rire du moins, n’osant pas sauter en bas de mon trône de fortune sur lequel Hank vient me rejoindre une fois qu’il est bien installé sur le sol et que, même si nous voulions et avec toute la volonté du monde, nous n’arriverions pas à… tomber plus bas !
Si mon beau-frère s’est payé la tête de mon amoureux, c’est mon tour maintenant de faire les frais quand, apparemment, ils ne doutaient pas des prouesses de mon fiancé parce que j’aurais été disons… enthousiaste.
- J’ai pas fait tant de bruit que ça…
Bon, d’accord j’admets que je me laisse emporté quand ça devient intense. Je ne sais pas me retenir et avec un homme comme Hank, impossible de doser. Je n’ai pas besoin de me justifier d’avantage puis que ça se joue maintenant entre les deux frères North, l’un supposant que l’autre puisse être jaloux, ce que confirme Grace mais quelque chose me dit qu’elle ne doit pas être à plaindre, la belle-sœur !
Stopher y va d’une dernière recommandation avant de quitter notre chambre et elle est pour moi.
- Bah… moi je demande que ça l’épuiser mais… le voisin de la chambre d’à côté râle que je gémis trop fort !
J’éclate de rire à nous alors que Grace nous fait un petit au revoir d’un geste de la main et qu’elle referme la porte derrière elle et son homme.
- Je crois que nous en étions à… « continue! » non ? , demandais-je à Hank.
Je me redresse sur mes genoux pour mieux le renverser sur le matelas et le chevaucher, me frottant à lui de nouveau avant de… m’arrêter, de lui caresser la joue du bout des doigts et de lui chuchoté :
- Je t’aime tant, chéri !
@ Billy Lighter
Hank North
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Sujet: Re: Love Is What We Are [HOT!] [PV Bailey][TERMINE] Lun 12 Mar - 12:45
Love Is What We Are ft. Bailey Raphaël
Je ne me rendais même pas compte qu’on aurait pu se faire bien mal dans l’aventure. Non seulement j’étais encore tout aussi excité que s’il ne s’était rien passé, voire plus, mais en plus, j’accompagnai Bailey dans son fou rire.
Enfin jusqu’à ce que mon frère et Grace débarquent. Là, je fis tout de suite moins le malin surtout qu’il ne fallut pas cinq minutes, et ce malgré mes efforts, pour que je me retrouve à poil devant mon frère et ma belle-sœur. Bon, me cacher avec un coussin passait parce que de toute façon, tout le monde aux States avait vu au moins une fois mon cul à la télé… Peut-être même sur grand écran… Mais jusqu’ici, je n’avais pas encore vendu le reste à l’industrie du cinéma.
Heureusement, Stopher fit 50/50 alors que sa femme était littéralement en train de s’étouffer dans son fou rire et Bailey eut droit à sa part de commentaires. Et il nous fit remarquer, alors que je leur avais dit qu’il n’y avait pas à s’inquiéter, que je gérais, que Bailey leur avait fait remarquer ça. Et ce fut à moi de ricaner, plutôt fier, d’autant que Grace confirma mes dires : Stopher jouait les jaloux.
Bailey protesta… plus ou moins… en disant qu’elle n’avait pas fait tant de bruit que ça. Et j’éclatai de rire, tenant de nouveau mon coussin contre mon sexe à deux mains, même si le secret n’en était plus vraiment un, désormais, pour Grace et Stopher…
Mon frère fit une dernière recommandation : il voulait que Bailey m’épuise. Ah… Ah ouais, j’étais plutôt pour cette idée : parce qu’elle n’y arriverait jamais et que, donc, on devrait faire l’amour encore et encore et encore pendant au moins… Oh j’en savais rien, mais ça allait durer longtemps !
Je pouffai encore de rire quand Bailey répliqua à Christopher qu’elle voulait bien accéder à sa requête, mais que le voisin de la chambre à côté râlait quand elle gémissait trop fort… Je hochai la tête…
-Et puis c’est un sale incruste voyeur en plus…
Christopher et Grace prirent congé et je répondis au signe de la main de Grace. On l’entendit rire encore depuis leur chambre et Christopher se joindre à elle. Et ce fut en rigolant encore moi-même que je laissai Bailey me pousser en arrière sur le matelas maintenant au sol, me débarrasser du coussin qui était de trop, tout en me rappelant où nous en étions.
Je rigolai, mes yeux roulant de nouveau de plaisir avant qu’elle ne capte à nouveau mon regard en caressant doucement la joue. Elle me chuchota qu’elle m’aimait et pour lui répondre, d’une main que j’allais placer derrière sa nuque, je l’attirai à moi pour un baiser passionné.
On finit quand même par s’endormir, mais le soleil était déjà bien haut dans le ciel et cherchait désespérément à filtrer au travers des rideaux de la chambre quand on commença à somnoler, enlacés, Bailey jouant d’une main de plus en plus distraite dans mes cheveux. J’entendis vaguement Christopher et Grace s’amuser gentiment dans le couloir à leur réveil…
Puis plus rien.
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