Sujet: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Mer 7 Juin - 13:52
Problem... No job ft. Amon Sørensen
" Ok Sélène. Inspire, et expire. C'est pas difficile, tu balance l'info, et tu développe après. Enfin... si j'y arrive..."
Debout devant la porte du loft d'Amon, les clés en main, je paniquais légèrement quand à la prochaine annonce que j'allais lui faire. J'avais pris ma décision depuis quelques temps, et j'attendais le "bon moment" pour lui en parler. Fort prit par son travail dernièrement, on ne s'était que peu vus, d'autant plus que je devais faire semblant d'avoir également un travail à pleins temps qui me bouffait tout mon temps libre. Mais voila, cette soirée, on l'a passe (enfin) ensemble, et je ne veux plus rester dans le mensonge plus longtemps.
Je ne suis pas mécontente d'en avoir fini avec ce travail, après autant de temps il commençait vraiment à me peser sur les épaules. Mais la manière dont ils se sont débarrassés de moi me reste en travers de la gorge, comme si je n'avais servis à rien. Je n'ai même pas de quoi me payer un avocat pour essayer de récupérer ne serait-ce qu'un dixième de ce qu'ils devraient me donner de bonne grâce, et les marteler à coups de poings n'est malheureusement pas une solution plus adéquate. Ce qui donne comme résultat que je suis partie les yeux baissés et la bouche fermée. J'en ai des choses à dire pourtant...
Toujours bloquée devant cette porte comme si de l'autre côté se trouvait mon pire cauchemars, je m'appliquais à inspirer et expirer profondément. Pas de sale de sport, pas de gants, pas de bleus, mais je me préparais tout de même à un round avec Amon. Le mot est un peu fort mais je n'ai aucune idée de comment il va prendre la nouvelle. Ce retrouver avec une copine sans boulot, sans réel diplôme, qui ne sait rien faire d'autre qu'encaisser de l'argent, ranger de la nourriture pour chiens et écouter des vieilles radoter toute la journée, ce n'est pas le rêve de tout homme.
Je n'ai pas envie qu'il me voit comme un boulet...
Mes doigts dessinant les contours de la pierre sur ma poitrine, je me décidais enfin à introduire la clé dans la serrure et ouvrir la porte. Il y avait un peu de musique en fond sonore, et la veste d'Amon était posée sur le dossier du canapé. Il est donc bien là. Je refermais la porte derrière moi de manière à ce qu'il m'entende, dans l'espoir qu'il vienne à moi et que je ne doive pas lui courir après. L'idée me plait bien, en temps normal, mais la, je voulais vider mon sac le plus vite possible.
Je déposais mon sac au sol près de la porte, ma veste rejoignant la sienne. Pieds nus, j'avançais tranquillement vers le centre du salon, soudainement plus apaisée qu'en arrivant au pied du bâtiment. Cet endroit et son occupant ont plus d'effets sur moi que je ne pensais, bien qu'en ce qui concerne Amon, "effet" est un bien petit mot pour désigner l'ouragan intérieur qu'il est capable de faire hurler.
Je remarquais du mouvement en cuisine et m'en rapprochais, prenant le temps de remettre en place mon short et mon pull au décolleté bien ouvert. Si c'est possible de le concentrer en partie sur mes atouts féminins que sur les mots "j'ai plus de boulot, et donc presque plus d'argent", autant mettre toutes mes chances de mon côté.
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Dernière édition par Sélène Mortiak le Mar 8 Aoû - 16:31, édité 1 fois
Amon Sørensen
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Mer 7 Juin - 16:52
Problem... No Job. ft. Sélène Mortiak
Ces dernières semaines, les événements s'étaient succédés dans le monde du people. D'abord, il y avait eu cette histoire de Stone sur la plage, puis, le décès d'Atticus Fetch, la vente directe de la villa de ce dernier, encore Howard qui s'était fait frappé dessus par un manager pratiquement inconnu pour des raisons obscures et enfin, la dernière en date, une consœur de la télé, petite amie du défunt Atticus, qui avait décidé d'aller faire un tour en enfer voir s'il y était...
Ça faisait beaucoup pour le journaliste que j'étais car chaque événements impliquait réunions rédactionnelles, coups de fils, rédaction proprement dite, corrections, modifications...
Bref, j'étais content de voir arriver le week-end et la perspective de passer ce dernier en compagnie de Sélène.
Parce que ouais, avec le temps, je commençais à m'y faire, de rentrer chez moi et d'y trouver Sélène, ou de la voir rentrer elle, après son boulot si elle rentrait après moi... Et je ressentais de plus en plus sa présence comme légitime et plus tellement comme une intrusion. Il me fallait le temps, il ne fallait pas me brusquer, fallait me laisser aller à mon rythme, mais y avait de l'espoir.
Et quand j'entendis la porte du loft s'ouvrir alors que j'étais en train de faire le tour des armoires pour voir ce qu'on allait bien pouvoir se mettre sous la dent, c'est à dire pas grand chose, je me rendis compte que c'était le son que j'attendais depuis 10 minutes... Soit depuis que j'étais moi-même rentré. Et un sourire s'était dessiné malgré moi sur mon visage.
J'allais la laisser venir, tiens... J'aimais bien qu'elle me coure après.
Je continuai donc ma recherche désespérée à la fois d'idée de repas et de nourriture proprement dite quand Sélène apparut dans l'encadrement de la porte de la cuisine. Pied nus, en short et en t-shirt décolleté, je ne trouvais jamais Sélène plus jolie que comme ça, naturelle. Je m'approchai d'elle et vint l'embrasser.
-Salut ! Je crois qu'il va falloir qu'on commande des pizzas... Ou autre chose... Mais c'est la dèche ici...
On avait été trop pris tous les deux ces derniers temps pour se tracasser de faire des courses.
Mes yeux plongés dans ceux, clairs et tristes de Sélène, je fronçai les sourcils, perplexe. Je dégageai doucement une mèche rousse et rebelle sur son front.
-Ça va ? Les autres t'ont encore mené la vie dure au travail ?
Je savais que ses collègues n'étaient pas toujours l'image même de la compétence ou de la motivation. Déjà avant qu'on ne soit ensemble, à la salle de sport, elle me racontait, en frappant toujours très fort, les manquements de ses collègues.
Mais jamais je ne l'avais vue avec une telle expression à cause de son travail... On aurait plutôt dit que c'était de moi qu'elle avait peur. Et je sentais le coup venir. Quelque chose allait me tomber dessus, sauf que je ne savais juste pas encore ce que c'était.
-Vas-y... Qu'est-ce qu'il y a?
Si j'avais évité de dire « qu'est-ce qu'il y a encore », je n'avais pu retenir cette pointe d'exaspération à peine dissimulée dans ma voix. Sauf que ce n'était pas tant après Sélène que j'en avais : après la semaine que je venais de passer à entendre parler de mort, de tentatives de suicide et de coups et blessures, qui plus était sur un ami, j'avais juste un peu ma dose de mauvaises nouvelles...
Et dire que les gens de L.A. pensaient que je me délectaient de toutes ces choses... Ils avaient même pas idée de combien ils étaient dans le faux.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Ven 9 Juin - 13:05
Problem... No job ft. Amon Sørensen
Je restais à l'encadrement de la porte, prenant un grand plaisir à l'admirer faire une chose aussi simple que de chercher de quoi manger. C'est ce dont j'avais besoin, de simplicité. Ces derniers jours j'avais l'impression d'être quelqu'un d'autre, tellement je cachais ma situation au plus de monde possible. Et mentir à Amon, c'est ce qui à été le plus dur à faire.
La dernière fois que je n'avais pas mentionné un détail important, c'était lors du dîner à 4 avec Sonne et Axel. La discussion qui s'en était s’ensuivit avait permis de mettre les choses au clair, dans l'optique de sauver ce qu'il y a entre nous. Et ce que je faisais maintenant, cela se rapprochait de ne pas lui dire que notre dîner allait se passer avec son pire ennemi. La pression qui s'exerçait sur mes épaules s'atténua un peu lorsqu'il m'embrassa, un peu dépité de constater qu'il n'y à rien à manger et que nous allions devoir passer par un autre chef cuisto pour se remplir la panse.
" Pizza avec plaisir! Même si te voir au fourneaux aurait été bien excitant."
Je l'embrassais, grappillant tout les bisous possible avant que je ne lui fasse mon annonce, comme si c'était les derniers que j'aurais dans ma vie. J'avais tenté de cacher mon mal-être avec un peu d'humour, mais il me connaissait trop bien pour passer à côté. La première chose qui lui vint à l'esprit fut l'incompétence bien connue de mes anciens collègues de travail, sur lesquels je médis depuis plusieurs années. En temps normal, cela aurait été un plaisir de cracher mon venin sur eux, mais pour une fois ils n'y sont pour rien.
Cette situation plus que mauvaise, je m'y suis mise toute seule...
Fasse à mon silence et mon regard fuyant, Amon comprit que c'était autre chose, et que ça allait avoir un impacte sur lui aussi. Je me pinçais les lèvres, hésitant à le dire, ou à sortir un autre mensonge pour ne pas l'inquiéter. Après tout, j'ai encore un peu d'argent, assez pour survivre quelques... jours et trouver un travail. Et quand j'en aurais trouvé un, je n'aurais plus qu'à dire à Amon qu'on m'a fait une belle offre, et que j'ai quitté l'animalerie pour ça.
Qu'est-ce que je raconte? Jamais j'aurais un poste aussi bien payé qu'au magasin.
-Vas-y... Qu'est-ce qu'il y a?
Je relevais les yeux vers lui. J'avais senti la contrariété dans sa voix, mais après ça, je ne pouvais pas lui mentir. J'inspirais fort, prenant dans ses derniers mots le courage de lui dire. Mes mains se refermèrent sur sa chemise, pour ne pas le laisser partir. Car c'était de ça dont j'avais le plus peur, qu'il s'en aille.
" J'ai... Je n'ai plus de travail. Depuis plusieurs semaines. J'ai été virée pour faute grave, sans dédommagements. Mais je n'ai rien fais."
Je n'osais pas ajouter que sans voiture, je n'arrivais pas à trouver un nouveau travail, et que je n'arriverais bientôt plus à payer mon loyer, mettant par la même occasion Amber dans la panade. Ma vieille épave était partie à la casse il y a deux jours, le moteur avait rendu l'âme alors que je sortais pour voir une amie. Finalement je n'avais pas su la voir et j'ai du payer le déplacement de ma voiture jusqu'à la casse. La pousser n'aurais pas été possible...
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Ven 9 Juin - 20:00
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-Va pour les pizzas alors!
Je rigolai suite à sa remarque sur le fait que me voir au fourneaux aurait été excitant...
-Pourquoi tu crois que je cuisine dès que je peux quand tu es là, hein ? Pour le fun?
Et j'avais aussi accueilli cette idée avec autant d'enthousiasme que les baisers de Sélène qui reportèrent de quelques agréables secondes le moment où j'allais décrocher le téléphone pour commander nos pizzas préférées. Pizza Hawaii pour elle. Moi, ce serait la première qui me sortirait de la bouche dans les goûts que je préférais, je changeais à chaque fois, comme pour tromper mes innombrables ennemis invisibles.
Mais l'amusement avait été de courte durée et la commande reportée à bien plus tard. Je connaissais Sélène et je savais quand quelque chose la tracassait. Et très sincèrement, j'avais eu ma dose pour la semaine, ce qui fit que je sentis direct mon sang se mettre à doucement bouillonner. Bon dieu, mais qu'est-ce qu'il y avait encore ?
Ses mains serrèrent ma chemise, la froissant contre mon torse. J'aurais préféré qu'elle fasse ce geste par plaisir, mais ce n'était pas du tout le cas.
Je m'attendais à tout. Ça y était ? Elle en avait marre de mon humeur taciturne et voulait me quitter ? Elle avait trouvé quelqu'un d'autre ? Elle avait couché avec Howard Stone (tant qu'on y était) ? Elle voulait se suicider ?
Je travaillais probablement trop, surtout...
Et ce suspens était insoutenable.
Alors je soupirai bruyamment, laissant ma tête partir en arrière, quand elle m'annonça qu'elle n'avait plus de travail, qu'elle avait été virée. Je la lâchai, m'éloignai d'elle et allai m'asseoir sur la table, secouant la tête.
-Depuis plusieurs semaines ? Je fais si peur que ça ?
Mon ton était à la fois celui du soulagement et de la surprise. Elle avait perdu son job, ok. Et alors ? Elle était avec moi, non ? Je gagnais largement assez pour vivre plus que bien à deux, sans compter ce que mon père continuait à me payer alors même que je lui disais que je n'en avais pas besoin les rares fois où je l'avais au téléphone. J'étais donc soulagé que ce ne soit « que » ça, même si pour Sélène, ça devait certainement avoir de l'importance.
Et j'étais surpris qu'elle ait attendu aussi longtemps... Et qu'elle cherche à se justifier comme quoi : « Elle n'avait rien fait »... Ce n'était plus une gosse... Et j'étais pas son père.
Je lui souris et lui fis signe d'approcher.
-Viens un peu là...
Et quand elle fut près de moi, nonchalamment assis sur la table, je la repris contre moi, ses hanches entre mes genoux, l'embrassant sur le front au passage. Puis, je fis en sorte qu'elle me regarde dans les yeux.
-Tu l'aimais pas, ce job, de toute façon, pas vrai ?
Je lui souris...
-Prend ça comme une chance de trouver quelque chose qui te plaira vraiment. Ou de suivre une formation, pourquoi pas ?
Je la serrai encore contre moi...
-Comment il la justifie, sa faute grave, ton boss ? Il était bien content de t'avoir quand les autres ne se pointaient pas au boulot...
J'avais fait le droit avec Timmy Evans. Et il était peut-être temps de ressortir mes connaissances un peu rouillées. Je croyais Sélène quand elle disait qu'elle n'avait rien fait... Comment on pourrait faire une faute grave dans une animalerie, sérieusement ? A moins de torturer un des clébards qu'ils vendaient, mais j'étais sûr et certain que Sélène ne ferait pas ça à un animal. A son boss, peut-être, mais pas à une pauvre bête sans défense ! A moins qu'elle n'aie fait bouffer les croquettes pour caniche à une de ces vieilles rombières chiantes dont elle me parlait souvent... Mais là encore, ce ne serait que mérité...
Non, je croyais Sélène. Je pensais plutôt qu'il avait licencié la jeune femme « pour faute grave » parce que ça lui permettait de ne pas avoir à payer d'indemnités de départ. Se disant probablement que Sélène n'aurait pas les armes pour réagir...
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Lun 12 Juin - 19:42
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-Pourquoi tu crois que je cuisine dès que je peux quand tu es là, hein ? Pour le fun?
Je me mordis les lèvres, amusée et avec une envie soudaine de me jeter sur lui. Mais je pouvais compter sur mon cerveau pour gâcher le moment et me rappeler que "Heeeey hey, ding dong! Tu te souviens que tu as quelque chose à lui dire? Mords-toi les lèvres de honte!!!" avec un petit démon qui se balade d'une épaule à l'autre, son rire démoniaque et moqueur résonnant dans mes oreilles.
Et il serait bien possible qu'il soit parti médire sur mon compte chez Amon, car ce dernier, agacé, me demandait ce qu'il pouvait bien y avoir comme problème. J'avais vaguement suivis les journaux et magasines people, tellement de choses s'étaient passées durant ces derniers jours que j'avais bien compris qu'il était submergé par le travail, les articles à écrire, etc... Alors que moi, de mon côté, je ne faisais rien.
Quand j'avouais enfin ce qui me tracassait, il souffla de dépit et partit s’asseoir sur la table. Mon annonce est tellement effroyable qu'il ne tient plus debout! Je me passais les mains sur le visage, ramenant mes cheveux en arrière, le regard baissé. Il ne comprenait pas pourquoi j'avais eu tant de mal à lui dire, pensant qu'il me faisait peur. Il n'y était pas du tout...
Depuis que j'ai environ 8 ans, je dois me débrouiller seule. J'ai traversé un océan de ma propre initiative pour littéralement changer de vie, alors que je n'avais pas encore atteint la majorité et que je venais de perdre le seul membre de ma famille. Et encore aujourd'hui, sur le plan matériel et financier, je n'ai jamais dépendu de personne. Sur le plan affectif, il est clair qu'Amon y joue le seul rôle, principal, qui m'a permis de tenir debout. Mais aujourd'hui, sachant qu'il n'a aucun problème d'argent, j'allais en plus lui demander de me loger et de me donner de l'argent de poche? L'idée m'est insupportable...
C'était déjà un coup pour ma fierté d'apprendre que je n'ai plus de boulot, que j'ai des problèmes d'argent, que je n'arrive pas à trouver un autre boulot, mais devenir une femme entièrement dépendante et entretenue par son homme... je n'arriverais plus à me faire face dans un miroir. Je n'ai pas été élevée, je n'ai pas grandi ainsi, avec comme seul moteur la recherche d'un mari fortuné pour se tourner les pouces entre deux essayages de robes.
Mon père avait tenté de faire de ma mère une bonne femme au foyer qui ne lui refuse rien. Même si Amon n'est pas comme lui, je ne veut pas avoir l'impression d'abuser de lui.
-Viens un peu là...
Je m'approchais, heureuse qu'il ne me demande pas de partir, et lui souris timidement en retour. Il encadra mes hanches de ses jambes et déposa un baiser sur mon front. J'expirais doucement l'air de mes poumons, que je réalisais avoir retenu depuis plusieurs secondes. Je relevais les yeux vers lui, mes mains jouant avec la chaîne de mon collier. Je l'écoutais, alors qu'il semblait pas le moins du monde inquiété par ma situation. Il croit en moi et pense que je peux trouver mieux, ou même faire une formation. Que de toute manière, je n'aimais pas ce travail.
Non, je ne l'aimais pas, mais je me sentais indispensable, je n'avais besoin de personne pour faire un travail impeccable, et je gagnais mon argent toute seule. Je n'avais rien à rendre à personne.
Je n'avais encore rien dis qu'il me serra plus fort contre lui, je le laissais faire. Mais il posa la question que j'attendais, et redoutais un peu. Je me perds moi-même dans cette histoire, et la "raison" de mon renvoi est tellement absurde et tordue que je me demande même si les petits cerveaux des employés du magasin, qu'anciennement j’appelais "collègues", ont réellement réussit à pondre une histoire pareille.
Ne pouvant pas transmettre directement la réponse au cerveau d'Amon, j'inspirais et m'appliquais à expliquer ça clairement.
" J'aurais volé de l'argent. Beaucoup d'argent dans la caisse. Et ce depuis plusieurs jours. Une employée m'aurait vue, et je l'aurais menacé de ne rien dire, au risque que je ne lui fasse du mal. Elle m'accuse également de passer de la drogue. Elle m'aurait vu un jour me battre avec un mec dans la réserve, pour raison que je ne lui donnait pas sa dose."
Ça remonte à tellement longtemps... C'était Billy Lighter, qui complètement dans les nuages, était venu chercher Cash au magasin. Ne sachant trop ce qui m'avait prit, je lui avait demandé de m'aider à ranger le stock en échange d'une information précieuse: la cachette de Cash. Bon, j'étais jeune et je m'étais joué de lui, j'aurais pas du. Mais notre "bagarre" se résumait à deux coups de poings échangés, à un point partout. Mais penser que je passais de la drogue? A Billy? Elle l'adore en plus!
Sarah... je pensais que c'était une amie... Mais elle m'a jeté en pâture aux patrons dans l'unique but de prendre ma place de responsable du magasin. Elle convoite se poste depuis tellement longtemps, avant même que je n'arrive. Elle ne comprenait pas qu'une petite française vienne lui prendre sa place. La petite française à juste un cerveau et le mode d'emploi pour s'en servir, connasse!
" Et cerise sur le gâteau... la caméra de surveillance qui se trouve juste au dessus de la caisse, est en panne depuis plusieurs semaines."
Ou comment s'être fait pigeonner.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Sam 17 Juin - 17:45
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Même si Sélène semblait soulagée d'avoir craché le morceau, qui était bien moins pire que ce que j'avais pu imaginer, je la sentais quand même gênée d'avoir à me dire ça (je le savais parce qu'elle jouait avec son collier). Et pourtant, je n'étais pour une fois pas radin en marques d'affection (en fait, à la maison, je ne l'étais jamais, seulement en dehors et en public)...
En fait, ayant été élevé dans un milieu on ne pouvait plus traditionaliste, mon propre père muselant d'abord ma mère puis ma sœur (même si cette dernière essayait encore et toujours de mordre quoi qu'il fasse), je ne voyais aucun inconvénient au fait que Sélène n'ait plus de travail, d'autant que je pouvais largement assumer seul nos dépenses pour deux. Et il ne me venait vraiment pas à l'esprit que ça pouvait la déranger elle...
Cela dit, n'étant quand même pas totalement comme Lars, je me disais que c'était l'occasion pour elle de choisir une nouvelle voie qui lui plairait mieux, de faire une formation ou... de rester à la maison, ce qui me déchargerait de la partie « ménage » de la vie...
Mais au moins, je lui laissais le choix.
L'invitant à se blottir contre mon torse, je lui demandai la justification de ce renvoi et elle me l'expliqua. Je compris assez vite qu'elle était victime de diffamation de la part d'une collègue qui l'avait dans son collimateur. Que Sélène vole ou fasse passer de la drogue était l'histoire la plus absurde que j'aie entendu de ma vie et pourtant... J'étais journaliste people.
Et évidemment... il n'y avait pas de preuve de l'innocence de Sélène... Putain... C'est toujours plus difficile de prouver son innocence que de s'en sortir quand on est réellement coupable, si je comprenais bien.
Sentant les petits muscles nerveux de Sélène se contracter d'énervement rien qu'à penser à cette histoire, qui la touchait plus dans son amour-propre que de par le fait de ne plus avoir de travail, je la serrai doucement contre moi.
-Hey... Hey... Ok... C'est bon... moi, je te crois.
Je voyais pas bien pourquoi je soupçonnerais une bande d'enfoirés d'avoir raison contre la parole de ma petite amie. Je suis méfiant, mais pas à ce point-là...
Je l'embrassai encore sur le front.
-A toi de voir si tu veux vraiment t'empêtrer dans des histoires pour leurs conneries... Parce que tu pourrais, mais ce serait ta parole contre la leur si je comprends bien.
Je l'écartai un peu de moi pour croiser son regard.
-Ou alors, tu les oublies et tu repars sur de bonnes bases. Tu ne te soucies pas de l'argent en attendant, j'en ai. Considère ça comme un simple dépannage en attendant que tu trouves ce que tu veux faire et que tu sois engagée.
Je pouvais clairement assumer le loyer de l'appartement qu'elle louait avec Amber, en plus du reste.
J'encadrai son visage de mes mains et l'embrassai plus longuement et sur les lèvres, cette fois.
Puis, mettant fin au baiser, je lui souris...
-Et pour une fois, ce n'est pas moi qui ait besoin de me détendre...
Faux... On en avait besoin tous les deux... Mais m'occuper d'elle me forçait à penser à autre chose qu'aux conneries que pouvaient faire les stars les plus proches de moi.
-Alors... Si je peux aider...
Je l'embrassai dans le cou, prenant ses mains dans les miennes pour qu'elle cesse de tripoter l'émeraude au bout de sa chaîne et les poser sur mes cuisses.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Jeu 29 Juin - 17:38
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Je ne m'attendais pas à ce qu'il hurle de colère ou ne me croit pas, mais j'étais tout de même surprise de le voir prendre la chose aussi... bien. Il me proposait deux solutions: me battre sachant que je pars avec un désavantage, soit passer au dessus et recommencer dans une nouvelle voie. Je fronçais un peu les sourcils. Evidemment, j'avais déjà pensé à chercher un boulot différent de celui la, mais je ne voulais pas m'écraser devant mes patrons, et encore moins devant Sarah.
Ma parole contre les leur? Pas un problème, après toutes ses années à faire leurs travail, j'ai eu le temps de passer des heures plongée dans les papiers du magasin. Et si avant les montant astronomiques qui arrivaient sur le compte du magasin, alors que les ventes n'avaient pas augmentées d'un sou, ne m'avaient pas fait tiquer, maintenant je me rends compte que le magasin sert entre autre à cacher certaines manigances...
" J'ai pas peur d'eux. Moi aussi j'en ai des choses à dire sur leur compte. Et puis Billy pourrait témoigner aussi non? C'est une star, on va bien le croire, non?"
Si j'étais à la place de Billy, j'aimerais pas que des patrons débiles et une petite vendeuse sans cervelle me diffament en m'accusant d'être un drogué. Il pourrait peut-être m'aider... s'il est dans un bon jour. Par contre je n'ai aucune idée de comment le contacter, mais j'espérais que mon journaliste adoré saurait me donner une petite piste...
Il m'embrassa sur les lèvres, un long baisé qui me faisait comprendre qu'il n'avait plus envie de parler. J'aurais besoin de me détendre, et c'était vrai. Mais je gardais dans un coin de ma tête que je voulais obtenir un moyen de contacter Billy, et quoi de mieux que de demander ce qu'on veut quand l'homme est dans de bonnes dispositions. Je le laissais donc rediriger mes mains vers ses cuisses, penchant la tête sur le côté pour lui donner plus de chair à embrasser dans mon cou. Je collais mon bassin contre le sien, un peu plus haut car il est assis sur la table, et remontait mes mains sous sa chemise, caressant la peau fine de son bas-ventre, juste au dessus de la ceinture. Cette dernière ne protesta pas quand je défis la fermeture.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Sam 1 Juil - 13:45
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Je voulais savoir ce que voulait faire Sélène, en lui signalant bien qu'il y avait quand même peu de chance de pouvoir prouver son innocence... Et est-ce que ça en valait vraiment la peine ? C'était facile, pour moi, de lui dire de laisser couler et d'en profiter pour trouver autre chose, quelque chose de mieux. C'était sans compter sur sa fierté et son envie de redorer son blason... C'était ce que je n'avais jamais fait suite à tout ce qui m'était arrivé. Plutôt que de chercher à justifier ce que j'avais fait derrière l'école ce jour-là, j'avais pris toutes les accusations sans trop broncher... Et quand mon père m'avait donné l'exil comme échappatoire, j'étais parti aussi sans broncher. Et quand j'avais pu me refaire une nouvelle vie ici, à L.A., me faire une nouvelle image, j'avais choisi de me fabriquer celle d'un journaliste impitoyable et haï par la plupart des gens.
Pourquoi ? J'en savais rien... C'était comme ça.
Tout contre moi, Sélène ne choisit aucune des deux solutions que je lui offrais : ni laisser couler et se foutre complètement de ce que ces gens pouvaient penser ou faire penser d'elle, ni essayer d'obtenir juste la preuve de son innocence et de toucher ses indemnités de départ pour un licenciement normal.
Non. Sélène voulait se venger, faire témoigner Lighter... Je secouai négativement la tête, soupirai... Le monde ne fonctionne pas comme ça.
-C'est ça, ouais...
Je la regardai dans les yeux, perché sur la table de la cuisine. On était pas dans une série télé.
-Porter des accusations, sans rapport avec celles qui te concernent, à leur encontre, même si c'est vrai, ne prouvera en rien que ce qu'ils ont dit de toi est de la diffamation. Ton innocence ne sera pas rétablie simplement parce que ton boss trafique je ne sais quoi. Tu ne feras que faire diversion, ce qui te donnera l'air deux fois plus coupable. En premier lieu, de complicité, étant donné que tu n'auras rien dit jusque-là et que tu auras utilisé l'info uniquement au moment où ça tourne mal pour toi.
Un avocat, même mauvais ou débutant, la démonterait en deux temps trois mouvements.
Le plus absurde, c'était encore son idée à propos de Lighter dont je savais qu'elle avait eu une altercation avec lui à l'animalerie une fois.
-Quant à Lighter. Justement, c'est une star. Si ça tombe, il ne se rappelle même pas de toi. C'est un géant, tu es une fourmi. Ni toi, ni moi ne vivons dans le monde de Lighter.
Comme si une rockstar allait se tracasser du destin funeste d'une petite ex-employée d'animalerie qui plus est la petite amie d'un des journalistes qu'il haïssait le plus au monde. D'autant qu'elle n'était pas à l'article de la mort non plus...
Bref, elle avait besoin de se détendre, de passer à autre chose... Et j'avais pas envie de passer deux heures à lui expliquer que le monde n'était ni juste, ni bon, et que le père noël n'existait pas. C'était un de mes problèmes avec Sélène : j'étais plus vieux, plus mature et, surtout, désabusé au possible. Et quand elle ne comprenait pas les choses direct ou qu'elle avait de fous espoirs, ça m'énervait. D'autant que cette semaine, j'avais passé mon temps à écrire sur des gens aux malheurs autrement plus graves et importants que celui-là.
Et j'avais pas envie de m'énerver. C'était donc à mon tour de faire diversion. Je prenais sa réaction et ses idées comme des paroles dites à chaud, sans réfléchir, même si ça faisait, comme elle me l'avait dit, plusieurs semaines qu'elle ruminait cette histoire...
Je l'embrassai longuement, lui montrant par mes gestes bien plus que par les mots que j'avais employés jusque-là, toute ma compassion. Parce que je comprenais bien que, si juridiquement ou aux yeux du monde, ce qui lui arrivait n'était pas la pire chose qui soit, pour elle, ça devait avoir une énorme importance. Parce que son nom était sali... Et je savais ce que c'était.
Je voulais qu'elle ressente qu'elle n'était pas seule, que je la soutenais, et que, pour moi, elle était innocente et que c'était le plus important.
Et aussi que, exit la pizza, c'était désormais d'elle que j'avais envie.
Je n'avais aucune idée que, de son côté, elle ne démordait pas de son idée de contacter Lighter...
Je soupirai de satisfaction en la sentant se prêter au jeu et passer ses mains fraîches sous ma chemise. Elle pencha la tête et je ne me privai pas de goûter à la peau fine et douce de son cou. Ses mains redescendirent et je rigolai, espiègle, quand elle déboucla ma ceinture. Arrêtant de l'embrasser, je vins chercher les pans de son haut au niveau de ses hanches pour le lui enlever, le jetant ensuite dans l'évier un peu plus loin.
Puis, je pris son visage entre mes deux mains pour lui sourire doucement, sentant une érection naître agréablement contre son ventre plat.
-Profitons de la soirée, ok?
Je me laissai glisser du plan de travail pour venir la porter bien haut, tout en l'embrassant, et échanger nos places, l'asseyant sur la table. Avide, je vins embrasser ensuite la naissance de ses seins, non sans essayer de jouer de ma langue pour passer sous les bonnets de son soutien-gorge. Ça ne s'avéra pas fort efficace alors je changeai de stratégie, me servant de mes dents pour l'abaisser et avoir accès à ses tétons avec lesquels j'avais tant envie de jouer.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Lun 24 Juil - 21:04
Problem... No job ft. Amon Sørensen
Je savais que ce n'était que pure folie que de vouloir tenter de me défendre face aux accusations qui furent lancées à mon encontre, mais la combattante farouche que j'étais ne voulait pas plier genou si vite, surtout sans rendre des coups. Mais l'air agacé et les paroles dures mais vraies d'Amon me démoralisèrent rapidement, transformant la catcheuse un gamine boudeuse.
Ou plutôt un fourmi boudeuse, car tel m'a si bien décrit Amon quand à ma taille sur cette planète du people et des affaires. Je l'écoutais, je le regardais, et je savais qu'il avait raison. Non pas parce qu'il s'y connait mieux que moi (enfin si, un peu) mais aussi parce que la Sélène rabat-joie et lucide m'avait déjà fait comprendre que je n'avais aucune chance de gagner contre ses fourbes de patrons. Cependant, entendre ses mots de vive voix, celle d'Amon qui plus est, penchait considérablement la balance du côté "laisse tomber et passe à autre chose" de l'histoire.
C'est comme changer de pays. Je l'ai déjà fais. A la différence près qu'ici, je dois juste changer de job, et ne laisser derrière moi qu'un boulot minable, avec des collègues minables et un salaire minable. En réalité, dans toute cette affaire, j'y gagne beaucoup, hormis de l'argent. Du temps, principalement. Un esprit plus léger, maintenant que je n'ai plus à subir la mauvaise influence de ce travail au quotidien. Et... tout un questionnement existentiel quand à ma fonction dans ce monde. Je ne sais pas encore si c'est vraiment positif, mais avec le temps libre que j'ai maintenant, soit je passe mon temps à me demander à quoi je sers/ à quoi je pourrais servir, soit je redécore tout le loft d'Amon.
La deuxième option étant prohibée par Amon lui-même, et au risque de le perdre, je m'occupe principalement à chercher un nouveau job, tout en fulminant ma rage contre ses faux-amis-collègues-patrons. Appréciant les romans policier, je m'étais amusée à échafauder un plan machiavélique et extrêmement bien pensé (et très inspiré des univers tordus de mes auteurs préférés) qui me permettrait de me venger et d'y gagner plus que de l'argent en dédommagement.
Mais tout ça passa sous l'eau, et je me retrouvais sans rien. Enfin, Amon me conseille entre autres de suivre une formation, ce à quoi je répondis par un léger hochement de tête et un petit sourire en coin, peu convaincu. Disons surtout que je n'ai aucune idée dans quelle branche me lancer. Le journalisme? J'en connais un qui va adorer l'idée... Bien qu'à l'instant présent, il prenait un malin plaisir à me titiller les sens primaires et incontrôlés en tapotant la peau fine de mon cou avec ses lèvres, prenant les devant en redirigeant mes mains vers ses cuisses. Evidemment, je n'allais pas les laisser la. Je dépassais la barrière de tissu pour redécouvrir encore et encore la peau parfaite qui dessine des lignes sveltes et sensuelles au dessus de la ligne de son pantalon.
Je ne saurais dire combien de fois maintenant je n'ai pas survolé ce désert de peau douce et chaude, en plus de la montagne qui la surplombe, mais je ne tiens plus les comptes. Je ne me lacerais jamais d'embrasser chaque parcelle de chair qui compose cet homme, et d'y laisser mon empreinte.
La ceinture en cuir se détacha en même temps que j'entendis Amon s'amuser de la tournure de la situation. Je n'étais plus très sérieuse, j'entrais dans son jeu avec le plus grand plaisir, prenant de plus en plus souvent les devants. Je commence à connaître la bête, et comment la rendre docile (en quelque sorte). Je levais les bras pour faciliter la disparition de mon pull qui rejoignit l'inox impeccable de l'évier, avant de m'avancer à nouveau vers lui, mon ventre collé contre son pantalon déjà gonflé.
-Profitons de la soirée, ok?
Je ne trouvais mieux à dire que de lui sourire et de défaire les boutons de sa chemise, avec cette lueur dans le regard qui ne laisserait personne dupe. Il ne me laissa cependant pas le temps de lui retirer également son haut que déjà il échangea nos places, s'attaquant directement à mon soutient-gorge qui semblait lui opposer résistance. Je m'amusais quelque peu de la situation, repoussant sa chemise derrière ses épaules et caressant l'arrière de son crâne, à la naissance de la nuque. Je me penchais en arrière le plus possible, gonflant mes poumons pour faire ressortir davantage mes seins en avant et plaquer mon ventre nu contre son torse tout aussi nu.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Sam 29 Juil - 12:17
Problem... No Job. ft. Sélène Mortiak
J'étais dur, sans vraiment m'en rendre compte. Avec les autres comme avec moi-même, j'étais partisan du "marche ou crève". D'autant que je ne voyais que les avantages que Sélène avait à tirer de toute cette histoire puisque ce n'était pas comme si elle allait se retrouver sans rien et à la rue... Ce que je voyais moins, c'était peut-être la peur du changement qu'elle pouvait ressentir. Elle travaillait à l'animalerie depuis quelques années déjà et maintenant, elle se retrouvait au bord du gouffre de l'inconnu.
On envie de vengeance n'était qu'un symptôme de cette peur, probablement... Une façon de s'accrocher à la stabilité qu'elle avait connue jusqu'ici... Mais moi, je ne voyais ça que comme un caprice irréaliste. A tort.
Cela dit, je n'étais pas totalement insensible non plus. Je comprenais que la perte de son travail, surtout de cette façon-là, lui fasse un choc. J'estimais qu'elle avait donc plus que le droit de se détendre, de s'amuser et de jouer... Et Sélène et moi aimions un jeu en particulier... Et c'était sans attendre son autorisation que j'avais commencé la partie. Elle ne tarda cependant pas à me rejoindre, debouclant ma ceinture et passant ses mains sous ma chemise...
M'en fallut pas plus pour échanger nos places et l'asseoir sur la table pour m'attaquer à son soutien-gorge. Je souris de l'entendre rire, le tissu du vêtement entre les dents...
Puis je ne pus m'empêcher de soupirer d'aise en sentant ses caresses à l'arrière de mon crâne alors que ma langue découvrait pour la énième fois ses tétons dont elle ne se lassait pas. Ma chemise n'étais plus retenue par rien et finit par glisser au sol. Je détachai finalement proprement le soutien-gorge de mon amour.
Nous étions torses nus tous les deux, mais pas pour longtemps. Doucement, en ponctuant mes gestes de baisers et de caresses, je la débarrassai du reste de ses vêtements. Et après un dernier et langoureux baiser, je m'écartai d'elle pour lui tendre la main, comme si j'avais invité une princesse à danser...
-Guide-moi jusqu'à la chambre... Laisse-moi t'admirer...
Ma respiration était profonde, mais pas encore courte... Je l'invitai à descendre de la table avant de laisser glisser le bout de mes doigts entre ses seins, jusqu'à venir effleurer son intimité. Avec la lumière de la cuisine allumée, j'avais tout loisir d'admirer la femme que j'aimais d'un amour aussi vrai que froid par moment. Un amour dur, sans indulgence.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Mar 8 Aoû - 16:30
Problem... No job ft. Amon Sørensen
A moitié allongée, les seins en proie au travail expert de la langue d'Amon, je me laissais peu à peu couler vers un retour aux sens primaires qu'à la réflexion profonde sur ma vie. Il faut dire que mon Danois sait comment si prendre pour retourner la situation en sa faveur. S'en est presque frustrant. J'étais rentrée au loft avec une boule dans le ventre, avec l'intention ferme de lui avouer mon terrible secret pas si terrible que ça, vu comme Amon la si "bien" prit. J'avais redoutée qu'il ne soit pas content, mais j'espérais aussi qu'il m'aiderait à dénouer cette affaire, à combattre mes démons et me pousser à avancer.
Il m'a juste dit que je pouvais faire une formation, ou tout simplement rien et profiter de son argent. Avant de passer à ce qu'on fait de mieux ensemble: l'amour, sans tout ce qui va avec. C'est à dire de longues discussion sur ma future carrière, entre autres. C'était injuste de ma part de compter autant sur lui pour me trouver d'un claquement de doigts un travail, ou mille et une pistes pour une formation. Mais en même temps, j'aurais tellement voulu qu'il se montre plus concerné par ma situation.
Je vais me débrouiller. Comme j'en ai l'habitude. Au moins je sais que je peux compter sur lui pour aller à la salle et me défouler les nerfs. Ou pour me défouler les sens et les hormones, ça marche aussi.
Alors que j'appréciais ce moment, il en profita pour me débarrasser de ce qu'il me reste de tissu, exposant l'entièreté de mon corps à la chaleur soudaine de la pièce. Je commençais à avoir chaud, surtout entre les cuisses. Zone qui s'humectait déjà, dans l'expectative de ce qui va suivre. Je lui rendis son baiser, avant de prendre la main qu'il me tendait. Je m'approchais de lui pour lui caresser les côtes, embrassant son torse, juste au dessus de son cœur. De sa main libre, il creusa un sillon de frissons tout le long de mon ventre, jusqu'à ma zone de plaisir, qui le reçut avec les honneurs. Comment lui résister? Il me connait si bien.
Je m'écartais de lui, lui tournais le dos, et avançais d'un pas décidé vers la chambre, avec lui à ma suite. Ce n'est qu'une fois les pieds posés sur le sol de la chambre que je le lâchais, prenant place sur le lit, passant mes mains sur mon corps et dans mes cheveux, prenant un malin plaisir à lui offrir une vue imprenable sur mes courbes qui se mouvaient sensuellement sur les draps frais du lit. Mes doigts remplacèrent ceux d'Amon entre mes cuisses, et commencèrent à jouer de leur magie, devant lui. Je ne le regardais pas. Mais mon corps l'appelait à sa façon.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Dim 13 Aoû - 12:04
Problem... No Job. ft. Sélène Mortiak
Je voulais changer les idées à Sélène. Lui faire oublier ces idées saugrenues de vengeance qui ressemblaient plus au combat de David contre Goliath qu’à autre chose… Et j’en savais suffisamment sur le droit et sur la vie en général que pour savoir qu’en réalité, c’était jamais David qui gagnait. Je savais pertinemment qu’à ses yeux de femme à la fierté blessée, ce que je lui proposais jusque-là ressemblait plus à de la fuite qu’autre chose… Ouais… Mais une fuite en avant.
Live And Let Die.
Elle m’avait bien fait comprendre qu’elle avait cru que j’allais me fâcher et lui en vouloir de s’être fait virer. Mais… J’étais son petit ami, pas son père, je n’avais pas autorité sur elle, elle était adulte, sans compter qu’elle était victime d’une situation sur laquelle elle n’avait aucun contrôle. J’étais persuadé qu’elle n’avait rien fait de mal, elle s’était fait jeter dehors de façon arbitraire… Shit happens, comme on dit… M’emballer sur elle, si j’avais été en position de le faire, ce qui n’était pas le cas, n’aurait quand même rien changé.
Alors j’allais pas l’enfoncer encore plus, si ? Si elle pensait que j’étais de ce genre-là, c’était qu’elle ne me considérait pas mieux que la population de L.A. Et pouvais-je vraiment lui en vouloir de croire que j’en aurais été capable ? Non, parce que c’était l’image que j’avais passé 11 ans à construire.
Quant aux solutions proposées… Je n’en avais pas beaucoup jusque-là et je lui avais donné les premières pistes qui m’étaient venues à l’esprit… Mais ce n’était pas comme si j’avais le pouvoir de lui trouver un job en un claquement de doigts… Si j’avais ce pouvoir-là, je serais pas journaliste people.
Alors, à défaut de pouvoir lui offrir mieux pour le moment, c’était mon corps que je lui offrais. Ça avait été mon plan depuis le début, certes, de passer la soirée avec Sélène, juste nous deux, dans notre bulle… Parce que j’avais pensé que ça ferait plaisir à ma petite amie d’avoir toute mon attention pour elle seule. Et parce que j’en avais envie.
Evidemment, sa mauvaise nouvelle avait précipité les choses. Exit la pizza, c’était de la détente qu’on avait besoin, pas de la nourriture. Je fus ravi de constater que malgré tout, la magnifique jeune femme se prit très vite au jeu, répondant à mes baisers et à mes caresses.
Lorsqu’elle fut nue, je l’invitai à descendre de la table, explorant du regard son corps magnifique, comme dessiné par l’un des plus grands artistes que ce monde ait connu. Et je lui fis part de mon désir de la regarder, de l’admirer. La seule chose qu’elle portait encore était la première preuve d’amour que je lui ai témoignée, la pierre turquoise qui ornait sa poitrine.
Elle caressa mes côtes et embrassa mon torse, faisant se hérisser doucement ma peau au passage.
Après que j’aie poussé l’exploration jusqu’à caresser le point le plus sensible de son intimité déjà humide, elle défila pour moi… Ce fut donc docilement que je la laissai me guider jusqu’à la chambre où elle s’allongea sur le lit, provocante, mais pas vulgaire… Elle était à elle seule la représentation de l’érotisme.
Je lui souris puis rigolai quand elle se fit plus entreprenante avec elle-même… Où était passée la Sélène timide du Grand Canyon ? Je sautai sur le lit pour la rejoindre, me plaçant à quatre pattes au-dessus d’elle, mes yeux rivés dans les siens que la danse de ses doigts entre ses cuisses rendait fiévreux… Une de mes mains vint terminer de détacher mon jeans dont Sélène avait déjà détaché la ceinture. Puis, je pris une de ses cuisses, la caressant dans le mouvement, que je plaquai contre ma hanche tout en embrassant ses lèvres.
Quand je mis doucement fin au baiser, ce fut pour lui dire en souriant :
-Tu ne comptes pas jouer toute seule jusqu’au bout, j’espère ?
Comme pour la supplier de jouer avec moi, je parsemai son corps de baisers plus ou moins appuyés, descendant jusqu’à réclamer ma place entre ses cuisses, que ses propres mains me subtilisaient. Je l’attrapai doucement aux poignets pour les dégager de mon chemin et venir continuer ce qu’elle avait commencé du bout de ma langue…
La voir défiler, ses courbes, en attendant, m’avaient peut-être inspiré une idée… Une solution… Mais je n’avais plus les idées assez claires maintenant que pour réellement savoir si c’était faisable ou non… Il faudrait que j’en parle avec elle, une fois nos désirs et nos passions respectives comblées.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Mer 16 Aoû - 15:02
Problem... No job ft. Amon Sørensen
Il y a des moments où j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre. Ou plutôt, une nouvelle moi. Comme si on avait retiré un voile qui pesait sur ma peau, pour alléger mon esprit et mon corps. Ces petits moments où je suis une autre Sélène ne durent jamais longtemps, le voile finit par cesser de flotter au dessus de moi et revient se poser calmement, m’étreignant dans ses fils serrés.
Mais pour l'instant, je pouvais profiter d'un de ces instant de renaissance. Je mettais mon esprit rebelle sur pause, je chassais tout mes problèmes sur le côté, pour ne laisser à la lumière que la Sélène sûre d'elle. Plus de place pour la timidité ou la réserve, je sais ce que je veux. Et je veux Amon tout contre moi, en moi. Ressentir les pulsations électrisantes des orgasmes me brûler les veines, alors que mon corps vibre sous le contact de mon homme.
J'avançais vers la chambre, ondulant sous la faible lumière, lui lançant un regard au dessus de mon épaule. Je ne souris pas, je ne dis rien, je lui fais simplement comprendre que je le désire, et que je veux qu'il me désire aussi. C'était comme un appel, un supplice, pour qu'il vienne me gratifier de sa chaleur, de son odeur, de sa peau. Je veux qu'il me regarde, qu'il m'aime, encore plus qu'avant, et toujours moins qu'hier. Qu'il comprenne que bien que je ne sois pas simple à vivre tout les jours, je lui donnerais tout ce que j'ai. Du plus simple au plus compliqué, du plus naturel au plus pure de moi-même. Tel une page blanche qui laisse au pinceau tout le loisir d'exprimer son art, retenant chaque couleur au plus profond de sa matière, la sublimant en retour, une fois que le temps ait encré chaque goutte.
Allongée sur le lit, les draps seuls caressant mon dos, je provoquais Amon en me donnant du plaisir, sans attendre que ses doigts de musicien ne reviennent jouer avec mes cordes sensibles, prenant sa place. Je me connais par cœur, la mélodie est inscrit dans mon esprit, mais je préfère encore la partition instinctive d'Amon. Elle n'est jamais identique à la dernière, toujours plus originale, toujours plus vrai, avec des faux accords et des fausses notes. Mais ce sont tous ces détails qui font que cet homme me rend accro à sa musique.
Les yeux mi-ouvert, je l'admirais se porter au dessus de moi, me surplombant de son corps musclé, puissant et viril. Ses yeux océan me fixaient, provoquant une vague de chaleur dans mon bas-ventre. J'arquais le dos, la tête légèrement en arrière, me mordant la lèvre inférieure quand j'entendis les dernières attaches de son jean se détacher, quand je sentis sa main plaquer ma cuisse contre son corps. Ses lèvres vinrent se poser sur les miennes, dans une douce caresse, que je rendis à peine. J'attendais.
-Tu ne comptes pas jouer toute seule jusqu’au bout, j’espère ?
Je ne répondis rien. Je souriais légèrement. J'attendais. J'attendais le moment où il viendrait me demander que je lui rende sa place, à l'infime frontière entre l'ordre et la supplication. En attendant, je continuais de faire bande à part, préparant mon corps à une déflagration d'hormones, fermant les yeux pour ne me concentrer que sur moi seule. Tel un lion affamé, Amon prit le chemin entre mes seins, me pressant par ses baisers lourds que je ne devais pas l'oublier, que je devais le laisser entrer dans la partie.
Je fis la sourde, l'ensensible, l'inhumaine.
Contrainte par la poigne d'Amon d'écarter mes mains de mon corps, je les ramenais vers moi, longeant mes côtes, mes seins, mon cou, mes cheveux. Au lieu de plonger mes doigts dans les boucles blondes du Danois, agrippais les draps, comme si c'était eux qui me faisaient de l'effet. Je diminuais l'espace entre mes cuisses, ne facilitant en rien la tâche qu'il s'était empresser de subtiliser à mes doigts.
Par tout les moyens, je tentais de retenir chaque gémissement, chaque soubresaut de plaisir, chaque envie irrésistible de me coller à lui pour paraître dénuée de sentiments. Je veux qu'il réclame, qu'il gronde, qu'il se donne encore plus pour faire de moi sa proie. Une course de longue haleine qui le rassasierait complètement.
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE] Dim 20 Aoû - 18:20
Problem... No Job. ft. Sélène Mortiak
Sélène se donnait en spectacle, et rien que pour moi. Je ne l’avais jamais vue comme ça. Je lui découvrais ce regard froid et déterminé à obtenir ce qu’elle voulait, sans qu’il n’y ait aucun doute sur ce qu’elle voulait : elle me voulait moi. Et si j’avais eu l’ascendant jusque-là, je n’avais pas vu, ni compris, quand elle avait échangé les places, mais c’était bel et bien ce qu’elle avait fait.
Elle m’avait emmené jusqu’à la chambre, elle s’était allongée et s’était donnée du plaisir, me laissant sur le carreau…
Hors de question !
Elle pouvait me regarder avec un regard digne des Sørensen père et fille… Je ne la laisserais pas me mettre hors-jeu… Ni faire de moi un bon petit soldat obéissant… Enfin… je crois…
Tout ce qu’elle me laissa voir comme émotion fut l’esquisse d’un sourire et encore, pas longtemps. Il m’était impossible de dire si elle se vengeait parce que je n’avais pas été dans son sens en ce qui concernait l’attaque qu’elle voulait faire subir à son ancien patron ou si elle tentait juste un nouveau jeu, une nouvelle expérience, dans le but d’augmenter son plaisir.
Une chose était sûre : son regard insensible faisait vaciller mes certitudes et avait tendance à vouloir me faire douter de mes capacités à lui procurer du plaisir. Fallait que je lui montre !
Je l’avais surplombée de tout mon long, la regardant un moment se caresser en dessous de moi mais quand j’en avais eu assez, j’avais attrapé ses poignets et les avait dégagés de mon chemin. A force de baisers, je m’étais frayé un chemin jusqu’à ce que mes lèvres et ma langue se retrouvent entre ses cuisses. Elle se cambrait sous mes coups de langue avides mais ne me touchait pas, pas plus qu’elle ne laissait paraître le moindre signe d’affection envers moi.
Elle resserra ses cuisses, bien décidée, apparemment, à me mener la vie dure ! Je souris, amusé par ce nouveau jeu et fis pivoter un peu ma tête pour venir lui mordiller en grognant, sans faire mal, l’intérieur de la cuisse et signifier qu’elle pouvait faire ce qu’elle voulait, j’étais là et je comptais bien y rester un moment.
Je la sentais qui se retenait de gémir alors que mon but à moi, c’était de la faire craquer, n’hésitant pas pour ce faire à troquer les caresses de ma langue pour la sucer aux points les plus sensibles de son intimité. C’était tellement excitant que moi, je me mis à gémir parce que mon sexe frottait contre le bord du lit…
Quand j’en eu assez de jouer entre ses cuisses, je remontai sur le lit et lui servis un regard approchant de la froideur qu’elle m’avait servi plus tôt… Mais un peu moins bien maîtrisé à cause de l’excitation.
Je vins ensuite la mordiller dans le cou tout en maintenant ses deux mains bloquées au-dessus de sa tête. Elle m’avait provoqué, elle avait donné le ton ! Si c’était ce qu’elle voulait, j’allais le lui donner. Elle était légère, je n’eus aucun mal, en la prenant par les bras, à la faire allonger sur le ventre…
Je pris le temps d’abaisser mon pantalon d’une main, ne me couchant pas sur elle pour, tout de même, éviter de l’oppresser, puis m’allongeai doucement sur son dos, me maintenant sur les coudes pour ne pas l’écraser… Avec de lents mouvements de bassin, je venais caresser ses fesses de ma virilité toute destinée à notre plaisir mutuel… Je guidai une de ses mains à ce niveau-là, afin qu’elle puisse à la fois me caresser et me guider, tandis que j’embrassais sa nuque…
Nous fîmes l'amour comme on savait si bien le faire...
Pratiquement la seule chose, avec la boxe, qu'on savait réellement faire ensemble...
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Sujet: Re: 'HOT' Problem... No job Ft Amon [TERMINE]
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