Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Sam 13 Jan - 19:20
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Dans la foulée de la soirée des Grammys – que j’avais passée en très charmante compagnie -, cette charmante compagnie en question, la belle Peyton Davis, avait consenti à venir passer quelques jours dans mon inestimable villa.
C’était l’endroit de rêve pour approfondir les sujets sur lesquelles on avait conversé. Je savais que Peyton avait une ambition et un ego démesurés – et j’adorais ça ! Elle avait tenté de s’approprier mes services en tant que manager – s’improvisant petite femme d’affaire – mais je ne lui avais pas facilité la tâche. Je ne voulais pas accepter d’office surtout avec les exigences qu’avait Peyton. Si elle me voulait comme manager, c’était à elle de faire des concessions – et non l’inverse.
J’adorais converser avec elle et j’aimais lui apprendre que la fougue de la jeunesse n’était pas qu’une qualité mais j’aimerais encore mieux parler – et plus encore – dans un lieu féérique comme ma villa.
C’est pour ça que, le matin après la soirée des Grammys – que j’avais passé dans la chambre d’hôtel de Peyton – j’étais parti non sans laisser un mot derrière moi.
Mot a écrit:
Peyton,
J’ai mis les termes de notre accord par écrit. Tu les trouveras en annexe de ce mot.
Je pars à la villa Ricci demander à mon majordome de préparer comme il se doit ton arrivée. Je vais tout superviser pour que tout soit parfait avant que tu n’arrives. Je t’attends avec impatience.
Daniele Ricci
En dessous de ce mot, on pouvait voir un papier signé de mon nom avec écrit :
Contrat a écrit:
Si Peyton Davis alias Lola déménage à Los Angeles, moi – Daniele Ricci – consens de devenir son manager à plein temps.
Dans ces mots, j’avais caressé Peyton dans le sens du poil – c’était mieux pour éviter qu’elle ne se pointe jamais chez moi.
J’étais parti avant qu’elle ne se réveille – une habitude de Ricci. J’avais filé jusqu’à ma villa et j’avais expliqué la situation à Erik – qui s’était exécuté sur le champ pour rendre la villa parfaite pour l’arrivée de Peyton.
C’est sur la terrasse, dans un transat et armé d’un whisky que j’avais attendu la belle de New York. Erik – lui – venait de temps en temps me demander s’il lui fallait telle ou telle chose. En réalité, je ne savais pas les goûts de Peyton mais je pouvais aisément les imaginer – moi et elle n’étions pas si différents. -Vous croyez qu’elle va venir ?, dit Erik d’un seul coup sans prévenir.
J’étais parti en laissant une adresse – et quelques compliments – donc j’avais la conviction qu’elle allait venir.
-J’ai la foi, dis-je en lavant mon verre de whisky avant d’en boire une gorgée.
Je pense que c’était- largement – assez.
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Dim 14 Jan - 5:04
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
La nuit fut courte mais des plus profitables. Je l’ai passé en agréable compagnie après avoir raflé les prix prestigieux dans les catégories que je convoitais le plus lors des Grammys.
Je suis couchée sur le ventre, mon visage tourné vers ce que je devine être la porte fenêtre de ma chambre d’hôtel puisque, malgré mes paupières closes, je peux affirmer qu’il fait déjà soleil dehors.
J’allonge le pied d côté opposé à la recherche d’un mollet poilu mais je ne trouve que la froideur d’une place vide. Je relève la tête et l’absence du beau manager me confirme qu’il m’a fait faux bonds à un moment ou un autre pendant la nuit.
Je sens la colère m’envahir. Il ne peut pas avoir profité de moi. On ne se joue pas de Peyton Davis ! Ma première réaction fut de balancer rageusement les oreilles du lit au sol. Je ne retrouve pas l’effet désiré mais c’est un début.
Je me précipite donc hors du lit, furieuse, prête à tout démolir, jusqu’à ce que je tombe sur un bout de papier et que ce qui y est inscrit m’accroche un sourire satisfait. Ainsi donc, The Best a quitté ma chambre comme un voleur dans le seul but de mieux préparer ma venue chez lui. Comme c’est intéressant.
Il est vrai qu’on ne peut accueillit une personne aussi prestigieuse que moi sans un minimum de préparation. Et il devait avoir besoin de se reposer après la nuit que je lui ai fait vivre, le pauvre ! Il n’a plus 20 ans !
Je fis donc préparer mes valises, ce qui n’est pas une mince affaire puisque nous revenions d’un séjour d’Europe et que nous venions d’atterrir, à temps pour les Grammy. Ma mère me tourne autour, me bombardant de question, cherchant à savoir où je vais, pourquoi j’annule les engagements prévues à mon agenda. Je reste muette comme une tombe.
- Je n’ai pas de compte à te rendre !
L’inverse serait plus juste.
De toute façon, ma mère n’a guère le choix que de me laisser aller. Je serais bien capable de la licencié et elle le sait très bien. J’adore savoir que je peux toujours avoir le dernier mot quand il est question d’argent.
L’hôtel fut assez sympathique pour me faire avancer une voiture et charger mes bagages et une fois à l’intérieur, je n’eu besoin que de dire que ma destination était la Villa Ricci pour que le chauffeur se mette en route.
Le grillage de l’entrée n’était pas fermée et la voiture s’enligna sur l’allée pavé de la somptueuse Villa. Ricci n’avait pas mentit. L’endroit est bel et bien paradisiaque. Mais je ne vais pas me laisser impressionner par un judicieux arrangement paysager.
La voiture s’immobilisa et le chauffeur vînt m’ouvrir la porte avant de décharger le coffre de mes bagages. Un homme sortit et marcha, droit comme un « t ».
- Mademoiselle Davis, bienvenue à la Villa Ricci ! Monsieur vous attends dans le jardin.
- Dites à Daniele qu’il vienne lui-même m’accueillir ! S’il m’attend, il devrait être capable de venir lui-même, non ?
Je force un sourire large à l’intention du majordome. Je suis Lola. Mon arrivée requiert un peu mieux que le personnel de maison !
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Daniele Ricci
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Dim 14 Jan - 17:36
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
C’était la journée idéale pour accueillir Peyton chez moi – il faisait beau et on pourra aisément profiter de la piscine. J’avais déjà commencé à picoler sans elle, elle ne m’en voudra sûrement pas. J’avais besoin d’un petit whisky avant de continuer dans la lancée de la soirée d’hier – c’était vital.
J’étais en train de bronzer – vêtu seulement d’un bermuda – quand j’avais entendu une voiture entrer dans l’allée. Sûrement Peyton – j’en étais sûr à 80%.
Je n’avais pas bougé d’un poil. J’avais un majordome prêt à aller accueillir la diva. Je savais qu’Erik la conduira exactement où je suis – c’est le meilleur.
J’attendais tranquillement, jusqu’à-ce que j’entende grésiller mon talkie-walkie qui était sur la petite table à côté de mon transat’. -Monsieur ?, entendis-je Erik dire à travers le talkie-walkie.
La diva faisait-elle déjà des siennes ? Connaissant Peyton, ça ne m’étonnerait pas. J’avais pris le talkie-walkie. -Ouais, Erik. Que se passe-t-il ?, demandais-je avant de boire une gorgée de whisky.
-Mademoiselle Davis requière votre présence à l’entrée de votre villa, dit-il sérieusement – même si j’entendais le sarcasme derrière tant de sérieux.
La petite Davis avait déjà commencé à faire son show – ce qui n’était pas vraiment surprenant. Elle m’avait montré un bon avant-goût de ses exigences hier soir. Elle ne faisait que continuer sur sa lancée.
-J’arrive, Erik, dis-je avec un petit sourire.
J’avais regardé l’heure – on était au bon milieu de l’après-midi. Peyton s’était fait attendre et, maintenant, elle désirait que je sois là pour l’accueillir à bras ouverts. Beaucoup se seraient agacés – mais pas le grand Daniele Ricci. J’aimais ça chez Peyton – cette soif qu’elle avait d’être la reine du monde.
Je m’étais levé de mon transat’ et j’avais traversé les pièces de ma villa jusqu’à arriver à l’entrée où se trouvait Peyton – et ses bagages – ainsi qu’Erik.
-Peyton ! Je t’attendais impatiemment, dis-je pour la caresser dans le sens du poil.
Erik n’avait pas besoin de mon ordre pour s’occuper des bagages de Peyton – il s’y était déjà mis au moment même où j’étais apparu à la porte de ma villa.
-Entre. La plus belle villa de Los Angeles est prête à t’accueillir !, dis-je en m’écartant de l’entrée pour qu’elle puisse y pénétrer.
On était entré dans le grand hall où trônait l’escalier qui montait aux étages. -Je te fais visiter ou on commence par se prendre un verre dans la piscine ?, demandais-je avec un grand sourire.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mar 16 Jan - 2:29
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Honnêtement, je ne sais pas ce que je suis venue faire ici. Premièrement, je suis accueilli comme une simple visiteuse alors que Daniele aurait dû être là, devant la porte, a trépigner d’impatience en m’attendant, et quand je demande qu’il vienne de lui-même me souhaite la bienvenu, son majordome semble légèrement sarcastique.
Légèrement, c’est déjà trop !
Je tape du pied, les bras croisés sur ma poitrine, le visage camouflé sous mes immenses verres fumés. Danielle arrive en moins de temps qu’iln’a fallu pour faire ma demande mais ce fut déjà trop long.
Et on ne me fait pas attendre !
Daniele arrive enfin et me souhaite la bienvenue comme il se doit. Mais le mal est fait et je ne l’oublierai pas. Je force un sourire pour lui faire sentir que je ne suis pas de bonne humeur.
- Heureusement oui, qu’elle est là pour m’accueillir, ELLE !
Mais il a bien raison. Sa villa, du moins la face extérieure avant est somptueuse. J’inspire profondément avant de relâcher un long soupire. Il est encore temps d’efface l’ardoise et de reprendre nos retrouvailles après cette courte intermède, d’une meilleure façon.
The Best me propose de me faire visiter tout de suite, ou de boire un verre au bord de la piscine. - C’est un code pour savoir à quel moment on baise ? , lui demandais-je alors que je passe devant lui pour entrer dans sa villa.
Le halle est digne des plus beaux que l’on voit dans les magazines des gens riches et célèbres. Il concurrence presque à celui de mes parents. Presque. Car personne ne pourrait avoir une plus belle maison que les Davis, ça, c’est indéniable.
- Je veux un lit propre. Hors de question de forniquer sur un matelas qui a vu passer les fesses de toutes tes conquêtes !
Je me tourne vers lui, plaçant mes mains a plat sur son torse, mon visage a quelques millimètres du sien. Je suis une Diva, j’ai mes exigences, lesquelles sont toutes justifiables et légitimes.
- Et tous mes petits déjeuners doivent m’être servis par toi, dans ton plus simple appareil, au lit, compris ? lui soufflais-je avant de lui mordre la lèvre inférieur.
L’empreinte de ma dent sur sa lèvre, je fais volte face en me dirigeant vers ce qui m’apparait évident d’être les portes menant à la terrasse. Ils sont gâtés, à Los Angeles. Il fait un soleil radieux et les degrés doivent avoir dépassé la barre des 25°c.
C’est sur un transat installé sous un parasol que je me laisse tomber tendant la main en attente d’un verre. Le service est lent. J’espère que Daniele ne paie pas rubis sur l’ongle son personnel car franchement, il se fait rouler royalement.
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Daniele Ricci
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mar 16 Jan - 18:03
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
La jeune Davis avait déjà ses exigences. Je n’avais pas dû attendre très longtemps avant de revoir apparaitre son caractère de diva. Je l’avais fait attendre même pas deux minutes – c’était deux minutes de trop pour la petite Davis de New York. Elle n’avait pas tardé à me le faire comprendre avec une remarque détournée mais très – très… - claire.
-Je ne voulais pas lui voler la vedette, dis-je avec un sourire carnassier – en parlant de ma villa.
J’avais – déjà – donné le choix à Peyton sur le début de programme. C’était une diva, je l’avais – donc – laissé décider de ce qu’elle voulait faire. Ce genre de personne détestait se faire commander. Seulement, elle voyait clair dans mon jeu – normal, c’était un rien téléphoné.
-A peu près, dis-je avec un léger sourire quand elle avait demandé si ma question visait à savoir quand est-ce qu’on baise. Mais en réalité c’est surtout pour savoir où on baise, rajoutais-je avec un sourire en coin.
Elle n’avait pas peur d’être franche la Peyton – je plaignais les membres de son personnel qui devaient souffrir quotidiennement de ses caprices. D’ailleurs, elle avait directement demandé à avoir un lit propre – pas un qui avait été utilisé pour accueillir mes centaines de conquêtes. Peyton n’était pas le genre à aimer passer après les autres.
-Erik s’est déjà occupé de ça, dis-je en la suivant dans le hall de ma villa. Tout est neuf.
Je n’avais pas supervisé les choses personnellement – j’avais été très occupé à bronzer et boire du whisky – mais j’étais sûr qu’Erik avait fait les choses mieux que quiconque. C’était le meilleur !
Cette première exigence n’était – en fait – que la première d’une longue liste. La seconde m’était arrivée directement – et elle était déjà terrible. Je devais servir – moi, le grand Daniele Ricci ! – à Peyton le petit déjeuner au lit ? Nu qui plus était ? Ok, j’aurais deux missions dans ce séjour : monter à Peyton les joies de vivre à L.A. et – j’insiste sur le « et » - apprendre que Daniele Ricci est plus que son égal. J’avais du boulot…
Seulement, la petite diva savait y faire – elle avait fait se seconde demande en s’appuyant sur mon torse et en me mordant la lèvre inférieure. Suffisant pour me faire frémir un peu. -Tes exigences sont précises mais j’essayerai de m’y tenir, dis-je en passant ma langue sur ma lèvre alors que Peyton s’était écartée pour se diriger vers la terrasse.
Je l’avais suivie – les mains dans les poches. Peyton s’était installée dans un transat’ à l’ombre d’un parasol. C’était – donc – le verre au bord de la piscine. Bien, il faisait beau alors autant en profiter un peu.
Peyton avait tendu sa main – geste assez explicite pour que je comprenne que la diva avait envie d’un verre. Erik devait – en ce moment – déjà être en quête de boisson mais la villa était grande.
-Ma villa est vaste, Peyton et mon majordome ne fait pas le service en rollers, dis-je un rien sarcastique avant de m’assoir sur le transat’ juste à côté du sien.
Je n’aimais pas les places à l’ombre mais Peyton était New Yorkaise – elle ne devait pas être habituée à autant de soleil. -Alors, toujours pas convaincu par L.A. ?, demandais-je alors qu’Erik avait fait son entrée sur la terrasse pour mettre un cocktail dans la main de Peyton avant de poser le plateau avec un nouveau verre de whisky sur la petite table à côté de mon transat’. J’imagine qu’il faut plus à Peyton Davis qu’une belle villa et du soleil pour être convaincue, je me trompe ?, demandais-je en la regardant droit dans les yeux et en souriant.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Jeu 18 Jan - 17:00
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
C’est les bras croisés sur ma poitrine et tapant furieusement du pied que j’attends que Daniele daigne venir de lui-même m’accueillir. Disons que j’ai été habituée à beaucoup mieux comme comité de bienvenu et que je m’attendais à ce que la réputation du manager Italien soit à la hauteur de mes attentes.
Il amorce donc mon séjour ici avec une prise contre lui.
Je me sens sur le point de piquer une p’tite crise de p’tite garce mais Daniele désamorce avec sa première proposition intéressante depuis l’avènement du vidéoclip. Il était temps ! Je cuis, moi, sous le chaud soleil qui plombe sur nous.
Son manque de subtilité me faire relever le coin droit de mes lèvres. À peine suis-je arrivée qu’il songe déjà à me culbuter ? Le fait est qu’en ce moment, je n’en ai aucunement envie.
- Tu ne m’as pas laissé avec un souvenir impérissable, tu sais !
Alors pour la baise, on verra quand ses arguments vaudront leur pesant d’or.
De ce que je vois de la villa avant de la traverser et d’aller m’échouer sur un transat à l’ombre me suffit et convainc déjà. Mais ce n’est pas pour autant que je jouerai à fond mon rôle de fille blasé que rien n’impressionne. Et l’introduction de ma liste de demande en est la preuve.
Je ne demande pas la lune, pas encore, du moins et Daniele a intérêt à observer scrupuleusement mes règles s’il veut faire mumuse avec moi de nouveau. Je le vaux bien, après tout.
Je suis Lola.
Ma main tendu, j’attends mon verre et je finis par relever la tête en ne le sentant toujours pas dans ma main après une attente de plusieurs… secondes ! J’aurais déjà renvoyé la domestique en poste pour un outrage comme celui-là et, comme si Daniele lisait dans mes pensées, il prend la défense de son majordome.
- Anticiper nos besoins est la définition première de leur boulot ! Autrement, aussi bien le faire nous même ce qui est un non sens. J’avais soif, maintenant j’ai très soif, ça c’est un non sens inacceptable.
Les conventions doivent être différentes, ici, à Los Angeles. Les gens sont un peu moins exigent et savent se contenter de peu, faut-il le croire.
- Je n’ai pas été accueilli par toi. Ton Majordome m’a manquée de respect en t’appelant, je crève de chaud et je n’ai rien à boire et tu me demande si je suis convaincu ?
J’éclate de rire, un rire froid et prétentieux, puis je me redresse en position assise avant de retirer mes verres fumés et de pincer des lèvres tout en regardant Ricci droit dans les yeux.
- Donne moi immédiatement un seul argument qui vaudra tout le reste et qui ferait en sorte de me convaincre. Un seul.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Jeu 18 Jan - 19:40
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Peyton était plus qu’une diva – c’était une garce. Je l’avais supposé hier… J’avais la confirmation aujourd’hui quand elle dénigra mes compétences au lit. Rabaisser les autres – comme le faisait Peyton – était une bonne façon pour elle de ramener les gens à sa hauteur. Nous cacherait-elle un petit complexe d’infériorité ? Quoi qu’il en soit je m’étais retenu de lui dire que le sentiment était partagé et qu’elle non plus ne m’avait pas laissé un souvenir impérissable – ce qui était vrai. Je le lui aurais dit si ça n’avait pas mis en péril la suite du séjour.
La diva m’avait donné ses deux premières exigences – et pas des moindres – et était allé s’écrouler dans un transat’ à l’ombre d’un parasol. Les New Yorkais n’aimaient pas le soleil ou quoi ? C’était déprimant…
Elle voulait un verre – tout de suite… Erik nous avait quittés un peu plus tôt pour déposer les affaires de Peyton dans la chambre. Il n’était pas encore doté d’un pouvoir de téléportation… J’avais défendu Erik qui faisait ce qu’il pouvait. Seulement la diva n’était pas satisfaite – putain, je voyais de mes yeux ce que lui reprochaient tous les gens qui travaillaient pour elle.
-Erik est le roi de l’anticipation. Tu le verras à l’œuvre bien vite, dis-je en évitant – habilement – de lancer une remarque un peu plus acide.
Il l’avait prouvé directement en nous apportant de quoi nous rafraichir – pendant que je continuais de faire la conversation à Peyton. Cette fille n’avait que des critiques à émettre – à commencer par l’accueil qu’elle avait reçu ici. Putain… Son rire extrêmement désagréable commençait à me faire douter de son véritable sex-appeal.
-C’était une question rhétorique, dis-je avec un sourire en coin.
Elle voulait un argument qui compenserait tous les points négatifs. Je n’aimais pas trop comment elle traitait le grand Daniele Ricci – le retour de flamme allait vite arriver…
-Un seul ?, dis-je en me redressant pour faire face à Peyton et en enlevant d’un geste mes lunettes de soleil. Tu es dans la villa du plus grand manager de L.A. C’est un argument qui vaut toute le reste, dis-je en plongeant mon regard dans le sien. Surtout que tu y as été invité pour plusieurs jours. Ce qui est un privilège.
Le nombre de femme à avoir pu rester ici plusieurs jours se comptaient sur les doigts d’une main – d’habitude, je larguais les filles dès le lendemain.
-Au fait… J’ai une question qui me taraude depuis quelques minutes, dis-je mine de rien, en prenant mon verre de whisky. Combien de membres de ton personnel s’est suicidé ce mois-ci ?, dis-je avec un sourire moqueur.
Bon, c’était direct mais il fallait absolument que je teste sa susceptibilité. C’était plus fort que moi – je n’y peux rien.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Ven 19 Jan - 21:29
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Pour quelqu’un qui s’est fait connaître en arborant le surnom de The Best, je ne suis pas impressionné par la qualité du personnel qu’il embauche. Je vais lui donner le bénéfice du doute. Il s’agit peut-être d’un vieil oncle sénile dont il se sent responsable et assures les vieux jours en le gardant à son emplois. Bon, si c’était un membre de ma famille, je lui aurais trouvé une résidence pour personnes diminuées et je lui enverrais un panier de fruits une fois par an et ça serait suffisant mais, à chacun sa façon d’agir !
- Je vais te croire sur parole Daniele. De toute façon, je ne suis pas ici pour ton majordome, n’est-ce pas ?
Daniele a grand cœur finalement. Il se la joue indifférent mais finalement, il a des sentiments pour des choses aussi insignifiantes et insipides que le ressentit de son personnel. C’est à se demander comment il a fait pour monter si haut. Il est de notoriété publique qu’on ne grimpe pas d’échelon sans écraser ceux d’en bas !
Jusqu’ici, je suis franchement déçue. Outre le fait que je suis en présence d’un des hommes les plus sexy en Amérique du Nord, rien ne me fait l’effet « wow » que m’avait fait miroité le manager. À croire qu’il m’a jeté un leurre que dans le but de s’assurer un second tour, mais est-ce que j’ai l’air d’une pute de luxe ? Non, Monsieur, non !
Je me redresse donc en position assise, abandonnant l’espoir qu’on vienne me servir à boire et demande, pour ne pas dire exige, de Daniele un seul argument qui ferait en sorte que j’accorde à Los Angeles la chance qu’elle mérite d’avoir.
Daniele, aussi prévisible que vaniteux, me répond exactement ce à quoi je m’attendais. Il ne vente pas L.A. mais lui. Il n’a aucun putain d’arguments pour sa ville chéri sauf lui-même. Et ça ne manque pas de me faire sourire. L’attrait de Los Angeles réside donc en ses charmes et le privilège que j’ai de séjourner en sa ville devrait suffire à faire de la cité des anges, l’incontournable dans ma vie. Soit. S’il veut bien le croire, grand bien lui fasse et, tant qu’à être ici, aussi bien jouer le jeu !
Ai-je besoin d’apprécier L.A. ? Non, pas que je sache. Est-ce que Daniele vaut la peine de sacrifier le confort de New York ? Oui, sans aucuns doutes !
Je me lève alors et vient m’assoir à califourchon sur les cuisses du manager qui y va à son tour d’une question qui me fait sourire.
- Moins que j’en ai licencié ! , dis-je avant de lui prendre les lèvres entre les miennes et de l'embrasser langoureusement. Je suis prête à valider ton argument, sauf si tu veux encore en débattre ?
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Dim 21 Jan - 16:50
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Les critiques qu’elle avait fait envers Erik ne me plaisaient pas du tout – c’est pour ça que je m’étais évertué à défendre mon majordome. Je doutais que n’importe lequel membre du personnel de Peyton soit meilleur Erik. C’était tout simplement impossible. Erik était l’efficacité incarnée – il avait une expérience de plus de 30 ans !
Peyton n’avait pas argumenté plus en sens inverse – elle me croyait sur parole. Elle était – de toute façon – ici pour le grand Daniele Ricci et pas pour ce pauvre Erik qui ne faisait que son travail.
Peyton n’était pas satisfaite – jusqu’ici – de son séjour. C’était une petite garce… La reine des enfants gâtés. Même le petit Hunter – le fils de Victoria – ne lui arrivait pas à la cheville pourtant c’était déjà du haut niveau. Tous des enfants surprotégés avaient besoin d’écraser les autres pour monter sur un piédestal – c’était aberrant. Moi, je n’avais pas besoin d’écraser les autres. On n’a pas besoin de ça quand on est déjà le meilleur. C’est une règle que devra apprendre Peyton si elle ne voulait pas devenir, à la longue, une caricature de son propre personnage de diva.
Erik avait rempli son rôle en venant nous servir à boire – tout en discrétion comme à son habitude. Dans le même temps, j’avais donné à Peyton le meilleur des arguments pour contrebalancer les premières fausses notes – et c’était moi ! Si L.A. était aussi intéressant pour les artistes de la tempe de Peyton, c’était parce que j’y résidais. Il n’y avait besoin d’aucun autre argument – c’était l’argument ultime. Car si Peyton avait daigné ramener son petit cul ici aujourd’hui c’était parce que j’étais ici. C’était une grande preuve que mes capacités à manager ne la laissaient pas indifférente.
Seulement – aussi talentueuse soit-elle –, elle était aussi bien énervante. C’est ainsi que je ne m’étais pas retenu de lui envoyer une question qui soulignait tout le mépris qu’elle pouvait avoir pour les membres de son personnel. Moi, j’étais tout le contraire de Peyton – je chérissais Erik et Maria. Ils étaient plus ma famille que des membres du personnel – Peyton et moi étions opposé sur le sujet.
Davis n’avait pas mal pris ma question – un bon point pour elle – et m’avait grimpé dessus pour me répondre qu’il y avait moins d’employés qui s’étaient suicidés ce mois-ci que de ceux qui avaient été licenciés par Peyton. Elle assumait son caractère de merde.
Elle m’avait coupé le sifflet en m’embrassant – la meilleure des techniques pour faire taire le grand Daniele Ricci. Elle avait beau être une petite impatiente, il fallait avouer qu’elle embrassait particulièrement bien. Bien mieux que la pauvre Jessica Hill qui m’attirait de moins en moins à chaque année qui passait.
-Pourquoi débattre plus puisque tu es convaincue ?, dis-je en faisant glisser ma main sur ses fesses en dessous de ses vêtements. Relancer le débat est inutile.
Il n’y avait rien à débattre – j’étais la meilleure attraction de cette ville. Surtout que l’impatience maladive de Peyton l’empêcherait sûrement de débattre subtilement. C’est – d’ailleurs – à cause de cette impatience que mes doigts venaient, déjà, caresser son sexe. Hier, elle m’avait bien fait comprendre qu’elle n’aimait pas prendre son temps quand il s’agissait de s’y mettre – je suis Daniele Ricci, j’apprends vite.
Je m’étais – un peu – redressé.
-Je suis le roi de L.A., soufflais-je à son oreille. Et tu as l’opportunité que je devienne ton manager… Tu connais l’unique condition, rajoutais-je en faisant référence au contrat que j’avais signé à l’hôtel.
Je l’avais titillé tout en parlant. J’avais déboutonné son dessous – mes doigts s’étant immiscés de plus en plus en elle. On était totalement seuls – Erik était déjà rentré continuer ses activités habituelles. Quant aux voisins, la taille de ma propriété et les arbres qui entouraient mon jardin nous mettaient à l’abri des regards indiscrets – de toute manière, je m’en fichais complètement. Ma villa avait vu pire débauche.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mar 23 Jan - 22:17
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
C’est tout à l’honneur du manager que de se porter si vertement à la défense de son majordome. Je veux bien le croire sur parole et leur prêter une histoire écœurante de romantisme du genre du lien de famille emprunter tel celle du majordome ayant servit de modèle de père.
Je suis incapable de fraterniser avec mes domestiques. Ils ne sont que déduction d’impôts et numéro pour moi. Voilà tout et personne n’est irremplaçable.
Ça me fait rire quand Daniele me demande combien se sont suicidé ce mois-ci.
Mes employés sont tous avertit dès le premier jour. Un seul faut pas, qu’importe l’ancienneté, le rang, le titre, l’importance, ils seront congédiés sans ménagement et pas la peine de demander de lettre de référence ! Ils n’en auront aucune !
Il en va de même pour mes amants. Pour le moment, aucun n’a eu la prétention de tenir suffisamment longtemps pour porter le titre de petit ami officiel. Même Max Callaway n’a, au final , été qu’un feu de paille.
Mais sommes-nous ici pour psychanalyser la façon dont je gère on personnel ? Non, j’en doute ! J’ai mieux à faire et l’Italien aussi. Il ne tarde pas d’ailleurs à me le faire sentir alors que je le rejoins sur son transat pour l’embrasser et qu’il glisse ses doigts sous mon mini short jusqu’à venir caresser mon sexe qui déjà, frémissant d’extase.
- Oui… Je sais et ce sera chose réglé d’ici peu. Une question d’heures j’ai déjà mis des gens là-dessus
Ai-je besoin de dire que, quand je veux quelque chose, je fais en sorte de l’obtenir ? Daniele a demandé pour seule et unique condition pour devenir mon manager, que je sois résidente de L.A. Le contrat est signé alors que jamais il n’a parlé de proportion de temps occupé. En m’achetant un pied à terre ici, je remplis ma part du contrat.
Daniele m’arrache déjà quelques gémissements alors que ses doigts s’enfoncent plus en moi, caressant mon sexe trempé habilement. C’est « The Best » à son meilleur, celui que je suis venu voir et qui a mis un temps fou à se révéler. S’il n’avait pas tant débattu pour son cher majordome, j’en serais déjà à palpiter après l’orgasme.
Je n’ai aucune pitié pour le torse du manager alors que je le renverse sur le transat m’y allonger pour le couvrir de baiser, le lécher et même, le mordre au passage, jusqu’à descendre sur son corps emportant avec moi son short qui laisse une belle démarcation dû a son bronzage typiquement californien.
Ils ne connaissent pas ça à Los Angeles, les salons de bronzage ? Ma peau, blanche comme le lait ne supporterait pas un tel choc mais si je devais bronzer, j’opterais pour l’intégralité de mon corps.
Cela dit, imaginer les petites fesses sexy de l’Italien, aussi blanches que les miennes m’excite.
Au point ou je n’attends même pas son feu vert pour prendre les choses en main, pour ne pas dire en bouche et lui montrer que ce que je sais faire avec cet organe ne réside pas uniquement à pousser la chansonnette.
@ Billy Lighter
Daniele Ricci
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mer 24 Jan - 19:15
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Peyton Davis était – sans aucun doute – la fille la plus impatiente de l’univers. Elle était incapable d’attendre plus de trois secondes un verre – même moi, je n’étais pas aussi exigent. Ses employés devaient vivre un véritable enfer avec elle. J’estimais le taux de suicide à deux par semaines – à défaut d’avoir des chiffres fournis par Davis, elle-même.
Je devais apprivoiser cette impatience et la ramener à mon avantage – ce qui n’est pas tellement évident parce que Peyton est une fille qui peut rapidement devenir détestable. Il y avait quand même une chose qu’on avait envie tous les deux en ce moment – c’était passer du bon temps. C’est elle qui avait lancé les débats – ébats ? – en m’embrassant avec toute sa fougue. Je savais ce qu’il me restait à faire et je n’avais pas attendu pour le faire en jouant avec ses sensation en infiltrant mes doigts sous son short minuscule. Je n’avais pas besoin de l’entendre gémir pour constater qu’elle était déjà excitée – d’autres signes étaient suffisamment éloquents pour que je puisse faire ce constat.
J’en avais profité pour lui rappeler qui était le roi de cette ville et lui rappeler, aussi, la seule – et unique ! – condition de notre contrat. N’avait-elle pas dit que le sexe, c’était comme les affaires – ou quelque chose comme ça ? Je ne savais pas si c’était vrai mais, ce que je savais par contre, c’était que les affaires sont toujours plus faciles à conclure quand on s’adonne aux joies des préliminaires. Peyton – qui frémissait sous mes caresses intimes – avait déclaré que la chose sera réglée sous peu. -Parfait !, dis-je avec un sourire qui manifestait de ma totale satisfaction.
Je venais de réussir à faire déménager la petite garce de New York – n’étais-je pas un génie ? J’étais arrivé à mes fins et j’aurais, très bientôt, une nouvelle recrue. Ça sera – toutefois – la toute première fois que je couche avec un de mes artistes les autres n’ayant, jusqu’ici, été que des hommes. Mais, ne faut-il pas un début à tout ?
Les premiers gémissements de Peyton avaient donné un petit plus à ses dernières déclarations. J’avais rondement mené l’affaire si bien que j’étais aveugle aux potentielles erreurs que j’avais faites en chemin. Je n’avais plus la présence d’esprit suffisante pour y penser – surtout quand Peyton s’était approprié mon torse avec toute la chaleur de ses lèvres pulpeuses. J’avais laissé échapper quelques soupire d’aise. J’en avais oublié mon verre de whisky – c’est dire si Peyton est habile. Je n’avais pas encore atteint un degré d’alcoolisme suffisant que pour délaisser une si jolie fille pour un verre – quand ça sera le cas, je commencerais à sérieusement m’inquiéter.
Les préliminaires avaient pris une tournure délicieuse quand Peyton avait descendu mon short pour me montrer l’entièreté de ses compétences. J’avais soupiré de plaisir – elle savait s’y prendre, la jeune Peyton. La chaleur qui s’était étendue dans mon bas-ventre m’avais fait clore mes yeux et m’avait fait incité verbalement Davis à continuer. Mes doigts s’étaient entremêlés dans ses cheveux. Sa caresse buccale était irrésistible et j’en avais profité autant qu’il m’avait été possible d’en profiter.
Peyton avait jugé le moment bon pour arrêt avant que je n’arrive à un point de non-retour – ce qui aurait été dommage. Je l’avais laissé remonter le long de mon torse – en la débarrassant de son short - pour que nos sexes puissent flirter ensemble. J’avais commencé à masser ses fesses couleur satin et c’est à travers un – très – langoureux baiser qu’on avait témoigné d’un peu plus de férocité. Sa langue acérée se battait avec la mienne – et c’était vraiment bon. Heureusement qu’on était à l’ombre étant donné la chaleur qui émanait de nos corps en pleine action. D’ailleurs, la sachant sensible à cette chaleur, je lui avais enlevé ses derniers tissus pour découvrir – totalement – sa peau d’une blancheur incomparable.
Quand je n’étais pas en train de l’embrasser, c’est ses seins que je m’évertuais à gratifier de mes lèvres en suçotant ses tétons dressés – sans compter mes indénombrables caresses osées. Seulement, elle se trémoussait tellement sur moi que je ne pouvais retenir de manifester mon plaisir. -Vas-y, chérie, lâchais-je dans un soupire de plaisir indescriptible.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Lun 29 Jan - 2:12
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
C’est dire comme les hommes sont tous les mêmes. Suffit de leur tailler une pipe et hop ! Ils ferment leur sifflet et deviennent de petites choses toutes malléable. Daniele, malgré sa qualité de « The Best » n’échappe pas à la règle mais ce serait mentir que de dire que je n’y prends pas plaisir.
Au contraire, il a tout un arsenal dans le pantalon, de quoi en étouffer plusieurs. Mais pas moi ! Je suis agile de ma bouche. Mes innombrables trophées sont là pour le prouver, bien qu’ils ne mont pas été décernés pour ce genre de chose.
C’est grisant de sentir un homme aussi puissant s’abandonner complètement entre mes lèvres, de l’entendre gémis et de sentir ses mains dans mes cheveux, tenter de prendre un minimum de contrôle.
Le membre le plus important du manager trésaille entre mes lèvres et ses gémissements ne me laissent aucun doute qu’il est sur le point de capituler. Pas dans ma bouche, trésor, tu n’es pas assez important pour moi pour avoir cette faveur. Sorry, i’m not sorry !
Quand je remonte pour l’embrasser, Daniele en profite pour terminer de me dévêtir puis je reprends place sur ses cuisses, juxtaposant nos sexes ensemble alors que nos lèvres se réunissent de nouveau dans un fougueux baiser. D’un mouvement de bassin, je viens nous unir et je commence dès lors à onduler des hanches, assise a califourchon sur lui. Quand il ne m’embrasse pas, occupé à vénérer mes seins, je me laisse aller à de puissants gémissement et j’avoue que j’en mets plus que nécessaire autant pour flatter l’égo du manager que pour me faire entendre des voisins, s’ils leur est possible d’entendre.
Ça m’excite qu’on puisse nous écouter et provoquer des pulsions sexuelles dans d’autres villa. Ce que nous vivions en ce moment n’avait rien à voir avec la veille. C’était tellement meilleur, tellement plus intense. Découvrais-je le vrai The Best ? Si c’était pour être comme ça chaque fois, je serais folle de m’en priver et j’allais passer un séjour des plus agréables !
- Daniele.. soufflais-je tout en gémissant.
Je vais si fort qu’il vient heurter le plus profond de ma féminité. Et quand il me dit de me lâcher, j’abdique, délaissant tout effort de retenir l’orgasme plus longtemps. J’y vais de quelques bons mouvements bien sentis alors que je me retiens au manager, l’entourant de mes bras et hurlant à plein poumons :
- OUIIII DANIELE OH OUIIII !
Je ne cesse de danser sur lui tant qu’il ne me donne pas tout ce qu’il a à me donner de son côté alors seulement là, je diminue le rythme jusqu’à ne plus bouger sur lui, le visage enfouie dans son cou, mon cœur battant à tout rompre dans ma poitrine.
Et quand je me relève la tête, le corps encore tremblant de plaisir, je demande d’une toute petite voix :
- Et, maintenant, je peux avoir à boire… s’il-te-plait ?
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Daniele Ricci
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mar 30 Jan - 18:10
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Nous étions unis au moment où je gratifiais ses seins parfaits de ma bouche et de ma langue – quand ce n’était pas simplement ses lèvres qui profitaient des miennes. J’adorais ça – tout comme j’adorais les mouvements qu’elle faisait pour faire monter graduellement le plaisir. Elle avait de l’expérience – Peyton - malgré les apparences.
Elle gémissait tellement que j’étais certain – à 100% - que les voisins entendaient parfaitement ce qu’on était en train de faire. Seulement, ce n’était pas l’habitude qui leur manquait. Ma villa était souvent le théâtre de pires débauches lors de mes fêtes diverses. Mes voisins étaient, de toute façon, très loin d’être des prudes, il ne faut pas oublier qu’on est à Beverly Hills – repères des riches débauchés.
Peyton continuait à onduler sur moi d’une façon irrésistible – j’en soufflais son nom contre ses lèvres. Elle n’en faisait pas moins et j’adorais entendre mon prénom traverser ses lèvres – ça flattait mon ego. Elle se démenait pour nous amener encore plus loin dans le plaisir et nos ébats avaient pris une tout autre ampleur quand ses ondulations étaient encore plus profondes. Je n’y tenais plus – je l’avais invité à se lâcher complètement et à me montrer toutes ses ressources. Je l’y invitais à coup de caresses – particulièrement – osées. Elle avait – alors – joui dans un profond cri qui venait, sûrement, d’alerter tout le quartier ce qui n’était pas sans me faire rire intérieurement. Je l’avais rejoint, quelque secondes plus tard, dans l’orgasme venant en elle sans me retenir et en était presque aussi démonstratif qu’elle – presque parce qu’elle avait une voix qui portait bien plus loin que la mienne.
Elle s’était laissée tomber sur moi reposant sur mon corps. Son cœur battait très vite – aussi vite que le mien. Pourtant, c’est elle qui avait – presque – fait tout le travail. Je l’avais laissé se reposer contre moi. Je caressais son dos le temps qu’on reprenne notre souffle. On devait tenir la longueur – ce n’était que le début du séjour, après tout.
Elle avait relevé la tête pour me demander à boire. Comment ne pas sourire à ce moment-là ? Peyton – fatiguée par le sport qu’on venait de faire – était, d’un coup, toute douce et avait même dit « s’il te plait ». C’était un véritable miracle ! Je la préférais comme ça que quand elle jouait à la petite garce. Seulement, ce qui était – encore – plus drôle dans l’histoire, c’était que pendant notre petit débat avant ébats, elle n’avait pas remarqué que le très discret Erik avait amené les verres. Un cocktail pour elle, un whisky pour moi. Elle était – sans aucun doute – trop occupée à critiquer mon majordome pour voir qu’il avait déposé les breuvages sur une petite table non loin de nous.
-Si c’est si gentiment demandé, dis-je avec un petit sourire.
J’avais tendu le bras jusqu’à ladite table – qui était excentré légèrement derrière mon transat’ - et j’avais pris le cocktail qui revenait à Peyton.
-Tiens, dis-je en souriant. C’est un cocktail à la Erik. Tu vas aimer ! Ça va te rafraichir.
Erik était un as des cocktails – il faisait de très bons mélanges qui avait toujours ravis les gens qui venaient ici. J’étais son goûteur préféré. Il faut dire qu’en matière d’alcool, j’étais bon public – tout ce qui m’embrume un peu l’esprit me plait. -Alors, tu as mis des gens sur ton déménagement, c’est bien cela ?, dis-je en reparlant du deal tout en la caressant toujours. Tu comptes t’installer à Beverly Hills ou tu vas jouer à la recluse à Malibu ?
Je voulais cerner un peu mieux la jeune Davis – si on en venait à travailler ensemble, j’avais plutôt intérêt à obtenir un maximum d’informations sur elle.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mer 7 Fév - 2:39
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Je suis exténuée. Pourtant, ce n’était pas grand-chose mais, même à l’ombre, le soleil et ses rayons tapent fort et c’est probablement ça qui vient bouffer toute mon énergie. Je repose contre le torse de Daniele, encore à califourchon sur lui et la façon exagérée avec laquelle j’ai gémis pour flatter ton égo à assécher ma gorge.
Les hommes, au fond, sont tous pareil. Après l’amour ils aiment se sentir tout puissant. Comme s’ils venaient de conquérir une terre sacrée et de nous savoir complètement sous le charme. Il suffit d’un petit regard mielleux et d’une demande ponctuée d’un « s’il-te-plait » pour voir apparaître une expression satisfaite sur le visage de mon amant.
- Merci, dis-je en prenant le verre qu’il me tend.
Un s’il-vous-plait, un merci, vite ! Que quelqu’un aille marquer ce jour d’une croix rouge sur un calendrier ! Mais… il faut ce qu’il faut !
Je goûte le cocktail qu’a vraisemblablement préparé Erik, le majordome aux multiples talents. Je devrais peut-être envisager de me le faire, pendant on séjour, tiens ! Sait-on jamais, si ça se trouve, il vaut son pesant d’or là aussi !
Mais voilà que le liquide que j’avale – je parle du cocktail, suivez, un peu!- goûte l’ananas avec une pointe de grenadine. Je ne sens aucunement la vodka ou le brandy, enfin n’importe quoi qui puisse détendre un peu ! Il croit que j’ai quel âge, le majordome ?
Je camouffle de mon mieux une grimace derrière un sourire que je force au possible en m’étirant le bras pour déposer le verre sur le sol de la terrasse.
- Miam ! Un vrai délice… Je dois en avoir bu des semblables à ma fête de 12 ans. Il ne manque que le petit parasol en papier de soie et la brochette de cerises…
Daniele, en bon homme d’affaire, ne perd pas de temps pour entrer dans le vif du sujet et questionne sur mon futur déménagement à Los Angeles tout en me caressant au gré de ses envies.
Je quitte cependant ses cuisses pour me diriger vers la piscine et y tremper le bout du pied droit. De surface, elle semble bonne. Mais faudrait y plonger pour savoir si, en profondeur, elle l’est autant.
Un peu… comme moi finalement !
- Oui, c’est exactement ça. J’ai demandé qu’on me forme une équipe avec le meilleur agent immobilier de Los Angeles afin de me trouver le meilleur appartement ou villa. Beverly Hills… Malibu. À toi de me dire ce qui serait le mieux.
Qu’importe. Tant que on nom est sur le bail et que je peux y passer du temps assez longtemps pour qu’il s’engage de son côté.
- Demain, je dois appeler ma mère pour qu’elle me fasse justement un compte rendu du projet. J’imagine que tu ne m’en veux pas d’avoir voulu garder le jour 1 comme un jour de farniente pour nous deux ?
Je reviens vers Daniele, jouant avec mon pied trempé à laisser des traces sur le béton, jusqu’à me tenir devant lui et lui prendre la main en lui offrant un petit regard tout doux, digne d’un petit chaton sans défense.
- Viens avec moi dans l’eau…
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mer 7 Fév - 19:09
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Un « s’il te plait » suivi d’un « merci » ? Mon Dieu, qui êtes-vous et qu’avez-vous fait à Peyton Davis ? La jeune femme semblait – extrêmement – exténuée. Bien plus qu’elle ne l’était hier soir après le même type de sport. Je ne savais pas si c’était à cause du soleil tapant – dont elle n’avait pas l’habitude – ou de ses gémissements – exagéré ? – dont elle avait gratifié mes oreilles.
Quoi qu’il en soit, ça l’avait rendu bien plus aimable – comme quoi le sexe fait des miracles !
Elle avait gouté au cocktail préparé par Erik qui – je le savais – serait un véritable délice. Seulement, il ne l’était pas tant pour Peyton qui – avec toute l’ironie qui la composait après une grimace difficilement camouflée – avait dit qu’elle adorait. Apparemment, ça devait manquer d’alcool et elle l’avait fait remarquer à sa manière. Je connaissais Erik, je savais que si ça ne goûtait pas tant l’alcool, ça ne voulait pas dire qu’il n’y en avait pas une certaine quantité dedans. Les cocktails peuvent – souvent – être traitres. -Tiens… Je retrouve mon aimable Peyton !, dis-je avec un sourire sarcastique. J’ai cru l’avoir perdu pendant quelques secondes entre ton « s’il vous plait » et ton « merci ».
Seulement, nous n’étions pas là pour parler « cocktails ». Je préférais m’assurer que mon paquet – traduisez « Peyton » - allait bien s’installer définitivement à L.A. C’était indispensable pour remplir mon unique – mais importante – condition.
La jeune Davis s’était éloignée de moi pour tremper son pied dans la piscine. J’avais lorgné – sans vergogne – sur son corps encore nu. Pendant que je me rinçais l’œil, elle avait dit avoir mis les meilleurs agents immobiliers sur le coup – bien ! Pour l’endroit elle s’en remettait à mes conseils. -Malibu, c’est l’endroit idéal pour les stars qui aiment s’enfermer chez eux. Il y fait calme et tu peux facilement obtenir une villa au bord de la mer. Mais, je te conseil Beverly Hills. C’est plus festif et plus proche du centre-ville. Puis, j’y habite, ce qui donne une valeur supplémentaire au quartier, dis-je avec un large sourire et en dégustant mon whisky.
Tant qu’à faire – autant qu’elle habite Beverly Hills. C’était encore plus simple si jamais elle voulait passer du temps dans ma villa.
Peyton avait l’intention d’appeler sa mère demain pour obtenir le compte rendu du projet. N’étais-ce pas merveilleux que tout s’enchaine si facilement et si vite – même trop beau pour être vrai ? Si !
La jeune femme voulait – par contre – passer ce jour à ne rien faire. J’aimais cette mentalité !
-Je ne t’en veux pas le moins du monde, dis-je en souriant.
Apparemment, ses parents et tout son personnel était sur le coup – j’imagine, donc, que Peyton pouvait se permettre de ne rien faire aujourd’hui. Je l’y encourageais, d’ailleurs !
Peyton s’était retournée vers moi pour m’envoyer un regard trop doux pour être vrai – ça cachait une demande tout ça. Seulement, ce n’était pas une demande trop difficile à remplir. -Comment pourrais-je résister à ces yeux-là ?, dis-je avec un petit sourire.
Je m’étais levé de mon transat’ – j’avais, d’abord, pris soin d’achever mon verre. J’étais entré dans la piscine sans plonger – juste en entrant doucement. L’eau était – très – chaude parce que le soleil avait tapé dessus pendant des heures. Mon jardin était – particulièrement – bien situé.
Je m’étais tourné vers Peyton les bras croisés sur le béton qui entourait la piscine. -Tu n’as plus qu’à me rejoindre. Elle est chaude, en plus, dis-je toujours souriant. Tu veux, peut-être, que je te fasse amener un alcool plus fort ?
Ça sera l’occasion d’en commander un pour moi aussi – tant qu’à faire.
Je regardais les courbes parfaites de Peyton qui m’en faisait oublier le caractère détestable de la chanteuse. Elle était belle – il n’y avait pas de doute là-dessus.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Sam 10 Fév - 4:13
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Le cocktail manque franchement de pep. Il est fade, un point c’est tout et je me fiche bien que Daniele rigole en disant que la vraie moi s’était perdue entre un s’il-te-plait et un merci. Il ne peut juger de la qualité du produit puisqu’il n’en boit pas. Je suis certaine qu’il s’enfile tellement de verre de whisky qu’il y a probablement plus d’alcool dans son sang que dans une bouteille de son précieux breuvage !
Je me contente de rouler des yeux et de déposer mon verre sur le sol de la terrasse plutôt que d’argumenter. Oui, oui ! J’abdique. Parfois, il faut savoir choisir ses combats et comme j’ai à cœur mon petit projet, je dois faire des concessions titanesques le temps de mon séjour ici.
Je me dirige vers la piscine tant pour réfléchir a la meilleure des réponses a sa question pourtant toute simple concernant mon éventuel déménagement à Los Angeles et c’est avec une assurance inébranlable que je lui confirme avoir une équipe sur le projet. J’ajoute en plus que ses précieux conseils pour choisir le quartier idéal ne seraient pas de refus.
J’aurais dû bien sur me douter qu’il prêcherait pour sa propre paroisse.
- Soit ! Alors quand je lui parlerai, je dirai à ma mère de me trouver un truc bien à Beverly Hills.
Une villa est un excellent investissement. Si je dois payer une maison que pour fermer le clapet du manager et qu’il me signe un putain de contrat nous liant, je peux bien allonger les billets ! Dans le meilleur des mondes, elle servira sinon, je la rénoverai et la vendrai le double de ce qu’elle m’aura coûté.
Un point en commun entre Daniele et moi est sans nul doute le plaisir que nous prenons à se la couler douce. C’est d’ailleurs un argument non négligeable avec lequel je justifie ce jour à ne rien faire d’autre que de profiter du moment.
Je sens que là, j’ai marqué quelques points.
Assez pour convaincre l’homme encore assez sexy pour son âge à venir me rejoindre dans la piscine. Il entre dans l’eau comme un roi : lentement et avec grâce. Je le regarde, un sourire moqueur sur les lèvres, les bras toujours croisés sur ma poitrine jusqu’à ce qu’il m’invite à le rejoindre.
Je m’accroupis donc sur le bord de la piscine avant d’y descendre mes jambes et de me laisser aller jusqu’à nager à lui, l’enlacer et l’embrasser.
- Je suis certaine que tu peux les compter sur les doigts d’une seule main les fois où tu t’es baigner pour le plaisir dans ta piscine !
Elle doit n’être qu’accessoire pour ses orgies festives et dans l’immédiat, j’ai un espèce de frisson de dégoût en imaginant combien de génocides éjaculatoires il y a eu dans cette piscine. Mais je préfère ne pas y songer et me laisser porter par l’italien.
- Alors, ça fait quoi un manager de grande réputation dans ses temps libres ?
Parce qu’il faut bien admettre que la vie de farniente c’est bien beau mais il doit quand même avoir des activités. Je l’imagine pas vraiment courir les terrains de tennis, non plus qu’il doit se faire un petit jogging le matin. Le plus gros de ses calories, il les brûle en culbutant des femmes mais le reste du temps, il fait quoi ?
- Tu joues au poker ? Tu te fais un cinéma? C’est quoi ta vie en gros c’est ça ma question.
C’est pas non plus complètement désintéressé comme question. Si ça se trouve, il y aura un truc là dedans qui me plaira et qui fera en sorte de me faire vraiment songer à emménager pas très loin de chez lui.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Sam 10 Fév - 19:54
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Beverly Hills – quoi de mieux comme quartier ? C’est – sans surprise – que j’avais vanté à Peyton les avantages de cet endroit. L’avoir sous la main était bien plus pratique. Elle était convaincue – n’était-ce pas parfait ? -Parfait, dis-je satisfait et content.
Elle n’aura pas difficile de trouver une villa à son goût dans le coin – Beverly Hills regorge de magnifiques villas. La mienne en est une preuve !
Les dernières clauses de mon contrat semblaient se remplir doucement – pour mon plus grand plaisir. Ne restera qu’à convaincre Jim de faire signer Peyton, ce qui n’allait pas être du gâteau. Seulement, Jim peut-il me refuser cette faveur ? Non – bien sûr que non !
En attendant d’accomplir toutes ses formalités, on allait prendre du bon temps. C’était – en grande partie – pour ça que j’avais invité Peyton dans ma villa. L’avoir comme poulain était un plus qui rendrait ma carrière plus rutilante mais ce n’était pas vital. J’aimais juste pouvoir me prouver que je pouvais obtenir tout ce que je voulais – Peyton compris.
La jeune Davis avait une requête – elle voulait que je vienne avec elle dans ma magnifique piscine. Je n’avais pas hésité. J’avais bien envie de me baigner avec elle. Pourquoi – donc – refuserais-je ?
J’y étais entré délicatement – je détestais faire des plongeons. J’étais le roi de cette piscine tout comme j’étais le roi de L.A. C’était à mon tour d’inviter la diva à me rejoindre. Elle avait pris le temps – elle aussi – pour entrer dans l’eau. Je l’avais regardé nager jusqu’à moi sans que je ne bouge d’un poil. J’aimais qu’on vienne à moi – j’étais Daniele Ricci.
Elle m’avait embrassé – un baiser que je lui avais rendu. C’était avant que Peyton ne me parle de cette piscine. Elle croyait – dur comme fer – que ce n’était qu’un outil de décoration. Sans doute un symbole de ma richesse ou un plaisir qui n’était vraiment profitable qu’à mes invités.
-Je m’y prélasse bien plus souvent que tu ne l’imagines, dis-je en caressant son corps de son dos jusqu’à ses fesses – lieu où j’avais laissé reposer mes mains.
Je n’y nageais pas souvent – mais j’y allais souvent. Même quand j’étais seul dans ma villa il m’arrive – fréquemment – d’y entrer.
J’aimais rentabiliser mes acquis – Peyton s’en rendra compte bien vite.
La jeune Davis avait encore des questions en réserve – c’est normal, j’étais Daniele Ricci. Notamment sur mon temps libre. Que faisait – donc – le grand Daniele Ricci pendant son temps libre ? La meilleure des questions serait - sans doute - « est-ce que le grand Daniele Ricci a du temps libre ? ». J’en avais très peu – quoi que je laisse transparaitre.
Peyton avait quelques activités qui rentraient dans celles que j’avais l’habitude de faire dans mon pseudo temps libre – seulement ma vie était loin de se résumer à ça. -Je t’aurais bien dit que ma vie se résume à « sexe, drogue et rock n’roll » mais ça serait mentir. Il faudrait éliminer la drogue et le remplacer par « travail » pour être plus proche de la réalité, dis-je en parcourant – toujours – délicatement le corps de Peyton de mes mains. Quand je ne suis pas en train de m’occuper de mes poulains, j’organise des fêtes ici ou je vais à des galas. En dehors de ça, je me prélasse dans ma villa et je vais, de temps en temps, au cinéma. Je n’ai pas beaucoup de temps libres et je n’en ai pas besoin car le travail que je fais est, pour moi, ce qui m’éclate le plus, rajoutais-je en souriant.
Booker des concerts, voyager, négocier, faire des interviews, repérer de nouveaux talents, superviser la confection des albums, faire la promotion de mes poulains – voilà ce qui éclatait Daniele Ricci. C’est ce qui avait fait ma renommée. -Et toi, Peyton ?, demandais-je avec le même sourire. Qu’est-ce que tu fais pendant tes temps libres ?
Qu’est-ce qui était assez grisant que pour satisfait cette éternelle insatisfaite de Davis ? C’était une question auquel il valait mieux que j’obtienne la réponse avant de la faire signer…
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Mer 14 Fév - 18:39
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Je rejoins Daniele dans l’eau et nage jusqu’à lui. Elle me semblait beaucoup plus chaude en surface et le contraste sur ma peau, même si c’est rafraîchissant, n’est pas si agréable que ça. Alors je viens vite enlacer mon amant. Me coller à lui compense pour la froideur de l’eau. Peut-être est-ce simplement parce que Daniele, comme les Italiens en général, bénéficie de la réputation d’avoir le sang chaud, enfin, beaucoup plus chaud que la normale, mais lui, il irradie carrément !
Mais, honnêtement, tous les moyens sont bons pour se coller !
Mes bras passés autour de son cou, mes jambes autour de sa taille, je l’embrasse comme j’en ai envie alors qu’il nous porte au travers de la piscine. Piscine dont je suis certaine sert beaucoup plus pour les invités que pour son propriétaire, chose qu’il réfute en targuant qu’il aime y faire trempette régulièrement.
Bon alors on ajoutera ça aux choses à faire cette semaine. Tant qu’à être ici pour se la couler douce. Au sec ou trempée, de toute façon, je finirai toute mouillée dans un cas comme dans l’autre.
Ce qui m’intéresse, c’est de savoir ce qu’il fait lui dans ses temps libres. Un homme comme lui, ça ne doit pas aimer les choses banales dont le commun des mortels bénéficient. Je l’imagine mal, disons, aimer aller faire son petit jogging et se lancer dans une discussion avec son voisin le plus proche et parler de l’entretiens des plates bandes.
Je souris, intéressée. Parce que, pour la cause, je le suis vraiment. Il me parle en fait de ce que sa vie peut sembler être et j’acquiesce d’un geste de tête parce que, ouais, de l’extérieur, on pourrait dire que sa vie se résume bien a sex-drugs and rock n’ roll… mais ce n'est qu’apparence. Sa drogue à lui, c’st le travail.
- Work-addict donc… La preuve étant que tu ramène même du boulot à la maison…
Le travail ici et pour l’instant étant moi et notre possible association.
- Donc les fêtes, les galas… c’est le côté relation publique, une bonne façon d’élargir ton cercle de connaissances et c’est une bonne chose. J’adore faire ça moi-même.
Je l’imaginais mal cependant aller au cinéma. Peut-être parce que moi-même je n’aime pas y aller. Je préfère visionner les films dans le confort de ma maison, dans mon lit de préférence, avec un homme et pour qu’au final, on ne voit jamais la fin du film.
Et Daniele de me retourner ma propre question ce qui fit se dessiner sur mes lèvres, un fin sourire.
- Je vire des gens ! Je détruits leur moral et puis je recommence avec d’autres le jour suivant.
J’embrasse de nouveau mon amant tout en glissant une main entre nous, cherchant à voir si l’eau avait refroidit ses ardeurs.
- Mais sinon j’adore me détendre et par tous les moyens possibles.
Mes lèvres traînent sur ton visage passant des siennes jusqu’à son oreille pour ensuite descendre dans son cou. Ce qui me frappe là, tout de suite, c’est la sensation de bien être absolue que je trouve à être dans les bras de l’homme.
« Ne tombe pas amoureuse, Peyton… il n’est qu’un pion… ne l’oublie pas! »
J’ai beau me le répéter, je crois que c’est déjà trop tard.
- J’ai encore envie de toi, lui dis-je d’une toute petite voix, [b] pas toi ? [/ b]
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Daniele Ricci
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Jeu 15 Fév - 19:54
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
La – douce – sensation de l’eau sur ma peau me faisait grand bien. L’eau était délicieusement chaude grâce au soleil de Los Angeles – tant détesté par Peyton. Elle allait apprendre à l’adopter quand elle viendra s’installer à Beverly Hills. Dans quelques mois, elle me remerciera de l’opportunité que je lui ai offerte.
Nous étions bien l’un contre l’autre dans cette piscine – que j’utilisais bien plus que Peyton ne l’imaginais. Ses baisers me donnaient l’impression que l’eau était encore plus chaude. C’était agréable au possible.
Seulement, rien ne valait une bonne conversation avant – je l’imagine – de se remettre à un peu de sport dans un endroit aussi relaxant que cette piscine. C’est ainsi que j’avais parlé des choses que je faisais en dehors de mon travail – et qui n’étaient guère nombreuses. J’avais été qualifié de work-addict, ce qui était en plein dans la vérité. Mon addiction m’avait amené à ramener du travail à la maison – Peyton avait tout à fait raison.
-Effectivement, dis-je en souriant tout en caressant son magnifique corps.
Peyton représentait – à elle seule – le travail et les loisirs. A considérer que je faisais la scission entre les deux, bien sûr.
Peyton semblait – elle aussi – être branché fête et gala. Voilà un point commun tout à fait intéressant que nous avions.
-Les galas et les fêtes en tout genre sont mon terrain de jeu préféré. C’est là que je trouve les meilleures opportunités. La preuve, tu es ici, dis-je en faisant référence à la remise de prix d’hier où j’avais invité Peyton à venir ici.
C’est dans ce genre d’évènement que la jet-set se réunissait et il y avait toujours de bonnes opportunités dans la jet-set. J’étais le meilleur pour les dénicher et les exploiter – j’étais Daniele Ricci.
Les hobbys de Peyton étaient – en partie – différents des miens. Elle se plaisait à détruire moralement ses employés. J’avais déjà remarqué ça… Elle ne m’apprenait pas grand-chose – elle confirmait juste qu’elle était une garce sans cœur. Je m’étais retenu de lancer une pique tintée d’ironie et cela – uniquement – parce qu’elle savait jouer de ses mains sur mon corps et de ses lèvres. -Passionnant, dis-je en me mordant la lèvre - étant en proie au désir de cesser de parler et de profiter encore de Peyton. J’aime les femmes qui savent s’imposer, rajoutais-je en ne sachant pas si je parlais de son penchant pour le sadisme envers son personnel ou si je parlais de ses capacités à me faire frissonner de plaisir.
Son dernier hobby était plus en phase avec ce que j’étais. J’aimais travailler mais se détendre était une activité tout aussi gratifiante.
Ses lèvres s’appropriaient mon visage – pendant que j’essayais de les choper au vol avec les miennes pour lui donner de brefs baisers. Elles s’en étaient échappées pour trainer dans mon cou. Peyton réactivait l’envie en moi – bien qu’il n’y avait pas besoin de tant que ça pour me réactiver… Elle activait – aussi – mon envie de l’avoir comme poulain et pas uniquement pour les revenus et la gloire – supplémentaire – qu’elle pourra m’apporter...
Elle avait encore envie de moi. C’était une phrase que j’aimais entendre. -Moi aussi, soufflais-je à son oreille. Je n’ai envie que de toi.
La mettre sur un piédestal et lui montrer qu’elle était spéciale – quoi de mieux pour faire monter, encore un peu plus, la température.
Ses jambes enlaçaient ma taille assez pour que nos sexes se touchent. Seulement, c’est sur les baisers que je m’étais concentré – tout d’abord. Quoi de mieux que de sentir nos langues s’enlacer ? Les sensations provoquées étaient exquises autant que mes caresses osées qui avaient tôt fait de s’intensifier au point que mes doigts étaient venus s’inséré dans ce qui faisait – en partie – la féminité de Peyton. J’y allais doucement puis plus rapidement – comme une douce torture. Le simple fait de la voir à ma merci me suffisait à m’exciter d’autant plus. -C’est comment, chérie ?, soufflais-je entre deux baisers dans son cou.
J’avais enlevé mes doigts pour pouvoir nous unir. L’eau avait ça de bon que ça donnait une autre dimension aux sensations qu’on vivait – mieux que celle qu’on avait en cramant au soleil.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Ven 16 Fév - 4:22
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Nos passes temps se rejoignent sur certains points comme ils diffèrent sur d’autres. Mais au bout du compte, nous sommes tous les deux, deux grands amateurs de fêtes et sommes prêts à tout pour grappiller la moindre parcelle de visibilité.
Ce qui, cependant, nous rapproche le plus, c’est la façon de nous détendre en agréable compagnie. L’admettre à un goût plutôt amer mais il m’est difficile de résister à Daniele et quelque part, j’espère qu’il en va de même pour lui aussi à mon égard.
Accroché à lui, mes genoux refermés de chaque côté de ses hanches et mes bras autour de son cou. Daniele nous entraîne dans l’eau ou peut-être est-ce que nous dérivons tout simplement, yeux dans les yeux.
Je lui confie avoir très envie de lui et la réciproque s’avère tout aussi vraie au point qu’il ne tarde par à me le faire sentir, d’abord avec son sexe qui vient flirter avec mon intimité puis avec ses doigts, qu’il enfonce en moi me forçant à briser le contact visuel alors que je ferme les yeux tout en gémissants faiblement.
Nos bouches se trouvent dans l’aventure et c’est au tour de nos langues de se mener la vie dure. Dans ses bras, je perds mes repaires. Je ne suis plus qu’une petite fille toute frêle et fragile qui ne demande uniquement qu’on prenne soin d’elle…
Daniele, toujours un coup d’avance sur tout et tout le monde, pénètre déjà mon intimité avec ses doigts agiles. De doux mais intrusifs mouvement m’arrachant chaque fois des gémissements de plus en plus intenses. Et alors qu’il couvre mon cou de voluptueux baisers, il me murmure d’une voix suave à savoir comment c’est.
Comment c’est ?
Quoi lui répondre ? Qu’il me rend dingue ? Que je ne me sens plus en contrôle de rien et qu’il est sur le point de vaincre toutes les barrières que j’ai toujours dressé entre les hommes et moi parce que ma carrière a toujours été la seule et unique chose importante dans ma vie?
- Parfait…
C’est tout ce que je peux dire.
Tout comme la façon dont il a de me faire l’amour, à même la piscine, puis la fois suivante et l’autre encore après.
C’est principalement ça que nous faisons. Partout dans la maison comme à l’extérieur, nous ne parvenons à rien d’autre qu’à copuler dès qu’on se frôle. Moi, autant que lui.
Le troisième jour, je passe un coup de fil à ma mère. Parce que malgré tout, j’ai un plan à suivre et j’y tiens plus que tout le reste. Je le veux lui comme manager et qu’importe les dollars que je devrai allonger, il me les fera regagner, n’est-il pas The Best, après tout?
Ma mère est désespérée. Non pas parce qu’elle ne trouve rien, au contraire, ce n’est pas l’embarras du choix qui manque. Mais bien justement parce que sa petite fille chérie s’apprête à quitter définitivement le nid familiale.
Ce qu’elle croit.
Parce que moins de gens sont au courant que je n’ai que l’intention de mettre mon nom sur un acte de vente que dans le but de lancé un leurre, plus j’ai de chance, voir la certitude, d’atteindre mon but. Et, de toute façon, jamais Daniele n’a mentionné que je devais y vivre à plein temps. Alors, en vérité, je ne triche pas… totalement.
- Voilà ! Il y a 3 Villas a visiter par mi toutes celles sélectionnées. Les autres sont bien, selon l’agence mais comporte des travaux important. J’imagine que tu vas tenir compte du délai d’aménagement donc vaut mieux en prendre une clé en main. , dis-je a Daniele en le rejoignant sur sa terrasse alors qu’il se la joue encore « homard sur le grill », verre en main. Tu m’accompagnes pour visiter où tu préfères attendre d’atteindre ton point de cuisson idéale avant de tourner de côté et passer à la face dos de ton bronzage ?
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Ven 16 Fév - 19:41
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
« Parfait » - il n’y avait pas de mot plus doux pour mes oreilles. Peyton s’était abandonnée à moi dans la piscine jusqu’à l’explosion finale. La deuxième d’une longue lignée.
A chaque fois, on redoublait d’imagination pour rendre la fois unique. On devait l’avoir fait – je pense – dans à peu près toutes les pièces de ma villa à l’exception de mon précieux studio. Je lui réservais la visite de ce dernier quand elle aura mis sa signature sur un contrat qui nous lierait – elle et moi - professionnellement. L’accès à mon petit jardin secret n’étant réservé qu’à mes poulains et à mes petites amies quand j’en avais – ce qui n’était plus arrivé depuis Barbara Sherman avec qui j’ai eu une liaison de deux mois en 1969.
Tout ceci pour dire qu’on avait fait l’amour – enfin, c’était un bien grand terme… - des dizaines de fois pendant trois jours. C’était une cadence soutenue même pour le grand Daniele Ricci mais je m’amusais comme un dingue. Cette semaine de congé allait s’avérer être sportive mais – aussi – revigorante. Car, rien de tel qu’une bonne compagnie et du soleil pour recharger ses batteries à la façon Ricci – soit en buvant, baisant, bronzant. Triple « B ».
Seulement - arrivé au troisième jour - Peyton avait dû se rappeler que, si elle voulait que cette semaine soit aussi revigorante que productive, elle devait téléphoner à sa mère. Elle l’avait fait pendant que je bronzais tranquillement au soleil – un whisky à la main. Putain, qu’est-ce que j’adorais ma vie !
J’allais me retourner pour exposer mon dos au soleil quand Peyton était réapparue sur la terrasse. Elle avait dit que nous avions trois villas à visiter – les autres nécessitants des travaux. J’imaginais que ça signifiait que nous allions passer quelques heures à faire des visites. Pourquoi pas ! J’aimais visiter de belles villas et – surtout – constater que la mienne était la plus belle.
Peyton avait fait une réflexion sur mon bronzage – une façon à elle de demander si je venais.
-Oui, je t’accompagne, dis-je en me levant et en achevant – d’une traite – mon whisky. Et, oui, mieux vaut une villa clé en main. Plus vite tu t’installes ici, plus vite je pourrais te faire signer le contrat avec BSC. A cette allure, tu seras vite installée, dis-je en lui faisant un clin d’œil.
Je comptais lui faire signer le contrat quand elle aura – grandement – amorcé son déménagement. Pas avant. J’étais un homme d’affaire et je voulais – absolument – toute les garanties avant d’engager Davis.
Restera – quand Peyton sera en cours d’installation – à convaincre Jim mais ça ce n’était pas pour tout de suite.
J’avais enfilé un t-shirt.
-Allons-y, chérie, dis-je en l’embrassant. Donne le numéro de l'agence à Erik pour qu'il les prévienne qu'on va visiter ses villas tout de suite et qu'ils nous envoient un agent sur place, rajoutais-je en souriant.
En attendant, j'avais mis des habits un peu plus classe - même si j'avais la classe en tout circonstance. Ensuite, on s'était installé dans ma - superbe - voiture de sport.
On avait démarré direction notre première destination.
-Alors ? Elle est où la première ?, demandais-je afin d’avoir l’adresse.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Ven 16 Fév - 21:09
A FEW DAYS IN THE BEST'S LIFE (1977) ft. The Best
Je sens que j’ai étiré mon élastique juste assez pour éviter les suspicions de Daniele mais qu’il est temps de poser un geste concret pour continuer de le tenir bien comme il faut au bout de ma ligne. Un si beau poisson, ce serait dommage de le rejeter dans le lac trop tôt !
Quand je repose le cornet du téléphone après avoir passer un coup de fil à ma mère, j’ai noté les adresses des maisons que l’agent embauché a trouvées. Dans mon concept idéal, il n’en trouvait pas aussi facilement.
Mais, puisqu’il le faut !
Je rejoins Daniele qui bronze sur la terrasse telle un gros pacha de luxe. En fait, c’est ce qu’il est. Et je prédis que dans quelques années, il sera ventru mais, d’ici là, je n’aurai plus besoin de lui et il aura rejoins ma longue liste de rejets.
Et ça me répugne un peu de voir sa sueur perlé au soleil. Ça ressemble a du jus de viande qui s’échappe à la cuisson. Beurk !
Quoi qu’il en soit, je le sort de sa détente perpétuelle pour lui demander s’il a l’intention de rôtir encore longtemps ou s’il compte m’accompagner dans mes visites. Non pas que je tienne absolument qu’il vienne avec moi. Ce serait même plus simple s’il restait ici à boire et entretenir son futur cancer de la peau et je n’aurais qu’à lui dire à mon retour que les Villas n’étaient pas assez ci ou trop cela.
Mais non. Daniele va m’accompagner et je devrai soit en choisir une aujourd’hui ou jouer à fond la carte du « je paie alors j’ai droit d’être exigeante! »
- Le temps quand même que je fasse venir mes affaires de New York, j’espère au moins que j’aurai un contrat en bonne et due forme a lire, à défaut d’avoir le droit de le signer. Je dois le soumettre à mes avocats avant, de toute façon alors toi aussi, tu as du boulot !
Je ne signerai pas un contrat sur sa bonne foi uniquement. Je suis peut-être jeune mais ma carrière n’est pas de la dernière pluie. Si je sais rouler les gens à mon avantage, l’inverse est tout aussi vrai. En affaire, vaut mieux être l’enculeur que l’enculé. Logique, non ?
Je file donc les adresses à Erik, tel que me l’a demandé Daniele pour que ce dernier se charge de prévenir les agents concernés.
La première Villa, situé sur Rodeo Drive me laisse vraiment sur le cul. Mais je reste de marbre tout au long de la visite, ne trouvant qu’à critiqué alors qu’elle est parfaite en tout point.
« Trop de luminosité… trop d’escalier… trop d’éviers (?!) Placard trop petit et une piscine de forme trop standard ! »
- Non merci ! Allons voir la suivante, mon cœur !
J’adore jouer l’amoureuse exigeante devant les agents. Ça risque de fuité dans un journal, je n’en serais pas surprise d’autant plus que The Best et moi, sommes que partenaire sexuel et rien de plus.
La seconde me facilite la tâche grandement. Sur Rodeo Drive elle aussi, elle ressemble plus à un bunker que autre chose. Les moquettes violettes ont vite fait de me faire piquer une crise et je refuse d’en voir d’avantage.
- Ils se foutent de moi où quoi ? Je n’y ferais même pas vivre un chien ! Daniele ! Dis quelque chose, enfin quoi c’est rire de nous là !
Je suis réellement offusquée, voire outrée ! Je parviens toutefois à me calmer, en prenant place dans la voiture.
- Sunset Boulevard, la troisième… 1466, le numéro de porte…
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Lun 19 Fév - 19:37
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
Nous avions des villas à visiter – c’était notre mission du jour. Je comptais accompagner Peyton, aujourd’hui, pour les visites. Ce n’était pas dans l’intention de la fliquer mais – uniquement – pour passer le temps et voir que j’ai la plus belle villa du quartier voire du monde entier. C’est pour cette unique raison que j’avais levé mon cul de mon transat’.
J’avais – aussi – envie que toutes les démarches autour du déménagement de Peyton de la côte est à la côte ouest se fassent le plus vite possible. Car tant qu’elle n’aura pas les deux pieds dans la Cité des Anges, pas question pour moi de lui faire signer un contrat. Seulement, sur ce point, la jeune Davis était aussi exigeante que moi – elle voulait lire le contrat avant l’arrivée de ses affaires de New York. Elle ne perdait pas le Nord la gamine.
-Je suis au courant, dis-je avec un sourire en coin. Je connais mon travail mieux que quiconque. Tu l’auras ton contrat en bonne et due forme et dans les délais, rajoutais-je en m’étirant.
Ça lui fera de la lecture en attendant ses affaires – ça ne lui fera pas de mal. Mes contrats sont, de toute façon, préparés à l’avance – je dois juste rajouter quelques clauses propres à celui de Peyton qui m’évitera toute possible arnaque de la petite garce. Elle m’avait montré hier qu’elle pouvait s’improviser petite femme d’affaire – je devais me méfier de son arrogance. Après ça, il me suffira d’un coup de fil à Maria – ma secrétaire – et l’affaire sera dans le sac.
On s’était mis en route pour la première villa sur Rodeo Drive. Une jolie villa dans une rue assez chique. Quand l’agent immobilier nous a vus arriver, j’ai bien vu son stress s’afficher sur son visage. Il devait – pourtant – être habitué à faire visiter des célébrités. C’est rares les gens lambda qui étaient capables de s’acheter de pareilles merveilles.
De l’extérieur, la villa était merveilleuse. Seulement, arrivé à l’intérieur les critiques ont commencé à fuser du côté de Peyton. Il y avait toujours trop de choses. Trop d’escaliers – moui, ça se défend. Trop luminosité – quand je pense que certains ne jure que par ça… Trop d’éviers – euh, oui, si on veut… En résumé, Peyton n’était pas satisfaite et le montrait. L’agent immobilier avait – d’ailleurs – une mine déconfite quand elle lui avait bien fait comprendre qu’elle ne voulait pas de cette villa et qu’elle voulait passer à la suivante. Putain, cette fille était un poison pour tout professionnel qui l’entourait – sauf moi, moi je me débrouillais à merveille.
-D’accord, mon amour, dis-je en jouant dans son jeu.
Nous étions passés à la seconde villa qui était un peu plus loin dans la même rue. Seulement, elle n’était pas – non plus – au goût de Peyton. Normal, cette villa était moche. Je ne l’aurais pas acheté non plus. Elle l’avait fait comprendre à l’agent immobilier en lui faisant une petite – grosse ? – crise de nerf devant la couleur immonde de la moquette. -Ça va aller, chérie, dis-je en jouant toujours dans son jeu même si ma petite crise de nerf me faisait plus rire qu’autre chose – je me retenais, d’ailleurs, de ne pas rire… Vous pensiez vraiment que cette villa est à la hauteur de la grand Peyton Davis ?, dis-je en m’adressant à l’agent qui était confus et présenta ses excuses.
Putain quelle journée de merde pour cet homme. C’était vraiment un métier merdique, agent immobilier de luxe.
Peyton ne s’était calmée qu’arrivée dans la voiture. Il nous restait une villa à visiter et j’espérais – vraiment ! – que ça allait être la bonne. J’avais envie de retourner me prélasser devant ma piscine un whisky à la main et – surtout – avec la certitude que l’affaire serait bientôt finalisé. Parce que si Peyton ne trouve pas de maison aujourd’hui, je n’allais pas me fouler à téléphoner à Maria pour le contrat – il ne faut pas rêver.
-La troisième sera la bonne, dis-je en l’espérant sincèrement. Je crois que si ce n’est pas le cas, ce pauvre agent va aller se pendre, rajoutais-je presque sérieusement.
Ce ne serait – sûrement – pas le premier à se suicider à cause de Peyton. Je suis sûr que le taux de suicide à augmenter à New York depuis qu’elle a accédé à la renommée.
On était arrivé à la dernière adresse un peu après l’agent. J’avais pris mon temps - pour une fois -, en chemin, histoire que Peyton se détende avant le dernier round.
La maison était plutôt belle de l’extérieur – pas mon style du tout mais qu’importe.
L’agent défendait cette villa comme si sa vie en dépendait. Le living et les salons était plutôt sympas et cosys – lumineux sans excès. Les salles de bains disposaient même d’une partie hammam. Certaines chambres – dont la principale – avaient même leur propre balcon. Les pièces les plus remarquables étaient – pour ma part – l’énorme bar et la salle de projection. C’est ce qu’il manquait à ma magnifique villa – une salle de projection. Il faudra que je remédie à ça.
La visite s’était clôturée par les extérieurs – terrasse et piscine étaient parfaitement à mon goût même si, comparé à chez moi, c’était un peu petit. Je m’étais installé sur un transat’ pendant que l’agent défendait son bien avec ardeur – pour éviter de s’attirer la colère de Davis, je présume.
-Elle est pas mal, tu ne trouves pas, chérie ?, demandais-je à Peyton. Le quartier est pas mal. La maison est bien située. La salle de projection vaut largement le détour… C’est une villa que beaucoup vont t’envier même les plus riches, rajoutais-je pour aider l’agent immobilier qui transpirait tellement ces visites l’avaient épuisées.
L’agent avait donné son prix qui n’excédait pas les 10 millions de dollars. Un prix abordable pour moi – ma fortune s’élevant à presque 300 millions - mais je n’étais pas dans les finances de Peyton.
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Ven 23 Fév - 22:21
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Certains diront que je suis une petite fille gâtée, capricieuse et compliquée à l’extrême. À ceux là, je réponds que je sais ce que je veux et surtout ce que je ne veux pas. J’ai des standards et ma qualité de vie n’a pas de prix. J’irai toujours au-delà des normes pour m’assurer le confort auquel j’estime avoir droit. Et ce confort, je ne le trouverai pas dans une villa qui est dotée d’un évier dans quasi chaque pièce ! Encore moins dans une villa dont la moquette laisse imaginer qu’on y a éventré une licorne.
Je suis Lola et je veux une villa pour Lola. Après les deux premières maisons, j’ai perdu espoir et je ne mâche pas mes mots pour le faire comprendre à l’agent et Daniele qui m’accompagne dans ma recherche.
- Je ne sais pas si vous le savez, mais je ne suis pas n’importe qui pour me contenter de la maison de bois du second petit cochon !
À en croire Daniele, Beverly Hills était l’endroit tout indiqué pour me loger. J’allais avoir accès au paradis mais pour le moment, c’est un véritable cauchemar.
Je ne trouve à me calmer qu’une fois installer dans la voiture de Daniele et après en avoir claqué la portière. Je donne la troisième adresse à mon amant qui démarre et nous mets en route. J’en ai les dents serrées et les bras croisés contre ma poitrine, je ne dis pas un mot du reste du trajet.
Quand Daniele stationne sa voiture, j’abaisse mes verres fumés pour regarder ce qui s’offre à moi cette fois. Elle est pas mal. À l’œil, beaucoup plus petite que celle de mon amant mais elle se défendait par son style bien a elle. Elle avait un petit je ne sais quoi de charmant. Hors de question que je ne l’avoue à haute voix. Le simple fait de le constater laisse un goût amer dans ma gorge.
Nous suivons l’agent dans la visite de cette troisième villa. Si jamais elle ne me plaît pas, je pourrai me rabattre sur Malibu ou en faire construire une… mais ça commence à faire compliquer pour ce qui devait être un attrape nigaud.
Seulement, tel est prit qui croyait prendre. Cette villa n’a presque rien sur quoi je peux critiquer. Au contraire. Nous terminons la visite par l’extérieur, la terrasse, le jardin, la piscine. Je viens m’appuyer sur Daniele, mon dos contre son torse alors qu’il me fait le compte rendu de ses impressions.
- Mouais… un peu petite... et je n’aime pas l’agencement des fleurs. Ça sent le cadavre !
Je tourne sur moi-même pour regarder l’Italien, comme si je cherchais dans ses yeux une seule bonne raison de dire « merci, non merci ! ».
- Je signe où ?
L’agent ne se cache même pas pour jubiler et s’avance pour me serrer la main mais je les glisses dans mes poches. Hors de questions que je serre la main d’un homme que je ne connais pas et qui doit probablement se planter les doigts dans les narines quand on ne regarde pas.
- Faites préparer ce qu’il faut et envoyé tout ça en trois copies à mes avocats. Une pour eux, une pour moi et l’autre pour lui, dis-je en désignant Daniele d’un geste de tête. [/b]
L’agent sourit en hochant de la tête et prend note de l’adresse que je lui récite en ajoutant les noms des gens concernés par la nouvelle transaction.
- Vous faites une bonne affaire, Mademoiselle Davis !
- Mouais… Bah ça, on verra !
Je crois que l’agent voulu tenter une nouvelle fois de me serrer la main mais je me retournais pour planter mon regard dans celui de mon amant et lui demander si nous pouvions rentrer maintenant.
- J’ai faim et j’ai envie de faire l’amour !
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Sujet: Re: A Few Days In The Best's Life (1977)[PV Peyton][HOT][TERMINE] Sam 24 Fév - 19:49
A Few Days In The Best's Life ft. Peyton Davis
La dernière villa est magnifique. Elle a son petit charme, elle est fonctionnelle et il y a des pièces que j’aurais aimé avoir dans ma propre villa – c’est dire ! La visite se passe sans aucun commentaire de Peyton – ce qui était un petit miracle en soit. Putain, il lui fallait l’incarnation du luxe, à Peyton, pour éviter d’ouvrir sa petite bouche de diva. L’agent venait de faire un bon coup en nous présentant ce petit havre.
Nous avions achevé la visite par la terrasse et le jardin. C’était le bon moment pour enfoncer le clou et vanter les meilleures parties de cette villa – histoire d’aider le pauvre agent qui nous suivait et, d’enfin, achever cette journée par un achat.
Seulement, Peyton était Peyton – c’était bien ça le problème… Elle y était allé de ses quelques critiques sur la taille de la villa et… L’agencement des fleurs ? Putain, quand je vous disais qu’elle avait la critique acerbe et facile. -Tu pourras toujours faire venir un jardinier pour arranger ça, dis-je avec un sourire en coin. Je t’offrirai le coup de ce service, si tu le souhaites, rajoutais-je en bon homme d’affaire que j’étais.
S’il ne fallait que ça pour qu’elle achète cette villa…
Peyton m’avait regardé pour – ensuite – accepter cette villa comme nouvelle résidence. Hallelujah !
-A la bonne heure !, dis-je en souriant.
J’avais laissé l’agent montrer son bonheur, il s’était avancé pour serrer la main de Davis mais elle les avait rangées dans ses poches – garce un jour, garce toujours. J’étais content pour cet homme – sa journée de merde aura fini bien ! Il avait fait du sacré bon boulot !
Peyton était – à nouveau – en mode femme d’affaire et avait ordonné à l’agent d’envoyer une copie à tous, moi y compris. Je ne savais pas si j’adorais ce côté-là chez elle ou si je le détestais. J’aimais les femmes qui savaient ce qu’elles voulaient mais Peyton avait quelque chose de – profondément ! – agaçant dans sa façon d’être.
L’agent avait dit que Peyton avait fait une bonne affaire mais elle avait joué à la femme sceptique. Rien d’étonnant de sa part – Peyton était une insatisfaite congénitale.
Peyton – qui avait encore snobé ce pauvre type – voulait rentrer manger et faire l’amour. Un bon programme pour la fin de la journée.
-D’accord, chérie. On rentre, dis-je en prenant sa main.
Nous avions tourné les talons et j’avais fait un discret signe à l’agent – un pouce levé – dans le dos de Peyton.
Nous étions rentrés à la villa avec la certitude que Peyton allait – sous peu – s’installer à Los Angeles. C’était une petite victoire pour moi !
Quand nous étions revenus, Erik avait préparé le souper et je m’étais absenté quelques minutes les temps de téléphoner à ma secrétaire pour qu’elle rédige le contrat destiné à Davis – j’avais prévenu Peyton que mon appel concernait ça.
C’est de mon bureau que j’avais donné l’appel.
-Mademoiselle Watson, dis-je à ma secrétaire. Rédigez-moi un contrat standard de BSC destiné à Peyton Davis a.k.a. Lola. Ajoutez comme clause qu’elle doit impérativement résider et être domiciliée à L.A. pour que le contrat soit valable. Ajoutez qu’un agent de BSC passera toutes les semaines chez elle pour vérifier si elle réside bien là. Si ce n’est pas le cas, notez bien que le contrat sera résilié avec une indemnisation obligatoire pour BSC.
Maria avait bien tout noté et j’avais raccroché après qu’elle m’ait confirmé que le contrat me sera remis demain matin à ma villa – parfait !
J’étais revenu manger avec Peyton. Quant à la nuit, on l’avait passée à faire l’amour encore et encore comme lors des jours précédents.
Le lendemain, je m’étais réveillé un peu avant Peyton. Elle dormait encore dans notre lit quand je m’étais levé pour aller lui apporter le déjeuner au lit – en réalité, Erik me l’apportait jusqu’à l’entrée de la chambre et je ne faisais que porter le plateau les quelques mètres qui séparait la porte de ma chambre à mon lit. C’est nu que j’avais apporté le plateau de Peyton jusqu’au lit. Je m’étais installé à ses côtés avant de l’embrasser langoureusement. -Voilà le déjeuner, dis-je après ce baiser fougueux. Des céréales, des fruits, des tartines, des œufs, du bacon. Un vrai déjeuner à l’américaine avec un supplément de contrat, dis-je avec un sourire en coin.
A côté de tous les aliments se trouvait le contrat qui avait été remis à Erik ce matin.
-Bon appétit, dis-je avec en souriant.
Bacon et œuf – je ne mangeais jamais ça au déjeuner… Il n’y avait que les américains pour s’envoyer du salé en premier repas de la journée…
@ Billy Lighter
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