Y’a des phrases comme ça qui reviennent dans ma tête et qui, à force, finissent par me couler sur le dos comme sur celui d’un canard. Je les entends toutes en boucles. Tous les : ‘’ Tu as 26 ans Kenzie, il est temps que tu te trouve un emploi – À ton âge, je faisais déjà quelques choses de ma vie ! – Tu ne gagneras jamais ta vie en jouant avec le feu ! ‘’. Je vous épargne le suspense, c’est bien entendu de la bouche de ma très chère maman que me viennent ces recommandations d’une grande sagesse. C’est pas comme si elle avait fait quelque chose de répréhensible, dans sa vie, comme de coucher avec un homme marié et de se retrouver enceinte de sa bâtarde… Ah, si ! Elle l’a fait !
J’ai 26 ans, je squatte encore chez ma mère. Et alors ? Elle gueule bien mais dans le fond, elle adore m’avoir encore à la maison ! En plus, c’est moi qui fais presque tout ce qu’elle ne sait pas ou ne veut pas faire comme de tondre le gazon, de sortir les ordures et de réparer ce qui se casse dans notre piaule de pauvres.
Ce soir, j’en ai marre, un degré de plus que d’habitude de l’entendre râler que je gâche ma vie, parce que j’ai abandonné le lycée plutôt que de continuer et de me bâtir une belle carrière de secrétaire sous payé comme elle. Moi, ce qui m’allume c’est le feu ! Savoir créer de jolies flammes, de mettre le feu aux poudres pour voir les couleurs que j’ai choisis donner l’effet que je voulais ! Elle ne voit pas ça, Suzana (c’est ma mère !). Elle, elle a peur que je finisse shootée dans le fond d’une ruelle ou que je joue la pute. Quand je gueule qu’on peut sortir de l’Eastside en croyant à ses rêves, parce que Howard Stone l’a fait, je peux sentir son cœur éclater en miette, chaque fois.
Il a su le faire, je saurai le faire !
Et puis, je l’emmerde le demi !
Il est où quand j’ai besoin de lui ?
Genre qu’il est partit en tournée, qu’il aurait pu me proposer ou parler de moi pour joindre les roadies, question que je puisse montrer de quoi je suis capable. Pas de danger, non qu’il aurait pu faire gigoter les deux neurones qui lui reste et qu’il est le flash ultime de dire ‘’ je veux Mackenzie Stone aux effets pyrotechniques ‘’ Non, il l’a pas fait. Peut-être parce qu’il n’a pas son mot à dire dans le processus, peut-être parce qu’ils ont déjà tout le staff qu’ils ont besoin mais, moi je crois surtout, et pour avoir vu le premier concert au Hollywood Bowl, j’aurais fait 100 fois mieux, les doigts dans le nez, les yeux bandés !
Je veux ma chance.
Une seule occasion de montrer ce dont je suis capable !
Il doit être pas loin de 22h quand je me pointe à la somptueuse villa de mon demi-frère. Preuve qu’il n’est pas complètement là, sa porte est verrouillée malgré son absence. L’évidence qu’il ne soit pas là m’apparaît avec la porte de son garage qui laisse voir qu’aucune voiture ne se trouve dedans. C’est vraiment à mourir de rire ! Mais bon, Stone un jour, Stone toujours ! La villa sent comme le fond de mes vieilles godasses. Mais bordel il connait pas ça lui, les sent bon à accrocher ou de simplement, une fois de temps en temps, faire le ménage de son bordel ? Je me prends les pieds dans ses traîneries qui jonchent le sol. Il a pas une copine lui ? Les petites copines, ça aide pas à faire un peu le ménage ? Quoi qu’on ne puisse pas se fier a rien qu’on puisse lire dans les magazines. Si ça se trouve, et ça ne me surprendrais pas le moins du monde, il est en relation avec sa main droite.
Je fini pas m’échouer sur un grand fauteuil dans ce qui devrait être un salon. À moins que ce ne soit sa chambre ? Parce qu’il y a des coussins et une grosse couverture qui traîne. Je vais attendre qu’il se pointe sagement en fouillant un petit peu dans sa maison. Je suis à la recherche de trésor, de perles de l’absurde, de détails inespérés et qui sait si je ne trouverais pas de quoi envoyer à L.A.People !
Roulant sur mon flanc pour me faire tomber en bas du canapé, je saute sur mes pieds et me déplace furtivement dans la demeure, explorant coins et recoins. Je me prends au jeu, comme si j’étais un ninja. En fait, je suis presque certaine que mon frère a une double personnalité et qu’en lui, se cache un androïde défectueux. Ça expliquerait bien des choses quand même !
J’en suis à fouiller sa chambre. Le son d’une porte que l’on referme me fait sourire de toutes mes dents, restant assise en tailleur en plein centre de la chambre son tiroir de sous vêtements retirés de la commode et placé devant moi. Tout le monde sait que personne voudrait fouiller dans nos vieux caleçons c’est pourquoi c’est l’endroit parfait pour cacher des trucs.
Et ce que je trouve, un sachet d’herbes tellement vieux qu’elle doit être sur le point de se régénérer d’elle-même est déjà un gain en soit.
- Hoooooowardounet ! Devine qui vient te dire bonsoir !
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé] Ven 17 Aoû - 16:57
Hot Aren't you ?Mackenzie & Apolline
Apolline avait passé sa journée à composer dans un parc, les idées fusaient en ce moment même si ses compositions ne feraient sans doute jamais le top 50, elle ne pouvait pas s'empêcher de jouer de la guitare et de chanter, comme si faire cela était ce qui l'a guérirait de cette rupture entre elle et Howard Stone. Elle s'en voulait encore terriblement d'avoir pu tomber amoureuse de batteur, elle avait su dès le premier baiser qu'elle faisait une bêtise, pourtant, tout allait parfaitement bien, elle était même heureuse, mais il y a toujours un des deux qui fait une boulette, surtout dans un couple comme eux. Et c'était Howard qui l'avait faite en étant infidèle.
En parlant avec Bailey, elle avait pris conscience que quelque chose ne tournait pas rond, que ce n'était pas dans les habitudes d'Howard de tromper la fille avec qui il était en couple, ou du moins, seulement quand ça n'allait pas dans son couple, or, leur amour puait la niaiserie la veille de cette séparation. Il y avait donc un hic quelque part mais Howard était bien trop fier pour le lui dire. Fatiguée, elle n'irait pas fouillée pour voir ce qui n'allait pas.
En rentrant à sa chambre d'hôtel, elle se rendit compte qu'il lui manquait encore quelques affaires restées chez Howard, à la villa. Elle aurait bien fait sans ce soir mais il les lui fallait dès maintenant. En soupirant, elle avait pris sa voiture et était partie en direction de la villa, en espérant ne pas croiser le regard de son ex-petit-ami. En arrivant devant, elle constata que personne n'était là, tant mieux ! Au moins, elle n’aurait pas le cœur brisé en le voyant affalé dans le canapé, sa vodka à la main.
En entrant dans la villa, elle constata qu’une mauvaise odeur, celle de l’alcool mélangé à la transpiration, était présente. « Bah dis donc, ça se voit que je suis plus là… » s’était-elle dit avant d’entendre un bruit à l’étage. Surprise, elle hésita un moment avant de monter doucement l’escalier. Si c’était un voleur ? Apolline avait une grande gueule mais elle ce qu’elle savait vraiment se battre ? Elle imaginait déjà les gros titres de demain si la bagarre tournait mal.. . »Apolline Mclagan morte étranglé » elle poussa un long soupire pour se calmer et éviter que son cœur ne cogne trop dans sa poitrine.
En poussant un peu la porte de la chambre, de là où les bruits venaient, elle constata qu’il s’agissait d’une jeune femme, assise dans son lit et qui semblait connaître son ex. Elle le va un sourcil. « Je peux savoir ce que vous faite là ? » La jeune femme avait quelque chose qui attirait la guitariste, elle était plutôt jolie, elle semblait innocente, pourtant, Apolline avait un pressentiment qui lui faisait deviner qu’elle n’était pas ici par hasard.
Mon frère n’est rien de plus qu’un condensé de clichés du bon vieil adage ‘’ Sex, drugs and rock & roll ‘’. Sa vie a tout pour être parfaite et pourtant il se contente de vivre dans la réplique parfait du dépotoir de Los Angeles. Y’a même l’odeur pour le confirmer ! Je ne suis pas très porté non plus sur la guenille mais y’a quand même des limites. Et si ça se trouve, son ancienne villa à probablement cramé parce qu’elle s’est auto enflammée.
Sa vie, ses emmerdes !
J’explore les décombres ou plutôt j’analyse la scène de crime en reconstituant les faits.
Howard sa accueillit sa victime à la porte principale. Il l’a amené dans la cuisine où il s’est prit un soda et un couteau… ensuite, ils se sont dirigés vers le salon et s’est installée avec elle sur le canapé. S’en est suivit une bataille durant laquelle il n’a fait qu’une seule bouchée de sa…pizza. La cannette de soda s’est renversé sur la table basse, le carton de sa pizza est ouvert à côté, un couteau planté dans le couvercle et y’a de la sauce tomate et des ananas qui ont dégouliné sur un coussin tombé par terre là où il devait avoir ses pieds.
Un vrai carnage !
Sa chambre n’est pas mieux. Plusieurs tiroirs sont ouverts, vides et le lit semble avoir fait la guerre.
- Faut faire l’amour, brother, pas la guerre, enfin quoi !
C’est quand même plus facile pour moi de fouiller sans avoir peur de me faire prendre. Je pourrais tout foutre en l’air que ça n’aurait que l’air plus rangé. Contre un pistonnage en règle pour m’avoir un poste chez MTI, je suis prête à l’aider à nettoyer… le poste d’abord, le coup de main ensuite… si j’ai encore du temps.
Je mets la main sur un sachet d’herbes et du papier à rouler. Je ne serai pas venue pour rien c’est d’jà ça !
J’allais m’en rouler un quand j’entends du bruit venant d’en bas et je souris, comme le grinch, prête à accueillir le grand frère. Sauf que, ce n’est pas Howard qui se pointe mais une superbe jeune femme brune.
À sa question honnête, une réponse tout aussi honnête s’impose.
- Je me roule un joint, t’en veux ?
Parce que ça me semble quand même évident ce que je suis entrain de faire.
- Mais si ta question c’est de savoir pourquoi je suis là, c’était pas la bonne formulation, mais je te pardonne, t’es mignonne !
Je place le joint entre mes lèvres et le pousse du bout de mon index dans ma bouche puis je le ressort et l’allume. Il ne crépite pas mais c’est tout comme. J’en tire quelques fois dessus puis je tends à la fille qui a encore son regard de surprise.
- Moi c’est Mackenzie, Kenzie pour les intimes. J’suis la demie de Stone. À tout hasard, tu ne saurais pas mon grand dadais de frère il est où ?
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé] Mer 22 Aoû - 11:49
Hot Aren't you ?Mackenzie & Apolline
Apolline n'osa pas vraiment s’engouffrer dans toutes les pièces de la villa, elle qui avait fait en sorte que l'intérieur soit impeccable, voilà qu'il faisait de sa villa une véritable porcherie. Elle poussa un soupire en passant devant le salon en désordre. Si c'était ça un Howard Stone célibataire, elle ne voudrait pas qu'il l'emmène dans sa villa pour une partie de jambe en l'air ! Elle n'osait même pas imaginer leurs -non pardon sa- chambre à coucher...
Le pire dans tous ça, c'est qu'elle avait encore des affaires ici, elle espérait qu'ils soient sains et saufs ranger dans les commodes plutôt que utilisés pour essayé de ramasser la sauce tomate tombée sur le cousin du canapé alors qu'il mangeait sa pizza. Comment en si peu de temps avait-il réussit à ce que la maison soit aussi sale ? C'était comme s'il avait fait trois fêtes d'affilées et qu'il n'avait absolument rien ranger!
En montant les escaliers, Apolline se sent comme dans un mauvais remake des Aventuriers de l'Arche Perdus, elle s'attendait à voir Indiana Jones arrivé, courant devant une boule fait de vêtements sales, dans ses mains, une des pièces d'Aria. En arrivant devant la chambre, elle remarqua une jeune femme. Elle était plutôt jolie et un peu provocante, qu'elle soit ici étonna un peu Apolline tout en l'a rendant un peu jalouse. Si une fille était dans la chambre, c'était qu'elle était forcément passé à la casserole! Elle lui demanda alors ce qu'elle faisait là et sa réponse l'a fit sourire un peu -Howard aurait été capable de dire cela.-
Sa nonchalance lui fait pensé à son ex et rapidement, la jeune femme lui décline son identité. Son sang ne fait qu'un tour, elle ne savait pas qu'il avait une demi-soeur! Apolline s'avança alors dans la chambre où l'odeur du joint était déjà forte. Elle s'asseya sur le lit en soupirant un peu. "Je ne savais même pas que tu existais..." Quels choses avaient-il pu encore cacher ainsi? Tendant toujours le joint, elle refusa gentiment. "Non merci, ça me monte vite à la tête..." Puis elle l'a regarda plus en détail. Elle avait quelque trait de son frère mais pas beaucoup, pourtant, au vu des quelques phrases qu'elle avait dites, l'écossaise avait pu constater qu'ils avaient le même tempérament.
"Je ne sais pas où il est et tant mieux, je suis venu chercher des affaires et je n'ai pas envie de le voir." avait-elle dit en boudant un peu avant de regarder la pièce dans laquelle elle était. "T'es là depuis longtemps?" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Sujet: Re: Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé] Sam 25 Aoû - 20:21
Les gens sont tous les mêmes. Ils posent des questions alors qu’ils ont les réponses évidentes sous les yeux. La jolie jeune femme qui vient d’entrer dans la chambre de mon frère n’échappe pas à cette redondante évidence ce qui m’amène à lui répondre nonchalamment tout en continuant de rouler mon joint. J’allume mon joint et lui offre de le partager. J’hausse des épaules quand elle décline ma proposition prétextant que ça monte vite à la tête. Ça m’en fera plus à fumer, voilà tout.
- Moi, ça me détend. Je réfléchis toujours mieux ensuite.
Faut croire que ça ne fait pas me même effet à tout le monde.
Avant qu’elle ne s’affole sur ma présence, ce qui lui ferait sans doute monter de volume en plus de me filer un mal de crâne inutile, je décline mon identité et j’en profite pour lui demander si elle ne saurait pas où est partit glander mon demi.
- Mouais bah ça m’étonne pas ! L’est pas très fort dans les histoires de famille, le big bro !
Il n’est pas très fort quand il s’agit de se servir de cette grosse bosse qui s’agite au bout de son cou.
Nous avons le même père.
C’est tout ce qui nous unis.
Ça et notre facilité à nous plonger dans les emmerdes alors même qu’on n’a fait qu’y songer.
C’est un talent inné chez les Stones, ou une majorité des Stones parce que sauf pour Saint Roger, paix à son âme, nous traînons tous notre lot de bêtises.
Donc, la jolie amazone n’a aucune idée de l’endroit où est Howard, elle n’a aucune envie de le croiser mais elle est quand même curieuse de savoir ce que je fais ici. Ça sent la rupture à plein nez, que je vous dis !
Je tire de nouveau sur mon joint en me laissant tomber sur le matelas et expire la fumée en formant des ronds. Je suis douée pour les choses comme celle là, inutiles.
- Le temps est relatif… une demie heure peut-être plus. Peut-être moins. On s’en fou un peu, non ?
Je me redresse en deux temps pour finir complètement sur mes deux pieds et m’avance jusqu’à me tenir face à face avec la brunette. J’aime faire face aux gens avec qui je parle, les analyser pour savoir à qui j’ai affaire. Ça serait bien ma chance de me faire arnaquer par un alien polymorphe. Ils sont capables de n’importe quoi pour nous amadouer avant de nous surprendre. Mais cette fille-là est bien humaine. Elle dégage une mélancolie impossible à imiter par les aliens. Ils sont capable de beaucoup de choses mais pas d’imiter les sentiments comme nous, pauvres mortels.
- Il t’a fait quoi, mon frère pour que tu aies a ce point pas envie de le voir ?
La jolie blonde, après avoir reprit son joint, explique à Apolline les effets de celui-ci sur son cerveau, elle ne l'envie pas, elle qui est malade comme un chien à chaque fois qu'elle consomme des drogues dures ou des joints. Assise à ses côtés, l'odeur l'a lance déjà dans un mal de crâne, elle ne se pose même pas la question de la provenance de cette herbe. La nonchalance de la demi d'Howard l'a fait sourire intérieurement, elle a l'impression de parler à Howard et ça lui fait un bien fou. Elle ferme les yeux un instant avant de reprendre l’interrogatoire, elle veut savoir depuis combien de temps elle est sur ce lit, pourquoi ? Elle n'en n'a pas vraiment l'idée..Peut-être pour savoir depuis combien de temps Howard n'est pas dans la villa.
En réalité, la jeune femme ne sait pas la réponse à sa question, Apolline allait se relevé pour aller chercher quelques affaires quand la blonde fut plus rapide qu'elle et se retrouva devant elle. Tout d'abord surprise, elle comprend rapidement que la file ne sait pas qui elle ai. Elle hausse un sourcil avant de lui répondre. "Beaucoup de chose...Il m'a fait me rendre jalouse, revoir ma famille, devenir heureuse puis amoureuse comme je ne l'avais jamais été avec un homme, il m'a fait oublié les femmes, le plaisir charnels d'avec d'autre...Il m'a fait comprendre qu'être exclusifs était une chose incroyable...Puis il m'a fait espéré et m'inspirer avant de me tromper... ''
Elle pousse alors un soupire. "J'ai horreur de passer pour une pauvre fille naïve, mais il ma complètement briser le coeur, je ne pensais pas cela possible...Mais il y a une chose bien là dedans, c'est que je peux sortir un album complet dès maintenant tant j'ai écrit ." Elle a mal à la tête à cause de la fumée qui vient à elle, elle a même l'impression d'en recevoir entre les lèvres, elle se recouche alors doucement. C'est comme si elle avait fumé alors que ce n'est pas le cas. La pièce est grande et pourtant, voilà que la vapeur du joint lui fait se sentir mal. Elle ferme les yeux, mettant ses mains sous sa tête. "Je suis venue chercher quelques affaires, mais je crois que je vais rester un instant ici, dans les draps...Ce sont ceux que j'ai ramené de mon ancien appartement. Quand je les ais mit, ton frère avait rit car ils sentait mon odeur, à présent, ils le sentent lui..."
Elle ouvre alors les yeux, puis tourne la tête pour regarder la blonde qui était devant elle. "Tu lui veux quoi à ton frère?" [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je m’intéresse vraiment à ce que mon frère à pu faire à cette belle jeune femme pour qu’elle soit autant remontée contre lui. Il a refusé ses avances ? Il lui a fait une énième promesse qu’il n’a pas tenu ? Ou pire, il l’a tenu ! Parce qu’avec mon demi, il faut s’attendre à tout, même à l’impensable.
J’ai vu juste avec mon impression de rupture. J’ai en face de moi l’ex petite amie de mon frère en chair et en os ! Et la chair est sexy, oh que oui ! J’entends ce qu’elle me dit, je comprends ce qu’elle me dit mais sauf pour en faire des confettis et souffler dessus, son histoire est bien triste, mais j’peux rien y faire. Elle s’attendait à quoi en même temps en se casant avec un mec comme Howard ? C’est comme rouler en bagnole sur Sunset Boulevard, en pleine heure de pointe, à l’envers et les yeux bandés.
P’tain ! Faut que j’essais ça une fois !
- L’est pas cool le frérot ! Moi, une belle femme comme toi, c’est pas ses yeux que je ferais mouiller !
Tout drame à son bon côté ! Elle dit pouvoir sortir un album complet avec ce qu’elle a écrit depuis leur rupture. Alors je tire sur mon joint en levant mes mains pour applaudir franchement cette confidence.
- Bravo ! Se remettre en scelle, aller de l’avant, toi t’es une battante ! Il l’aura dans l’cul le frère !
Ce que veut la belle, c’est oublier mon frère sans l’oublier. Se coucher dans leur lit, respirer son odeur. La belle affaire. Dans le genre de se gratter encore plus le bobo pour se faire encore plus mal et souffrir encore plus. Si elle est masochiste, c’est pas moi qui va l’en empêcher. Surtout si elle veut dormir toute nue, je veux bien rester là pour sa sécurité. Des fois qu’un alien polymorphe se cacherait sous le lit !
Je comprends mon frère d’avoir succombé à son charme.
Des jambes à l’infinie, une poitrine gonflée, un teint parfait.
J’écrase mon joint contre le bureau sans me soucier d’y faire une marque. De toute façon, avec le bordel qu’il y a partout ailleurs dans la baraque, une petite brûlure de plus ou de moins fera pas de différence dans le lot.
- J’voulais lui demander un peu de frics pou tenir la semaine.
En fait, non. J’en ai rien à foutre de son pognon. J’sais plus pourquoi je suis là. Je voulais le voir sans forcément le voir. D’un geste las, je laisse tomber ma veste par terre et saute à genoux dans le lit.
- Ou peut-être bien qu’en fait, sans le savoir, je cherchais après toi.
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé] Jeu 30 Aoû - 19:41
Hot Aren't you ?Mackenzie & Apolline
En résumant ce qu'Howard lui avait fait, Apolline comprit rapidement qu'elle avait jouer à un jeu dangereux dans lequel le piège s'était refermé sur elle. Elle avait tout de suite su, quand elle avait rencontré Howard, qu'il était le genre d'hommes à problème, pourtant, elle avait foncé sur lui en Ecosse sans avoir voulu pensé aux conséquences. Elle avait pu vivre alors les déboires du batteur, allant jusqu'à l’hôpital où, ce jour-là, elle avait eu peur de le perdre. Ils n'étaient pas un couple niais qui se montraient toujours ensembles mains dans la mains, chacun faisaient ce qui lui semblait bon le soir et une confiance avait été construite ainsi. C'était leur couple, il semblait incassable, pourtant, elle avait dû y mettre un terme tant la douleur d'avoir su qu'une autre avait toucher la peau de son homme, avait été horrible.
Elle s'était livrer à Mackenzie comme un livre ouvert directement à la page "peine de coeur", ce qui n'était pas dans ses habitudes, pourtant, la blonde semblait si semblable à son demi-frère..A moins qu'Apolline ne fasse une analogie...Elle lui avait dit une chose qui semblait être un compliment et l'écossaise ne pu réprimander un sourire. C'est vrai qu'ils avaient eu de bon moment à ce niveau-là aussi. Elle avait vécut beaucoup de chose dans sa vie sexuelle, des plans à plusieurs, des hommes, des femmes, plusieurs femmes même, à croire qu'elle préférait la gente féminine finalement, pourtant, avec Howard, tout était différent...Il y avait un goût nouveau à chaque fois et il y avait toujours cette excitation de découvrir à nouveau son corps. "Ton demi-frère est le seul à m'avoir fait mouiller en haut et en bas."
Elle ne devait plus y penser, ne plus rien dire à ce sujet tant le manque était là, elle n'avait pas recoucher avec quelqu'un depuis sa rupture, elle n'en n'avait pas l'envie, voulant sans cesse se remémoré le corps du batteur sur elle, ses mains frôlant ses seins et son entrejambe. Un soupire passa doucement ses lèvres en repensant aux difficiles luttes pour savoir qui dominerait leurs ébats. C'était toujours un jeu entre eux et elle avait eu souvent le dernier mot, surtout quand celui-ci avait été blessé. Il s'était venger depuis et ça n'avait été que plus délicieux.
Et cette séparation n'avait pas que des mauvais côtés, elle avait pu écrire, encore et encore, des mélodies et des chansons sur l'amour qui ne verraient sans doute jamais le jour, mais elle ne pouvait faire que cela, comme une cure de désintox' pour arrêter de penser à Howard Stone. Quand elle écrivait, elle pouvait se laisser aller à des confidences, des mots qu'elle ne lui avait jamais dit. Mackenzie congratula la guitariste de cette force et celle-ci la regarda en souriant un peu. "Il faut bien, il ne me reste que cela pour tenter de m'endormir." parce que la demoiselle ne fermait l'oeil de la nuit que deux heures. Alors elle espère un instant, en se couchant dans se lit où son odeur est présente, de sombrer dans un sommeil réparateur. Elle ferme un instant les yeux mais Mackenzie est là et Apolline ne souhaite pas se rendre encore plus stupide qu'elle ne semblait l'être déjà.
Alors l'écossaise lui demandait ce qu'elle faisait-là, après tout, elle ne l'avait encore jamais vu ici, elle l'aurait retenu, une belle muse comme elle. Pendant un instant, Apolline s'attarda sur ses courbes, son cou donnait envie à l'écossaise de s'y engouffrer et ses seins semblaient être le parfait cocon pour y mettre ses lèvres. Elle lui dit qu'elle cherchait du fric, puis se ravise avant de s'installer près d'elle. Apolline se perd un perd sur son regard, la bouche entre ouverte, peut-être était-ce les fumées du joint qu'elle venait déteindre qui lui fit penser à cela , mais elle trouva Stone incroyablement sexy. La dernière phrase de celle-ci l'a fit s'avancer doucement vers ses lèvres où elle y déposa un baiser.
Ce n'était pas un baiser d'amour, ni un baiser de désespoir. Il était sans doute sans goût mais Apolline avait certainement besoin, le goût de l'herbe est encore sur les lèvres de la jeune femme et Apolline se prend au jeu de la séduction. Les lèvres de Mackenzie sente la vodka, ou peut-être que ce n'est qu'une illusion, peut-être qu'elle pense encore à celles d'Howard. Ses yeux se ferment et elle fait allonger doucement la blonde sur le lit. "Je ne sais pas ce que je fais, j'ai irrésistiblement envie de toi...Parce que tu es Howard au féminin."
Je me doutais bien que mon frère était du genre à faire pleurer les filles. Nous, les Stones, sommes incapable de se contenter de ce que nous avons. L’herbe, pas celle qui se fume, mais celle sur laquelle nous marchons, semble toujours plus verte de l’autre côté de la clôture ce qui fait que nous ne pouvons nous empêcher de la sauter pour s’y rouler.
Les victimes collatérales, on s’en fiche.
Sauf que cette fois, mon frère a jeté son chou gras. Pas que la demoiselle soit potelée, au contraire. Moi, je n’aurais pas su lorgner ailleurs si j’avais eu une aussi belle femme dans mes bras.
Alors soit, mon frère est un crétin.
Un beau et gentil crétin.
Les confidences pleuvent, je n’ai pas besoin de questionner plus que ça pour entendre la belle amazone pleurer sur l’issu de sa relation avec mon demi. Je n’ai pas besoin non plus de tenter une quelconque manœuvre de charme pour qu’elle m’embrasse. Un baiser doux comme le miel et chaud comme la braise. Il sait vraiment pas s’y prendre avec les femmes, Howard !
Ce n’est pas moi qui vais se plaindre !
- Si ça te prend qu’un Stone pour en oublier un autre, je suis pas contre !
Je viens empoigner les seins de la jeune femme, les palpant au travers de son haut avant de glisser mes mains jusqu’à sa taille pour soulever son haut et le faire passer par-dessus sa tête. Mes lèvres se plaquent aux siennes quand je la pousse pour me relever et la faire s’allonger sur le lit de mon frère. J’embrasse ses seins à pleine bouche au travers de son soutien-gorge, puis son ventre, puis son nombril pendant que je défais l’attache de son pantalon, l’ouvre et le fait glisser de son corps avec sa culotte.
Son corps est un véritable chef d’œuvre.
Je n’ai jamais vu une aussi belle femme.
Ni même en rêve.
Je souffle sur son sexe chaud qui s’offre à moi presque trop facilement. Cette fille est irrésistible, pourquoi je m’en priverais. Féline, j’écarte ses cuisses avant de plonger, langue bien sortie, entre ses cuisses la lécher comme une sucette de sucre d’orge. Je m’aide aussi de mes doigts, fouillant en elle en même temps que je suçote sur son bouton rose.
J’ai conscience que je suis vite entrée en mode offensive, j’y peux rien moi si elle a dit qu’elle avait envie de moi. Je ne fais que répondre à son désir !
Mes lèvres l’embrassent comme si ma vie en dépendait, mes doigts vont et viennent en elles, provoquant spasmes et flot d’excitation, je m’en délecte, essuyant parfois mon menton contre sa cuisse.
- J’paris que mon frère ne t’a jamais fais fait autant de bien que ce que je te fais en ce moment !
Orgeuilleuse ?
Non.
Stone, tout simplement !
@ Billy Lighter
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Sujet: Re: Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé] Jeu 6 Sep - 17:52
Hot Aren't you ?Mackenzie & Apolline
A la minute où Apolline avait embrassé Mackenzie, la guitariste avait su qu'elle avait fait une erreur, non pas qu'elle trompait Howard, puisqu'ils n'étaient plus ensembles, mais elle allait tout de même coucher avec sa demi-soeur et ça, ce n'était pas rien! Jamais elle n'aurait toucher à la famille, pourtant, aujourd'hui, elle était tellement en mal d'Howard qu'un simple lien qui l'a maintienne à lui semblait suffire. Mackenzie aurait pu refuser, mais c'était une Stone, ils aimaient jouer avec le feu ses gens-là, alors, elle ne se fit pas prié et la blonde empoigna alors l'un des seins de l'écossaise.
Cet entrain avait laisser un gémissement à la brune, son corps demandait Mackenzie, elle serait comme le sparadrap qu'on met sur une blessure, cela soulagera pour le moment mais quand Apolline se sera rendu compte de ce qu'elle a fait, cela sera douloureux et lui marquera la peau. Sur elle, Apolline ne domine pas bien longtemps et elle retrouve la fougue d'Howard chez sa soeur, rapidement, son dos est contre le matelas et elle sourit contre les lèvres de la blonde, rendant les baisers chauds et gourmands. Elle soupire doucement en sentant ses lèvres sur sa peau, les yeux clos, elle vient caresser de ses mains la tignasse blonde qui descend peu à peu sur son corps tatoué. Un nœud se forme alors dans son estomac, comme à chaque fois qu'on commence à être trop près de son intimité. Ce n'est pas un noeud de gêne mais bien celui du plaisir qui explosera tôt ou tard.
Apolline n'a jamais été une femme facile, pourtant, elle s'offre sur un plateau d'argent à cette femme qu'elle ne connait que de nom, ça à l'air de l'a gêner un peu, pourtant, elle a fait ça des centaines de fois avant de sortir avec Howard. Ses cuisses sont vites écartées et elle sent rapidement le souffle chaud de Mackenzie sur elle. La langue vint alors jouer avec sa zone la plus sensible et elle lâche un soupire. C'était sans doute ce don elle avait besoin pour oublier le batteur, pendant ce moment si intime, Howard n'inonde pas ses pensées et ça lui fait du bien. Elle se concentre sur ce que la blonde fait avec application , ça à le mérite d'être bon et de penser à autre chose.
Elle sent sa langue et ses doigts bouger en elle, ce qui lui donne des spasmes de plaisir, son bassin vient même jouer avec eux à coups de va et viens, proie aux plaisir, elle lâche quelques gémissements. Son noeud au bas ventre explose et pendant un instant, elle se laisse retomber sur le lit alors que Mackenzie se vente de ses qualités, pensant être bien mieux que son demi-frère. Apolline ne répond pas pour le moment. Ce n'est pas pareil, avec Howard, elle sent des choses qu'elle ne ressent avec personne d'autre. Faire l'amour avec un homme qu'on aime est toujours bien plus fort que le faire comme ça sur un coup de tête -et la différence est encore plus grande avec une femme!-. "C'est différent" dit-elle simplement, le corps bouillant.
Mais Apolline à besoin de plus, de sentir le désir de Mackenzie et son bon plaisir, elle veut aussi se prouver qu'elle est encore bonne pour les femmes. Elle se redresse alors et vient embrasser langoureusement la blonde, la tenant par les épaules, elle vient l'allonger à son tour et se mettre sur elle de tout son long. Elle ne met pas longtemps à lui enlever son haut pour découvrir une belle poitrine. Elle vint mordiller son cou avant de descendre sur ses seins, l'un après l'autre, elle vint lui mordiller tout en caressant son intimité par dessus son bas. Elle se concentre pour donner le maximum de plaisir à sa partenaire, elle à besoin de l’entendre gémir, se prouver qu'elle n'a pas perdu la main de ce côté-ci de sa sexualité.
Sa main vient lui enlever son bas et son sous-vêtement, c'est à son tour de jouer, alors, elle vient descendre doucement avant de lui faire lever ses jambes pour les garder serrées. Elle vint embrasser chacune de ses cuisses avant de venir à son tour jouer avec le bonbon rose tant convoité des hommes. Etre au lit avec une femme, c'est toujours plus excitant car elles savent ce qui fait plaisir et ce qui les fait monter aux septième ciel quand les hommes souhaitent seulement se concentrer sur l'intérieur. Pour la plupart des femmes, le plaisir est complet à l'extérieur...
Ma langue fouille avidement l’intimité de la belle jeune femme, faisant naître en elle tout comme en moi, une déferlante de sensations explosives. Je n’arrête pas, même pas pour reprendre ma respiration, soufflant contre ses lèvres intimes, avides de lui en donner plus.
Son plaisir atteint vite la menace d’un point de non retour mais j’ignore les signaux pourtant évident. C’est l’ex d’Howard qui me fait remonter sur elle. C’est qu’elle en a dedans la tigresse si j’en juge à la façon dont elle prend les choses en mains, mes vêtements entre autre chose, puis quand elle me fait m’allonger en me tenant par les épaules. J’aime les femmes qui ne s’en laissent pas imposer.
Apolline en est.
Elle me guide, me fait relever les jambes, me tiens serrer. J’inspire et expire de plus en plus rapidement. C’est qu’elle est douée et pas qu’avec ses doigts ! Elle fait vibrer mes cordes sensibles aussi facilement que celle de sa guitare au point ou j’en gémis déjà de plaisir sans me soucier qu’Howard puisse éventuellement revenir. Ce serait quand même un malaise digne des plus grands soaps s’il devait se pointer pile au moment où son ex petite amie à sa langue bien planter dans ma féminité.
Elle suçote ma cerise gorgée de jus, fait tourner sa langue autour me lèche.
- P’tain ! T’es une machine !
Une putain de machine à orgasme, ouais !
J’en ai la mâchoire qui tremble et les yeux qui se révulsent à force de me faire mâchouiller la praline. Je m’accroche à ses cheveux, sans tirer dessus, cambrant des hanches, ondulant comme une sirène en haute mer.
Elles savent s’y prendre les Écossaises !
Et quand ça devient trop intense, que mon excitation coule abondamment sur les draps du lit de mon frère – la pensée gore qui gâche tout - je me dérobe à son irrésistible emprise pour rouler au travers des draps et coussins en rigolant / haletant puis je me jette à nouveau sur elle, dingue de l’embrasser à lui en faire perdre la tête.
Depuis son sexe encore brûlant jusqu’à ses seins parfait, je l’embrasse et la mordille pour la titiller d’avantage. Nous roulons, entrelacées sur le lit, passant près de tomber a quelques reprises sans jamais cesser de se frotter l’une à l’autre, laissant nos mains baladeuse se faufiler où bon nous sembles.
J’adore son corps.
Je ne me lasse pas de la caresser. Puis, après un cours temps d’arrêt, je l’invite de nouveau à s’allonger sur le lit et m’allonge sur elle, ma tête entre ses cuisses, lui présentant mes propres fesses. Nous allons en finir ainsi. Je la dévore, avec un appétit qui n’a de cesse de grandir, encore et encore. Je la lèche, l’embrasse et la doigte. Je la fait mouiller encore plus, mêlant ma salive à sa sève abondante. Elle n’est pas avare non plus de prouesses sur ma propre vulve frémissante devenue ultra sensible. Le bourdonnement de l’orgasme pointe alors que la langue de mon amante me pilonne frénétiquement. Apolline se fait fougue et rage de m’offrir la même intensité et sa voix, cristalline et pure, exalte de son propre plaisir en écho au miens.
Je demeure un moment allongée ainsi sur elle avant de me décider de pivoter et de venir l’embrasser tout en l’enlaçant. Je joue avec quelques mèches de ses cheveux, les entremêlant aux miens quand je ne me penche pas sur sa poitrine pour en suçoter ses tétons.
- Tu es magnifique. Et on frère est stupide.
C’est un fait.
- J’dois y aller !
Ça aussi, c’est un fait.
Et puis Howard n’est pas là alors… je repasserai ! Qui sait, peut-être qu’ils se retrouveront et qu’il sera fière de me présenter sa petite amie et moi… je serai heureuse de la voir a son bras non sans oublier… le moment torride que nous aurons échangé dans le plus strict des secrets !
@ Billy Lighter
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Hot, Aren’t You ? [PV Apolline Mclagan][HOT][Terminé]
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