The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé]
Angelica J. Litrell
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Sujet: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Lun 8 Juil - 1:20
The Night We Met ft. Edward Fleming
Une autre année scolaire qui se termine et je dirais que ce n’est pas trop tôt ! J’en avais plus que marre d’user mon fond de pantalon sur les bancs d’école surtout que c’est beaucoup trop facile. Les cours m’ennuient mais je dois passer par là si je veux poursuivre au niveau supérieur pour obtenir mon droit de pratiquer la psychologie. Mon avenir est tracé d’avance et le plan pour y arriver tout simple. Le seul problème c’est que les cours, en ce moment, sont ultra chiants. Je suis maligne et connais les réponses avant même qu’on me pose les questions.
Sauf qu’on ne me donnera pas le diplôme même si je prouve que je suis plus maligne les que les profs, je sais, j’ai demandé. Donc j’ai été à presque tous mes cours, sagement. Presque parce que j’ai aussi passé beaucoup d’heures à faire l’école buissonnière, faisant de moi une petit Howard Stone en beaucoup plus mignonne.
Je me suis rapproché d’un mec, Carlos. Il traîne dans les ruelles de l’Eastside avec ses potes et, heureusement qu’il est mignon parce que côté baise, c’est loin d’être l’apothéose. Son idée de rudesse se résume à me mordiller le creux du cou ou de me claquer les fesses de temps en temps, bref, l’ennuie mortel !
Si je reste avec lui, c’est parce que dans son cercle d’amis proche, traîne aussi Edward Fleming. Ward, pour les intimes. Et tous, gravite autour des Los Diablos, à plus ou moins de degré mais ça, je n’ai pas droit de savoir, alors je ne pose pas de questions. Je n’ai malheureusement pas encore eu la chance d’être officiellement présentée à lui mais ce soir, alors que les nouvelles recues des Los Diablos se réunissent pour faire la fête à la méthode des Los Diablos, je compte bien me rapprocher de lui suffisamment pour arranger ce détail.
Carlos aime bien m’avoir près de lui, pour m’exhiber comme un trophée. J’ai une sacré réputation, celle des filles qui sont pas douces. J’ai réglé leurs comptes à plusieurs filles de mon anciens lycée, ça fait du bien de frapper ses sainte nitouche et de leur donner une bonne raison de geindre. Donc, ma réputation de mauvaises filles fait plaisir a mon petit ami qui n’hésite pas à me faire participer à quelques un de ses coups, quels qu’ils soient.
L’adrénaline que je ressens, après avoir foutu un bon coup de poing dans la tronche de quelqu’un. De sentir une pommette éclater sous mes phalanges, voir le sang couler, c’est excitant !
Ce soir, il y aura sûrement des règlements de comptes du genre. Je sais que Carlos n’a pas le cul assuré tant que ça chez les Los Diablos et qu’il a encore ses preuves à faire. Ça me donne espoir de voir un peu de testostérone à l’état le plus pure, à l’œuvre.
Quand nous arrivons dans cet espèce d’usine désaffectée, là où déjà plusieurs nouveaux soldats sont déjà arrivés et font la fête autour de feu allumés dans es barils, j’ai envie de courir au milieu de tout ce beau monde, de prendre un verre, puis un autre, de les vider cul sec, de faire la fête, quoi !
Surtout que… Le beau Edward est déjà là, pas trop loin, en pleine discussion avec un mec plutôt âgés, enfin, relativement âgé, plus vieux que la majorité de ceux ici présente ce soir. Je me faufile au travers des gens, subtilement, jusqu’à me rapprocher assez pour l’entendre discuter. Je m’appuie là, contre un chariot sur lequel est empilé plusieurs palettes de bois et je bois mon verre nonchalamment, lui jetant quelques regards de temps en temps.
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Edward Fleming
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Lun 8 Juil - 16:00
The Night We Met ft. A.J. Litrell
Je regardais tous ses petits novices commencer à entrer dans le vieil entrepôt utilisé de temps en temps pour des fêtes ou divers règlements de compte. Ce soir, c’était pour la fête que tout le monde se rassemblait.
Les Los Diablos avaient engagé du sang neuf. Des gens choisis par Alonso, je suppose… Je doutais que Reed fasse les entretiens d’embauche de son château de Malibu. Pour l’instant, son plan business fonctionnait pour mon plan grand désarroi. J’attendais toujours le moment où tout ça allait crouler et que Reed me cède l’entièreté de son gang qui, quand on voyait les nouvelles recrues, devenait vraiment pathétique.
Quand je récupérerais ça, il faudra que je fasse un grand ménage.
J’avais les bras croisés à regarder tous ces petits latinos se vanter de leurs derniers exploits insignifiants tout en discutant avec Alfonso, un des plus anciens du gang qui n’avait pas non plus forcément aimé le passage de flambeau officiellement passé à Alonso. -Certains de ces gamins ne tiendront pas une année… Ils ont des trop grandes gueules.
J’haussai les épaules. Tant mieux. Qu’ils crèvent, je n’en avais cure. Qu’ils se fassent prendre par les flics, je n’en avais rien n’à foutre. Au contraire… Plus les Los Diablos souffraient, plus ça voulait dire que Reed se foutait le doigt dans l’œil.
-Alonso n’est même pas ici. Un chef, ça doit être près de ses soldats. Il doit régner par la peur. Ces gamins-là n’ont pas peur. Ils gagnent assez pour torcher le cul de leurs gosses et plus encore et n’ont plus de respect pour les anciens. Avant, ce n’était pas comme ça. Depuis que c’est un gamin qui dirige, plus rien ne fonctionne.
J’écoutais Alfonso geindre et se plaindre de ces foutus petits jeunes qui ne respectent plus rien. J’avais 22 ans… Je n’étais pas beaucoup plus vieux que le plus jeune qu’il y avait ici. Alonso était plus vieux que moi. Pourtant, je pensais comme Alfonso… Sûrement parce que je savais que c’était bien pire que ce que le vieux imaginait. S’il savait que c’était un gamin riche qui dirige, il serait encore moins content.
-Ouais… Dommage qu’il n’y a pas plus de gens qui pensent comme toi. Et Alonso, il se croit trop supérieur avec son nouveau statut que pour participer à ce genre de fête. Il se contente de déléguer maintenant…
Ouais, il ne foutait plus grand-chose Alonso. Pourtant, il était mieux payé que moi, l’enfoiré… Mon salaire n’avait, d’ailleurs, pas augmenté d’un dollars depuis 1965… Pourtant, il n’y avait pas une histoire d’augmentation à chaque année d’ancienneté dans le monde de l’entreprise ? -Ce gang ne ressemble plus à rien… Regarde l'autre, là, Carlos. Il n’y a pas plus incompétent que lui et pas plus grande gueule aussi.
J’avais tourné la tête vers Carlos mais mon regard s’était arrêté, en chemin, sur tout à fait autre chose que Carlos. Une fille que j’avais déjà entrevue plusieurs fois. Une blonde que j’avais déjà vu avec le fameux Carlos dans les rues de l’Eastside… Je venais de la voir regarder vers moi avec son air nonchalant. Elle n’était pas très loin et devait avoir entendu une partie de notre conversation de là où elle était.
Et elle me regarda encore une fois mais, cette fois, elle avait vu que je venais de la capter.
Mon regard dévia lentement pour se tourné vers Carlos alors que j’avais perdu le fil des plaintes d’Alfonso. Carlos était plus loin et causait avec d’autres jeunes de ses « exploits ».
La fille était seule et je pouvais encore sentir son regard sur moi.
Je regardai Alfonso sans répondre à ses complaintes.
-Je vais me chercher à boire.
Je le quittai passant devant la fille blonde sans la calculer. Juste pour vérifier si c’était moi ou le vieil Alfonso qu’elle regardait.
Je pris une bière avant de jeter un œil vers elle et voir qu’elle me regardait toujours. Je bus une gorgée avant de me retourner vers elle et d’avancer jusqu’à arriver à sa hauteur.
-C’est pas bien d’écouter aux portes…
Je ne souriais pas. J’avais lancé ça sur un ton sérieux. Une façon de voir comment la fille allait réagir. -Tu es une nouvelle recrue ? Ou tu te contentes d’être la petite-amie bien foutue de Carlos ?
Ce n’était pas la seule fille ici… Tous ces nouveaux exhibaient leur petites-amies comme si c’était des trophées.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Lun 8 Juil - 23:17
The Night We Met ft. Edward Fleming
Je suis plutôt bien placée pour observer en toute liberté et sans aucune gêne, le beau Edward en pleine discussion avec un mec dont je ne calcul par la tronche. Il me semble trop insipide pour captiver à ce point l’attention du beau ténébreux qui, a de trop brève occasion, regarde en ma direction, mais ça ne dure qu’une demie seconde.
J’entends parfaitement bien leur conversation, ils ne se gênent même pas pour parler des autres, pour dire leur opinion, sans se soucies que je puisse tout entendre. Si ça se trouve ils devront me tuer s’ils doutent que j’en sais trop.
Je bois mon verre par petite gorgée, restant centrée sur mon objectif : Edward.
Jusqu’à ce que je le vois s’approcher de moi mais passer son chemin pour aller un peu plus loin se prendre une bière. Je ne bouge pas, sauf pour ma tête qui tourne en sa direction, je ne le lâche pas d’une seule seconde des yeux.
Sauf quand il se rapproche de moi.
Alors là, je fixe droit devant moi quand il me dit que ce n’est pas bien d’écouter aux portes.
- Alors, il faut fermer les portes si on veut un minimum de discrétion.
Puis, je le regarde, avec un demi-sourire sur mes lèvres.
Sa question flatte mon orgueil. De savoir qu’il me trouve plutôt bien foutue, ça ne peut pas faire autrement que d’éveiller mon excitation.
- Je me contente d’être la prochaine fille que tu mettra dans ton lit.
Je jette mon gobelet maintenant vide par-dessus mon épaule et m’avance, assez pour n’être qu’à un tout petit centimètre d’espace d’Edward, puis je pose le bout de mon index sur son torse et descend lentement jusqu’à son nombril.
- Mais, tu n’es pas assez bien pour une fille comme moi, c’est dommage.
De ma main à plat sur son torse, je tape avant deux fois doucement avant de m’en aller rejoindre Carlos. Je suis presque certaine, en fait non, je suis absolument certaine qu’il ne laissera pas cette conversation en plan.
Carlos m’a été d’une grande utilité. Et il n’est pas à plaindre, il s’est amusé avec moi plus souvent qu’autrement, c’était un accord parfait, maintenant, il est temps de passet aux choses sérieuse. Alors, quand j’arrive près de mon petit ami, après avoir planté là le futur homme de ma vie, je lui glisse à l’oreille :
- Hey, Carlos, on rentre ? Le mec là-bas, il me gêne. Il n’ a pas été sympa avec moi…
Je sais que son orgueil de mâle alpha qui n’est qu’une impression et qui ne fait pas le poids contre celui d’Edward, et son état d’ébriété plus qu’avancé feront le reste du travail pour moi. J’aurais pu faire le décompte à la seconde près avant que Carlos vois noir et se dirige droit sur Edward, l’invectiver puis le pousser.
- On a un problème mec ! Et on va le réglé tout de suite !
Bon, je ne vous mentirai pas, je n’ai aucun regret pour ce pauvre Carlos qui risque de payer cher son approche envers Edward. Enfin, ça s’est si il s’en sort à jouer à la ramasse avec ses dents.
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Edward Fleming
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Mar 9 Juil - 17:00
The Night We Met ft. A.J. Litrell
La fille avait de la réplique. Ce fut ma première observation alors que, pas du tout ébranlé par sa répartie, je continuai de la fixer avec le même sérieux demandant si elle était un nouveau membre du gang ou juste la petite-amie pas mal foutue de Carlos. Soit, un trophée d’exhibition comme toutes les autres gonzesses qu’on trouvait ici.
Elle déclara simplement qu’elle était la prochaine fille que j’allais mettre dans mon lit. Objectif intéressant… Mais qui me semblait un peu présomptueux de la part de la fille. Pour l’instant, elle ne me semblait bonne qu’à être la petite-amie de Carlos même si elle était quand même pas mal foutue.
Mais il ne me fallait pas que ça. Je n’avais pas envie de me faire une trainée, ce soir.
Je gardai mon air sérieux.
-Ah oui ?
Elle jeta son gobelet et s’approcha de moi réduisant presque à néant l’espace qui nous séparait. Je ne sourcillai même pas quand son doigt descendit de mon torse à mon nombril. Elle cherchait à me draguer ? Il faudra qu’elle soit un peu plus inventive que ça…
Mais, alors que je croyais qu’elle allait me faire part d’une façon encore moins subtile, de ses intentions, elle déclara simplement que je n’étais pas assez bien pour une fille comme elle.
Je levai un sourcil ne m’attendant pas à cette réplique alors qu’elle tapa deux fois du plat de sa main sur mon torse. Mes lèvres se pincèrent et mes sourcils se froncèrent malgré moi alors que la petite salope (ouais, là, je n’ai pas vraiment d’autres mots) s’en alla rejoindre Carlos de looser. -Petite conne…
C’est ce que je dis entre mes dents me retournant vers la fille qui chuchota à l’oreille de Carlos alors que je bus le reste de ma bière d’un coup avant de déposer brutalement le gobelet sur une palette.
Ce n’était pas moi qui n’était pas assez bien pour elle. C’était elle qui n’en valait pas la peine.
Mais, suite à ce que la fille venait de dire à Carlos, ce dernier fonça vers moi l’air à la fois bourré et furieux. Je le regardai le dominant d’une tête alors qu’il disait qu’on avait un problème…
Et qu’il voulait le régler tout de suite.
Mon regard dévia de Carlos à la fille. Je ne regardai plus qu’elle avait mon air qui se situait quelque part entre la neutralité et le sérieux. Elle venait d’envoyer son petit-ami à la mort et j’avais l’impression, en voyant son regard, que c’était exactement son intention. -Hey ! Je te cause Ward ! Tu emmerdes ma copine, je te casse la gueule !
Les autres Los Diablos avaient vite compris… Les nouveaux commençaient à siffler à la vue d’une future bagarre. Mon regard se posa sur Carlos alors que je n’avais encore rien dit.
-Vas-y, Carlos ! Explose-le !
C’est ce que lança l’une des nouvelles recrues. On était maintenant entouré de toute une marée de curieux alors que Miguel, l’un des plus vieux Los Diablos, essaya, lui, de tempéré. -Carlos… Ce n’est pas une bonne idée. Bas-toi pour le fun avec un de tes amis, mais fout la paix à Ward. C’est un conseil d’ami.
Il parlait de sa voix posée, le vieux Miguel alors que je toisai le petit Carlos. Plus il y avait de gens autour, plus je sentais que la satisfaction que j’allais retirer après lui avoir refait le portait sera grande.
-La ferme, Miguel. Il a manqué de respect à ma petite-amie alors le petit Fleming va payer.
Fleming… Il venait de m’appeler Fleming. Mon regard vira au noir et avant que Carlos ne puisse dire quoi que ce soit d’autre comme connerie, je lui mis mon poing en pleine figure. Son arcade explosa mais je ne m’arrêtai pas là. Je lui en mis un autre dans les côtes, puis encore un en plein figure ce qui brisa sa mâchoire (voir quelques-unes de ses dents) et le fit tomber au sol. Je ne vis pas le vieux Miguel retenir de justesse un ami de Carlos qui était prêt à intervenir.
Carlos se tordit de douleur et je lui shootai encore une fois dans le côtes ce qui le fit gémir. Dans le public improvisé, il y avait des sifflements mais aussi des airs choqués sur certains visages des Los Diablos plus jeunes et inexpérimentés. Alfonso, lui, se marrait.
Alors que Carlos se tordait au sol cherchant à se remettre des coups que je venais de lui mettre, je sortis mon flingue de la poche intérieur de ma veste et l’armai avant de lever le regard vers la fille lui montrant pleinement mon intention d’éclater la cervelle de son petit-ami.
Ça ne sera pas une grosse perte.
Le message passé, je remis mon regard sur Carlos qui gémissait des paroles incompréhensibles à cause de sa mâchoire brisée. Il mettait ses mains devant son visage comme pour se protéger.
Tes mains ne peuvent rien pour toi, Carlos…
J’avais le doigt sur la détente mais la voix de Miguel se fit entendre de sa voix clame : -Ward… Laisse-le. Il a son compte. Si tu le tues, Alonso va se faire un plaisir de pouvoir t’emmerder encore plus ou, pire, te tuer. Alors réfléchis, gamin… Ne laisse pas Alonso avoir une raison de pouvoir te descendre dans tous les sens du terme. Tuer cette petite frappe ne t’apporteras rien. Il n’en vaut pas la peine.
Si… Tuer cette petite frappe me fournira une satisfaction que Miguel peut à peine imaginer. Par contre… Je n’aimais pas donner de quoi alimenter le moulin d’Alonso…
« Tu es un psychopathe, Ward »
Ni celui de Reed.
Je tirai mais juste à côté de l’oreille de Carlos dont une partie de la chair s’arracha au passage de la balle. Il hurla de douleur et je rangeai mon flingue lança un regard à Miguel qui sembla soulager même s’il essaya de ne pas trop me montrer.
Les amis de Carlos se ruèrent sur lui pour l’aider alors que les autres Los Diablos, riaient, se choquèrent ou retournèrent simplement boire après ce spectacle gratuit.
Moi… Moi, je m’approchai de la fille. La petite-amie de Carlos. -Tu vois… C’est ta faute si ton petit-ami souffre le martyr…
Ma voix était calme et je fixai la fille droit dans les yeux.
-Il va prendre des semaines maintenant à s’en remettre et ça sera à toi de lui faire bouffer sa soupe.
Mais elle l’avait voulu. Je sentais que c’était précisément ce résultat qu’elle voulait. -Mais quelque chose me dit que c’est exactement ce que tu voulais.
Mon ton n’avait pas changé. Toujours calme et intense.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Ven 12 Juil - 2:41
The Night We Met ft. Edward Fleming
Carlos n’est qu’un pion dans mon échiquier et c’est ce soir que j’ai décidé qu’il était temps pour lui de se faire éjecter de la plateforme de jeu. Edward s’est approché de moi sans que je n’aie eu besoin de forcer les choses. Je n’ai eu qu’à me placer au bon endroit au bon moment et laisser la magie opérer.
Edward est dans une classe à part mais de base, il répond à ses instincts les plus primaires, comme tous les hommes. La façon donc il m’aborde, en faisant référence à mon corps, ne ment pas. Il m’a imaginé sans mes vêtements et dans des positions relevant de la haute voltige, ça se sent d’ici.
De lui faire miroiter que c’est possible pour le planter là ne fait qu’alimenter son désir par le simple fait que je viens de lui dire qu’il ne m’aurait pas. Alors par esprit de contradiction, il vient, et sans même le savoir encore, de me placer sur la liste de ce qu’il veut.
Pour concrétiser ça, il me faut un petit coup de pouce du destin et c’est là que le pauvre Carlos vient de recevoir son congédiement. Me suffit que de créer une légère bisbille, rien de bien méchant, utiliser le point faible de l’un pour titiller celui de l’autre et, BAM !
Il ne fait pas longtemps à Carlos pour foncer sur Edward mais se dernier reste impassible, se contentant de le toiser d’une tête plus haut, comme si rien de ce que pouvait dire ou faire Carlos ne semblait l’atteindre. En fait, non, quelque chose semble faire tilt dans sa tête et Edward déchaine sa fureur avec une hargne virulente, couchant rapidement Carlos au sol. Les coups pleuvent que je crains qu’on ne puisse identifier Carlos, après se carnage.
Je regarde la scène de là où je me trouve, savourant chacun des coups d’Edward avec une excitation que je contiens difficilement. Le sang gicle et je crois même voir voler quelques dents. Puis, tout cesse. Edward se relève et sort un flingue de sa veste puis me regarde. Je me contente d’un demi-sourire, soulevant un sourcil, comme pour le défier de le faire. La scène est presque triste alors que ce bon vieux Carlos place ses mains tremblantes devant son visage, gémissant de lui laisser la vie sauve.
Il ne suffit de pas grand-chose pour que son vœu soit exhaussé et que la menace d’Edward cesse. Le combat se fini aussi bêtement qu’il a commencé.
Je secoue la tête prête à m’en aller, déçue par ce piètre dénouement mais le bourreau le plus sexy en ville me rejoint pour me dire que tout ça c’est ma faute.
- Alors c’est qu’il n’était pas fait pour être mon petit-ami.
Carlos pourra boire sa soupe avec une paille pour le restant de ses jours, je n’en ai strictement rien à foutre.
- Possibles.
Je l’attrape par le pan de sa veste et caresse l’arme au travers du tissu tout en me rapprochant de lui pour que lui seul entende ce que j’avais à lui dire, ses sbires voulant lui lécher les bottes nous tournant autour.
- Je voudrais bien voir ton gros canon pointé sur moi, rien que d’y penser, je suis toute mouillée.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Ven 12 Juil - 10:54
The Night We Met ft. A.J. Litrell
Que je vienne de détruire littéralement son petit-ami semblait faire ni chaud, ni froid à cette fille. Au contraire, elle avait même l’air d’apprécier ça déclarant que Carlos ne devait pas être fait pour être son petit-ami. Je levai un sourcil. Pas vraiment pour sa réaction mais pour le fait même qu’elle ait pu penser un jour que Carlos pouvait être digne d’être le petit-ami de qui que ce soit.
-Carlos est un looser et ça se voit à dix kilomètres. Etonnant qu’il ait fallu que je le massacre pour que tu t’en rendes compte.
Carlos était le genre de type à causer plus qu’il n’agit. Il suffit de le voir trembler à chaque fois qu’on voit une lumière bleu dans la rue pour se rende compte qu’il ne fera pas une longue carrière au sein des Los Diablos… Si carrière il y a tout court et que ce petit tabassage ne l’a pas simplement dégouté de tout ça.
La fille voulait que je tabasse son petit-ami. C’était évident. Elle avait tout mis en œuvre pour ça. Elle savait ce qu’elle voulait même si je ne savais pas encore précisément ce qu’elle voulait.
Je finirais par le savoir.
Parce que si elle ne voulait que se débarrasser de Carlos, elle aurait simplement pu le larguer sans autre forme de procès. Mais non, elle était allée jusqu’à faire en sorte que je le démolisse.
Elle attrapa le pan de ma veste et je ne bronchai pas même si elle se mit à toucher mon arme à travers le tissu. Elle chuchota ensuite une avance pas vraiment subtile mais qui avait au moins l’avantage d’avoir un double sens ambigus.
Je la regardai alors qu’on était proche l’un de l’autre.
-Tu ne manque pas de subtilité, toi…
C’était ironique bien sûr. La subtilité ne semblait pas être son fort comme la plupart des gens ici. Je ne pensais pas être subtile non plus, cela dit. -Tu sais… Je déteste l’ambiguïté.
J’approchai ma bouche de son oreille laissant toujours mon arme à portée de sa main pour lui montrer que la peur n’était pas vraiment un sentiment que je connaissais. Je lui murmurai :
-Peut-être que je devrais te descendre histoire de te faire comprendre que jouer aux petites garces ça ne se fait pas.
Après tout, elle n’était pas une Los Diablos. Alonso ne pourra pas m’en vouloir d’avoir tué une trainée. Des balles perdues, il y en a toujours dans ce genre de fête…
Mais…
-Mais je pense que c’est t’accorder trop d’attention pour ce que tu es, tu ne penses pas ?
Elle avait cherché mon attention. Elle m’avait repoussé. Elle l’avait gagné à nouveau en jouant la petite garce… Est-ce que ça veut dire que c’est le moment où je dois la repousser.
Je me redressai la regardant à nouveau droit dans les yeux. -Je pense que tu n’es pas assez bien pour un type comme moi.
J’esquissai un sourire sarcastique avant de me décoller d’elle avec un regard qui voulait dire : « viens me chercher et montre ce que tu as dans le ventre ».
Il fallait que je la teste. J’avisai alors Luisa, le petite-amie du pote de Carlos.
-Luisa… Cette fille là-bas…
Je montrai la fille du doigt. -Elle se tape ton petit-ami. Elle vient de s’en vanter.
Il n’en fallait pas plus pour que Luisa fonce sur la fille alors que j’étais prêt à regarder les spectacles les bras croisés et le regard impassible.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Dim 14 Juil - 3:39
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Adios amigos Carlos ! Il n’aura pas fait vieux os face à Edward et c’est tant mieux ! Il m’ennuyait mais était essentiel pour me rapprocher de mon objectif. Je ne regrette absolument pas de l’avoir jeté dans la gueule du loup, surtout que j’ai réussis à me faire remarquer, n’est-ce pas tout ce qui compte?
- Non. Il aura suffit que tu le massacre pour que lui s’en rende compte. Nuance.
Ça étant maintenant établi, je m’approche de lui suffisamment pour caresser le canon de son arme au travers sa veste. Ne me reste qu’à tendre la perche et voir s’il mord. J’y crois, un moment, quand il dit que je ne manque pas de subtilité. Je sais qu’il ne le pense pas vraiment, ma déclaration n’avait rien de subtile mais je pense que ça l’amuse assez pour qu’il puisse avoir envie de me connaître d’avantage. En fait, je suis presque prête à croire que l’affaire est dans le sac quand il me murmure à l’oreille que de jouer à la garce suffirait pour qu’il me descende.
- Quand tu parles comme ça, ça m’excite tu sais.
Il y a quelque chose de complètement stimulant avec la mort. Je l’ai expérimenté une fois avec Carlos alors que nous avions failli y passer tous les deux quand il a perdu le contrôle de sa bagnole. J’avais plusieurs côtes de cassées et j’étais à moitié dans les vapes quand on a fait l’amour avant même de penser à aller chercher des secours. Je pouvais mourir et j’en avais rien à foute. Tout ce que je voulais c’était de jouir autant que j’avais mal. Et, étrangement, le mélange des deux futs intenses à un point que je ne peux l’expliquer.
Bref, je ne pensais pas qu’il allait tout simplement me planter comme ça en disant que je n’étais pas assez bien pour un type comme lui. Là, tout de suite, j’ai envie de me jeter dessus et de lui faire ravaler ses paroles.
Pour qui est-ce qu’il se prend ?
Il n’a pas le droit… Je suis furieuse et j’ai mal.
Je boue à l’intérieur de moi, prête à tout casser autour de moi mais je reste plutôt là, comme sous le choc, alors que les autres continues leur petite fête comme si de rien était et que deux ou trois aident Carlos, encore grave dans les vapes.
Je ne vois presque pas la fille foncer sur moi, comme une furie, me gifler avant de me cracher au visage.
- T’es pas bien toi, connasse !
Elle lève la main pour me taper à nouveau mais je lui attrape le poignet pour lui torde dans l’autre sens et de ma main libre, je lui fou un coup de poing en pleine gorge. Ses genoux plient instantanément et elle se retrouve à genoux devant moi ce qui me permets de lui donner autant de coups de pied au ventre et au visage, n’arrêtant pas malgré ses pleures et ses cris de douleur.
- Tu vas crever charogne !
C’est le soir des combats extrêmes, les astres devaient être alignés.
Je la frappe, de coups de pieds, de coups de poings. Elle ne cherche même pas à se relever, elle ne crit même plus. Et quand je n’ai plus de force dans ma jambe, c’est avec mes poings que je frappe son visage, ne voyant pas, n’entends rien. Je frappe et c’est tout. Même quand mon m’agrippe par la taille et qu’on me soulève, je continu de frapper dans le vide avant d’éclater de rire et de goûter le sang, pas le mien, sur mes mains.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Dim 14 Juil - 16:40
The Night We Met ft. A.J. Litrell
Elle savait répliquer, l’ex-petite-amie de Carlos. Je pouvais dire « ex » parce qu’elle ne semblait pas se formalisé de son état actuel. Mieux, elle avait cherché à ce qu’il lui arrive ce qui venait de lui arriver.
S’en suivi des invitations peu subtile même si quand même assez que pour laisser place à l’ambiguïté. Je m’étais avancé pour lui dire à l’oreille qu’elle méritait que je la descente. Une « menace » qui l’excitait plus que ça ne l’effrayait.
Cette fille était un spécimen intéressant…
Un spécimen que je devais tester. Pas en lui donnant ce qu’elle semblait vouloir même si l’ambiguïté qu’elle avait laissé me donnait deux possibilités quand à ce qu’elle voulait vraiment. Mais en lui faisait subir ce qu’elle m’avait fait subir tout à l’heure…
Et en lui envoyant à mon tour de la chair fraiche à tabasser en la personne de Luisa qui réagit au quart de tour en fonçant tout droit sur la fille. Elle la gifla sans hésiter ce qui provoqua une vive réaction du mon petit spécimen.
Les coups ne tardèrent pas à pleuvoir et la fille commença à refaire le portrait de Luisa. Je regardais, impassible mais je ressentais des frissons à chaque coups que portait l’ex de Carlos. Des coups qu’elle ne retenait pas alors que Luisa était au sol.
A nouveau, tout le monde s’était mis à regarder. Un second spectacle en une soirée. C’était une aubaine comme certain comme Alfonso qui se tordait encore de rire.
Quant au petit-ami de Luisa… Il venait d’entrer en scène revenant d’aller pisser, je crois. Choqué il ne tarda pas à se ruer vers les deux combattants mais je le retins par le bras avant qu’il ne puisse atteindre la petite-amie qui n’arrivait même plus à se protéger.
-Si tu me gâche le spectacle, je te jure que la balle que je réservais pour Carlos, c’est dans ta tête qu’elle ira.
Je disais ça d’une voix calme et profonde alors que me regard était toujours rivé sur le combat. Le petit-ami de Luisa me regarda longuement et je pus le lâché quand je fus sûr qu’il n’allait pas arrêter le combat. Il préférait sa propre vie à celle de sa petite-amie apparemment…
Je continuais de la regarder s’acharner me demandant si elle osera aller jusqu’au bout. Si elle osera tuer cette fille qui ne lui avait presque rien fait.
Mais je n’eus pas le temps d’avoir la réponse à ma question que Miguel intervint en prenant la fille par la taille pour l’éloigner de Luisa. Son petit-ami se rua alors sur Luisa voir si elle vivait toujours.
Moi, je regardais mon spécimen qui riait comme une hystérique alors que le vieux Miguel l’éloignait. J’étais sûr qu’il allait la foutre dehors. C’était à mon tour d’entrer en scène. J’en avais assez vu pour me faire mon opinion sur ce spécimen. Et elle avait suffisamment fait ses preuves pour attirer complètement mon attention.
Je m’approchai de Miguel.
-Je m’occupe de la foutre dehors…
Il hocha la tête et la lâcha. Je saisi alors la fille par le poignet commençant à serrer très fort alors que Miguel s’éloignait sans un regard ni pour la fille, ni pour moi.
-Viens !
Je la tirais par le bras sans douceur jusqu’à nous emmener dans les annexe de l’entrepôt. Un genre d’ancien petit hangar désaffecté.
Je la plaquai contre le mur maintenant qu’on était isolé et qu’on entendait à peine les bruits de la fête. Je ne la tenais que d’un bras serrant toujours son poignet. L’autre, je le laissai libre. La figure de la fille avait toujours la marque de la gifle de Luisa… Une blessure qui n’était rien comparé à ce qu’avait subi Luisa.
Je passai mes doigts sur sa blessure. -Beaucoup de rage dans un tout petit corps.
J’esquissai un sourire en coin serrant toujours très fort son poignet. Ma bouche approcha son oreille. -Alors ? Qu’est-ce que tu veux vraiment ?
Je voulais qu’elle me le dire. Parce que maintenant qu’elle avait gagné mon attention à elle de la garder.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Dim 14 Juil - 18:34
The Night We Met ft. Edward Fleming
Cette garce m’a giflé une fois, mais une fois de trop. Son coup porté sur ma joue ne fait qu’aggraver une fureur allumée par le rejet d’Edward. Je ne répond plus de moi, la frappant d’abord à la gorge, lui coupant le souffle puis en la ruant de coups de pieds, puis de coups de poings, jusqu’à ce qu’elle ne bouge plus, ne gémisse même plus. Je l’ai peut-être tué mais je n’en ai rien à faire, je continue de la frapper jusqu’à ce qu’on me force à cesser en me retenant d’abord par la taille puis en me soulevant.
La vision du corps de la fille, inerte sur le sol, me fait éclater de rire. J’ai le goût de son sang sur mes lèvres, je m’en délecte alors qu’on me prend maintenant par le poignet pour me sortir de l’entrepôt, avant de me plaquer durement à un mur. Ma vison s’embrouille puis s’éclaircie et je souris quand je réalise qu’il s’agit d’Edward. Il raviva les picotements de la gifle en y passant les doigts, je m’en passe d’ailleurs la langue contre l’intérieur de ma joue.
- J’avais pas fini !
Non, je n’avais pas fini de lui refaire le portrait. Je serais encore entrain de la frappé, je n’aurais pas arrêté tant que je n’aurais pas eu la certitude qu’elle venait de rendre son dernier souffle. Je sais que j’en aurais été capable.
- Elle est morte ? , demandais-je avec une lueur d’espoir.
Je remarque que mon souffle est court, non pas que je sois essoufflé d’un quelconque effort physique mais comme si je bouillais encore de rage. Je ne sais pas comment canaliser ce qui se passe à la fois dans mon corps et dans ma tête.
Je tire un peu sur mon bras encore fermement maintenu par Edward qui me demande qu’est-ce que je veux. J’ai besoin d’une autre source d’adrénaline, tout aussi puissante et j’en ai besoin maintenant. A force, je parviens à le faire lâcher et me laisse glisser le long du mur, n’attendant pas son accord, pour lui ouvrir le pantalon et le prendre en bouche. Il faut que je fasse quelque chose, que je ressente quelque chose. A partir du moment où j’ai donné le premier coup, c’est comme si m on corps entier, mon âme y comprise, venait de déconnecter de la réalité et que je pouvais faire et vivre tout ce que je voulais. Quand ça été fini, je me suis trouver comme plongée dans un bain de glace, tout en moi est coincé et cherche à être exprimé.
C’est par le sexe, que j’ai compris, les première fois quand ça m’est arrivé. Au début, en me masturbant avec des objets susceptible de me blesser pendant l’acte. Puis, en faisant l’amour, avec des mecs qui consentaient à me faire mal mais jamais à la hauteur de mes attentes. Je restais toujours sur ma faim, insatisfaite et je cherchais ensuite à me blesser moi-même pour compenser.
Je fais une fixation sur Edward depuis longtemps. Sa façon d’être, de se déplacer, de se comporter. Tout de lui me laisse croire qu’il est parfait pour moi. Quand je l’ai vu frapper Carlos puis le menacer de son arme, il m’a fait jouir sans même me toucher.
Je le suce avec une ardeur à peine dissimulée. J’ai envie de lui comme je n’ai jamais eu envie de quelqu’un. Mes mains remontent sur ses cuisses, puis sur ses fesses dans lesquelles j’enfonce mes ongles. Je le griffe sauvagement pour le pousser à me frapper, à me tirer les cheveux. Qu’il me montre qu’il peut me combler.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Lun 15 Juil - 11:32
The Night We Met ft. A.J. Litrell
Ouais, elle n’avait pas fini. J’avais bien vu qu’elle aurait frappé encore et encore jusqu’à-ce qu’il ne reste absolument plus rien de Luisa. La rage que la fille avait dégagée avait offert un beau spectacle.
Même si je devais avouer que je préférais encore mieux faire les choses moi-même.
Cette fille avait la même rage que moi en elle sauf qu’elle semblait savoir moins bien la contrôler. Son rire hystérique de toute à l’heure et la question qu’elle me posa maintenant, à savoir si Luisa était morte, en était une preuve. Moi, j’aurais su si Carlos était mort parce que c’est moi qui aurait décidé de quand et de comment je lui infligerais le coup fatale. Et ça pour mieux l’apprécier.
Ce spécimen avait le potentiel de tuer… Mais il lui manquait le dosage et la manière. -J’en doute.
Je doutais qu’elle soit morte. Miguel serait intervenu avant quoi qu’il arrive. Je le savais. Je connaissais Miguel. Il avait su comment me dissuader d’en finir avec Carlos… Et il avait trouvé comment empêcher cette fille de réduire Luisa en bouillie. -Désolé de te décevoir.
Rien ne l’empêchera de l’achever un autre jour. Comme, certainement, j’achèverais Carlos un autre jour.
Je la sentis tirer sur son bras pour essayer de le dégager. Mais avant de la libérer, je voulais savoir ce qu’elle voulait. Précisément ce qu’elle voulait. Et en fonction de sa réponse, je verrais si ce qu’elle veut est quelque chose qui saura me satisfaire aussi… Si ça n’est pas le cas… Je l’abandonnerais ici.
Mais elle ne répondit pas avec des mots… Mais avec des gestes. Elle réussit à dégager son bras avec toutes ses petits forces moins négligeable le qu’il n’y paraissait et descendis en embarquant mon pantalon avec elle.
La réponse était suffisamment claire…
Elle ne l’avait pas dit avec des mots bien qu’elle utilisait sa bouche quand même. Est-ce que ça me satisfaisait ? Je mentirais si je disais « non ».
Instinctivement, je fermai les yeux ma respiration s’accélérant au rythme de la bouche de la fille dont je ne savais même pas encore le nom… Mes mains s’étaient perdues dans ses cheveux. Je n’avais presque pas besoin de bouger tellement elle y mettait de l’ardeur.
Jusqu’à-ce qu’elle commence à me griffer… Là… Là ma réaction fut épidermique. Je la tirais par les cheveux brutalement me reculant un peu avant de la remonter pour la plaquer contre le mur la tenant toujours pas ses longs cheveux blonds. Sa tête heurta le mur assez fort certainement pour lui faire voir quelques points lumineux.
Je ne savais pas, à ce moment-là, que c’était exactement ce qu’elle voulait.
Je l’embrassai mais avec tellement de brutalité que sa lèvre ne résista pas. Le goût du sang… C’est ce goût là que j’avais maintenant dans la bouche.
J’approchai ma bouche de son oreille.
-Tu m’as cherché.
Depuis le début de la soirée elle me cherchait. Elle m’avait trouvé maintenant.
Je déboutonnai sa chemise perdant patience sur les derniers boutons qui s’envolèrent. Je caressai ses seins sa bouche mise à rude épreuve par mes baisers. Après ça, c’est son pantalon que j’ouvris et je faufilai mes doigts pour venir torturer son intimité. Je ne voulais pas qu’elle ressente la moindre douceur ou même la moindre affection. Je n’en avais aucune pour cette fille qui m’avait juste montré qu’elle avait du cran et de la rage. C’est pour ça que mes caresses devaient plutôt ressembler à des coups de poignards qu’autre chose.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Lun 15 Juil - 21:02
The Night We Met ft. Edward Fleming
Je cherche à maintenir l’adrénaline que j’ai ressentie en frappant la fille, par une sensation tout aussi intense. La manière dont Edward me maintient contre le mur et me tord l poignet ne suffit pas.
La douleur n’est pas assez vive, ni même suffisante pour que je puisse me sentir complètement comblée.
À force, je finis par réussir à me laisser glisser le long du mut et à le prendre en bouche alors même que j’ai entraîné son pantalon dans ma descente. Et vu l’érection qui me nargue, alors soit il est autant excité par la violence que je le suis, soit je l’attire un tant soit peut ou alors c’est un parfait mélange des deux, ce que j’espère mais je ne prends pas la peine de lui poser la question.
Je le suce avec une intensité digne des coups que j’ai portés. Il gémit rapidement, m’empoigne les cheveux et presse fermement sur ma tête mais je veux plus que ça, encore. Je le provoque en lui griffant les fesses, assez pour que je sente sa beau boursouffler presque instantanément sous mes ongles. Sa réaction ne se fait pas attendre. C’est en me tirant par les cheveux qu’il me fit remonter avant de me frapper la tête contre le mur, assez pour qu’une onde douloureuse irradie d’une tempe à l’autre.
- Ouais, c’était fait exprès !
Ma lèvre inférieure fendit avec la rage de son baiser. Le goût de on sang, mêlé à celui de notre salive est divin. J’en ressens l’excitation partout dans mon corps et, plus encore quand il s’attaque à ma poitrine lui, à mon sexe qu’il ramone brutalement de ses doigts. Sa rage et sa brutalité accentue mon désir pour lui. Il s’attendait peut-être à ce que je gémisse de douleur et l’implore d’y aller plus doucement mais, au contraire, ce sont de véritables gémissements de plaisir qui sorte de ma gorge sur laquelle je viens poser sa main libre.
- Serre-moi fort. Il faut que ça craque !
Qu’il m’étrangle, ni plus ni moins.
Et pour qu’il comprenne bien, je serre sa main de la mienne, sur ma gorge assez pour que déjà, l’air passe un peu moins bien. Je soulève une jambe pour me rapprocher intimement de lui. Son sexe toujours aussi dur s’enfonçant maladroitement et n’importe comment contre moi puisqu’il continu de me doigter avec fureur.
Ma main quitte la sienne pour passer derrière sa nuque, ramenant son visage au mien pour l’embrasser fougueusement. Je ne sais plus respirer s’il m’étrangle et m’embrasse en même temps. L’air se fait de plus en plus rare et je commence lentement à suffoquer. Ça bourdonne dans ma tête alors que mes jambes, du moins celle qui touche le sol, devient molle et j’ai de moins en moins de force.
C’est comme… une sensation de sérénité incroyable qui m’envahit. Je me sens hyper bien, dans un parfait mélange de douleur et de plaisir. Jusqu’à ce que je lâche prise et m’effondre contre Edward.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Mer 17 Juil - 12:27
The Night We Met ft. A.J. Litrell
Elle confirma qu’elle m’avait cherché exprès alors que je venais de frapper sa tête contre le mur. Je ne savais toujours pas si elle cherchait à mourir quoi qu’il en soit je ne la ménageais pas avec mes caresses très brutales et mes baisers qui ne laissait transparaitre pas la moindre douceur.
Mais ça la faisait gémir toute cette violence et chacun de ses gémissements m’excitaient un peu plus sans pour autant me faire cesser de la brutaliser. Chaque baiser était plus mordant et mes doigts y allaient de plus en plus fort sans faire attention à ne pas l’écorcher au passage.
La fille guida alors ma main sur son cou. Elle voulait que je serre fort. Elle voulait que ça craque. Elle m’incitait à plus de violence… Elle prenait le risque de mourir.
Parce que je serrais très bien capable d’aller jusqu’au bout. Elle n’était rien pour moi. Juste une poupée de chiffon qui adorait la violence surtout quand c’était elle qui prenait les coups. Elle commença à serrer avant qu’elle n’en ait plus besoin parce que je serrais très bien moi-même son petit cou fragile.
Elle risquait de ne jamais plus pouvoir respirer…
Mais elle ne semblait n’en avait que faire et quand elle m’embrassa furieusement, je ne fis que prolonger le baiser en serrant plus fort sa gorge. L’air ne passer plus. Je le sentais. Je sentais qu’elle faiblissait. Son baiser perdait en puissant mais je continuai de l’embrasser quand même.
Mais la fille s’effondra alors contre moi. Non… Trop tôt pour crever… Même si je devais avouer que la sentir mourir petit à petit ne faisait que renforcer mon excitation.
Je desserrai ma main la redressant pour la plaquer contre le mur et lui foutre une claque pour qu’elle reprenne un minimum ses esprits.
-Respire… J’ai pas terminé.
Et je remplaçai mes doigts pas mon sexe soutenant la fille qui devait être là sans vraiment l’être bien que je pouvais à nouveau entendre sa respiration. Elle n’était pas morte mais le manque d’air la foutait à moitié dans les vapes. J’y allais de vas et vient brutaux jusqu’à arriver à me satisfaire moi-même et gémir dans son coup qui arborait des marque rouges qui risquaient de virer au bleu dès demain.
Je repris mon souffle la fille toujours plaqué contre le mur et moi la soutenant.
Je passai mes mains sur ses marques. Celles que je lui avais faites. Mon regard croisant le sien.
-Tu n’es qu’une petite chose fragile…
Et qui aimait s’en prendre plein la figure. Je la laissai reprendre pied avant de m’écarter un peu et de me rhabiller. Je me retournai vers elle penchant légèrement la tête sur le côté en la regardant.
-Tu voulais mourir ?
Je voulais savoir… Je voulais savoir si c’était tout ce qu’elle voulait… Ou si elle était plus qu’une simple suicidaire.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Sam 20 Juil - 4:43
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Sa main sur ma gorge et ses lèvres sur les miennes rendent difficile, voir impossible ma respiration. Ma gorge me fait mal et je commence a sentir les extrémités de mon corps s’engourdir. Je peux voir, alors même que j’ai les yeux fermés, une pluie de petites étoiles blanches danser sous mes paupières.
J’en suis aux premiers symptômes de l’étouffement. Ça y’est presque, mais pour que ce soit parfait, il faut qu’Edward cesse d’éterniser ses préliminaires infiniment long et qu’il aille droit au but, il en meurt d’envie je m’en suis assuré.
Malheureusement pour moi, je flanche avant et m’effondre contre lui. Je reprends vraiment mes sens quand il me gifle. Le mal est cependant fait, il a raté l’occasion de rendre cette première fois vraiment exceptionnel.
Il me baise sans retenue, y allant brutalement, assez pour me plaquer chaque fois un peu plus contre le mur, jusqu’à ce qu’il se vide en moi, me laissant sur ma faim et si ma gorge enflée et douloureuse ne me brûlait pas autant, je lui aurais demandé quand la fête allait vraiment commencer.
Au lieu de ça, je me contente d’un doigt d’honneur et d’un large sourire quand il me dit que je ne suis qu’une petite chose fragile. Pas si fragile que ça, il doit s’en être déjà rendu compte que j’ai encaissé plus que n’importe quelle fille pourrait le faire, en une seule fois et c’est rien, ça! Ça aurait été beaucoup plus intense et marquant comme expérience s’il avait été au même diapason que moi.
Puis je fais nom de la tête en ramassant mes vêtements, quand il me demande si je voulais mourir. Pis, remontant mon pantalon, je me ravise et je fais signe que oui. Ma voix est brisée mais je m’en fou, la douleur est salvatrice.
- C’est plus que ça. Je veux mourir et revenir au moment de l’orgasme. Je suis certaine qu’un homme, un vrai homme peut faire ça mais, je n’en ai jamais rencontré qui avait les couilles de tenté l’expérience.
Il peut voir ça comme une pique, ou comme un défi, peu importe. Je ne mens pas quand je dis que personne encore n’a voulu essayer, Ce n’est pas un très gros risque, un fifty-fifty… pile ou face, tu gagnes ou tu meurs.
Peut-être qu’Howard Stone avait raison et, qu’au final, Edward n’est rien de plus qu’un gros con sur deux jambes. Une déception humaine qui joue les mauvais garçons mais qu’au fond, n’a pas ce qui faut pour en être vraiment un. Pourtant, je suis certaine que je ne me suis pas trompé et que je ne flash pas sur lui depuis tout ce temps pour absolument rien.
Ça serait quand même un peu con et surtout très frustrant.
- Tu penses en être capable ?
J’attrape ma veste et la balance par-dessus mon épaule, la retenant du bout de deux de mes doigts par le col.
- Au fait, moi c’est A.J., au cas où tu aurais envie de le gémir, pour de vrai.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Sam 20 Juil - 12:08
The Night We Met ft. A.J. Litrell
La fille répliqua à mon insulte par un doigt d’honneur. Visiblement elle n’aimait pas être traitée de petite chose fragile. C’était pourtant ce qu’elle était. Je l’avais étranglée l’espace de quelques secondes et ça avait suffi à ce qu’elle perdre presque connaissance. Ce qui m’avait légèrement laissé sur ma faim vu que j’avais dû chercher le reste tout seul comme un grande.
Elle n’était pas le coup du siècle. Ou du moins, elle avait lâché bien trop vite pour devenir le coup de siècle. Parce que c’était quand même la première qui semblait aimer les coups.
Les autres détestaient ça. Toutes celles que j’avais rencontrées détestaient ça.
Pas cette fille. A croire qu’elle voulait mourir. Autant lui poser la question tout de suite. Si elle voulait mourir, elle pouvait toujours sauter d’un pont ou bien se faire sauter le caisson elle-même. Il y avait un tas de moyen d’en finir.
Mais elle ne voulait pas mourir. Elle voulait quelque chose de plus spécial que ça. Crever et puis ressusciter au moment de l’orgasme. Elle ne manquait pas d’originalité. Mais j’entendis bien aussi son insulte dans son explication. Seul un homme, un vrai, pourrait y arriver d’après elle. Ça voulait très bien dire ce que ça voulait dire vu qu’on venait de coucher ensemble.
Ce n’était pas vraiment ma faute si elle ne savait pas tenir la distance. Elle n’aurait pas été aussi impatience, elle l’aurait peut-être eu son rêve de résurrection.
Je la regardai reprenant un regard neutre mais pas moins intense. Et à sa question, je m’approchai d’elle la dominant de plus d’une tête.
-Dans cette ville, je suis le seul qui en serait capable. Mais si je le fais, je ne suis pas sûr que j’aurais envie de te ramener.
Parce qu’une fois que son petit cœur fragile aura cessé de battre parce que je l’aurais frappé trop fort ou étranglé trop longtemps, il est possible que ça soit suffisant pour satisfaire mon propre plaisir et que je ne la ramène pas du tout.
C’était son risque… Pas le mien.
Elle reprit sa veste me donnant son nom et laissant sous-entendre qu’il y aura une prochaine fois entre nous. Peut-être qu’il y en aura une…
Je m’approchai d’elle pour lui souffler à l’oreille.
-La prochaine fois… S’il y en a une… Fait-moi le plaisir de ne pas mourir trop vite. Parce que si tu ne tiens pas la distance, ça ne veut pas dire que je ne suis pas un homme, un vrai… Ça veut juste dire que tu ne peux pas encaisser ce que je suis capable de te faire parce que justement je suis un homme, un vrai…
Parce que ce que j’avais fait aujourd’hui, ce n’était rien comparé à ce que je pouvais lui faire.
Je me reculai un peu. -En attendant… J’ai des choses plus intéressantes à faire.
Est-ce qu’on se reverra ? Peut-être bien… Peut-être pas.
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Angelica J. Litrell
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé] Sam 20 Juil - 23:00
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Cette première rencontre officiel me laisse un goût amer, comme si j’avais passé tout ce temps à rêver d’un homme qui s’avère ne pas être le bon, au final. Il dégage beaucoup d’assurance mais quand vient le temps de passer aux actes, il fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
J’ai peut-être eu une faiblesse dans ses bras mais j’étais loin d’atteindre le plaisir espéré. Il a simplement mit trop de temps à réagir, c’est ça qui est dommage. Alors je doute qu’il puisse être le seul homme capable de me faire ressentir ce que je cherche désespérément à vivre, bien qu’il s’en prétendre capable.
- Tu parles, tu parles, faut encore le prouver.
Et il parle, et parle encore ! C’est moi la fille, de nous deux, non ? Alors pourquoi il ne sait pas que se la fermer et méditer sur ce que nous venons de vivre, chercher ce qu’il a fait de mal et qu’il pourrait modifier.
Non, à la lace, il jette le blâme sur moi, prétendant que je sais possiblement pas encaisser. Il ne sait pas à qui il a affaire, ce mec ! J’encaisse comme un homme, j’encaisse probablement même plus que lui. Le fait est qu’il n’a pas su assurer, prenant trop son temps à des choses futiles et que j’ai dû lui montrer comment serrer ma gorge pour obtenir un résultat moindrement satisfaisant.
Alors, ma veste sur mon épaule, j’encaisse, justement, de l’entendre dire qu’il a mieux a faire ailleurs.
- Ouais, baiser des vierges qui ne bougent pas, par exemple ? C’est à ta porté, pas trop de défi, en attendant, ouais, j’irai voir plus haut que toi, les gros calibres qui doivent pouvoir donner son dû à une petite chose fragile comme moi.
Je m’avance et passe à côté de lui, ne le regardant même pas, puis après quelques pas, je me retourne et le regarde.
- Tu as eu ta place chez les Los Diablos parce que tu as la langue douce ou parce que tu es souple ?
Si ça, ca ne lui donne pas envie de me tuer sur place, c’est que j’aurais vraiment perdu mon temps à me languir de lui.
Je le plante là, pour le laisser digérer l’insulte et rejoins le reste des fêtards. Visiblement, il y a eu d’autres bagarres, beaucoup d’action pendant qu’Edward et moi faisions plus ample connaissance.
J’attrape un gobelet au hasard et le vide d’un trait. Puis un autre. Peut-être que si je me saoule, ma soirée ne sera pas totalement perdue.
Après je ne sais plus combien de verre, je cherchais sans vraiment le faire, Edward, ayant soudainement peur de ne plus jamais le revoir. J’ai horreur de ressentir ce genre de sensation que je ne contrôle pas et, en général, pour me calmer, la seule chose qui fonctionne c’est de me faire mal. Il n’y a qu’avec la douleur que je me sente bien.
J’ai besoin de respirer, de sortir d’ici. Il y a trop de monde, trop de bruit, trop de tout et pas assez d’Edward.
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Sujet: Re: The Night We Met [PV Edward Fleming][1970][Hot][Terminé]
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