Lundi 15 h 30 : Lyra la jeune cousine de Luna, était partit de l'appartement pour pouvoir trouver des contrats ou alors un travail a durée indéterminée dans la photographie et quoi de mieux que de commencer par le journalisme. Elle prit ses album photos où elle avait pu prendre quelques star en photo de son pays et ceux d'ici. Elle avait même prit un album photo fait que de clichés sur la nature.
Elle voulait les montrer, pour essayer d'avoir ce contrat, qui lui permettrait de gagner un peu d'argent, elle avait besoin d'aider sa cousine mais aussi d'argent pour elle. Il fallait qu'elle puisse avoir de quoi payer le loyer, l'électricité et surtout de quoi se nourrir. Elle avait envie d'utiliser ses talents culinaires pour faire tout goûter a sa cousine.
Seulement il n'y avait pas que cette raison, elle adorait prendre des photos et elle voulait montrer ses photographie, même si ce n'est que pour un journal, au moins c'était un premier pas, qui dit après qu'elle n'aurait pas un autre contrat plus important que celui du journal plus tard.
Enfin bref, elle se mit en marche pour aller a la rédaction, elle croisait les doigts pour pouvoir avoir ce contrat. Elle s'était habiller avec une jupe un peu longue pas trop, une petite chemise blanche avec une cravate, elle aimait bien de temps en temps s'habiller de manière un peu classe, elle avait l'impression de se sentir jolie, pour une fois, cela était rare et elle avait lâcher ses cheveux, Luna lui avait souvent dit qu'elle était mieux les cheveux détacher du coup elle voulait tester.
Une fois arrivait a la rédaction, elle entra dans le bâtiment et elle alla a l'accueil demander a voir le patron ou au moins le sous patron pour son entretient d'embauche, en tout cas la secrétaire était habiller vraiment de manière sexy, comme si elle cherchait a plaire a quelqu'un en particulier, elle avait un décolleter bien plongeant qui montrait sa poitrine et surtout beaucoup trop de maquillage sur le visage on aurait dit un pot de peinture, elle avait une jupe super courte qui montrait plus qu'elle ne devait. Elle ne savait même pas si elle portait des sous-vêtement ou non. Bref elle la regardait dans les yeux elle était un peu dégoûter de voir un visage pleins de peinture, ça lui donnait la nausée, elle trouvait que c'était mieux de rester naturelle ou de mettre juste un peu de trucs aux yeux et de quoi faire briller les lèvres.
A force d'être en présence de la femme qui la regardait méchamment, elle sentis la trop grosse quantité de parfum, ça lui donnait horriblement mal a la tête. C'était franchement atroce. En tout cas elle attendait qu'elle ai prévenu le patron ou le sous patron. Elle serrait bien contre elle son album photo, elle croisait les doigts pour être prise.
Amon Sørensen
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Who Am I? Age: 35 Date de naissance: 14/06/51 Localisation: Downtown Birth place: København, Danemark Je suis: fouineur Song: Me Against The World - Simple Plan
Je détestais le lundi. Comme beaucoup de gens. Et j'avais passé la journée à hanter les couloir de la rédaction en fredonnant "I Don't Like Mondays" des Boomtown Rats. C'était une chanson que j'adorais particulièrement parce qu'elle était inspirée d'une histoire vraire: celle d'une jeune fille des 16 ans qui un jours, par ras-le-bol, était allée à l'école armée d'un flingue et avait tué quelques uns de ses camarades de classe. Et puis quand les flics lui avaient demandé "pourquoi?", elle avait répondu "Je n'aime pas le lundi"... Et je trouvais ça assez louable comme raison.
Et combien de fois n'avais-je pas pensé faire pareil alors que j'étais gosse? Je n'avais certainement plus assez des mes dix doigts pour les compter. La première fois que j'avais pensé tuer quelqu'un, je devais avoir aux alentours de six ans. Cette prof qui m'avait dit que je ne pouvais pas suivre Freiya comme son ombre. Et celle-là, ce n'avait pas été par balle que j'avais pensé la tuer. Pourtant, mon père en faisait fabriquer par millier, des armes...
Bref, j'étais pas d'humeur et toute la rédaction le savais. Le lundi, on emmerde pas Amon Sörensen. En tout cas, on ne le fait que si le boss le demande vraiment. C'était comme ça que j'avais passé, jusque là, une journée plutôt tranquille. Mes déplacements jusqu'ici se faisaient toutes les demie heures, de mon bureau à la machine à café et vis-versa. Ca n'arrangeait évidemment pas mon cas, mais ça, il n'y avait que les rares personnes que je croisais pour s'en rendre compte.
Mais finalement, qui me fit vraiment chier? Lady Photocopieuse, évidemment!!! On me l'avait fait réparer pourtant, mais elle était de nouveau en rade. Et après avoir mis mon poings dedans en grognant, je me résignai à aller faire mes photocopie à l'accueil.
C'est ainsi que je croisai, à contre coeur, quelques personnes qui n'osèrent même pas croiser mon regard. Quelques stagiaires aussi rebroussèrent chemin. Mais je ne cherchai pas à les harceler...
Finalement, j'arrivai à l'accueil et niai complètement les grands yeux de biche de... Merde... Comment c'était encore? Oh et puis on s'en fout... La fille de l'accueil que j'avais baisé une fois dans le placard à balais, entre deux bureaux. Je devais réellement avoir eu de la merde dans les yeux ce jour-là n'empêche ou alors c'était nouveau le fait qu'elle se plongeait la tête dans un pot de peinture? J'en savais trop rien et je m'en branlais un peu... Non. Finalement, je m'en foutais juste parce que ça n'avait rien d'excitant...
Je désignai son visage.
-Hey!! Je savais pas que le patron avait demander qu'on refasse la façade de la rédaction... Z'aurait pu faire attention à pas t'en foutre plein la tronche quand même...
Bon ok... C'était pas sympa. Mais on était lundi. La fille détourna le regard. Je mis mes feuilles dans la photocopieuse et puis m'appuyai sur la machine le temps que ça se fasse. Vivement que je remonte pour piquer un roupillon...
Puis, mon regard fut attiré par un jeune femme bien plus attirante que celle de l'accueil. Je la désignai. Je n'avais aucun problème à pointer les gens du doigt...
-C'est qui ça?
La fille de l'accueil pris sa voix la plus sensuelle... Ca me rappelait vaguement des souvenirs... Ah ouais... Ca me revenait tient...
-Oh... Une jeune femme qui vient pour un entretien d'embauche... Elle est... heu.. photographe.
Je hochai la tête, pris mes feuilles qui avaient fini de photocopier et me dirigeai vers la jeune femme. Très jeune, me semblait-il. Mais majeure, si elle venait pour un entretien, je supposais. Et avec beaucoup moins de peinture que l'autre... Je me présentai à elle.
-Je suis Amon Sörensen, je vais m'occuper de vous.
Je n'étais ni chef ni sous chef... mais... Who cares? On était lundi, personne n'y trouverait à redire.
Je l'invitai d'un geste à me suivre et marchai jusqu'à mon bureau sans me retourner vers elle une seule fois. J'entrai le premier et m'installai dans mon fauteuil, baskets croisées sur le bureau, avant de l'inviter à s'assoir elle-même.
Quand elle t'avait vu arrivait, elle s'était figée sur place, elle avait comme ressentis de la froideur venant de toi. En tout cas, elle ne put s'empêcher de pouffer de rire face a la critique que tu avais faite a la secrétaire, évidemment c'était très discrètement. Elle n'avait pas envie que cela se voit de trop. Si ça se trouve toi tu l'avais remarquer tandis que la secrétaire non.
Elle était assez réticente a te suivre, tu avais peut être un charisme, qui imposer un grand respect, mais elle n'avait pas l'impression de voir un patron. Enfin bon, elle te suivis quand même, elle s'assit tout doucement, au début elle était un peu apeurée, mais elle se fit violence pour ne pas montrer ses faiblesses et ainsi ne pas être embaucher.
Elle prit une voix neutre et une position de corps neutre, elle plantait ses yeux dans les tiens et elle déposa ses album devant toi. Qu'elle ouvrit, il y'avait des photos de pôle naturelle mais aussi de célébrités, elle avait réussit a prendre quelques photos embarrassante de célébrités mais comme c'était surtout celle de son pays, ici on ne devait pas connaître et elle ne connaissait pas assez de groupe pour pouvoir les prendre en photos.
- Je prend un peu de tout en photos, pour avoir un large choix.
Elle attendait que tu ai finis d'analyser ses photos pour attendre ton jugement, peut être qu'elle n'était pas une photographe parfaite pour le journal, mais elle aimerait bien gagner un peu d'argent pour aider sa cousine et faire quelques dons pour des enfants malade, oui elle avait un grand cœur et elle n'hésitait pas a faire passer les autres avant elle, au point de s'oublier. Et puis elle pouvait supporter tout du moment que ça aider la personne en face d'elle.
- J'espère que vous pourriez trouver un moyen de me faire embaucher monsieur
Elle se demandait quel position tu avais dans le journal, peut être une place importante mais laquelle, elle ne savait pas en tout cas, c'est sur que tu n'étais pas le patron ni le sous patron, ton bureau était différents et ton attitude aussi. Tu étais vraiment étrange et tu avais un petit air de grand manipulateur et une tête de langue de vipères. Il fallait qu'elle se méfie de toi au maximum, sans le montrer et en restant totalement neutre.
N'empêche elle avait toujours les yeux planter dans les siens et elle faisait tout pour ne montrer aucune émotion, il fallait qu'elle fasse vraiment attention avec toi, sinon elle était mal, très mal. En tout cas elle n'allait pas baissait les yeux et elle en avait rien a faire si tu te mettais en colère face a sa détermination et que tu la vire, en lui disant d'aller voir ailleurs, de toute façon, elle le ferait sans hésiter, il exister peut être d'autre journal. Elle était venu ici car c'était pas trop loin de l'appartement dans lequel elle vivait avec Luna sa cousine.
Cependant, elle ne dirait pas que tu es moche au contraire mais les garçons les plus beau sont souvent les plus cons a moins qu'ils aient un cœur cacher, pour savoir il fallait creuser même si cela sera dur, comme on dit "Après l'effort la récompense". Elle comprenait pourquoi la secrétaire te dévorer des yeux mais bon tu n'étais pas son type d'homme donc aucun risque. Et puis là elle avait besoin d'une grande énergie pour ne pas faillir devant toi, elle regrettait de ne pas avoir Milo a côté d'elle, elle aurait aimer lui tenir la main pour se rassurer. Mais c'était son entretient d'embauche donc elle devait tenir et faire de gros effort.
Amon Sørensen
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Who Am I? Age: 35 Date de naissance: 14/06/51 Localisation: Downtown Birth place: København, Danemark Je suis: fouineur Song: Me Against The World - Simple Plan
Malgré le fait que je faisais semblant de ne pas lui accorder plus d'attention que ça, j'analysais littéralement la jeune femme. Attirante, mais discrète. Deux bons points pour elle. On verrait bien le résultat final. Peut-être timide aussi, un peu, sur les bords. Ce n'était pas plus mal. Au moins, elle ne la ramènerait pas tout le temps et je ne l'entendrais pas beaucoup. Par contre, ce serait un défaut pour s'introduire partout, si elle n'avait pas de tchatche. Elle ne saurais manipuler personne et ne pourrait compte que sur sa discrétion...
Mais doucement, Amon, doucement, tu vas trop vite. Chaque chose en son temps. Analyse après analyse. Sa façon de s'assoir déjà. Neutre. Inodore, incolore, insipide, j'aurais détesté ça si ce n'était sa façon de soutenir mon regard sans le défier. Bien... Y avait peut-être quelque chose à en tirer. J'étais bien intallé, les pieds croiss sur mon bureau, quand je lui demandai quel genre de photo elle faisait. Et sans poser de questions du genre: vous ne me demandez pas mon nom? Vous n'avez pas besoin de voir mon CV? Non... Elle répondit directement à ma question. Et rien qu'à ma question, en disant qu'elle prenait un peu de tout en photo. Soit elle était intelligente, soit c'était le genre de fille à faire simplement ce qu'on lui demandait. Mais que ce soit l'un ou l'autre, ça me plaisait.
Elle pris des album dans son sac et les ouvrit devant moi. Je n'y connaissais rien du tout en photo. Mais alors là, que dalle de chez que dalle. Mais je fis quand même semblant de regarder d'un air connaisseur. Ce que je cherchais, ce n'était pas de belles photos, ce que je cherchais, c'était des photos intéressantes. Etant européen, je découvris, en feuilletant son album, des photos de célébrités anglaise que je connaissaient parce que malgré la langue de vipère pas très intelligente pour laquelle je me faisais passer dans mes articles, j'avais un minimum de culture et comme en plus j'étais européen...
Mais je restais silencieux, je ne regardais plus vraiment les photos, déjà, je savais ce que j'allais faire et j'avais déjà trouvé ce qu'il me fallait. Non je continuais à faire comme si, attendant qu'un minimum de stress monte et qu'elle ne puisse plus se retenir de dire quelque chose. Ce qui fini par arriver.
Je la transperçai du regard.
-"Trouver un moyen de me faire ambaucher"?
Je marquai une courte pose, enlevai mes pieds de mon bureau et me remis convenablement bien face à elle, déposant du même coup l'album que j'avais en main sur le bureau. Elle ne quittait toujours pas mon regard, ne baissait pas les yeux. Bien. Ne me laisse pas te bouffer, mais n'essaye pas de prendre le dessus non plus, c'est la bonne méthode.
-Crois-tu que j'ai besoin de demander l'avis de quelqu'un?
Soit elle ne me connaissait pas, ce qui se pouvait fort bien car son accent semblable à celui de Timmy Evans me renseignait qu'elle était anglaise. Soit, elle n'avait pas tilté en entendant mon nom. Pas grave, je n'étais pas Daniele Ricci et ne me vexait pas pour si peu. En arrière plan, le regard percé de pointes de fléchettes de North, sur mon poster, devait ne pas la quitter. Il fallait que je lui fasse comprendre à qui elle avait à faire. Et aussi que je n'avais de compte à rendre à personne. Enfin... Du moins... J'essayais et jusque là, ça marchait pas trop mal. On me foutait relativement la paix.
Je lui laissai le temps de répondre avant de retourner son album vers elle. Je l'avais ouvert sur une photo qui montrait une star de rock anglaise en train de pisser sur une bagnole, probablement pendant une soirée arrosée, et surpris d'être pris en photo. Je pointai cette photo du doigt.
Elle t'avait observer longuement quand tu étais entrain de regarder les photos qu'elle avait apporter et quand tu lui montra une photos a scandale, elle fit un petit sourire en coin. Donc monsieur voulait ce genre de photos, il allait en avoir.
- Donc vous voulez que je fasse des photos a scandale ? Eh bien ce n'est pas mon habitude mais je veux bien en faire.
Elle avait toujours son petit sourire en coin, elle allait tout faire pour satisfaire les attentes de son employeur.
- Vous voulez que je commence quand ?a moins que vous ne vouliez réfléchir un peu avant.
Elle se tut, elle avait pas envie que tu la trouve insolente mais elle ne quittait pas ton regard, il fallait dire que tu avais de beaux yeux, toutes les filles devais s'y perdre, c'était évident. Mais on se demande comment un bel homme comme toi est intéresser par une fille ressemblant a un pot de peinture, c'était pas compréhensible. A moins que ce soit juste un coup pour se soulager. Enfin bref ça la regardait pas mais elle aimait beaucoup tes yeux, mais elle n'allait pas non plus se laissait manipuler facilement.
Elle allait faire tous ce que tu veux, mais elle ne se fera pas manipuler comme une vulgaire marionnette, c'était franchement pas génial, au pire elle pourrait lui laissait croire qu'il la manipule mais elle ne le serait pas. Il faut faire très attention aux journalistes, ils sont franchement près a tout pour arrivait a leurs fin. Elle avait envie de poser une question, mais elle préférait continuer a te regarder dans les yeux, ils étaient pas commun tes yeux, c'était rare mais ils étaient tellement beau.
Elle aimerait bien s'y perdre mais elle secoua la tête pour éviter de penser a ça, là elle était presque sous ton charme, pas étonnant a cause de ton charisme. Enfin bref, maintenant elle rêvait de pouvoir voir Milo, il lui manquait beaucoup. Même si elle avait était perdue dans ses pensées. Elle n'avait pas cesser d'avoir une attitude neutre en extérieur.
Elle te fixait tellement intensivement dans les yeux qu'elle avait l'impression qu'elle pourrait se les brûler. Qu'est-ce que tu cacher ? Qui étais-tu réellement ? on arrivait a bien distinguer les questions qu'elle se posait dans son regard.
- Au faite je m'appelle Lyra, Lyra Hunter pour vous servir monsieur Amon Sörensen.
Elle avait son petit sourire en coin, peut être que tu n'allais pas apprécier sa façon d'être mais si tu voulais pleins de photos a scandale il fallait que tu l'embauche a tout prix. Sinon tu pouvais perdre une bonne photographe, tu en trouvera peut être d'autre mais ce serait franchement dommage.
Amon Sørensen
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Who Am I? Age: 35 Date de naissance: 14/06/51 Localisation: Downtown Birth place: København, Danemark Je suis: fouineur Song: Me Against The World - Simple Plan
On ne parlait pas beaucoup, mais son langage non verbla m'en disait déjà tellement! Elle faisait très attention. Elle en voulait, mais ne voulait pas brusquer ni s'imposer. Juste ce qu'il me fallait, j'en était de plus en plus convaincu. Jamais une fille comme elle n'essayerait de me passer au dessus. Elle dit qu'elle n'avait pas vraiment l'habitude de faire des photos à scandale, mais que, si c'était ce que je voulais, c'était ce qu'elle ferait. Et elle ne quittait jamais mes yeux. Et je sentais rien que dans son regard que, loin de me défier, elle me trouvait plutôt attirant. Bien. Freiya n'hésitait jamais à se servir de son physique... Et moi non plus, même si, j'en avais moins souvent l'occasion qu'elle.
Mais bon... Dans ce cas-ci, c'était quand même moi qui avait le pouvoir de l'embaucher ou non. Je l'avais vu le premier! Elle était à moi! Ce serait au moins quelqu'un que Ginger n'aurait pas. Et comme j'avais le pouvoir, je n'avais pas besoin de me servir de mon physique. Je n'avais rien à faire. Mais je devais quand même avouer que ça allait faciliter le contact. Je reportai mon attention sur la photo qui était, je trouvais, assez éloquente. Et même esthétique... Et si on pouvait combiner les deux, ce serait pas plus mal.
-Si tu veux un mentor, je te présenterai une fille qui me ramène tout ce qu'il y a de plus délicieusement merdique à L.A.
Je souris, replongeant mes yeux dans les siens. Quant à la jeune femme, je commençais sérieusement à me demander si elle savait exactement quoi faire ou si elle était juste naturellement intelligente. Sa façon de me parler était exactement la bonne. Une première phrase qui prouvait sa détermination, une seconde pour atténuer ce qu'il y avait d'inslence dans la première et me laisser, à moi, le choix de prendre les décisions. Et, comme une bête sauvage, je me laissais doucement approcher. Me demandant si je devais mordre ou pas... Si on me voulait du bien ou du mal. Elle était peut-être jeune, mais elle était prudente. Pas comme ce jeune blond que je comptais bien détruire.
Elle me demanda quand elle commençait. Puis, ajouta direct après que je voudrais peut-être encore réfléchir. Toujours selon le même schéma détermination - atténuation de ses propos. Je regardai alors ma montre. Un peu plus longtemps que la moyenne des gens... J'étais entrain de calculer en fait. Et arrivai à la conclusion qu'il restait à l'aiguille à faire un tour et dépasser deux barre avant que je ne puisse ma tailler d'ici et vaquer à mes occupations. Peut-être que j'irais forcer Timmy à sortir... Ou alors que je pourrait le convaincre de sortir par l'intermédiaire d'Eileen.
-Mmmm...
Je fis mine d'hésiter. Puis, je transperçai à nous la jeune femme du regard. Mais je ne fus pas sûr d'aimer ce que j'y vis. Pas de l'insolence, pas du tout, pas de la méchanceté non plus, au contraire... Merde... Plus une gentillesse à toute épreuve... Et aussi un tas de question, comme si elle essayait de me cerner. Heureusement que je me savais blindé. Mais je ne soutins pas plus longtemps son regard. J'avais été pris à mon propre piège, mais je me repris presque aussitôt.
-Tu commences maintenant. La machine à café est au bout du couloir, tu vas commencer par apprendre à t'en servir et nous en ramener...
C'était un test. Je l'avais engagée pour faire des photos, pas pour me servir du café, bien sûr. Mais je ne l'engagerais que si elle faisait ça sans broncher... Et j'étais d'ailleurs bien partit pour lui faire faire un tas de choses inutiles. Juste pour tester sa résistance, sa patience, et son intelligence.
-Bienvenue à L.A. People Lyra. Du moins, à l'essais pour l'instant.
Je recroisai mes pieds sur mon bureau et attendis patiemment qu'elle fasse, ou non, ce que je lui avais demander.
- Je vous remercie monsieur de me mettre a l'essais, je vais de ce pas chercher vôtre café. Il faut bien commençait par là avant s'attaquer les choses sérieuse.
Elle fit un grand sourire avant de se lever et de sortir de ton bureau et elle alla tranquillement a la machine a café, sans forcément prendre son temps, juste le temps qu'il faut avant de revenir. Elle allait peut être pouvoir être embaucher officiellement et elle savait très bien qu'il fallait passer par des tâches complètement insignifiante pour montrer ce que l'on veut vraiment. Elle allait faire tous ce que tu lui disais de faire. En tout cas elle était contente d'avoir pu te déstabiliser un peu, elle en fut tellement contente qu'elle souriait a pleine dent. En tout cas elle était revenu dans ton bureau avec ton café.
Elle se rassit en face de toi et elle attendait que tu lui demande de faire quelque chose d'autre, peut être que ce serait faire des photocopie, lui masser les épaules,les pieds etc. De toute façon, elle était assez obéissante et elle broncher pas vraiment, de toute façon, elle savait ce qu'il fallait faire.
- Que puis-je faire d'autre pour vous monsieur Sörensen ? demandez moi tous ce que vous voulez
Elle n'arrêtait pas de sourire, elle allait bien l'avoir ce travail, pendant au moins quelques temps, juste le temps de trouver un contrat pour une entreprise de mannequinat, pour se faire un peu plus d'argent pour aider au maximum sa cousine et les enfants malades. Parfois il lui arrivait d'être trop gentille, mais si on la pousse a bout en touchant sa corde sensible, elle se met dans tous ses états, elle n'avait pas envie de l'être donc elle allait tout cacher du mieux qu'elle pourra.
Elle était assise et elle te regardais dans les yeux, il fallait vraiment qu'elle apprenne a mieux te connaître, elle allait bien t'étudier, discrètement mais elle le fera, elle avait bien envie de montrer de quoi elle était capable et elle n'allait pas abandonner aussi facilement, si il voulait se débarrasser d'elle, il faudra qu'il la tue. Sinon il en serait pas débarrasser
- Je suis curieuse de pouvoir m'entretenir avec votre autre photographe
Elle fit un grand sourire encore, elle se demandait bien a quoi elle ressemblait mais bon elle n'allait pas réfléchir mais bon faut dire qu'elle allait pas se laisser faire et se montrer toute faible.
- Mais bien évidemment je ne la verrais que si je suis embaucher officiellement. Si je ne vous conviens pas n'hésiter pas a me dire "du vent !"
Elle souriait encore et encore mais ce qu'elle aimait faire c'est essayer de capter ton regard, on avait l'impression que tu cherchais quoi faire pour ne pas te faire avoir a ton propre jeux. En tout cas heureusement qu'elle était méfiante et prévenante, elle s'en fichait de pas être prise ici, au pire elle ira voir ailleurs comme elle le disait souvent.
Elle se demandait aussi pourquoi tu avais un cœur de pierre, peut être que tu avais vécut pas mal de chose mais bon, tu étais son employeur, elle n'irait pas fouinait même si elle avait une énorme envie de le faire.Elle t'étudier encore et encore, il fallait qu'elle connaisse chacune de tes humeurs pour ne pas être prise au dépourvu.
Amon Sørensen
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Lyra Hunter me remercia de la mettre à l'essais. Naïve qu'elle était. "A l'essais" signifiait pour moi un baptême du feu, jusqu'à ce que je l'aie remodeler à ma façon. Jusqu'à ce que je sois sûr de pouvoir lui confier certaines tâches sans que ça ne s'ébruite.
Elle sortit pour aller chercher le café et je me frottai le visage et les yeux... Mais je gardai le sourire. J'avais ouvert les vannes en disant à Lyra que j'allais la metre à l'essais. J'avais l'impression d'avoir devant moi un jeune écuyer qui vient de se faire mettre au service d'un grand chevalier (ouais... Moi...). Et évidemment, ça se mettait à courir partout en sourirant, fier, ça blablatait à tout va et surtout, ça restait dans mes pattes. Mais est-ce que je pouvais vraiment lui en vouloir quand je me rappelais la plaie que j'étais quand j'avais réussi à dénicher mon premier job d'étudiant? Ben non... Je n'avais plus qu'à la canaliser. Bonne chance Amon.
La jeune femme revint avec du café et me le tendit avant de s'assoir en face de moi. Je bus une gorgée après avoir souffler dessus, pendant qu'elle se remettait à parler à tout va. Elle était déjà limite entrain de planifier ce qu'on allait faire après. D'abord lui donner d'autre tâche, puis voir Gaïana.... Je la laissais dire, et je la laissais me donner du "Monsieur Sørensen"... on verrait bien combien de temps ça durerait...
Elle fini peut-être par se rendre compte qu'elle approchait dangereusement des limites quand elle précisa qu'évidemment, tout ça se ferait si MOI je le voulais. Et moi, j'avais continuer à boire tranquillement mon café en ne quittant pas ses yeux. Son regard à elle était intriguant, mais je n'étais toujours pas sûr d'aimer ce que j'y voyais. Elle devait être une jeune fille gentille, probablement trop. Le genre d'individus qui s'accrochent aux gars comme moi comme des parasites, persuadés qu'ils sont de pouvoir tirer quelque chose de positif de nous.
Mais alors? Pourquoi est-ce que je ne mettais pas fin à ça directement? Pourquoi je ne la foutais pas dehors en brisant tous ses espoirs pour être sûr qu'elle ne revienne pas? Je me mettrais ainsi à l'abri de toute analyse et je me mettais aussi à l'abri de montrer ma véritable personnalité, un peu plus complexe que celle que je montrais à la face du monde.
Pour un raison très simple: je voulais voir si elle y arriverait. S'il y avait encore moyen de me rattraper et s'il y avait moyen que j'empêche ça d'arriver. Bref, c'était un nouveau challenge. Et il vaudrait mieux pour elle qu'elle perde. Parce que je n'avais aucune idée de comment j'allais réagir si je me rendais compte qu'elle y arrivait.
J'achevai mon café.
-Ce que tu vas faire maintenant, c'est sortir, ouvrir grand les yeux sur autre chose que sur moi. Tu vas aller dans un bar ou l'autre, je te laisse le choix. Et t'entraîner à Voir les choses.
je voulais qu'elle apprenne à chopper au vol les images intéressantes. Ce ne serait peut-être pas facile au début et peut-être que je devrais me proposer d'aller avec elle pour lui montrer comment on faisait. Comment on provoquait les images aussi... Mais je voulais voir ce qu'elle allait me répondre: s'il elle irait toute seule comme une grande, ou si elle demanderait de l'aide.
- Je pense que j'irais toute seule, je sais parfaitement bien me débrouiller, je sais parfaitement bien trier
Elle fit un petit sourire en coin un peu mauvais, non mais elle veut bien être super gentille mais il fallait qu'il fasse attention a ses arrière, elle pouvait très bien être son propre opposée, c'est tout simple, ça s'appelle jouer un rôle.
- Je n'ai pas besoin de vous Amon, je suis peut être débutante mais ça fais longtemps que je fais des photographies. Je t'apporterais les meilleures et tu les choisiras.
Elle ne savait pas pourquoi mais elle avait l'impression d'agir différemment avec chaque personne, comme si elle se modeler a celle-ci, pourtant elle ne le faisait pas exprès mais évidemment sa gentillesse ne partait pas, elle jouer un personnage a chaque fois comme pour troubler les esprits.
- Je vais vous laissez a votre travail, monsieur langue de vipères, adorable certes mais très langue de vipères. Amusez-vous bien avec certaines de vos employées. Mais éviter de mettre des cochonneries partout, ce n'est pas très agréable dans un cadre de travail.
Elle reprit une attitude normale, elle fit un grand sourire avant de partir de ton bureau, elle alla en dehors de la rédaction pour faire ce que tu lui avais demander, elle restait pas mal de temps dans les bars, mais la journée il n'y avait absolument rien d'intéressant mais le soir c'était beaucoup mieux. Après avoir pris quelques clichés absolument humiliant pour certaines personne, elle retourna a la rédaction. Et elle attendait que la fille de l'accueil vienne t'appeler. De toute façon, elle avait pas trop envie de débarquer comme ça, même si cela pouvait la démangeait, elle était quand même très polie.
N'empêche en continuant d'observer la fille de l'accueil, elle était de plus en plus dégoûtée. On dirait qu'elle cherchait qu'a se faire sauter par les bons partis ou simplement parce qu'elle trouve un garçons mignon, franchement désespérant. Elle se demandait bien comment certaines personne pouvait les sauter, c'était horrible. Elle avait presque envie de vomir a toujours voir ce genre de choses.
Elle était donc assise tranquillement quelque part et elle attendait que tu vienne, elle n'allait pas laisser le privilèges a Amon, de l'attendre, on va voir si il est capable de venir la chercher pour avoir ses photos, si il vient pas, elle se dérangera pas pour ouvrir la porte en grand et de balancer les clichés sur la table pour te laisser observer tout cela.
Amon Sørensen
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Je n'avais pas offert à la jeune femme de l'accompagner. Mais elle fit comme si elle avait lu dans mes pensées, un sourire mauvais se dessinant sur son visage. Mais jamais elle n'aurait été crédible à Hollywood, et elle ne l'était pas pour moi non plus. Je savais quand quelqu'un jouait un rôle, et pour cause...
Puis elle se mit à parler, grave erreur... Jusque là, elle avait gardé prudemment ses distances, elle était restée respectueuse. Mais là, telle une enfant, elle commençait a tester où étaient mes limites, jusqu'où elle pouvait jouer. A titiller pour voir là où ça faisait mal. Et elle me fis penser au jeune blond qui était venu me voir à propos de la petite amie de Lighter. Pas de problème, elle voulait jouer, on allait jouer. Mais elle serait très vite remise à sa place, d'autant que j'avais tout pouvoir sur la place qu'elle convoitait. Un sourire mauvais se dessina sur mo propre visage, tel u écho du sien. Sauf que le mien était vraiment mauvais.
-Alors, vas-y, qu'est-ce que tu fous encore là?
Et puis, alors qu'elle me tournait le dos pour s'en aller, je l'interpellai une dernière fois.
- Hey... Lyra...
J'attendis qu'elle se retourne et me regarde dans les yeux. Qu'elle puisse bien comprendre que moi, j'étais prêt à n'importe quoi.
- Ne me teste jamais...
Puis je la laissai aller, sans un autre regard. Une fois qu'elle fut sortie, peut-être une dizaine de minutes plus tard, je l'avais déjà oubliée.
Le trajet que l'aiguille devait encore faire avant que je ne puisse me casser diminuait. Je me levai et mis une cassette dans mon transistor. "I don't like mondays" résonna dans mon bureau. Pas tellement fort, mais assez pour que je ne puisse plus entendre facilement la sonnerie du téléphone. J'avais jamais réussi à récupérer entièrement l'usage de mon oreille... laquelle on s'en fout... je connaissais quand même pas ma gauche de ma droite...
Soit. Tout en écoutant l'album des Boomtown Rats, j'avais croisé mes bras sur mon bureau, puis j'y avais posé ma tête et m'était endormi. Je dormais mieux au bureau que dans mon lit et ce pour plusieurs raisons: déjà, jour et nuit, il y avait du mouvement à la rédaction et dons des bruits de conversations voire mon propre transistor branché sur la station rock. Et tout ce bruit me rassurait. Ça éloignait les cauchemars... ou était-ce les souvenirs? Ensuite, parce que rien que l'idée d'écrire ou de faire des efforts pour lire me fatiguait.
Finalement ce fut la sonnerie du téléphone qui me réveilla en sursaut une fois l'album arrivé à sa fin. Je décrochai le combiné en regardant l'horloge en essayant péniblement de m'y retrouver et me rendis compte que j'avais fait une ou deux heures sup'. Et j'entendis une voix un peu inquiète a l'autre bout du fil.
- Amon?
- Ouais?
J'avais répondu d'une voix vraiment pâteuse...
- Je ne pensais pas que tu serais toujours là... il est 19h, tu sais...
Non, je ne savais pas, puisque je m'étais endormi.
- Et alors? Toi aussi t'es toujours là, je te sonne pas pour autant...
Et en plus, je croyais fort bien savoir pourquoi la peinturlurée de l'accueil me sonnait... mais je fus bien surpris quand elle me dit:
- C'est parce que la jeune femme de tout à l'heure est revenue et voudrais te voir...
J'avais complètement oublié cette foutue gamine... Qu'est-ce qu'elle venait foutre ici et maintenant? Je lui avait pourtant dit que j'avais pratiquement fini journée, merde... J'avais pas que ça à foutre... J'avais ce qui ressemblait plus ou moins vaguement à une vie en dehors de L.A People... Je répondit donc à cette cher Gwenn...
- Ah. Elle voudrait me voir. Et ben moi pas.
Je raccrochai directement puis me levai, embarquai mon sac, fermai la lumière puis descendis en baillant, les yeux bouffis de sommeil. Arrivé à l'accueil, Lyra était toujours là, je m'approchai d'elle sans pour autant m'arrêter, mais lui lançai quand même à la volée.
- Tu comptes dormir ici? Libre à toi, moi, je rentre chez moi. Je serai là demain à 8h... enfin plus ou moins...
Il fallait que je lui apprenne que pour l'instant, elle n'était rien ni personne ici. Mais aussi que c'était moi qui établissait les règles pour l'instant. Pas elle. Elle pouvait même avoir le scoop du siècle, j'en avais rien à foutre. Avoir le contrôle m'importait plus que n'importe quel scoop.
Quant à moi, j'étais sur le point de fuir la rédaction jusqu'à demain.
- Bien, je vais rentrer aussi, je vais arrêter de vous déranger. Mais je n'abandonne pas pour autant mon envie de travailler ici pendant quelques temps.
Elle posa les photos qu'elle avait prise sur le bureau de l'accueil et je regardais la femme de l'accueil, je lui fis un petit sourire, elle n'allait pas être méchante avec elle, elle ne lui avait rien fait même si elle détestait voir des filles trop maquiller. Cela abîmer la peau et ce n'était pas chouette quand on vieillissait.
- Ne vous en faite pas, je ne demande que quelques mois a travailler ici, après je m'en vais
Elle fit un sourire, elle essayait de ne pas trop jouer un rôle, elle n'allait pas non plus évidemment se laissait marcher sur les pieds. Mais bon, il fallait qu'elle laisse tomber un peu le masque juste quelques temps, pour qu'elle puisse se reposer.
- J'espère que vous aller une très bonne fin de soirée Amon.
Même si elle avait laisser tomber son masque, il ne fallait pas que l'homme puisse définir le fond de sa pensées et surtout son âme, elle n'avait aucune envie de donner le bâton pour se faire frapper avec.
- Peut être que je ne saurais pas embaucher, mais prévenez moi quand même. Je ne voudrais pas avoir de faux espoirs. De toute façon, si vous refusez de m'embaucher je vous laisserais tranquille et je n'insisterais pas.
Elle le regardait une dernière fois dans les yeux, on pouvait dire que tu cacher vraiment bien certains aspects de ta personnalité, c'était incroyable, a croire que tu étais vraiment comme ça mais comme on dit il y a anguille sous roche. Elle aimerait bien te connaître et surtout travailler pour gagner un peu d'argent, pour pouvoir vivre elle n'allait pas rester a la rue. Enfin bref, elle prit tout son matériel et elle fit un petit signe de main a la secrétaire avant de partir.
Amon Sørensen
Date d'inscription : 26/02/2014
Messages : 1268
Who Am I? Age: 35 Date de naissance: 14/06/51 Localisation: Downtown Birth place: København, Danemark Je suis: fouineur Song: Me Against The World - Simple Plan
Bien. C'était beaucoup mieux comme attitude de la part de la jeune femme. Elle semblait avoir bien remarqué que se la jouer, tester l'arrogance, ne marchait pas avec moi. Au contraire, ça me braquait complètement. Montrer une certaine fierté n'était pas la bonne solution. Je préférait de loin la modestie, du moins, venant des autres. Pourquoi? Parce que montrer qu'on sait ce qu'on vaut ou essayer de faire croire qu'on vaut quelque chose... Prouve qu'il y a là quelque chose à détruire. Hors, j'aimais détruire. Parce qu'en détruisant les autres, aucun d'eux ne pouvait être plus fort que moi.
Je souris, satisfait, et hochai donc la tête après les dires de la jeune femme. Elle était de nouveau retombée au niveau: c'est vous qui avez le pouvoir de m'engager ou non et je ne sais pas si je vais l'être. Très bien. C'était justement tout ce qu'il me fallait pour décider de l'engager. Peu m'importait la qualité de ses photos ou son oeil. Si elle s'avérait nulle pour chopper des images ambiguës au vol, je pourrais encore lui apprendre, ou la mettre en contact avec Gaïana qui, elle, lui apprendrait.
Ce qui m'importait vraiment, c'était qu'elle obéisse. Le reste, je m'en branlais royalement.
Comme elle décida de partir aussi, je lui ouvris la porte, la laissant passer devant. Si j'allais la laisser supporter le suspens de son engagement jusqu'au lendemain, ce geste était déjà un indice involontaire sur ma décision.
-C'est ça, va dormir. Y a pas que le travail, dans la vie... Tu verras.
Amon le fénéant avait parlé. Et Amon le fénéant allait maintenant rentré à sa maison en Mustang.
- J'espère que vous passerez une bonne nuit, je vous laisse tranquille, en tout cas je suis désolé d'avoir fais une mauvaise impression au début. Et encore merci de m'avoir reçu, si je suis embaucher, je ne saurais comment vous remerciez. Au revoir faites de beaux rêves
Elle fit un sourire et elle sortit du bâtiment de la rédaction et elle se mit a marchait tranquillement en direction de chez elle, enfin son presque chez soi. Elle regardait l'heure, il n'était pas trop tard mais bon, elle devrait faire de quoi manger, il fallait qu'elle rentre rapidement chez elle. Elle se demandait vraiment si elle allait être embauché, elle ne savait pas trop si elle prenait de belle photos pour le journal étant donner qu'elle avait l'habitude de faire des photos artistique donc pour le journal, elle ne savait pas trop.
Elle marchait tranquillement en réfléchissant a cela, elle savait pas du tout comment faire, ça se trouve les photos serait pas comme le demande le journal, elle était un peu paniquer mais elle essayait de se calmer tranquillement. Elle s'était même ébouriffée les cheveux a cause du stresse. Elle avait un peu de mal a se calmer.
- Raah j'espère que je pourrais avoir la place, c'est tellement stressant de ne pas savoir
Elle marmonner dans son coin, on pouvait la prendre pour une folle mais bon elle était beaucoup trop stresser.