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S'est idiot , mais la vie nous mène parfois a des endroits lourd de sens . S'est sans vraiment m'en rendre compte , ma guitare sur la dos et avec un air rêveur et faussement innocent que j'ai emprunter un chemin inconnue par mes petites habitudes . Car oui , bien que j'ai une sainte horreur de la monotonie , comme la plupart des êtres humains , certains lieux , font partit intégrante de ma vie , quelques bars , le parc en centre ville ou je passe mes journées a chanter .Chanter pour quoi au final , quelques malheureuse pièce , je n'arriverai jamais a comprendre pourquoi je garde ce sourire idiots sur mes lèvres alors que je vie misérablement , peu être parce que comme ça je ne voit pas le temps qui passe , je n'est plus d'attache depuis que je suis a L.A . j’enchaîne les connaissances , les amis de passages, dans ce genre de villes faire vraiment sa place est une chose difficiles , mais cela l'est encore plus quand l'on n'a peu de motivation .

Je croit qu'au fond de moi je n'est pas envie de trop m'attacher , vivre au grès du vent il ni a rien de plus beau , se laisser porter par le courant est facile .Mais si j'avais su plus jeune que ma vie serait celle la je croit que je m' serait mit des baffes , comment je peut être comme ça et ne rien attendre de plus, être simplement vivante . Laissez mes pas me guider , je déconnecte mes lourdes pensé , comme si depuis 4 ans j’étaie dans une sorte de coma . Laissez moi fuir ce passé qui me ronge , laissez moi agir comme une enfant , car au final la seule chose que je souhaite s'est me rappelle de ce temps innocent qu'a était mes jeunes années .

S'est vers une heure tardive que je me suis enfoncer vers un quartier de L.A qui m'était jusque la presque inconnue , je ni suis allez qu'a de tes rares occasions, accompagner d'ami dit comme peu fréquentable . Mais au fond de moi , quelques chose est toujours attirer par ce genre de personnes , qui vive au delà des chemin que la vie leurs avait tracé. Je ne sais pas vraiment comment exprimer ça , d'une certaine manière , ils ne font pas comme moi , il se laisse porter par quelques chose d'étrange , comme si ils avait créer leurs propres courant . Certains ce laisseront emporter dans cet rivière incontrôlable et ravageuse , mais les plus fort se démarqueront . Mais voilà que je m’égare a nouveaux dans mes pensé , je fui a chaque fois le fait de trop réfléchir mais je n'arrive pas pour autant a m'en empêcher .

Je lève mes bras vers le ciel comme pour m'étire avant de pousser un soupir fatiguer , je suis épuiser mais je n'arrive pas trop a cerner pourquoi . Quand je rebaisse la tete je peut voir au loin une vieille station de métro , quelques souvenirs me revienne alors en tete . Si ma mémoire est bonnes il devrait y avoir un bar a l’intérieur . Je racle ma gorge un peu trop sèche a mon goût avant d'enfin me décider a rentrer . Je pousse la porte du fameux bars, cette ambiance oppressante et au cela de tout système me rend angoisser mais aussi nostalgique . Avec moi la nostalgie l'emporte rarement mais ce soir la il faut croit que se sera la cas .

Je me dirige vers le comptoir , au fond de moi un sourire enfantin est entrain de se créer mais je n'en laisse rien paraître . Je commande simplement un verre de Jack Daniel's que je me met a boire du bout des lèvres avec un air détache mais non voulu .J'observe tout ce beau monde , quelques un sont par terre en sale état , s'est exactement dans ce genre d'endroit que je dealer il y a quelques années . J'ai comme un haut le cœur en voyez autant de personnes ressembler plus a des légumes qu'a des êtres humains , j'ai participer a ça et se n'est que maintenant que je m'en rend compte . Je me suis moi aussi retrouver comme ça , adosser au mur , le regard dans le vague et le corps comme mort . Tout dépend de se que je prenait mais la plupart me transformer en une étrange chose sans âme . De temps en temps certains petit truc me rendez comme folle , incontrôlable , encore aujourd'hui je sais que j'ai fait des chose sous l'emprise de ce genre de drogue , mais de la a savoir précisément quoi . Mais il faut avouer que se ne sont pas mes plus mauvais souvenir , s'est vrai que se réveiller a moitié nue , dans un vieil appartement inconnue avec des poules , un moutons , et des confettis partout sa peu être risible .

Je crois que j'ai toujours aimé traîner dans des bars, déjà du temps ou moi et Allan accompagnions juste notre père. Je n'y allais pas avec la seule ambition de boire un pauvre chocolat chaud en sachet en me faisant pincer les joues par toutes les mamies gateaux du bar.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Non,déjà j'aimais observer les gens, j'ai toujours aimé ça, même si je ne saurais trop l'expliquer. Après, ce n'était que des adultes d'âge plutôt mur, de  la classe moyenne, mais leurs expressions n'en étaient que plus vrais, et même s'ils croyaient tromper leur monde, il y avait cette petite blonde aux yeux verts qui voyait que quelque chose clochait dans leur sourire, que des larmes coulaient dans leurs tasses de café.

Puis en grandissant j'y allais pour d'autres choses, avec Jay principalement, et même quand je donnais l'impression de lâcher prise, je ne pouvais arrêter réellement, tout analyser faisait tellement partie de moi. Plus de père qui m'emmenait au bar, plus de meilleur ami avec qui picoler, pourtant je n'avais jamais réellement perdu cette habitude. J'aimais trainer dans les bars un peu glauque, genre le stryge.  Le genre d'endroit échapant aux règles usuelles de la science, ou le temps se fige, et assise dans un coin j'avais une vue imprenable sur la folie du monde. Mais j'aime le changement, c'est donc vers le Dizzy Warhol que je m'étais tournée, je n'étais pas une amatrice de drogue synthétique, ou du moins ne l'était plus. PLus depuis que j'étais plus H24 avec Jay. Qund on commence à se droguer en solitaire, c'est la pie des saloperies après. Et j'avais pas franchement besoin de ça. Mas l'abandon total des gens sous leur emprise se devait d'être plutôt fascinant, cependant, la réalité dépassit tout ce que j'avais pu envisager.

Et même si j'amais observer, j'étais pas non plus dans un coin à rien faire, je me sociabilisais un minimum, buvis un maximum, normal quoi, donc j'avais cru pouvoir passer une bonne soirée. J'avais cru pouvoir rencontrer des gens aussi hauts en couleur que les néons qui nous entouraient, j'avais cru que je referais le monde avec un groupe d'inconnus que je ne reverrai. J'avais cru que je pourrais tout oublier. J'avais beau me considérer comme mature, j'étais qu'une gamine naïve. Parce qu'à voir ces jeunes, qui tenaient plus du fycus d'ornement que de l'homme, voir à quoi avaient mené des siècles d'évolution me rendait franchement malade.Pas parce qu'ils s'abaissaient à renoncer à leur dignité, je n'avais moi même que peu de honte, et cnsidérer la misère du monde e m'atteignait plus vraiment. Le réel problème à mes yeux étant que, dans leur monde, leur paradis artificiel, ils étaient rois, reines. Mais au fond ils étaient surtout très seuls, et peut être étais je jalouse de ne parvenir à oublier aussi failement, à l^cher prise de cette manière, je ne saurais dire si je les enviait ou les méprisais.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] A mon sens, il y a deux raisons de boire dans un bar, la première étant de suivre le mouvement, la seconde, d'oublier l'absurdité de ce qui nous entoure. Inutile de préciser dans quel cas je me trouvais je présume ?

Je repensais à toutes les coneries que j'avais fait gamine, tutes les fois ou je m'offusquai d'être incomprise, alors que c'est moi qui ne comprenait rien, à Jay dont j'avais partagé la vie pendant des années sans comprendre ce qu'il vivait t que j'avais fini par rejeter sous l'effet de la colère, à Allan qui avait eu droit au même traitement de faveur à la Ivy. Aux milliards de molécules d'éthanol, de nicotine qui avaient cohabité avec mes organes vitaux, sans en endommager aucun si ce n'est l'espoir. Je ne souhaitais qu'oublier, à l'instar de tellement d'autres gens, à l différence près que ce n'était pas une contrariété que j'essayais d'effacer, mais le cumul de 21 années d'existence, la mémoire absolue a beau être enviable, c'est la pire des malédictions, les jours s'enchainaient, mais le temps n'a aucune prise, l chronologie m'échappe, les éléments se rapprochent et s'éloignent, échappant à toute cohérence. Je me considère pas comme quelqu'un de foncièrement triste, même si j'ai une tendance à la compassion putot extreme, je suis plutôt joyeuse, mais dans ce genre d'endroit, bien que censé vendre du rêve, après quelques verres de vodka, et avec personne avec qui déconner, je me laissais plus facilement aller à des réfléxions qui ne pésageaient rien de positif.

J'ai donc commencé à chercher autour de moi une bonne âme à qui parler, enfin, encore apte à parler quoi, et remarquait une fille, probblement plus âgée que moi, mais ça faisait bien longtemps que je ne me préoccupais plus de l'âge [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] sa tête semblait s'incruster dns une des néons et sur le coup, par nervosité sans doute ça me faisait exploser de rire. Mais ce détail écarté, elle avait l'air plutôt détendue, bien que pensive, un peu de compagnie n'avait jamais tué personne. Enfin si genre Jack l'éventreur mais globalement quoi la compagnie, ceycool. Je l'abordais donc, avec un sourire raisonnable, histoire de pas trop passer pour une psychopathe et lui lançais Heey, pardonne le squattage éhonté que je suis en train de faire, mais jme sentais seule au milieu du jardin psychédélique là bas. puis je souriais, comme si le monde n'avait rien de mieux à foutre qu'écouter mes idioties et m'asseyait à côté d'elle.

Mes gamineries avaient une certaine tendance à agacer les gens, genre vraiment,et je supportais pas les gens qui se prennent trop au sérieux, en un sens, oui c'est important, mais de mon côté, ça avait jamais été mon truc voyez, enfin, j'étais trop sérieuse intérieurement, alors faire face à la fantaisie de gens ayat la conversation d'une poignée de porte en bois sculpté, ça me gavait juste profondément, à quoi ça sert de se priver juste à cause du regard des autres ? Autant saisir toute occasion de s'amuser,quitte à choquer un peu les gens autour, de toute façon s'ils ne me critiquaient pas sur ce que je dis, ils trouveraient autre chose, au moins j'étais d'accord avec eux, ouais je suis légèrement barrée, et j'assume assez bien cette idée.

Il était déjà rare de voir quelqu'un ne pas fuir en courant à l'autre bout du bar, alors voir la jeune fille me répondre, sur le même ton en prétendant être un panda, mon sourire déjà large semblait égaler en longueur la distance Paris-L.A quoi.Yatta, déjà ce mot était tellement épique. Ceci dit elle m'a foutu une truille juste pas possible en approchant sa main de mon front, j'ai toujours eu peur des gestes brusques, des bruits soudains, et des paraluies, oui. Un panda. Des plaines du sud. Vraiment ? Justement j'ai besoin d'un avis, selon toi qui du pingouin ou du panda est le plus apte a être le porte parole de l'antiracisme ?[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Oui débattre sur le cas des pandas et leur place dans la vie politique internationale est fondamental, et totalement normal à un premier contact. Du mois avec moi, la notion de normalité étant immanquablement plus large que celle de la plupart des gens.

Et voir quelqu'un rire à mes idioties avait quelque chose de tellement magique, franchement, je me sentais bien à ce moment, je me demandais un peu ce qu'elle pensait de moi, probablement que j'étais un clown, à tous les coups dans 3 minutes elle va me donner quelques cents pour me féliciter ou autre truc du genre, oui ça m'est déjà arrivé mais passons. J'aimais alors plus que tout ce moment d'innocence ou chacune oubliait son age, comme si le dictat des chiffres n'avait jamais existé vous savez, comme si on avait pas pasé des années en cours à se faire flinguer nos espoirs et nos rêves, et avoir tous les mythes quon avait en tête se faire fracasser face à la éalité historique, que cette insouciance ne s'était pas cassée les dents sur la fatalité. Si tout étais resté comme quand nous étions enfants. Mais je tenais à réagir sur cette histoire de fracassage de mythe Mais totalement, genre on dirait ils te présentent un truc épique dans le simple but de le flinguer derière Je cherchais alors u exemple pertinent, le genre de truc qui illustrent mon idée avec ma finesse et douceur légendaire tout en s'éoignant du thème des animaux, ça perds vite de son impact de répéter une blague  Genre Laclos, c'était un précurseur, un auteur de génie, un précurseur, aussi fascinant que dérangeant, un marginal, un libertin, au service de Napoléon qui a participé [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] à ses plus grandes victoires, et le gars est mort, de dysentrie quoi. Le mec est épique et il meurt d'une diarhée monumentale quoi, c'est triste. J'ignorais si elle connaissait Laclos,  un auteur libertin de roman épistolaire français c'était pas non plus vraiment ce qu'on étudie le plus par ici mais bon, mes explications parlaient d'elles même je crois, peut être un peu trop d'ailleurs. Jay m'avait dit un jour "Iv' si on devait faie une encyclopédie de tes conneries, on fera un chapitre fiesse et poésie, et il sera vide" ça m'avait toujours fit franchement marer et c'était plutôt criant de vérité au fond, uis elle me disait son nom, Luna, déjà ce prénom était absolument mignon, mais elle penchait sa tête du côté d'un air juste adorable, je la trouvais déjà plus ouverte, plus expressive, et je buvais à mon tour une gorgée et me rendait compte qu'il était vide, on pouvait ainsi lire un instant sur mon visage la déchéance totale, le drame absolu du verre vide ou plutot, la honte d'avoir essayé de boire dedans le plus naturellement, du monde, je souriais donc subitement d'un air de dire "tu n'as rien vu" avant de recommander un verre, un truc pas trop fort, fin pas de vodka ou de sky... Un Jack Rabbit : sirop d'érable, citron, orange, calvados, le nom déchiait grave franchement et puis, du sirop d'érable quoi. Je passais une main dans mes cheveux puis regardait Luna , comme si on se connaissait depuis toujours.

Je pense pas être quelqu'un de particulièrement sociable, du moins, pas au sens commun du terme, je supporte pas les foules aseptisées, les rires surfaits d'une manière générale les groupes de gens, qui se mélangent pas à d'autres comme les "clubs" en primaire en fait, ils sont tous identiques car leurs parents ont réussi a les faire entrer dans le moule et en sont surement fiers mais contrôlent leur fréquentation façon pseudo-élitiste. Alors non, je suis pas sociable au sens premier du terme, plutôt du genre à ce que les profs me disent que je devrais surveiller mes fréquentations sous prétexte que je trainais avec des gens atypiques, faut dire que c'était les seules à ne pas avoir peur de mes catchphrases et de toute évidence c'était aussi le cas de Luna, qui allait jusqu'à partager mon avis sur les pingouins Incarnation du mal carrément ? En plus le noir et le blanc c'est soooo yesterday, ils s'croient dans un film muet quoi En prenant une voix de cruche de base, style barbie éventrée, les filles que je supporte pas en fait, mais je doutais pas que Luna comprendrait l'ironie du truc, on était plus franchement à ça près.

Puis elle me parlait d'une petite vieille près de chez elle. J'avais toujours bien aimé  les personnes âgées, pas pour la basique raison qu'ils sont sages et représentent la sagesse, la sagesse des personnes âgées, c'est n'importe quoi, ils deviennent pas plus sages mais plus prudents, voilà tout.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Mais ceux de ma famille vendaient tellement du rêve, aux repas de famille c'était toujours eux les plus alcoolisées et ils avaient un potentiel pour sortir des absurdités juste hallucinants, d'après ma mamie, il y'a des centrales nucléaires sous les pyramides, mais on a pas assez creusé, même que des gens l'appelaient Jeanne d'Arc, ouais elle en était fière, allez comprendre Waah mais elle était géniale cette mamie, une mamie troll quoi, c'est du délire, remarque notre voisin se serait bien entendu avec, il nous a fait un procès pour avoir détruit son mur avec une cuillère a café. Tout un poème ce mec  Je souriais à nouveau à Luna, fallait bien dire qu'on le lui avait rendu au cetuple après avec Jay, comme une fois ou on avait recouvert tous ses murs de neige,boule de neige par boule de neige. Enfin bon.

Luna semblait contente de pouvoir se lâcher, comme si parfois elle se retenait, c'est un peu ce que je faisais avant, mais ne rien craindre, ne pas réfléchir sur le moment me gardais en vie je crois, même si je regrettais comme une authentique carpette après. C'est une bonne chose, j'aime pas déprimer les gens en leur montrant la vérité, l'illusion est si belle parfois... J'aimais particulièrement l'histoire de Shakespeare et Marlowe je la trouvais juste fascinante donc en parler m'amusait, et ramener un monument de la littérature comme Shakespeare à sa ressemblance avec ce charmant chien était aussi indécent qu'hilarant. D'autant que ca devait être justifié, Luna approuvait cette ressemblance, qualifiant le monde de fou. Je voyais pas trop ou elle voulait en venir à vrai dire, du coup je répondais par un truc plutôt bateau mais au fond pas faux Le tout c'est de l'être plus que lui à ces mot je levais mon verre puis avec un petit sourire espiègle buvait une gorgée.

Il était assez rare que quelqu'un rentre dans mes délires, alors deux dans la même soiée c'était presque trop beau, le serveur était franchement sympa, pas comme ces serveurs blasés de la vie qui te balancent à moitié ton verre pour parler sport ou politique avec la capacité de réflexion d'un rouleau de scotch. Nan j'aimais bien son attitude, Luna avait une vision partagée sur les poneys Les chevaux sont plus élégants, mais le poney est fourbe...Ils ont l'air pataud, mais faut déjà une certaine agilité pour enchainer des coups de cul à la verticale ça paraissait ultra profond au début, mais c'était en fait rien de plus que le fruit d'observations suite à mes chutes magistrales en poney tout au long de mon enfance. Je buvais une gorgée et inspirait doucement avant de développer Je crois que la grâce des chevaux réside dans leur soumission aux poneys, c'est du bon totalitarisme, les poneys attirent les enfants très jeunes, ils les renforcent, les conditionnent, les poussent à bout, de manière à ce que les enfants soient joyeux de passer des cours poneys aux cours chevaux, plus stricts, des disciplies plus complexes, ils sont tellement fiers que leur méfiance est endormie... et tout ça pour quoi ?je prononçais cette tirade façon vieux syndicaliste qui rage après toutes les institutions du monde Eh bien pour les pingouins pardi !ET les éleveurs de poulets, ceux là ils vont m'entendre décidément... oui j'avais fait un lien entre la fourberie poneytesque, la dictature des pigouins et les éleveurs de poulet, l'alcool devait commencer à faire effet, enfin, tout ceci me semblait plutôt cohérent, puis je remarquais que le barman s'était présenté. Delfino, je retenait la blague ultra facile que j'aurais pu faire en parlant dauphin, mais je crois qu'on avait une assez importante diversité animale et que l'usage suggérait que je fasse de même. Ivy et v... gourdasse Iv', gourdasse de base, je souriais donc d'un air de dire : nooon je viens pas du tout de me fail en puissance