Nom: Peterson
Prénom: Juliet Emily
Age: 22 ans
Origine: Londres, Angleterre
Avatar: Frida Gustavsson
Liens et relations: A définir.
Style de musique: Rock, principalement, mais aussi metal, glam.
Particularité(s): Un long tatouage s'étendant de sa nuque au bas de son dos, noir, comme un serpent.
Liée au groupe: The Burning Fire
Description physique: S'il y a bien quelque chose que Juliet aime chez elle, ce sont ses yeux d'un bleu hivernal, tellement envoûtant qu'ils deviennent sa principale arme de séduction. Ses cheveux, soit blond au soleil, soit légèrement plus foncé à l'ombre, sont toujours impeccablement lissés, sans aucun nœud. Toujours tirée à quatre épingles, la jeune femme aime les habits provocateurs, à la pointe de la mode, mais aussi ceux très onéreux. Elle considère les vêtements les moins chers pour la plèbe.
Juliet a une démarche droite et assurée, et une attitude toujours nonchalante, détachée, un peu comme si elle était en plein défilé de mode.
Caractère: De premier abord, Juliet peut paraître douce et aimante, mais en réalité, c'est un vrai petit diable. Manipulatrice à l'extrême, elle est superficielle à un point inimaginable. Elle n'a jamais de scrupules, jamais de remords, et ignore les reproches avec une facilité déconcertante. Elle a une haute estime d'elle-même, mais au fond, tout le monde l'aime bien. Séductrice, elle n'hésite pas à se servir des autres dans le but de parvenir à ses fins, car elle sait, depuis son arrivée à L.A., que le monde du rock, c'est la jungle. Elle en connaît tous les confins, et ferait tout pour arriver à un sommet de gloire et un summum de puissance. Mais ses plans cachent une personne qui manque cruellement de confiance en elle, et qui se remet sans cesse en question. Également hypersensible, elle tente de le dissimuler, mais les gens très proches d'elle le remarquent comme s'ils lisaient en elle comme dans un livre ouvert. Mais Juliet a un bon fond, même si elle le cache par ses détestables manigances.
Histoire: Juliet est née à Londres, dans un des quartiers les plus riches de la ville. Elle a appris assez tôt à se méfier des inconnus, et surtout, à ne jamais s'aventurer plus loin que leur lotissement. Son père était un riche homme d'affaire, qui ne tolérait pas l'insolence, mais qui faisait de ses enfants des robots, presque, en leur inculquant une discipline digne de ce nom. Leur mère, qui était femme au foyer, ne disait rien, mais n'en pensait pas moins. Heureusement, Mr Peterson pouvait aussi être un homme aimant et aimable, et gâtait ses enfants, auxquels il tenait comme à la prunelle de ses yeux. Juliet est donc ce qu'on appelle une jeune femme pourrie-gâtée.
Son frère, Will, annonça un jour qu'il allait se marier, ce qui mit Peterson dans une rage folle ; il était toujours pour les mariages arrangés et avait promis Will à la fille d'un ami. Alors Will fugua, et on ne le revit jamais plus. Le deuxième incident qui survint dans la famille fut la mort de la mère : un cancer lui ôta la vie, après trois mois d'angoisse, d'attente et d'espérance. Le père de Juliet devint alors plus sombre, mélancolique et renfermé, et ne s'occupait plus des deux enfants qui lui restaient. Pour subvenir à leurs besoins, la petite sœur de Juliet, alors âgée de 17 ans, décida de se mettre au service du quartier, en temps que bonne à tout faire, mais leur père refusa, prétextant que ça n'était pas un métier honorifique. Mais les lourdes dettes qu'il traînait depuis de nombreuses années eurent raison de lui, et il finit par être emprisonné. Alors abandonnées les deux sœurs décidèrent d'un commun accord de se rendre à Los Angeles, où elles pourraient prendre un nouveau départ, mais la fortune n'avait pas encore terminé ses desseins : durant le voyage, le long voyage en bateau, la benjamine tomba dans l'eau et se noya sous les yeux horrifiés de Juliet. Personne n'avait bougé le petit doigt pour elle, et c'était la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Arrivée à L.A., la jeune femme mit beaucoup de temps à se remettre des décès et des départs dans sa famille, puis décida de recommencer sa vie sur ces terres américaine, dans peu d'espace et beaucoup d'espoir. On l'initia au monde du rock, et elle fut aussitôt emportée par ses riffs. Usant de ses pouvoirs de séduction et de manipulation, elle parvint à devenir la groupie d'un groupe célèbre, The Burning Fire, et ce fut son plus grand succès.
ROCK ON !