Who Am I? Age: 40 Date de naissance: 25/05/46 Localisation: Malibu Birth place: Los Angeles Je suis: épicurien Song: The Man Who Sold The World - David Bowie
Sujet: Jimmy Reed Ven 12 Aoû 2016, 20:59
Jimmy Reed ft. James Spader
Surnom : Jimmy
Date de naissance : 25/05/46
Age : 39 ans
Origine : Los Angeles, Californie
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Style de musique : Rock
Métier : Patron de BSC
Groupe(s) favori(s) : The Army
Particularité(s) : Cheveux blonds
Caractère
J'aime la musique, le cinéma et l'art en général. J'aime manger, boire et fumer. J'aime faire la fête, faire l'amour et m'amuser. J'aime séduire, conduire, rêver... J'aime rester dans mon lit toute la journée, une créature de rêve entre les bras. J'aime voyager, voir le monde. J'aime me montrer, parader dans les endroits les plus luxueux et les plus en vue de L.A. ou d'ailleurs... Je suis libertin, épicurien. Je n'aime pas travailler, faire du sport, me fatiguer. Et surtout, je n'aime pas m'énerver. Alors vaut mieux m'obéir.
Description physique
De corpulence moyenne, pas maigre, pas gros, musclé juste ce qu'il faut sans jamais avoir à me bouger le cul pour faire du sport, je mesure un mètre septante huit. Je suis blond aux yeux bleus et correspond donc physiquement à l'homme idéal que recherchent les femmes en ce début des années 1980. Je n'ai pas de tatouage, ni de piercing, ni autre chose de ce genre. Je parais relativement jeune pour mon âge et j'espère sincèrement que ça va durer. Une particularité : j'ai presque constamment les sourcils froncés, ce qui me donne un air mauvais ou sceptique.
Histoire
Mon père avait pour habitude de dire : « Tu n'as aucune ambition, Jimmy. » Et pourtant, quelle plus grande ambition que de vouloir vivre sa vie sans contrainte, pouvoir faire ce qu'on veut, quand on veut, dans le luxe qui plus est ?
J'y étais né en 1946, dans le luxe, le cul dans le beurre, sans avoir à me tracasser pour l'argent. En effet, je suis le fils de Charles Reed, LE plus grand manager de L.A. de l’après-guerre et fondateur de BSC (l'année de ma naissance). Et après la guerre, les gens avaient énormément besoin de penser à autre chose, de s'amuser, de recommencer à vivre. Dans les années 50 et 60, mon père a donc fait fortune avec quelques grands groupes et autres chanteurs qu'il faisait tourner à travers le monde.
Vu comme ça, ça semble avoir été facile pour mon paternel, et bien détrompez-vous... Chaque jour, depuis ma plus tendre enfance, je l'ai vu se tuer à la tâche, se fatiguer, fumer clopes sur clopes tellement il était nerveux. Il me trimballait partout avec lui, de même que ma mère, Rachel, qui s'occupait de moi et de mon éducation (elle me donnait cours car elle était institutrice à la base) partout où on allait. Mon père voulait me mettre dans le bain direct, m'apprendre le métier dès tout petit.
J'ai vite appris une chose : je n'avais aucune envie de courir partout en m'arrachant les cheveux, de passer des heures au téléphone, de m'engueuler avec des artistes tout ça pour m'écrouler dans mon lit tard dans la nuit sans plus avoir la force de faire l'amour à une femme... Non, merci, je passe.
A l'adolescence, ma réticence à en apprendre plus sur le métier de manager, mon refus catégorique de reprendre le flambeau après la mort de mon père comme grand patron de BSC, nous éloigna mon père et moi. Et dès qu'on rentrait dans notre villa de Los Angeles pour quelques semaines où mon père passait son temps en studio ou au bureau, dans la toute nouvelle tour BSC, je fuguais pour aller fréquenter la populace basse classe de l'Eastside ou de South L.A. par pure provocation. Je changeais, en général, de style pour l'occasion, revêtant un jeans et une veste de cuir, afin de me fondre dans la masse.
J'en ai dragué, des jolies filles dans ces quartiers, finissant toujours la nuit chez elles, jamais chez moi (je n'avais pas vraiment envie de me retrouver marié à une Portoricaine dont je me serais bêtement entiché et qu'elle me pompe tout mon fric). Me faire passer pour le petit rebelle du coin avec mon style à la James Dean fonctionnait vraiment pas mal. Souvent, un regard suffisait pour les harponner.
Enfin, tout ça, on va dire que c'est la routine... J'avais 16 ans et je forniquais tant aux galas et aux concerts où j'allais avec mon père que dans les bas quartiers où j'allais pour m'éloigner de lui.
Là où ça devient intéressant, c'est quand ma curiosité fut piquée par des petits dealers portoricains. Je m'étais approché d'eux et leur avait acheté une dose de coke pour ensuite entamer la conversation avec eux. Ils se faisaient passer pour des caïds alors que c'étaient des croquettes, mais je changeai d'avis quand je remarquai qu'ils étaient tous armés de couteaux. Ok, ils rigolaient peut-être pas tant que ça. Les mains dans les poches, appuyé contre le mur d'un vieil immeuble je fumais ma clope, leur posant des questions et écoutant attentivement leurs réponses.
-Et ? C'est hard comme job ?
Le plus petit et probablement le plus jeune, Delfino qu'il s'appelait, répondit en haussant les épaules.
-Ben non. Tu restes là, t'attends le client. La plupart, ils te connaissent et s'ils te connaissent pas, ça se sait vite dans le coin. Faut juste courir quand y a les flics qui passent.
Je fis la grimace. Ah, faut courir... Ça me fatiguait déjà...
-Et ça rapporte?
Le plus grand, cette fois, pris la parole.
-Oh ouais ! Dans ce qu'on gagne, on donne 70% à un type qui vient faire le tour du quartier toute les semaines et qui travaille pour Ricardo, c'est notre chef de gang, le chef de Los Diablos. Les 30% qui restent, c'est pour nous. Et on vit comme des rois!
Il avait dit ça en écartant les bras, désignant le quartier pourri où ils vivaient. Mouais... Si ça leur convient d'être des supers petits caïds de seconde zone se battant pour un territoire avec des cure-dents, ça me va aussi...
J'avais ricané.
-Et comment tu sais qu'il y a 30% dans ce qu'il te laisse ?
Ouais parce qu'ils ne devaient pas vraiment savoir calculer... Nouveau haussement d'épaule du petit avec son bandana rouge autour de sa tête.
-Ben on lui fait confiance, à Fabio...
-C'est cool...
Mais quelle bande de pigeons... Je rentrai chez moi, balançant la dose de coke que j'avais achetée dans la première poubelle que je croisai.
Soit, il y avait potentiellement du fric facile à se faire. Sauf que moi, je n'avais aucune idée d'où je pouvais trouver de la drogue en suffisance pour avoir ma propre petite entreprise.
Alors je revins souvent dans l'Eastide et dans South L.A. et afin de pouvoir rester à Los Angeles toute l'année, je demandai à mes parents de m’inscrire dans une école secondaire de L.A., Faifax Highschool, ce qu'ils acceptèrent avec plaisir.
J'avais donc la villa pour moi tout seul à longueur d'année ou presque. Et personne n'était au courant de ce que j'étais en train de réaliser.
J'allais souvent fricoter avec les petites mains de Los Diablos, discuter avec eux, je leur amenais même parfois une bouteille d'alcool pour me faire bien voir, bouteille que je buvais avec eux tout en les observant dealer. Ces gosses ne vivraient probablement pas longtemps. J'avais assisté à plusieurs bagarres de territoire entre eux et un autre gang, mais d'afro-américains, celui-là. Et ils y allaient au couteau... Mais le jour où l'un d'eux avait sorti un flingue et tiré sur un des blacks, je m'étais dit que c'était fini de jouer. Il était temps de passer à l'action.
J'avais donc énoncé mon souhait de devenir dealer à mon tour. Et quelques jours plus tard, je me retrouvai à l'arrière de la Mercedes du fameux Fabio et à côté du roi Ricardo, un vieux type énorme. J'avais alors 17 ans et nous étions en 1963.
-Alors comme ça, tu veux devenir un membre de la famille de Los Diablos?
Je le regardais dans les yeux, sans jamais ciller, sûr de moi, tel l'homme d'affaire qu'était mon propre père.
-Si on veut. Je peux vous rapporter gros, beaucoup plus que tous ces petits merdeux de l'Eastside. Vous me posez pas de question, je vous pose pas de question. Vous me fournissez la dope, je la vends et on fait 50/50.
J'y allais au culot et l'énorme Ricardo me regardait déjà avec de grands yeux furieux.
-D'où tu me parles comme ça, bisoño ? Tu ne sais pas à qui tu as à faire.
Mais je ne me laissais pas démonter, le regardant les sourcils froncés.
-Même avec ce pourcentage qui peut paraître désavantageux, je vous rapporterai bien plus que n'importe lequel de vos dealers actuels. Mais c'est comme j'ai dit : pas de questions.
Je comptais bien, en plus de devenir riche, créer ma propre légende. Et il n'y a pas de légende sans une part de mystère.
Je finis par convaincre ce mafieux basse classe et me retrouvai bien vite à dealer bien loin de l'Eastside et de South L.A. Je commençai dans l'école privée dans laquelle j'étudiais avec brio sans jamais rien foutre (étudier n'a rien d'amusant et c'est fatiguant). Par contre, ceux qui trimaient pour réussir, eux, étaient demandeurs de substances qui leur permettaient de tenir le coup et comme c'était des enfants de personnes pétées de thunes tout comme moi, tout était très très simple. Évidemment, je n'étais pas le seul à dealer. Et ça, c'était embêtant parce que ça me faisait moins de clients.
L'avantage, c'est que ce genre de dealers, rien à voir avec les têtes-brûlées des rues de l'Eastside, arrêtent vite quand on est assez convainquant pour. Et comme je m'étais fait des contacts parmi les petits caïds de l'Eastside, qui étaient, soit dit en passant, de moins en moins petits et de plus en plus cons, ils n'étaient jamais contre une petite prime. Je passais donc de temps en temps en voiture dans leur quartier et leur filait la moitié de la prime qui les attendait s'ils tabassaient l'un ou l'autre gosse de riche pour moi. Le tout sans passer par ce bon vieux Ricardo. Tellement bien qu'à force, ils finirent par m'apprécier bien plus que le vieux morse qu'ils avaient pour chef.
Je dealais aussi dans les galas et c'est là que je rencontrai Daniele Ricci, en 1964, de quatre ans plus âgé que moi. Un jeune Italien de bonne famille, qui souhaitait percer au USA. On se trouva un tas de points communs. Nous aimions tous les deux séduire et batifoler à gauche et à droite, nous aimions boire un verre et parader, nous aimions les belles choses et la musique. Engagé par mon père en personne, il allait devenir, très vite, le meilleur manager de chez BSC après mon père.
Il devint aussi mon ami et mon meilleur client.
C'est en 1966, j'avais alors 20 ans, que le stress tua mon père. Cela m'attrista. Malgré tous les différends qu'on avait pu avoir, nous n'étions jamais devenus de véritables ennemis. Si je m'étais lancé dans le commerce de la drogue, c'était pour me faire de l'argent facile et établir assez vite mon influence, sans avoir besoin de son héritage et donc de sa mort. Si j'avais haï réellement mon père, j'aurais juste attendu que la clope et sa nervosité en vienne à bout.
Désormais héritier du fondateur de la maison de disque BSC, je pouvais tout simplement me retirer de la course aux stupéfiants et vivre tranquille jusqu'à la fin de mes jours en laissant tranquillement tourner BSC sur sa lancée.
Mais non. Si je n'avais jamais pris un seul gramme de la merde que je vendais, j'étais accro à une substance bien plus enivrante : le Pouvoir.
La première chose que j'ai fait, c'est engager quelqu'un pour occuper le poste de big boss de BSC qui me revenait de droit.
Peut-être suite à la mort de mon père, peut-être simplement parce que maintenant que j'avais tout, il m'en fallait plus, peut-être simplement pour le challenge, je me rendis dans l'Eastside à bord de ma Porsche 911 décapotable flambant neuve. Je trouvais les Los Diablos réunis à la terrasse du resto-grill où ils avaient l'habitude de se retrouver et demandai à voir le leader des Pequeñas Manos de Ricardo, Delfino Alvarez. On m'annonça qu'il était chez lui, dans l'appartement miteux qu'il partageait avec sa mère qui avait choppé je ne savais quel maladie dont je me foutais complètement : j'avais besoin de Delfino.
Je me rendis donc chez lui et il vint m'ouvrir. Directement, j'entrai sans attendre son autorisation, enroulant ses épaules de mon bras.
-J'ai entendu dire que ta pauvre mère est malade... Je venais voir comment ça allait.
Il m'expliqua ce qu'elle avait, ce qu'il faisait, que c'était difficile, blablabla... Je ne l'écoutais que d'une oreille, regardant avec dégoût l'endroit minuscule où il vivait. Bon... J'étais resté ici assez longtemps et l'avait écouté assez longtemps aussi. Fallait que je passe à ce pourquoi j'étais venu. De la poche de poitrine de ma chemise blanche (que je pourrais foutre à la lessive en rentrant), je sortis mon carnet de chèque et griffonnai dessus tout en prenant la parole.
-Je sais, je sais Delfino. J'ai traîné assez avec vous pour savoir combien votre vie ici est difficile. Et je t'aime bien, Delf. Je veux que tu sois heureux. Et si ton bonheur ne tient qu'à la santé de ta maman, ce que je peux comprendre, j'ai une mère moi aussi, je suis prêt à tout pour t'aider.
Je retirai le chèque du carnet et le tendis au petit latino. Je lui offrais 1000 dollars pour la totalité des soins de sa mère.
-Je peux d'ailleurs améliorer les conditions de vie de chaque membre de Los Diablos. Tu imagines que Ricardo ne vous a pas augmenté depuis votre adolescence ? Et pourtant, vos dépenses ne se limitent plus à des paquets de clopes ou des putes par ci par là. La plupart d'entre vous ont des enfants à charge, des factures à payer, bref, il vous faut plus. Je peux vous donner plus.
Je lui souris.
-Tout ce qu'il faut, c'est que deux de tes hommes aillent régler son compte à Ricardo. Il est vieux, usé, fatigué, énorme, c'est simple de faire passer ça pour un accident. Ensuite, faites savoir à tous ses contacts, ses fournisseurs que c'est Jimmy Reed qui gère la boutique.
Je n'avais pas besoin de menacer. Ils savaient tous qui j'étais, désormais et que j'avais assez d'argent et d'influence dans tout L.A. pour tous les envoyer en taule en un claquement de doigt.
Ricardo mourut d'overdose quelques jours plus tard.
Aujourd'hui, je vis ma paisible vie d'héritier, me montrant si et là pour le bon plaisir de la presse people et de ces dames de la haute, qu'elles soient actrices, mannequins, chanteuses, ou autre... Je ne vends en personne qu'à mes amis les plus proches comme le journaliste Axel Moriarty ou d'autres personnes connues...
Je suis aussi un des plus grands mécènes de ce siècle.
Ma mère vit dans une annexe de la villa familiale que j'occupe à Malibu. Je vis dans tout le reste du complexe.
Daniele Ricci n'est plus mon client mais il reste mon ami et partenaire de gala.
Delfino... Je le surveille de près après qu'il ait essayé de se retirer du jeu. Il me connaît personnellement, il ne peut pas se retirer des affaires.
Seul réel échec dans ma vie ? Je suis trop souvent au téléphone.
Behind The Scene [Facultatif]
Prénom/Surnom ? /
Age ? 28 ans
D'où viens-tu ? Belgique
Comment as-tu connu le forum ? 10ième DC d'Eddy
Quel est ton niveau de RP ? Bon
Quelques petits trucs sur toi ? /
Quelques mots sur le forum ? C'est le meilleur!
People
Copyright Billy Lighter
Dernière édition par Jimmy Reed le Sam 13 Aoû 2016, 19:34, édité 1 fois
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Sujet: Re: Jimmy Reed Ven 12 Aoû 2016, 21:34
Haha re alors!^^
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Sujet: Re: Jimmy Reed Ven 12 Aoû 2016, 22:13
Hé bé ! Rebienvenue une fois de plus alors ^^
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 00:44
Re bienvenue ahah ! ^^
Eddy Cort
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Who Am I? Age: 26 Date de naissance: 13/05/60 Localisation: Beverly Hills Birth place: Los Angeles Je suis: heureux Song: SEEK & DESTROOOOOY - Metallica
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 09:23
Merci à tous! J'espère que ça vous plaira! Il y aura énormément de possibilités de liens directs ou indirects. vous comprendrez mieux quand j'aurai terminé
@Zo: Super ton nouvel ava!
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Invité
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 12:23
Bon ben re bienvenue alors ^^
Timmy Evans
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Who Am I? Age: 34 ans Date de naissance: 14 septembre 1951 Localisation: Downtown Birth place: Londres-Angleterre Je suis: Calme, intelligent, parfois fourbe et menteur Song: Linkin Park-Somewhere I Belong
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 13:36
Re-bienvenue, mon ami
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 13:46
Re-bienvenue!
Jimmy Reed
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Who Am I? Age: 40 Date de naissance: 25/05/46 Localisation: Malibu Birth place: Los Angeles Je suis: épicurien Song: The Man Who Sold The World - David Bowie
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 13:56
Merci à tous!
J'ai terminé. ^^ Pour ceux qui souhaiteraient des liens, n'hésitez pas à proposer!
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Billy Lighter
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Who Am I? Age: 31 ans Date de naissance: 6 février 1955 Localisation: Dans la mer avec les dauphins Birth place: Lafayette, Indiana Je suis: Instable, possessif, sensible, perfectionniste Song: Guns N'Roses - Estranged
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 13:57
Je te valide ! Encore un qui va faire la pluie et le beau temps à L.A. !
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Nothing last forever and we both know hearts can change - GN'R
Jimmy Reed
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 14:00
Merci Billy!
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Invité
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 15:47
Je me disais que ça faisait longtemps que tu n'avais plus de nouveau personnage Eddy! Non mais plus sérieusement, ce personnage promet pleins de rebondissements...
Jimmy Reed
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Who Am I? Age: 40 Date de naissance: 25/05/46 Localisation: Malibu Birth place: Los Angeles Je suis: épicurien Song: The Man Who Sold The World - David Bowie
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 16:12
C'est vrai que ça faisait un moment! Merci Gaïa!
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Daniele Ricci
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Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 16:24
Un ami!!!!!!! La classe! Content que tu ais cédé !
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Delfino Alvarez
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 17:25
Mon gang sera plus vivant avec toi
Rebienvenue!
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Jimmy Reed
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Sujet: Re: Jimmy Reed Sam 13 Aoû 2016, 17:44
Merci les gars!
Avec plaisir, Delfino
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Abel Hudson
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Sujet: Re: Jimmy Reed Dim 14 Aoû 2016, 12:37
Oh... Eddy en mode mafioso... Je plains ceux qui ont des liens avec Jimmy Bonne merde à vous tous (et en particulier à mon bon vieux Delfino!!) Mais c'est cool comme perso!
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Eddy Cort
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Sujet: Re: Jimmy Reed Dim 14 Aoû 2016, 13:31
Merci, mec!
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Cash Izbel
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Sujet: Re: Jimmy Reed Lun 15 Aoû 2016, 11:49
Brave Eddy
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Sujet: Re: Jimmy Reed
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Jimmy Reed
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