Le matin se lève sur la cité des Anges et, comme d'habitude, je suis le premier réveillé à cause des ronflements d'Uruha. Je pari qu'il s'est encore saoulé hier soir avec Aoi. Ses deux là, ils sont vraiment incorrigibles ! Je m'étirais les bras avant de me lever du lit et de partir vers mes vollets pour les ouvrir. Los Angeles le matin, y a pas à dire, c'est vraiment le pied ! Qu'es que j'aimerais être avec ma mère ... mais bon, je préfère etre avec mes meilleurs amis. Je sorti de la pièce et me dirigeais vers la cuisine afin de préparer le petit déjeuner. Ça me change vraiment de mon Japon. En Amérique, ils mangent des oeufs brouillés et des tartines avec du beurre, alors que chez nous, c'est du riz. Ce voyage en Amérique ne cessera jamais de me surprendre. Attirés par l'odeur des oeufs, Aoi et Uruha se levèrent même temps. Quel exploit. Je tournai mon regard vers les deux gueules de bois et leur demandai si ils avaient passé une bonne nuit. Ils hochèrent légèrement la tête. Reita se leva en suivant, regardant le petit déjeuner avec degout, limite vomiteux.

- c'est quoi ton problème avec ma cuisine Ryo hein ?!
- Je ne la supporte pas, c'est tous. [/b]

Il m'examina du regard avant de regarder de nouveau l'assiette d'oeufs mettant sa main devant la bouche pour éviter de vomir. Il m'énerve vraiment à toujours le faire exprès. Il sait qu'en plus je ne supporte pas que l'on critique ma cuisine. Les deux gigotos rigolaient de cette dispute ajoutant qu'on ajrait dit un vieux couple marié. Mais alors que je continuai à crier sur Ryo, on entendit une porte s'ouvrir. Le bandé regarda en direction du couloirs et ajouta.

[b]- Ah, le petit prince est levé on dirait.

Effectivement, nous regardions tous dans la même direction et vit un Takanori, les cheveux en pétards, assez énervé. Je crois qu'il est de mzuvaise humeur pour la journée, déjà que se n'est pas quelqu'un de très joyeux de nature ...

Doux, moelleux, chaud. C'est la sensation que je ressentais en se moment, dans mon lit, habiller de mon pyjama-combinaison Pikachu que Takashi et Ryou m'avaient offert à mes 17 ans. A côté de moi j'avais ma peluche Dragon Ball Z... OK, j'avoue je suis légèrement Otaku sur les bords... Mais j'y peux rien ! Je suis tellement bien avec mon pyjama et peluche préféré. Je l'ai adore, je suis sur un petit nuage, haaa !

Mais, malheureusement je descendit de mon paradis à causse de plusieurs voix qui hurlait dans la maison, ce qui m'hérita plus que tout. Kuso, je peux pas dormir tranquille ! Et ne vous inquiétez pas, j'ai très vite deviner qui ils sont en particulier... Ils font passer un sale quart-heure avec Monsieur Matsuda-pas-content.
C'est donc à contre cœur, que je sortis de mon lit encore tout chaud, enleva ma capuche de mon pyjama puis par la suite, pris mon "doudou". Une fois fait quelque préparatif, j'ouvris lentement la porte qui grince comme dans les films d'horreur, qui fit apprête ma visage en colère. Une fois la porte complètement ouverte, les voix s'arrêtèrent. C'est mieux comme ça. Les voix en question, n'étaient que tout le groupe. Je les regardais. Ils me regardaient. Puis, jusqu'à que j'entendis une phrase qui me fit chaud au cœur:

- Ah, le petit prince est levé on dirait.

C'était Ryou, mon meilleur ami et pour moi mon amoureux. Oui, je suis tombé amoureux d'une petite racaille. Mais je sais très bien que ce n'est pas réciproque entre nous deux. Encore moins qu'il sait que je l'aime. Seuls Takashi et Senpai* le savent. Bientôt Joyama le sera, car Takashi va lui dire quand il sera prêt et surtout sur qu'il ne va pas le crier sur tous les toits.
Quand je vis le petit-déjeuner prêt, je souris. Et c'est accompagné de ma peluche que j'allais m'asseoir à table et commença à manger. Mais avant je dis "Itadakimasu !" pour me souhaiter bonne appétit. Et c'est en mangeant que je regarde Ryou-san avec une tartine dans la gueule, ne comprenant pas pourquoi il ne mange pas, et c'est en me remémorant de tout à l'heure que je me souvenais qu'il y'avait une dispute entre ces deux là. Comme d'habitude. Alors je me retourna vers Senpai en fronçant les sourcils comme pour lui dire qu'il est le seul responsable de la dispute, ou qu'il ne doit pas blesser mon Ryou-san. En regardant encore une fois Ryou, je décida d'aller faire des toasts griller, mis du beurre et de la confiture de cerise dessus. J'ai pas envie qu'il meurt de faim moi ! Une fois fait, je mis par la suite le tout dans une assiette que je donna avec un grand sourire à mon bandé. Il le prit, et le mangea. Bon, j'avoue je suis moins bon que Senpai dans la cuisine. Mais je me débrouille. Et là, je vis un miracle ce passer devant moi. Il me remercia en m'embrassant sur la joue et me dit que c'était très bon... Mon dieu, je suis tout rouge, il faut pas qu'il me vois comme ça ! C'est alors que je mis ma capuche Pikachu sur ma tête pour cacher mon visage... Je suis en train de fondre ! Baka, pourquoi il a fait ça !

Quelque minute plus tard, je repris mes esprits. Et lui, il n'était plus dans le salon. Surement dans sa chambre en train de s'ha- Iie, pas de pensé pervers ! C'est alors que Takashi alla me voir et me demanda comment s'était de ce faire embrasser sur la joue par son amoureux à sens unique. Je ne lui répondit pas. Trop occuper à manger. Bon, il faut que je vous dise un truc. Ryou est un peu homophobe. C'est pour cela que je ne veux pas lui dire mes sentiments, dû moins pour le moment. Une fois fini de manger, je regardai Senpai. Je lui sourit comme si pour le remercier d'avoir fait dégouter sa nourriture au bandé, et d'avoir fait un merveilleux petit-déjeuner. Et c'est en débarrassant la table avant d'avoir déposer ma peluche sur la canapé, que je vis Senpai encore sur les nerfs. Adosser au frigo de la cuisine. Je lui posa une question:

-Daijobu desu ka, Senpai ?

HRP:

Cela m'a toujours mis en rogne que l'on néglige ma nourriture. Pour moi, c'est comme si on me hurlait au visage "T'es nul va te cacher" alors que j'ai quand même travaillé en tant que cuisinier dans un restaurant 4 étoiles. Ca me répugne au plus haut point. Du calme Uke, Tu es trop en pression.

C'est vrai que, depuis notre arrivé à Los Angeles, je suis souvent sur les nerfs. Normal, en tant que Leader du groupe, j'ai une lourde responsabilité sur les épaules.

Je débarrassai la table avec Taka-chan, fit la vaisselle et l'essuya. Je passai ensuite un coup de balai dans le salon afin que cette pièce soit un minimum présentable. Takanori vint s'affaler sur le canapé, encore fatigué de sa nuit. Il est tout mignon avec son pyjama Pikachu ! On dirait un enfant de cinq ans ! Je fond complètement sur les enfants.

Je fini de faire mon ménage avant de me poser à mon tour sur le canapé, épuisé de ma tache. J'étais encore assez sur les nerfs à cause de cet imbécile de Ryou. Qu'es qu'il peut m'énerver avec ses airs snobe. Je déteste ça. Je sentis le regard observateur de Taka-chan posé sur moi. Il me demanda si j'allais bien. Je tournai la tête pour le regarder lui adressant un grand sourire.

-T'inquiète pas Taka-chan, juste cet idiot m'énerve

Dis-je d'un ton désespéré. Takanori sait que je ne supporte pas ce genre d'attitude, surtout quand il s'agit de Ryou, et lui aussi le sait. Il fait ça juste pour que je me mette en rogne. Je m'essuyai le peu de sueur qui dépassait de mon front avant de lâcher un soupire d'entres mes lèvres

Mon cœur se sera... J'aime pas voir les gens triste. Surtout quand ces gens sont des proches, encore pire si c'est l'un des membres du groupe ! Mais senpai me confirma qu'il va bien, je sais qu'il ment en ce moment même. Sans trop me préoccuper de cela, je lui dit avec un long sourire qui en disait tant :

-Et si on aller en ville se changer les idées ? Puis... J'en ai marre de vous voir, toi et Ryou en train de vous disputer... J'en suis presque jaloux que tu lui parle plus que moi !

En disant cela, je fis la moue... Senpai sait parfaitement que je suis très sensible. Et comme si pour lui réclamer un câlin, je mis ma tête sur le haut de son torse. C'est ce qu'il fit, une grosse accolade amicale réconfortante.

Après quelque minute que ce câlin aille terminer, je commençai à prendre le bras de senpai, et alla dans directement sa chambre sans qu'il aille le temps de se prosterner. Puis je repris la parole:

-Mais si on veut qu'on sorte... Il va valoir que tu t'habille mieux que ton minable tablier de grand-mère, et ton tee-shirt trouer !

Après quelque instant d'observation dans l'armoire de senpai, je pris quelque fringue et lui donna -plutôt je lui est lançai- en lui disant de vite se déshabiller. Je partis alors et alla en direction de ma chambre pour à mon tour m'habiller, et par la même occasion, me maquiller légèrement.