Valentina est pourvue d’une silhouette plutôt élancée et niveau taille elle mesure environ 1m70 lorsqu’elle ne porte pas de talons, ce qui est assez rare. Aussi fait-elle partie de cette catégorie de personnes énervantes qui ne grossissent pas malgré tout ce qu’elles peuvent engloutir, beurre de cacahuètes spécialement pour son propre cas. Elle porte ses cheveux ondulés bruns foncés aux épaules et ne les attache presque jamais, mais il lui arrive parfois des les lisser.
Niveau style vestimentaire, elle ne se sépare jamais de chaussures à talons, et aime beaucoup arborer un style chic, et presque professionnel grâce auquel on pourrait la confondre avec une femme d’affaire. Tailleurs, jupes, pantalons larges, etc… Mais néanmoins, elle aime beaucoup porter un style bien plus simple parfois. Un jean, un haut assez joli et quelques bijoux lui suffisent. Niveau concerts cependant, elle met le plus souvent des robes ou bien des ensembles de soirées.

Si l’on devait décrire Valentina en un seul mot au tout premier abord, on dira d’elle qu’elle est souriante. En effet, son sourire ne quitte presque jamais son visage, même lorsqu’elle est parfois seule. C’est une femme simple et plutôt bon vivant, qui ne se prend jamais la tête et qui cherchera toujours à satisfaire son entourage. De nature bout-en-train, elle est drôle, blagueuse, taquine et ne tient parfois pas en place, mais c’est ce qui, d’un côté, la rend aussi adorable et attachante. C’est une personne qui ne cherche qu’à apprécier son entourage, de nature amicale et affectueuse, et qui aime venir en aide aux personnes en difficultés. Elle s’attache très facilement aux autres, et de nature protectrice il lui arrive parfois de prendre l’attitude d’une mère poule envers ses proches, qu’ils soient plus jeunes ou bien plus âgés qu’elle.
Néanmoins, Valentina est une femme franche dans ses paroles, et elle n’hésitera pas à dire ce qu’elle pense. Plutôt susceptible concernant diverses choses, il ne vaut mieux pas s’en prendre à un sujet sensible la concernant, autrement elle risque de très vite monter sur ses grands chevaux. Mais même si cela peut impressionner au départ, elle est incapable de demeurer énervée contre une personne, et à la place elle préfèrera s’éloigner pour craquer un peu plus loin, et généralement ça se finit en sanglots. C’est aussi ainsi qu’elle a la mauvaise tendance à pardonner beaucoup trop facilement, et est bien trop naïve à son gout, ce qui fait qu’elle se laisse souvent avoir concernant certaines choses.
Aussi, elle est pourvue d’une fragilité mentale assez élevée, mais elle la cache aux yeux des autres : Lorsqu’elle ne va pas bien, elle évite de se montrer et se renferme sur elle même. Les coups de blues sont fréquents chez elle, mais elle ne veut pas les dévoiler aux autres sous peine de paraître faible et vulnérable à leurs yeux. Et pourtant, dieu sait qu’elle en a besoin. M   ais elle est têtue, et elle ne se confie pas facilement aux autres.

Je suis née le 31 Décembre 1946 à Venise, en Italie. Orpheline de mère, cette dernière ayant décédée deux jours après ma naissance, c’est mon père qui s’est occupé de moi durant toute mon enfance. Malgré son statut de père célibataire, il était toujours là pour moi, quelles que furent les difficultés rencontrées. J’étais très proche de lui, pour moi il était un peu comme un héros. Nous étions heureux tous les deux, même si l’absence d’une mère se faisait tout de même ressentir chez moi.

J’avais huit ans lorsqu’il m’a présenté sa nouvelle compagne. Cela faisait deux ans que nous avions déménagés à Rome, et c’est là bas qu’il l’a rencontrée. Je me souviens encore de la toute première fois que je l’ai vu. Elle s’appelait Amy, et elle était anglaise. C’était une très belle femme, chatain clair presque rousse aux grands yeux verts et au sourire jovial. J’avais de suite vu en elle comme une nouvelle maman, et le courant était très vite passé entre nous deux au plus grand bonheur de mon père. Tout comme il était passé avec son fils, Stephen, qui avait deux ans de plus que moi. On était très fusionnels tous les deux, et dès qu’on se voyait ou qu’on s’amusait ensemble, notre complicité allait jusqu’aux bêtises qu’on pouvait manigancer.
Nous étions une famille recomposée, oui. Mais nous étions heureux tous les quatre, ensemble. Pour moi, Amy était ma nouvelle maman et Stephen mon grand frère.

Quatre ans plus tard, nos parents décidèrent alors de se marier peu après avoir appris qu’Amy était tombée enceinte. Stephen et moi étions tout excités à l’idée de compter un nouveau membre dans notre famille, ainsi qu’à celle que nos parents décident enfin de s’unir.

En parallèle, j’avais commencé à prendre des cours de chant et à me passionner pour la musique grâce à Stephen qui avait commencé à apprendre à jouer de la guitare. Il avait de très bons gouts musicaux, et je suivais beaucoup ces derniers avec enthousiasme, toujours friande de découvrir de nouvelles choses. Déjà à cet âge là, mes rêves de grandeur et ceux de monter un groupe de musique avaient germés dans mon esprit.

On ne peut pas dire que j’ai eu une enfance malheureuse. Même niveau scolarité, tout se passait pour le mieux pour moi. J’avais ma petite bande d’amis, même si certains étaient un peu plus vieux que moi, et on passait beaucoup de temps ensemble avec pour la plupart une passion commune : La musique. Et mon idée de fonder un groupe était toujours très présente dans mon esprit. Aussi, on peut noter que je commençais à être curieuse concernant diverses choses, et à vouloir tester ces dernières telles que l’alcool ou la cigarette. C’est ainsi que je me suis mise à fumer à l’âge de seize ans, et à boire jusqu’à la cuite en soirées. Néanmoins, je n’avais pas encore touché à la drogue.

Ce n’est qu’à l’âge de vingt ans que cette idée de groupe s’est confirmée. C’est aussi à cet âge que j’ai rencontré Eden. Batteur, il avait un an de plus que moi et il cherchait lui aussi à se lancer dans une carrière musicale. Pour nous, ça a carrément été une évidence tout comme ce frisson qui nous avait parcouru dès le moment où nos regards s’étaient croisés.
Nous avons commencé comme tous les autres groupes, mais avec un avantage : Le père d’Eden travaillait dans une maison de disque italienne. Alors dès que nous avions eu tous nos membres ainsi que notre tout premier son, il l’avait fait connaître et diffusé dans le pays. Nous n’avons pas connu un réel succès dès le départ, mais des personnes aimaient beaucoup ce que nous faisions, ce qui nous avait encouragés à continuer. De mon côté, ma famille me soutenait à fond dans ce que je faisais et ça me comblait de bonheur.

Malheureusement, deux ans plus tard, alors que nous étions plutôt connus en Italie et que nous commencions à nous propager à l’étranger, le décès d’Eden stoppa brutalement toute notre activité. Et tout fut entièrement de ma faute. Comme dit plus haut, j’étais curieuse et cherchais toujours à tester de diverses choses. Alors après l’alcool et la cigarette, ce fut au tour de la drogue. A cette époque, Eden et moi étions inséparable. Je l’aimais comme jamais je n’avais aimé personne d’autre auparavant, et mes sentiments étaient réciproques. Jamais je ne me pardonnerais ce que j’ai fait, même si je ne l’avais pas fait intentionnellement. Nous étions sortis avec un petit groupe d’amis, afin de décompresser un peu du boulot qu’on avait par rapport au groupe. Et l’un de nos potes avait avec lui un peu d’herbe qu’il avait acheté à un dealer quelques jours plus tôt. Lorsqu’il en a proposé à tout le monde, Eden et moi avions hésité, au départ. Lui il était plutôt réticent à prendre de la drogue mais moi… Tout comme je l’avais fait avec la cigarette ou l’alcool, je voulais tester, et voir quel effet ça faisait. Alors j’ai convaincu aveuglement Eden à en faire de même, n’ayant jamais pensé aux conséquences que cela pouvait engendrer. Après qu’il ait alors accepté, son ami nous a refilé de quoi nous rouler un joint à nous deux. Aux premières lattes, ça avait commencé par nous brûler la gorge, mais on s’y était très vite fait, on avait commencé à délirer. Plus on en prenait et on se faisait passer le joint, plus on en voulait. Alors à la fin de notre joint, j’en ai demandé un autre, et l’ami d'Eden -qui délirait lui aussi- n’a pas été réticent à m’en passer. Mais ce fut celui de trop. Sans réellement y faire attention, j’avais mal reparti les doses, et il y avait un endroit où il y en avait beaucoup trop, de plus, l’herbe n’était pas non plus de très bonne qualité et qui sait ce qui avait pu s’y trouver dedans. Et c’est Eden qui tomba sur l’endroit le plus chargé. Il avait tiré un peu trop fort, et n’avait pas attendu suffisamment longtemps entre ses lattes. Lorsqu’il me fit tourner le joint, j’ai posé mon regard sur lui et mon euphorie est de suite retombée. Il était livide, et il ne riait plus lui non plus. Alors qu’il commença à se plaindre comme quoi il n’allait pas bien, puis il finit par tourner de l’œil. Complètement affolée, je suis vite redescendue sur terre et ai tout d’abord essayé d’exercer les gestes basiques de premier secours, tandis que nos amis avaient prit l’initiative d’appeler les pompiers malgré les risque que cela encourait quant au fait d’avoir consommé de la drogue. De mon côté, je faisais tout pour essayer de ranimer Eden, mais rien y faisait. Je ne voulais pas qu’il parte.
Mais malheureusement, son bad trip lui fut fatal, et après avoir été transporté à l’hôpital, il avait été plongé dans un éternel sommeil quelques heures plus tard.  

J’ai culpabilisé pendant très longtemps, mais ce n’était sans compter sur le soutien de ma famille après leur avoir avoué ce qui était arrivé. Je m’étais attendue à ce qu’ils prennent très mal le fait de leur avoir caché mes consommations durant tout ce temps, mais finalement, ils m’avaient pardonnée et avaient alors essayé de tout faire pour me redonner le moral. Et ça, je leur en serai éternellement reconnaissante.

Malheureusement, rester en Italie ravivait beaucoup trop de mauvaises choses en moi, et j’ai alors souhaité partir vers de nouveaux horizons pour tirer un trait sur les derniers évènements. C’est ainsi qu’après avoir dit au revoir à mes proches, je suis partie pour les Etats Unis.
Concernant le groupe, j’ai gardé contact avec mon ancien maison de disque et c’est grâce à elle que j’ai pu continuer dans cette voie musicale. Car en effet, je suis arrivée aux USA dans l’espoir de former un nouveau groupe, car je savais que c’est ce qu’Eden aurait voulu : Que je continue à chanter.
Alors que je me suis tout d’abord installée à Boston à l’âge de 27 ans, j’ai rencontré de nouvelles personnes au même centre d’intérêt avec lesquelles j’ai de suite sympathisé, dont certaines me connaissaient via mon ancien groupe, tandis que mon ancienne maison de disque s’était arrangée pour en contacter une dans l’enceinte de la ville. J’ai alors fait les démarches nécessaires pour proposer à quelques unes de mes nouvelles connaissances de fonder un nouveau groupe. Nos univers différents se sont alors croisés, et la fusion entre les spécialités de certains visant le metal, celles d’autres visant les sons originaux et ma propre voix a alors séduit la maison de disque.
Et c’est ainsi qu’est né Guilty Tears, groupe dit de metal symphonique.

Nous sommes aujourd’hui connus dans le monde, et nous enchainons les tournées dans de nombreux endroits. Cela fait maintenant un an que nous nous sommes installés à LA, après avoir changé de maison de disque pour nous établir là bas.
Je n’ai pas oublié ce qu’il s’est passé quelques années auparavant, mais je suis tout de même parvenue à faire mon deuil auprès d’Eden, malgré la difficulté. Je souhaite aujourd'hui être heureuse, mais avant tout retrouver ce que je n'ai pas eu depuis longtemps : Le bonheur. J'en ressens l'envie depuis quelques temps maintenant, après avoir fait mon deuil auprès d'Eden. Lui qui était un véritable soutien durant mes moments de faiblesses.

Mon passé me rattrape parfois, et il m’arrive d’y repenser et de craquer lorsque je suis seule. Mais de mon plein gré, je ne veux pas dévoiler mes faiblesses.
Je veux montrer que je suis forte, et que je sais me battre.

Prénom / Surnom(s) : Karsimys.
Âge : 17 ans.
D'où viens-tu : Du côté de Lyon, dans l’Ain plus exactement.
Comment as-tu connu le forum : Grâce à un partenariat.
Niveau en RP : Plutôt variable, je m’adapte en fonction des personnes.
Quelques petits trucs sur toi : Je suis une grande adepte de rock, de hard rock ainsi que de metal, j'écoute de tout et je suis ouverte à toute découverte auditive !  
Je joue Lana everywhere pour la simple et bonne raison qu'étant quelqu'un de bizarre, je n'aime pas du tout changer de vava, et elle est aussi mon actrice favorite.  
Autrement, j'aime les araignées, je fais de l'équitation et je me suis lancée récemment dans le coloring, même si ce que je fais n'est pas très fameux.  
Quelques mots sur le forum : Une tuerie. Tout simplement, c'est génial d'avoir eu comme idée de créer ce petit bijou, je ne pouvais pas passer à côté.