Nous étions deux à nous partager l’eau – chaude – de la douche. Ce n’est qu’au contact de Maria que je pouvais apprendre le partage – notion bien inconnue du grand Daniele Ricci. L’occasion était trop bonne – et la tentation trop forte ! – pour résister à embrasser ses lèvres pulpeuses.

Elle était ici – avec moi – pour gagner du temps sur le programme qu’elle nous avait concoctés pour la journée. Le gain de temps – à première vue – était flagrant. Nous étions deux à prendre une douche en même temps – ce qui revenait à prendre deux fois moins de temps que si on passait un par un. Cette théorie serait valable dans la condition même où la présence de l’autre ne nous poussait pas à rester bien plus longtemps sous l’eau chaude de la douche – mais cette condition ne s’appliquait pas à nous. Nous allions en perdre du temps – mais était-ce si grave ? Maria avait dit mes pensées tout haut – mes massages ne l’aidaient pas à penser autrement.

-C’est pas grave, on est en vacances, soufflais-je à son oreille.

Il n’y avait pas de retard quand on était en vacances – on pouvait faire tout ce qu’on voulait.

Maria était serrée contre moi et je n’allais pas m’en plaindre. Nous nous étions embrassé sous l’eau chaude de la douche – qui nous procurait plus de sensation encore. J’avais fait des dessins dans le dos de Maria – des dessins abstraits sans aucune signification. J’avais juste le plaisir de sentir sa peau mouillée sur mes doigts et je l’avais embrassé plusieurs fois laissant le temps défiler. J’avais cessé tout geste pour faire tourner Maria sur elle-même – pour qu’elle se retrouve dos à moi. Même – surtout ? - le grand Daniele Ricci ne pouvait aucunement résister aux charmes de Maria. Ses cheveux mouillés était venus se coller à sa nuque – pas pour longtemps, je les avais déplacés pour que mes lèvres prennent leur place.

Cette douche sensuelle était un moment unique – un grand plus au programme qui s’annonçait merveilleux. J’avais la ferme intention de le rendre intense – en plus d’unique. J’avais tracé des courbes invisibles sur le ventre de Maria – des petits serpents qui étaient montés jusqu’à sa poitrine parfaite. Je m’étais mis, en même temps, à fredonner une chanson de mon album – le titre éponyme de celui-ci. Daniele Ricci ne chante que du Daniele Ricci – même si je savais tout chanter ! Mes dessins étaient devenus des vraies caresses. Une de mes mains avaient – cependant – voulu explorer d’autres horizon que la poitrine de Maria. Elle était descendue jusqu’à son entrejambe – c’était plus un redécouverte qu’une vraie exploration.

Nous allions perdre du temps – c’était sûr ! – mais ce qu’on vivait valait bien le sacrifice.

@ Billy Lighter

. Plus je sentais les mains de Danièle sur ma peaux et plus je me demandais sur ma véritable raison de ma venue dans la douche n'était pas un caprice de petite folle pour avoir son chéri. Cela avait sans doute un peu-bezucoup- jouer sur ma décision à venir avec lui. J'essayais pourtant de lui dire que c'était un gain de temps, j'essayais de me convaincre moi même du fait que je n'étais pas là pour son corps mais pour le temps.

C'est ses mots au creux de mon oreille qui m'avait fait vaciller d'avantage sur la raison de la chair. Il avait totalement raison, nous avions le temps et c'était ce qui m'avait permis de prendre la décision que le déroulement de cette douche.

Daniele pouvait faire ce qu'il voulait de moi, je lui était toute entière, si bien que chaque baiser qu'il le donnait, je le prolongeais avec plaisir. Chaque caresses me faisait frissonner et soupirer de plaisir. Il m'avait retourner pour que mon dos se colle à son torse. Je laisser un soupire passer fermant les yeux pour profiter de l'eau chaude et du moment.

Je le laissais faire, ses caresses parcourant ma poitrine. Il était doux et sa voix au creux de mon oreille rendait le moment encore plus beau et merveilleux. L'eau de la douche paraissait soudainement brûlante quand les doigts de mon petits amis étaient arrivés à mon entre jambe. J'avais laisser un gémissement de plaisir passer entre mes lèvres, mes jambes tremblaient tant le plaisir commençait à se faire sentir et mes fesses étaient collés à l'intimité de l'italien.

-Danièle...

Avais je simplement dit dans un soupire de plaisir, en chuchotant, d'un ton envieux. Mes mains se posèrent se ses fesses et sur sa main qui parcourait mon intimité. Le moment était incroyable et il était d'une douceur comme jamais il '' avait été.

@ Billy Lighter

Les excuses sont faites pour s’en servir – c’est comme ça qu’on pourrait nommer le chapitre de la douche texane. Le gain de temps aillait – très vite – se transformer en retard sur le planning. Qui allait s’en plaindre ? Pas moi – en tout cas ! Le corps de Maria – entièrement mien – était bien mieux que n’importe quelle visite d’Houston ou de Dallas. C’était un voyage – aussi – d’une certaine façon. Pas mon premier – Maria commençait à ne plus être un secret pour moi -, mais un voyage que j’adorais faire et refaire.

J’avais dessiné mon chemin sur son corps – jusqu’à sa poitrine brûlante. J’avais commencé à fredonner une chanson – une à moi – à l’oreille de ma bien-aimée. Mon exploration m’avait menée vers des contrées connues – l’intimité même de Maria. Elle était venue d’elle-même se glisser sous la douche – elle avait gagné tout mon dévouement. Maria avait – délicieusement – chuchoté mon prénom sachant très bien que ça me ferait frémir de plaisir. Il n’y avait aucun mot dans mon vocabulaire pour décrire le moment – et pourtant j’étais bilingue.

Maria en profitait – une main sur mes fesses et l’autre sur ma main qui caressait son point sensible. Je n’avais pas l’intention de me presser – n’étions-nous pas là pour perdre du temps ou aurais-je mal compris ? J’avais terminé ma chanson par mes lèvres sur son oreille – un baiser qui s’était transformé en mordillement envieux. Mon exploration s’était approfondie pour augmenter le plaisir que devait vivre Maria. Elle s’était mise à se cambrer un peu plus – assez pour m’extorquer des soupire de plaisir. Ses fesses frôlaient mon sexe ce qui était à la fois grisant et agréable.

-Bella mia, chuchotais-je à son oreilles sous le coup du plaisir.

J’avais laissé Maria prendre son pieds – rien que ses soupires de plaisir me faisait chavirer. Nous nous faisions – à nouveau – face après quelques instants de perdition. Je l’avais embrassé – avec toute ma passion -, mes mains posées sur ses fesses. J’étais prêt à redoubler d’effort physique pour que notre retard soit vraiment bien justifié – Ricci et le souci des détails… J’avais passé ma main sous sa cuisse que j’avais fait remonter sur ma hanche. Nos sexes étaient – maintenant – en contact plus que jamais.

Nous étions bien serré l’un contre l’autre à s’échanger des baisers brûlants – comme l’eau qui rendait notre peau rouge. J’étais prêt à tenir sous le poids du plaisir - qui commençait à m’extorquer de plus en plus de soupires. Je ne m’étais pas arrêter avec mes embrassades langoureuses – monopolisant les lèvres de Maria. Nos mouvements étaient limités – mais assez osés et sensuels que pour nous satisfaire lentement.

@ Billy Lighter

Alors que la chanson que Daniele chantait parvenait à mes oreilles comme un délicieuse musique, les yeux demis clos, je profitais de ce qu'il me donnait. Je n'avais pas été demandeuse, je crois ne l'avoir jamais été, Daniele donnait tout comme j'aimais lui procurer du plaisir. Il était évident que dans la position où nous étions, c'était moi qui en prenais le plus mais je pouvais entendre des soupires au creu de mon oreille sans doute dû au frôlement de mes fesses sur son intimité.

Ses mots me firent frissonner tout en lâchant un soupire en plus long, il utiliser son doigté de façon experte, si bien que je me cambrais d'avantage et était prête à vasciller, mes jambes tremblantes dûe au plaisir qu'il me procurait. Puis, il m'avait retourné pour que je sois à nouveau face à lui. L'eau coulant sur lui. Je lui avait fait un magnifique sourire, mes bras autour de son cou. Je prolongea son baiser passionné en lui traduisant toute mon envie pour lui.

Il remonta une de mes jambes et je me serrant contre la paroi froide de la douche, me faisant frissoner dû au changement de température, j'étais donc coincé entre le mur et mon amant. Ma jambe autour de sa hanche avait fait se serrer encore plus nos intimité faisant me lâcher quelques soupires. Daniele s'emparaît de mes lèvres sans les laisser, y laissant des baisers langoureux, brûlants, fièvreux, qui rendait le moment encore plus sensuel. Nos mouvements étaient frustrant mais si bon.

Au bout d'un  moment, je remontais ma deuxième jambe, prenant appuie sur le carrelage froid. Me pressant tout de même contre lui, nous ne formèrent plus qu'un alors qu'un gémissement de plaisir avait traduit que l'acte avait commencer. L'eau de la douche continuait de couler et je continuais d'embrasser langoureusement mon petit-ami.

@ Billy Lighter

J’avais donné tout le plaisir possible à ma partenaire – sans chercher à me satisfaire en premier pour une fois. Deviendrais-je moins égoïste au contact de Maria ? En amour – en tout cas – ça semblait être le cas. Il y avait encore du chemin pour que mon égoïsme légendaire ne disparaisse totalement – plus que du chemin… En tout cas, je m’étais plu à ne faire des gestes que pour elle. J’aimais entendre chacune des petites variations de plaisir dans les soupires qui s’échappaient de ses lèvres – comme quand j’écoute un de mes albums favoris.

Nous nous faisions – à nouveau – face sous ma propre impulsion. Maria tremblait du plaisir que je lui avais donné. Elle était encore plus jolie avec ses cheveux mouillés et son corps rougi par la chaleur de l’eau – et la douceur du plaisir. Elle magnifiait – à chaque coup – les baisers que je lui faisais. C’était eux qui me poussaient chaque fois à me surpasser quand nous étions rendus aux plaisirs de la chair.

La position n’était pas facile à tenir – et elle ne nous donnait pas toute liberté de mouvements -, mais elle nous permettait de redoubler d’imagination et d’agilité. Maria était plaquée contre le paroir carrelée de la douche – nos sexes se touchant assez que pour nous extorquer des soupirs de plaisir. Je ne nous laissais pas beaucoup de temps pour respirer – je monopolisais les lèvres de Maria.

Le plaisir nous en demandait plus – et nos gestes limités devenaient sérieusement frustrant. C’est pour ça que, chez moi, il y a un jacuzzi et des baignoires – plus pratique pour ce qu’on faisait… Maria avait remonté sa seconde jambe – m’extorquant un vrai gémissement plus haut. Les appuis étaient plus solides comme ça. J’avais placé mes mains sous ses cuisses pour lui assurer tout le confort possible. Maria n’était ni lourde, ni grande – avantage assuré pour moi ! Nous n’avions formé plus qu’un et je l’avais exprimé par un soupire plus haut que le précédent. Nous n’arrêtions plus de nous embrasser – je faisais, en même temps, les mouvements pour nous procurer un plaisir que je ne saurais qualifier.

Les mouvements et les embrassades nous avaient entrainés jusqu’au septième ciel. J’avais lâché les lèvres de Maria pour manifester le feu qui s’était emparé de mon corps en entier – la figure enfuie dans son cou.

Waw – pensais-je – alors que je commençais à reprendre mon souffle. Nous étions restés dans la même position – le temps de reprendre notre souffle et nos esprits. Un silence délicieux s’était installé – si on ne comptait pas l’eau qui coulait toujours.

-Dois-je dire à ton père que je m’excuse d’avance pour sa prochaine facture d’eau ?, dis-je – rieur - pour briser le silence.

J’avais laissé les jambes de Maria reprendre pied au sol.

@ Billy Lighter