Le Dizzy est une vraie fournaise ce soir. Il y a foule, plus qu’à l’habitude j’veux dire.  Les corps s’entrechoquent sur la piste de dance permettant une liberté sensuelle assumée. L’alcool est distribué sur de grand cabaret. Je n’ai aucune idée de qui paiera la note mais j’attrape plus souvent qu’à mon tour, un cocktail sucré.

Rare sont les soirs où je suis en pleine possession de mes moyens. Et ce n’est pas par manque d’argent pour me payer toute la coke dont j’ai envie. Non.  C’est parce que je carbure à autre chose en ce moment.

Un petit cul parfaitement rebondit, mis en valeur dans un pantalon en cuir, des yeux noisette et des cheveux châtain couper au carré. J’y peux rien mais je suis complètement obsédée par la perfection de se corps plus que parfait qui se déhanche sur la piste de dance devant moi.

Apolline est mon addiction du moment et pour elle, je serais prête à n’importe quelle bassesse.

Je la rejoins sur la piste, me faufilant entre les corps en sueurs et je me place derrière elle, pressant ma poitrine contre son dos, lui emboîtant le pas sur  Bang Band de Iggy Pop.  J’aime sentir ses fesses se frotter contre moi, ça me rend encore plus folle d’elle.

Je la prends pas la taille pour la tourner vers moi. Si je ne me retenais pas, je lui roulerais une pelle d’enfer en plein cœur de la foule.  Au lieu de ça, je lui prends la main et je l’attire un peu à l’écart.

- Quand tu bouge comme ça, tu me donnes des idées ! T’es une sacré bombe, j’espère que tu en as conscience !

La chanson se termine mais le DJ en entame immédiatement une nouvelle, prédestinée en ce qui me concerne.  Our lips are sealed des The Go-Go’s m’offre le tremplin parfait pour poser mes lèvres sur celle d’Apolline et de l’embrasser langoureusement.

Elles goûtent divinement bon.  Mais je ne suis pas bonne juge étant complètement sous son charme. La piste de dance, même sur les abords, n’est pas le meilleur endroit pour les échanges linguale aussi, je l’entraîne de nouveau un peu plus loin, vers les tables où nous avons laissé nos vestes.

- J’ai mal aux pieds à force de danser ! Pourtant, j’suis habitué à être debout, quand je longe le Walk of Shame toute la nuit quand les clients se font rares.

En fait, je parle du Walk of Fame mais comme c’est mon circuit et bien que je n’ai pas honte d’être une prostitué, il n’y a rien de très glorieux à arpenter les rues à la recherche d’un homme esseulé qui a besoin d’un peu de chaleur humaine.

C’est aussi comme ça que j’ai rencontré Apolline. Mais pas pour la raison que vous croyez.  J’étais bien entrain de déambuler sur la rue dans l’espoir de trouver celui qui paierait de quoi m’offrir mon fix mais au lieu de ça, j’suis tombé sur une p’tit châtaine aux yeux noisette, complètement perdu et surtout fraîchement débarqué en ville.  Comme résister à son petit regard angélique qui, bien sûr cachait une vrai tigresse.

Une fille comme moi quoi.

Entre nous, ça a immédiatement cliqué.  Parfois amante, parfois amie, Apolline est toujours là pour moi et l’inverse est aussi vrai. Mais ce soir, mes pulsions prennent le dessus sur tout le reste et me fais rêvé d’une nuit dans ses bras.

D’un autre côté, les yeux des mecs sur nous m’excite au plus au point.  Ils ont clairement envie de savoir comment notre soirée va se terminer et si, par chance ils pourraient être spectateurs. Ou mieux, participants !

@ Billy Lighter

Il faisait chaud à l'intérieur du Dizzy Warhol, il y avait cette odeur si particulière qui émanait de la respiration des danseurs, de la drague, du sexe et de la prise de substance illicite. Le clubs était sans limites et même si Apolline n'était pas le genre de personne a toucher à tous ce qui traînait à l'intérieur de l'habitacle, elle aimait bien venir ici. De plus, ce soir, elle avait quelque chose à fêter, elle avait fait un super concert au rainbow ! Il fallait se réjouir des petites choses quand on était comme elle, sans label, vivant vite fait de sa musique. Elle avait alors réussit à joindre Bailey et elles étaient parties toutes les deux fêter cela.

En entrant dans le clubs, elle savait qu'elle allait retrouver les habitués. Apolline était bi et avait une vie sexuelle de plutôt active, les habitués, elle en avait déjà goûté pas mal, mais celle qui se détaché du lot est la fille avec laquelle elle était venue.  Bailey, c'est comme ça qu'elle s'appelle. Elles se sont rencontrés quand l'ecossaise est arrivée en ville et depuis quelques semaines, elle est devenu plutôt proche d'elle. Bien sure, il y avait quelque côté qu'elle n'aimait pas chez elle, comme le fait de se droguer mais elle avait appris avec le temps à faire des concessions avec les gens.

Elle avait tout de suite prit une vodka au comptoir et s'était diriger vers la piste de dance. Elle n'avait pas mit longtemps à rameuter des mecs complètement imbibés d'alcool, contre elle. Mais elle attendait surtout une personne. Et celle ci était arrivé tel un mouche attiré par de la lumière. Elle avait sourit en sentant son corps se presser contre son dos. En un rien de temps, elle se retrouve face à elle, à prolonger goulûment le baiser de la belle. Ses mains autour de sa taille elle resterait comme un moment. Apolline n'était pas amoureuse de Bailey, c'était son corps qui l'appelait, qui avait besoin de sa dose tout comme celui de Bailey avait besoin d'héroïne. '' j'aime etre ton centre d'attention. '' avait elle dit avec une pointe de provocation dans la voix.

Elles s'étaient éloigné de la piste de dance, un peu à l'écart, elles pouvaient un peu plus parler parce-que même si elles avaient besoin de sexe entre elles, elles étaient amies et elles pouvaient parler parfois pendant des heures entières. Elles étaient à côté de la banquette, cekke qu'elles avaient réservées au cas où elles ne pouvaient plus danser et c'était le cas de Bailey. Apolline s'était alors approché de l'oreille de sa copine en souriant '' j'ai de quoi te faire oublié ton mal de pied ma belle... '' avait elle dit d'un ton provocateur.

Parfois, Apolline voyait quelques regards d'hommes se bloqués devant elles, ils faisaient un sourire au coin, un clin d'œil, mais ils n'osaient jamais venir les voir. Elle prit son verre de vodka après s'être assise sur la banquette, et le finissant d'une traite alors que Bailey s'asseyait a ses coter. Elle posa une main sur sa cuisse, la caressait du pouce. ''
j'ai envie de m'amuse ce soir'' avait elle dit avec un air faussement innocent.

@ Billy Lighter

Le contact d’Apolline contre moi me fait frémir et j’anticipe déjà avec le plus grand des plaisirs la nuit qui va s’en suivre.  Comment résister à une beauté pareille ?  J’en suis incapable.  Pire encore quand elle  me murmure à l’oreille avoir de quoi me faire oublier mes pieds endoloris.

Apo  termine son verre de vodka avant de m’avouer qu’elle a envie de s’amuser ce soir. Ça tombe bien car moi aussi et  je lui donne un avant goût en venant goûter les effluves d’alcool qui subsistent sur ses lèvres.

Ce n’est pas innocent ni subtile. Le passe d’abord  doucement ma langue sur ses lèvres avant de la glisser entre elles et  de l’embrasser fiévreusement.  Je la désire ardemment et il m’est difficile de retenir mes mains de s’infiltrer sous son haut.

Un peu de retenue, Bailey, n’offre pas à ces messieurs voyeurs le plaisir d’assouvir leurs fantasmes.

Je mets un terme au baiser à contre cœur puis je lui caresse la joue du revers de la main. La sienne, toujours sur ma cuisse aliment toujours le brassier qui fait rage entre mes cuisses. Je m’approche de son oreille afin de lui  murmurer mes intentions.

- Soit on retourne danser, soit on va dans les toilettes se trouver une cabine pas trop crade le temps que je te montre tout l’effet que tu me fais. Mais je te jure ma belle, que je ne peux plus te résister des heures !

Je mordille son lobe avant de reprendre ma place et de la regarder d’un air provocateur.  Quoi que les toilettes du Dizzy ne m’intéressent pas plus que ça. Elles sont douteuses et toujours achalandés de p’tites pétasses en chaleurs et inintéressantes.

J’veux lui proposer qu’on quitte le bar, de nous retrouver chez elle ou a l’hôtel, qu’importe, tant que ça se termine dans un lit, mon corps nu contre le siens.

Mais y’a ce type qui lui fait de l’œil depuis tout à l’heure et en fait, et je ne sais pas si mon amie a plus besoin d’un homme ce soir que de moi.  Je ne suis pas jalouse, son amitié m’importe plus que le sexe que nous avons de temps en temps. Mais ce soir j’ai envie d’elle, j’ai besoin d’elle.

Il reste cependant assez à l’écart pour que je ne m’en inquiète pas trop.  On vient nous apporter une bouteille de vodka toute neuve et bien froide ainsi que deux verres. Y’a pas à dire, ça soulève  les passions deux femmes ensembles, au point où un généreux donateur anonyme nous fait une offrande qui tombe à point.

J’ai vraiment soif, il n’y avait pas assez de vodka sur les lèvres d’Apolline.  Je nous verse donc chacune un verre que nous prenons cul sec. Puis encore un. Et un autre.  Jusqu’à ce que je me décide finalement à en boire un, sans l’avaler et d’embrasser de nouveau Apolline. C’est plus drôle et  horriblement sensuel que de sentir la vodka passer de ma bouche à la sienne, coulant sur nos mentons et nos décolletés.

@ Billy Lighter

Entre Apolline et Bailey, la température monte toujours très vite et leur relation a toujours été très étrange, dès leurs rencontres. Amies, elles son amantes dès que l'autre à besoin de l'autre, elles ne succombent pas à l'amour, juste au plaisir de la chair et c'est ce qu'elles cherchent toutes les deux ce soir mais pas l'une sans l'autre. En fait, c'est à se demander pourquoi elles sont aller dans ce bar, elles auraient mieux fait de partir directement chez l'une ou l'autre et profiter de la nuit entière pour gouter une énième fois à la peau de l'autre et pourtant, il n'en n'était pas de cela.

Elles préféraient largement se chauffer l'une et l'autre ailleurs, comme un jeu. La main d'Apolline sur la cuisse de Bailey montre bine que la partie à commencer, si bien que l'autre jeune femme vient l'embrasser. Ses lèvres ont un gout de vodka, comme les siennes et elle prolonge le baiser avec sauvagerie, si elle ne se retenait pas, elle lui ferait l'amour sur la banquette sur laquelle elles sont, dans ce club. Pourtant, il ne faut pas que cela se passe comme ça, il ne faut pas faire plaisir aux hommes qui les regardent avec envie.

Bailey expose ses idées ou son envie et Apolline sourit, elle laisse échappé un soupir quand elle sent ses dents se son oreille, elle a gagner, Bailey est folle d'elle mais elle n'aime pas les toilettes du club, du moins, pas avec elle, elle préfère profiter de ses moments si particulier avec elle -et si intense- alors elle lui sourit, la regardant. "J'ai encore mieux que les toilettes...Viens on va chez moi." mais à peine avait-elle dit cela qu'on leur apportait une nouvelle bouteille, surprise, Apolline regarde autour d'elle et voit cet homme. Depuis le début il l'a regarde et elle peut voir que dans son pantalon moulant, il aimerait lui offrir plus qu'une vodka. Elle lui fait un sourire provocateur et un clin d’œil alors que Bailey sert les verres. Elles en boivent quelques uns avant que la jeune femme qui l'accompagne ne veulent jouer à un jeu. Apolline sourit, serrer contre elle, elle accueille les lèvres et la vodka avec plaisir. Elle sent le froid passer sous son haut et ça l'a fait frissonner, elle qui à la peau si chaude.

Ses lèvres et son menton doivent sentir la boisson alcoolisée, elle prend une serviette pour s’essuyer un peu et regarde Bailey. "Il faudrait remercier l'homme qui nous à offert ça..J'ai quelques petites idées...Soit je vais le remercié avec un baiser, soit tu viens avec moi aussi soit...On l'invite avec nous ce soir chez moi..." Apolline laissait toujours le choix à Bailey quand il s'agissait de leurs ébats, elle savait qu'elle prenait toujours la bonne solution.

@ Billy Lighter

Apolline est aussi chaude que la braise ce qui n’est pas pour me déplaire.  Au contraire, de sentir qu’elle partage mes désirs ne fait que l’accroître.  J’lui fait même part du fait que j’ai de plus en plus de difficulté à lui résister.  

Les toilettes sont la première option que j’envisage même si ça ne me plait pas trop d’aller m’enfermer là dedans. Apolline est fougueuse, tout comme moi et l’espace restreint d’une cabine d’aisance est loin d’être approprié pour nos ébats.

Chaque fois que nous nous sommes retrouvés au lit, nous avons réussit à déplacé le matelas, nous nous sommes retrouvés par terre, les draps en batailles, bref ! Quand elle propose plutôt de quitter le bar pour s’en aller chez elle, je n’offre aucune résistance.

C’était sans compter le petit contre temps de la bouteille de vodka gracieusement offerte par un gentleman  qui n’en avait que pour mon amie.  Cela aurait bien été impoli de ne pas déguster ce présent aussi, Apolline et moi busons quelques verres avant que, boosté par l’alcool et mes pulsions sexuelles, je décide de faire boire un dernier verre à Apolline en lui versant directement dans la bouche à partir de la mienne.

C’est torride et humide. Je pars à la conquête du breuvage qui s’est évadé le long du cou de la belle Écossaise jusque dans son décolleté.  J’en peux plus j’vais la renverser sur cette foutue table, j’vous le jure !

- Il faudrait remercier l’homme qui nous à offert ça… J’ai quelques petites idées.
Je relève la tête pour la regarder, amusée. J’lui mords la lèvre avant de lui murmurer que je crois avoir compris un peu là où elle veut en venir.

- Soit je vais le remercié avec un baiser, soit tu viens avec moi aussi soit… On l’invite avec nous ce soir, chez moi…

- Ce mec bande comme un taureau juste à te regarder. La moindre des choses serait de l’inviter à ce joindre a nous.

Y’a qu’Apolline pour avoir ce genre d’idée. Bon ok, moi aussi je l’admets. Voilà pourquoi nous nous entendons si bien elle et moi.  Je prends donc la bouteille et je m’extirpe de la banquette, suivant Apolline jusqu’à l’homme qui ne nous a pas lâché du regarde, depuis le bar où il est appuyé.

- C’est ton soir de chance !

J’lui laisse pas le temps de répondre que je l’attrape par le bras pour pas qu’il se sauve. On est pas méchante… on est aguichante et j’laisse soin à mon amie de lui expliquer en quoi la chance lui sourit ce soir.

@ Billy Lighter

Peu de personnes faisaient ce genre d'effet à Apolline. Elle trouvait cela un peu malsain mais qu'importe, ce n'était qu'une fois de temps en temps, cela ne pouvait pas faire de mal. Chaude comme la braise, elle lançait des regards bourrés de sens à Bailey. Ce fut d'avantage coquin quand l'écossaise avait déclaré qu'il fallait remercier le donneur de vodka. Bailey avait accepté, mordillant la lèvre de sa copine qui lâcha un gémissement.

Les idées d'Apolline fusaient et elles étaient de plus en plus osées. Elle avait commencé en douceur avant de terminer par la situation la plus alléchante mais la plus inattendue. Bailey était une copine formidable car elle suivait Apolline dans ses délires. Ainsi, elles étaient arrivées devant l'homme en question. Il était assis et avait perdu relativement de confiance en soi quand les deux filles s'étaient retrouvées devant lui. Bailey avait commencé à parler, l’Écossaise ayant un large sourire sur le visage.

Apolline attrapa le deuxième bras de l'homme en souriant. ''En effet, ton jour de chance car nous te proposons de repartir avec nous!''. ''Heu... Je ne sais pas trop les filles...'' Apolline leva les sourcils, puis, elle se planta devant lui, l'embrassa avec engouement, passant ses lèvres sur ses lèvres, sa main se plaquant sur la partie de son pantalon tendu. ''Tu ne sais toujours pas?'' ''Non, c'est bon je viens!'' avait-il dit avec plus de confiance.

Elle regarda ensuite Bailey en souriant. ''Ma copine et moi sommes heureuses de t'entendre dire ça. On se retrouve à l'entrée du Dizzy et après en route pour chez moi!'' avait-elle dit avec provocation.

@ Billy Lighter

C’est dans le taxi en direction de chez Apolline que les choses s’officialisèrent dans cette aventure à trois.  Le pauvre homme n’avait aucune chance contre nous deux, complètements déchaînées sur la banquette arrière.

Assise de chaque côté de l’homme il était le témoin de nos baisers torrides. Nous avions apporté la bouteille de vodka, l’élément déclencheur de tout ceci et elle comme moi, étions de plus en plus assoiffée.

Mais pas de liquide, Du moins pas un qui se vend ou se trouve quelque part d’autre…  Il me sembla que le taxi avait mis un temps fou à parcourir la distance entre le bar et chez mon amie.  Ou alors était-ce parce qu’aux arrêts, le conducteur se rinçait l’œil dans le rétroviseur.

J’avais perdu mon haut quelque part durant le trajet, me retrouvant en soutien-gorge.  Quoi que notre nouvel ami n’était pas en reste. Je lui avais retiré sa cravate pour me la nouer autour de la tête et  fait sauter les boutons de sa chemise. Fallait bien inspecter la marchandise !

La voiture s’immobilisa enfin et nous nous grimpons jusqu’à la porte d’Apolline qui a du mal à déverrouiller. L’alcool n’aidant en rien la dextérité. Je m’adosse lâchement contre le mur à côté de la porte la pressant de bien vouloir ouvrir cette damnée porte.  C’est  John, notre sympathique ami qui finalement réussit à déverrouiller la porte.

- En plus d’être beau  comme un cœur il sait ouvrir les portes !

Je rigole toute seule m’enfonçant dans l’appartement plongé dans la noirceur, enfin, jusqu’à ce qu’Apolline découvre l’interrupteur et fasse apparaître la lumière. Comme par magie ! Je me retourne vers elle, si belle, comme si un halot  lumineux l’enveloppe.

C’est peut-être l’alcool qui  altère ma vision mais c’est ainsi que je la vois.  Et puis y’a cet homme, l’intrus dans la fête qui s’approche d’elle.

- Oh mais non mon p’tit bonhomme !  J’ai tellement mieux pour toi !

Je lui prends la main et je nous dirige vers la chambre d’Apolline dans laquelle, je sais que je vais trouver tout ce dont j’ai besoin.  Je lui fais prendre place sur la chaise de la coiffeuse de mon amie puis je me saisi de la ceinture de sa robe de chambre.

- T’es mignon, t’sais. Mais tu ne faisais pas partit de mes plans ce soir mais tu es là et c’est très bien ainsi seulement…

Je lève le regard vers Apolline tout en me léchant les lèvres.

- Seulement ce soir elle est toute à moi. Mais je suis si sympathique que je t’installe aux premières loges. Tu verras tout… tout… tout et tu entendras absoooolument tout aussi !

Je l’attache donc à cette chaise bien solidement.  J’suis pas si méchante. J’aurais bien pu lui bander les yeux aussi ! Mais de savoir qu’il nous regarde, impuissant, enfin, de mouvement parce qu’il semble bien avoir une surdose de puissance dans le pantalon, ça m’excite au plus haut point. Et après, qui sait. Si Apolline et moi avons encore envie de nous amuser, peut-être le détacherons-nous…

@ Billy Lighter

Les deux jeunes femmes et l'homme avaient attrapés un taxi au vol, s'engouffrant dedans, Apolline avait donner son adresse avant de jouer un peu avec Bailey. Assise à la droite de l'homme, elle avait posé une main sur sa cuisse pour embrasser Bailey qui était très gourmande ce soir. La nuit allait être bonne, se disait elle. Apolline n'était comme ça d'habitude, à s'exhiber ainsi mais avec Bailey, elle était une autre femme, elle laissait la tigresse s'échapper d'elle. Heureusement, elle savait que ce comportement s'invitait seulement avec la strip-teaseuse,s'en quoi elle aurait honte d' elle.

Le taxi avait mit du temps à arriver parce qu'elles se donnaient en spectacle au chauffeur qui en profitait énormément. Surtout depuis que Bailey était en sous vêtement, Apolline, elle, avait garder tous ses vêtements, elle s'amusait déjà à embrasser un cou son amie un coup l'homme.  Il était pas mal, ce n'était pas le genre de l’écossaise mais qu'importe, elle était bien trop excitée pour faire la fine bouche. Le chauffeur avait eu du mal à les laisser sortir, faisant une moue de ne pas être invité à la fête, et Apolline avait mit du temps à monter les marches de son appartement et à ouvrir la porte. D'ailleurs, elle n'avait pas réussis, la poignée bougeait beaucoup trop !

Une fois dans l'appartement, elle avait allumée la lumière et avait laisser John se rapprocher d'elle. L'ecossaise le regardait avec un sœur ie provocateur mais ce n'était pas au goût de Bailey de le laisser jouer avec. Elle les accompagne, un peu interloqué quand elle emmène l'homme dans la chambre et est surprise de voir Bailey se décharger complètement de lui. Bouche bee, elle aurait penser en profiter des deux à la fois...

Cependant, cette frustration s'évapore quand sa compagne de la nuit lui indiqua qu'il entendra tout. Elle s'approche de Bailey, encore à coter de l'homme, elle l'a retourné et vient l'embrasser goulûment devant lui. Posant une main sur son sein et venant le malaxer doucement. Elle n'attendait que cela depuis qu'elle avait élever son haut. Elle l'a tira vers le lit, la faisant se coucher et venant à califourchon sur elle. '' tu es une méchante fille de laisser le pauvre John comme ça... Tu mérites une punition. '' avait elle dit un sourire coquin sur les lèvres.

Elle était alors venu l'embrasser chaudement, frottant son entre jambe a la sienne,  caressait son corps d'une main douce

@ Billy Lighter

Pourquoi aller trop vite quand on peut faire durer le plaisir des heures durant ? En attachant l’homme sur la chaise d’Apolline, il aurait une vue imprenable sur nous deux et l’effet de désir ne serait ainsi que décuplé à l’infinie.

Mais le sex appeal d’Apolline agit sur moi comme une véritable bombe. Ma belle amie provoque d’un simple battement de cils mes fantasmes les plus fous. Et la complicité qui opère entre nous deux va bien au-delà de tout cela.

Chaude comme la braise, mystérieuse comme une nuit d’été.  Apolline est en elle même un fantasme vivant qui alimente les passions et les tourments.  Une fois près d’elle, il est difficile voir impossible pour moi d’en être indifférente.

Elle est plus excitante que la coke, plus vitale que l’oxygène.

Elle s’approche donc de moi pour venir m’embrasser sous le regard envieux de John qui reste pourtant docile sur la chaise.  Mon sein devient captif de la main de l’Écossaise qui prend un malin plaisir à le malaxer au travers de mon soutien-gorge.  J’en frissonne déjà.

Je me retrouve bien vite sur le lit, puisque mon amante prend le contrôle de la situation ce qui est loin de me déplaire. Au contraire, j’aime quand elle se montre autoritaire, voir même féroce.

J’mérite une punition parce que je suis une bien vilaine fille. Oh oui ! Je le suis et je l’assume totalement.  Apolline se positionne sur moi, ses jambes de part et d’autres de la mienne. La douceur de son entre jambe chaude caresse mon épiderme devenue ultra sensible tant mes sens sont à l’affût.

- Oh ! Je mérite bien une punition chérie. J’ai été si vilaine que je crains que la fessée ne soit la seule option.

Je déboutonne mon short puis, me dégageant doucement de mon amie,  je me redresse sur le lit le temps de retirer le vêtement devenue superflu.  Je suis en soutien-gorge et en petite culotte sur le lit d’Apolline, prenant la pose sexy et aguichante devant le pauvre homme immobile.

Je me retourne enfin, à  4 pattes,  mes fesses à la disposition de la guitariste, afin de recevoir mon châtiment.  Je caresse d’une main, mon postérieur tout en me mordillant la lèvre inférieur. Apolline ne sera pas en reste quand son tour viendra. J’ai envie de la mordiller, de la goûter, en entier.  Tout ceci n’est que prémisse d’une nuit d’extase et de plaisirs.  

@ Billy Lighter

Apolline se mettait à la place de John, leur ami attaché à sa coiffeuse et elle se dit qu'elle n'aimerait pas être à la place, être là, assise et attachée, alors que devant elle se joue un merveilleux spectacle dans lequel elle aimerait participé. Cependant, les lèvres de Bailey était revenu vers elle et la passion ainsi que le désir était revenu en elle pour passer en priorité.

La jeune femme se met au dessus d'elle, à quatre patte car elle méritait une punition selon elle, ses mouvements traduisent clairement la sexualité, le désir et la passion. Apolline caressa les fesses de Bailey avant de lui enlever sa culotte et lui mettre une petite claque, petite mais assez forte pour que John l'entende claquer. Elle vint embrasser l'un de ses fesses, puis l'autre, avant  faire coucher Bailey sur le ventre pour venir s'occuper de ses fesses avec ses lèvres. Après quelques baiser, la chanteuse guitariste retourna sa copine pour voir sa poitrine encore dans son sous-vêtement mais son intimité humide bien en vu.

Apolline esquissa un sourire avant d'enlever les dernière couches de tissus pour se retrouvé nue devant Bailey. Elle vint ensuite se coucher contre elle, venant s'occuper de ses seins, les malaxant et les prenant en bouche pour jouer de ses tétons durcis. "Tu m'excites tellement Bailey..." lâcha-t-elle dans un soupire désireux. Passant sa langue entre ses seins, elle descend doucement jusqu'à son intimité pour venir jouer avec , de sa la langue. Ses mains, elle les laisse en hauteur pour venir masser ses seins généreux.

@ Billy Lighter

Il n’y a rien de plus doux que les mains d’Apolline sur mon corps. Même la petite claque qu’elle me donne sur les fesses et qui me fais fermer les yeux l’espace d’une seconde est d’une délicieuse fermeté. Les lèvres de la guitariste viennent s’apposer contre mes fesses me soutirant de frêles gémissements.

L’excitation est à son comble quand elle me retourne sur le dos pour offrir la douceur de ses caresses à mes seins. Je la regarde avec toute l’envie pour elle qui me ronge. Personne ne pourrait résister au charme qu’elle dégage.

Je ferme les yeux quand sa langue parcours mon corps pour terminer son exploration entre mes cuisses. Je pousse quelques gémissements plus puissants. Le plaisir est incomparable à aucun autre. Il n’y a qu’une femme pour savoir exactement ce qu’une autre femme veut. Et Apolline connait mieux que quiconque les points sensibles de mon corps.

Mes mains se perdent dans les cheveux soyeux de mon amie, sous le regard plus qu’envieux du pauvre homme toujours attaché sur la chaise. Je ne m’en préoccupe plus. Il n’existe plus. Il n’y a que moi, et l’Écossaise et sa langue qui investit avec beaucoup de minutie ma féminité.

Ses gestes sont précis. Elle ne laisse rien au hasard. J’appuie  sans vraiment m’en rendre compte sur sa tête quand je me sens tout prêt de l’extase. Les muscles de mon ventre se contractent tous alors que mes hanches se cambrent.

Mes mains délaissent les cheveux d’Apolline pour venir s’enfoncer dans le matelas alors que j’exprime ma jouissance en appelant les Dieux. C’est comme un coup de tonnerre venu me frapper de pleins fouets.

Ma respiration n’est qu’un souffle court et rapide. Et j’éclate de rire, frissonnant  contre le corps de déesse de mon amante.

- Toi alors ! Tu perds rien pour attendre !

J’ai envie de lui rendre au centuple les sensations qu’elle m’a procurées. Je veux la caresser, l’embrasser en entier. Lécher son corps sucré en sa totalité. Lui exprimer le meilleur de mes sentiments en vénérant sa beauté.

Je l’enlace pour l’attirer contre moi l’embrassant longuement, ma langue bousculant la sienne.  Mes mains viennent sur ses fesses pour la retenir tout contre moi, nos poitrines se pressent l’une contre l’autre.

Je ne me suis pas rendu compte que l’homme s’est défait de ses liens pour nous rejoindre. Je suis ailleurs. Sur mon nuage rose.  Je ne fais plus la différence entre ses mains ou celle d’Apolline. Sa chaleur ou la sienne. Nous sommes que des corps, nus, à la recherche du plaisir.

@ Billy Lighter

Apolline avait toujours été provocatrice quand elle était au lit, enfin, surtout avec Bailey...En fait, elle l'était qu'avec elle...De toute façon, même si ce n'était pas vrai, elle ne pourrait même pas l'avouer car elle était bien trop obsédée par celle-ci en ce moment. Elle aimait tout chez elle, ses yeux, sa bouche , ses seins et ses fesses si douces. Elle savait que bien des hommes passaient par là, la touchaient mais elle savait qu'aucun d'entre eux n'était comme elle l'était avec la catin. Apolline était unique pour Bailey.

Plus rien n'existe autour de ce lit sur lequel elles sont, Il n'y a que Bailey et le plaisir que l'écossaise voulait lui donner. Elle était douée avec sa langue, elle n'avait aucun doute là dessus, surtout que la jeune femme lui faisait entendre raison avec ses cambrements et ses doux gémissements. Coquine, Apolline voulait la pousser à bout si bien que l'extase était arrivé rapidement. Elle avait sentit la main de celle-ci dans ses cheveux noir et elle en avait profiter pour jouer encore plus de sa langue pour la prolonger dans le plaisir. Apolline sentait Bailey se détendre, sa respiration se calmer alors qu'elle avait arrêter sa délicieuse torture. Elle avait rit en regardant d'un air provocateur sa copine pour la nuit. "Je n'attend que ça ...Que tu me punisse de cette torture que je t'ai infliger." avait-elle dit d'une voix suave.

Bailey avait alors commencer à excité encore plus l'écossaise, alors qu'elle sentait ses mains sur ses fesses et ses seins contres les siens, elle sentit un sexe en érection derrière elle, contre ses fesses ce qui lui arracha un soupir. "Le petit coquin à réussis à s'échapper..." avait-elle annoncer d'un air taquin alors que les mains de l'hommes malaxaient les seins de Bailey. Apolline continuait d'embrasser sa copine, elle savait qu'une bonne nuit l'attendait avec les deux sexes.

L'homme se pressa d'avantage contre les fesses d'Apolline, il était nu lui aussi et Apolline était alors prise en sandwich, cela ne la dérangeait pas, au contraire, elle était du genre à aimer se sentir prisonnière, à la merci de ses aventures d'une nuit.

@ Billy Lighter

Au moment ou John nous rejoins, je perds complètement le fil des gestes que nous posons. Tout  devient démens, délicieusement intense  et  carrément démesuré.  L’homme  a assez d’agilité pour combler nos deux corps brûlants, passant de l’une à l’autre selon le gré de l’échange.

Les soupirs s’envolent dans la pièce alors que le plaisir atteint un paroxysme inégalé.  J’embrasse Apolline fougueusement tout en lui caressant les seins  alors que John y va de longs et suaves va et viens en elle.

J’aime savoir – et voir – tout le plaisir que se prend Apolline alors que nous sommes deux à assouvir ses fantasmes les plus intimes.

John s’arrête, reprenant son souffle et pour laisser redescendre un peu l’imminence de sa jouissance. Le type  veut vraiment  tout vivre, tout goûter ce soir. Il ne pouvait pas mieux tomber en suivant  l’Écossaise et moi, la pute de L.A.

Je me sens tiré vers l’avant alors qu’on écarte mes cuisses et qu’on s’y insère sans demander la permission. Je cherche encore les lèvres d’Apolline, laissant échapper quelques gémissements  qui se perdent parmi ceux des deux autres participants.

C’est une folie délicieuse qui s’empare de moi, jusqu’à ce que j’en tremble, que je succombe et me libère dans une explosion  volcanique.

- J’en peux plus ! , hurlais-je alors que John termine manuellement sa besogne.

Je viens me blottir contre Apolline, embrassant son épiderme sucrée et moite, soupirant dans le creux de son cou, complètement rassasiée.

Il n’y a qu’avec elle que l’ivresse charnelle est meilleure que celle en bouteille. Il n’y a qu’avec elle que je laisse libre cours à autant de folie, pour une fois, corporelle et non psychologique.

Je l’attire contre moi, ignorant de nouveau complètement le pantin masculin, ne voulant que me retrouver sous le corps chaud et confortable d’Apolline, sentant nos cœurs battre au même rythme.  Notre complicité va bien au-delà de l’acte sexuel.

- J’ai faim !, déclarais-je avant d’éclater de rire.

Après autant d’énergie brûlée, il faut bien  en fabriquer de nouvelles. Rien de mieux qu’un gueuleton en pleine nuit, servit par un cuisiner complètement nu, qui plus est pour  booster une femme en pleine effervescence.

Je viens mordre gentiment la lèvre inférieure d’Apolline en lui murmurant à quel point, comme toujours elle est belle et excitante quand elle est nue. Et que la cerise sur le gâteau serait bien entendu de savourer des plats chinois, nue, au lit avec elle, et accessoirement, avec John.

@ Billy Lighter

Le moment est chaud, et ma tête d'Apolline lui tourne tant tout est devenu intense d'un seul coup. Elle soupire des gestes de Bailey et gémit de sentir John s'occuper d'elle. Elle ne sait plus où donner de la tête, embrassant et prolongeant les baisers de Bailey d'une façon tout aussi fougueuse de sauvage. Elle atteint le septième grâce aux deux personnes à ses côtés. Le corps brûlant et des spasmes se faufilant dans son corps, elle ferme les yeux un instant pour se calmer.

Mais le moment n'est pas terminé, c'est au tour de Bailey de succomber au plaisir de l'homme, Apolline l'accompagne tout du long, venant embrasser avec passion les lèvres de celles-lci. Elle l'a sent commencé à partir et elle vient embrasser ses seins qui pointent vers le ciel tant le plaisir est à son summum. Apolline, elle adore entendre sa copine crier ainsi. Alors que l'homme  termine tranquillement, Apolline prend dans ses bras la blonde, embrassant sa tempe.

Après un gémissement de John, le silence arrive dans la pièce. Bailey est contre Apolline qui reprend encore son souffle de cette partie à trois. Elle ferme les yeux tandis que L'homme se sent un peu de trop, il n'a pas envie de rester et Apolline ne le laisserait pas rester, il fait ce qu'il veut, le désir qu'elle avait pour lui était parti avec sa jouissance. Elle entend Bailey et explose de rire. "T'as toujours faim je te signal!" John se relève et se rhabille, indiquant qu'il s'en va, qu'il a autre chose à faire, comme aller voir sa femme. Apolline lève un sourcil, ça faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé ce genre de chose...

Elle sourit à ce mordillement que Bailey vient lui faire, elle entend la porte claquer, l'homme est partie et cette idée de restée seule avec la blonde ne lui déplaît pas vraiment. Elle prend le téléphone sans dire quoi que ce soit à sa copine et compose le numéros du restaurant chinois qui était en face de chez elle. Elle commande une quantité astronomique de chose et raccroche. "Le livreur arrive dans 10 minutes." elle embrassa doucement sa copine avant de se redressé un peu. "Reste cette nuit, s'il te plait. "

@ Billy Lighter

C’est dans les bras d’Apolline que je trouve refuge après tant d’intensité. Mon corps n’en peut plus de toute cette délicieuse stimulation et ne demande qu’à se reposer. Je ne fais aucun cas de l’homme qui se rhabille pour quitter la pièce,  puis l’appartement.

Il ne fut qu’un divertissement comme un autre et s’il n’a pas eu la décence minimal pour nous remercier pour l’excellent moment passé en notre compagnie, il ne mérite pas que nous le raccompagnions jusqu’à la porte.

- N’appel pas, on t’appellera !  

Je pourrais facilement rester toute la nuit lover contre le contre le corps gracieux d’Apolline. J’aime, après le sexe, pouvoir continuer de la caresser et de l’embrasser au gré de ma fantaisie.

Si je ne suis pas, bien sûr, trahie par mon estomac qui crie famine ! Je n’y peux rien ! J’suis une grosse flemmarde gourmande qui  doit compenser ma baisse d’énergie en  nourrissant la machine !

Apolline, complice comme toujours, ne fait ni une ni deux et compose le numéro du traiteur chinois juste en face. La commande est indécente, tout comme ce que nous venons de faire. Y’a de quoi nourrir  le Dizzy au grand complet ! Ça me va ! Je n’ai jamais eu peur d’engloutir des tonnes de nourriture, surtout en aussi bonne compagnie.

- 10 minutes… et faudra s’habiller pour le recevoir… naaaa j’ai trop la flemme pour ça !

De toute façon il n’y a pas plus beaux habits que celui dans lequel nous venons au monde !  J’irai moi-même lui ouvrir dans mon plus simple appareil.

Je me retourne sur le ventre pour regarder Apolline et lui embrasser le bout de son petit nez.

- Reste cette nuit, s’il te plait.

- Je n’avais pas l’intention de partir de toute façon…

Je lui souris doucement, car à sa demande, elle me montre une fois de plus à quel point nous nous ressemblons. Se retrouver seule avec ses pensées n’est jamais agréable pour elle comme pour moi. Si, cependant, elle arrive parfois à mettre des mots sur des mélodies,  moi, en général, j’fini par arpenter les rues dans l’espoir d’accrocher un nouveau passe-temps.

Chacun son truc.

Mais cette nuit, c’est avec elle que je dormirai. C’est d’elle que je rêverai.

@ Billy Lighter