Nom: Marlowe
Prénom: Alexander
Age: 20 ans
Origine: Né le 18 Mars 1961
Avatar: George Harrison
Liens et relations: Personne. Il vient en effet de débarquer à L.A.
Style de musique: Rock, Punk
Instruments : Guitares électriques et acoustiques, claviers, saxophone, harmonica
Particularités : Tatouage en forme d'aigle sur l'omoplate gauche. Alexander a également un tatouage sur le nombril qui représente un ours blanc habillé d'une casquette et de lunettes de soleil.
Maison de disque désirée: MTI
Description physique: ''Mon physique ? Si j'aime mon physique ? Franchement, vous connaissez la réponse, non ? Comment ne pourrais-je pas aimer mon physique ? Bon, si vous voulez une description physique de moi-même à la fois neutre et vraie, alors je vais laisser mes meilleurs amis parler de moi, hein ? Les amis que j'avais à New-York, ma ville natale, bien sûr.'' : Alexander est un beau mec, c'est sûr, et le pire c'est qu'il en profite. Il arrive à se mettre en valeur comme il faut, même s'il n'en a pas vraiment besoin. Alexander est un homme élégant. Il mesure environ un mètre quatre-vingt pour soixante kilos ; un mec aux proportions normales, en fait, bien qu'un peu maigre, il est vrai. On disait qu'il est élégant ; cela se voit par son style vestimentaire très classe, à la fois chic et décontracté : complet noir ou bleu marine, costume cravate de couleur sombre, parfois il ose même mettre des accessoires plus fantasques ou des chapeaux hauts de formes - ce qui contraste avec le style violent, parfois brutal qu'il a sur scène et, heureusement, beaucoup moins dans la vie. Sinon, euh, bon, c'est un mec avec son style à lui : cheveux toujours très longs mais soignés, tenues toujours impeccablement repassées, tout ça.
Caractère: Alexander ? Bah, il a un caractère bizarre. Il est très lunatique, inconstant, on ne sait jamais vraiment comment il va réagir à un événement. C'est embêtant parfois, parce qu'à cause de cela, on ne peut pas prévoir s'il va donner un coup de poing dans la tronche de quelqu'un ou bien s'il va se mettre en retrait, les larmes aux yeux. Sérieusement, il est bizarre. Souvent, il est en permanence en colère, et dans ce cas, mieux vaut avoir une bonne raison pour le déranger dans ses activités favorites, parce qu'il n'hésite à envoyer se faire mettre quelqu'un qu'il n'apprécie pas, voire à s'en prendre à lui physiquement. Enfin... on dit ça, mais Alexander n'est pas un type méchant. Bien au contraire. C'est un type adorable avec ses amis, fidèle en amour, tout ça... il est loyal avec ceux qu'il apprécie, et c'est un mec adorable. Il en a toujours une bonne à raconter, et, la plupart du temps, c'est un fêtard invétéré et expérimenté qu'on veut tous avoir dans les fêtes qu'on organise - il suffit qu'il sorte sa guitare ou son harmonica pour qu'on passe une bonne soirée. Bref, Alexander est un garçon à la fois sombre et lumineux, lunatique et versatile, mais toujours franc et honnête. Et c'est tout ce qui compte.
Histoire:Extrait du journal d'Alexander: Le passé m'importe peu, et le futur est trop loin pour que je puisse y songer. Je ne suis pas du genre à m'apitoyer sur le sort des gens et encore moins sur le mien, mais il faut bien avouer que ma vie n'a pas été des plus brillantes. J'ai vingt ans aujourd'hui et je n'ai pas vécu assez bien, digne des gens comme moi, virtuoses et pouvant faire de grandes choses. Ma vie est marquée de tristes événements, mais des moments plus heureux sont venus par la suite, heureusement. Mes parents sont morts alors que je n'avais que huit ans, dans un stupide accident d'avion auquel j'ai, mystérieusement, réchappé, mais qui m'a laissé avec une phobie passagère qui a duré jusqu'à mes quinze ans. Premier événement marquant de ma vie, qui m'a forcé à aller vivre chez l'un de mes riches oncles, dans l'opulent quartier de Beverly Hills, à Los Angeles. Le point positif, c'est que cela m'a permit très tôt de me frotter aux puissants, aux riches de ce monde, à apprendre comment ils vivent et comment s'approcher d'eux - et il m'est peu à peu venu l'idée d'en devenir une. Mais par où commencer ? J'avais onze ans, aucun talent particulier, autre que ma voix et mes compétences à la guitare, que j'avais commencé trois ans auparavant, comme un gage d'oubli de la mort précoce de mes parents. Puis j'ai commencé à penser à m'y investir plus que jamais - on était en 1971, et le punk-rock était à son apogée. La musique et le rock étaient à la mode, et c'était une voix que je me devait d'essayer ; autant commencer tout de suite. S'ensuivirent trois ans de perfectionnement, d'apprentissage, de désillusions. Et puis une chute. Ou plutôt un accident, qui a faillit me coûter la vie. Un accident de voiture dramatique, qui a laissé moi et mon oncle dans le coma pendant deux mois. Et puis une longue convalescence, où j'avais l'impression d'être un raté, un minable, et que le destin s'acharnait sur moi - ce qui n'était peut-être pas complètement faux. Quoi qu'il en soit, je voyais mes rêves s'éloigner peu à peu en même temps que je passais du temps à jouer de la guitare et du saxophone, tout seul dans ma chambre d'hôpital, triste et morne comme une nuit noire sans lune et sans lumière. Puis j'ai pris mon destin et mes instruments en main, et me suis consacré entièrement à mon rêve : devenir une rockstar célèbre. Ma convalescence prit six mois, et j'en ressorti plus déterminé que jamais. Puis le temps est passé, les essais pour atteindre la gloire ce sont multipliés. Hellfire, Foxhunt, Duck My Sick, tels étaient les noms des groupes que j'ai formé sans succès, et qui n'a pas dépassé la rue en termes de succès. L'aventure n'a jamais duré bien longtemps, mais me voilà de retour, à mon plus haut niveau, et prêt à, tout pour accomplir mon rêve.
Rock On