Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé]
Angelica J. Litrell
Invité
Sujet: Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé] Ven 12 Avr - 3:17
Complicated Love, Easy Violence ft. Edward Fleming
Tout y passe.
Des tasses aux assiettes en passant par le ketchup qui traînait encore sur la table mais tout sert de projectile en ce moment ou je déborde de rage parce que je sais très bien que mon petit ami me ment effrontément alors que je l’ai très bien vu embrasser à pleine bouche cette connasse de Kimberley !
Mon petit appartement aurait été sinistré par une tornade qu’il ne serait pas plus sans dessus dessous mais je n’en ai rien à faire je suis à ce point aveuglée de colère que rien ne m’empêchera de le lui faire comprendre.
Même pas les voisins qui frappent dans les murs parce qu’on fait quand même un putain de boucan et que la police va probablement débarquer d’instant à l’autre, encore. J’en ai rien à faire, et puis de toute façon ils n’ont pas intérêt à venir m’emmerder ce soir ! Surtout pas le gros d’en haut ! Est-ce que je me plain moi quand il s’assied sur son canapé du salon et que les ondes de vibration qu’il produit menacent de faire tomber le luminaire ? Je crois pas, non ! Et l’autre folle aux chats d’à côté ? Il se pourrait bien que quelqu’un oublie de fermer la porte arrière de l’immeuble un de ces quatre. Ça serait triste que ses matous disparaissent.
- J’en reviens pas que tu reviennes ici comme si de rien était et que tu oses me dire qu’il ne s’est rien passé alors que je t’ai très bien vu l’embrasser ! Tu es un salaud Ward ! Tu m’entends ? Un n’es rien de plus qu’un salaud !
C’est un cendrier que je tiens maintenant en main et que je lui balance mais malheureusement, je le rate et l’objet volant très bien identifié va éclater le carreau de la fenêtre et l’éclate avant de finir son vol, ou plutôt sa chute de six étages, sur quelque chose.
- Oh… Bordel !
Je viens peut-être de tuer quelqu’un !
Je regarde Ward, complètement interloquée puis je m’avance vers la fenêtre pour regarder discrètement en bas. Tout va bien ! Je n’ai tué personne mais j’ai cabossé le capo d’une mustang rouge feu.
- Dis, t’es venu en mustang ?
Parce que ça serait jouissif quand même et ce serait de bonne guerre ! Tu me blesse, je te blesse, aussi simple que ça. Et même, je te le rends au centuple parce que ça ne se fait pas de jouer avec les sentiments d’une femme, surtout pas quand cette femme c’est moi.
C’est pas tout mais ça épuise de se foutre en rogne comme ça ! Et la distraction du cendrier m’a fait perdre le fil de mes insultes.
- Je vais prendre une douche ! Tu viens ?
Avant même qu’il ne me réponde, je retire mon t-shirt et fait glisser mon jeans puis je traverse la pièce en laissant tomber mon soutien-gorge sur mon chemin, au travers de tout ce qui jonche le sol, ce n’est pas un morceau de dentelle qui va faire une grosse différence.
Je sais qu’il va me rejoindre.
Jamais il n’a refusé une partie de jambe en l’air, surtout pas après une querelle. Au contraire, je sais qu’il est maintenant autant excité que moi, voir plus et c’est ce qui rend toujours l’expérience grandiose.
À peine m’a-t-il rejoins dans la salle de bain que je le gifle à m’en engourdir la main et, rigolant presque aux larmes, je me rabaisse devant lui, descendant son pantalon et boxer et lui montrer avec ma bouche, ce que je ne saurai jamais lui dire avec des mots.
La colère laisse rapidement place à la passion.
Je ne fais qu’une bouchée, bien sûr c’est une façon de parler, de Ward et, quand je le sens sur le point de craquer, je me relève et entre sous l’eau.
- Tu mérites pas que je continu !
Nous y sommes. Il va exploser et ça va faire mal ! Je l'ai poussé à bout, je l'ai tenu aussi longtemps que j'ai pu au point où j'ai cru que sa patience déjà limite allait le faire explosé mais il a tenu le coup.
Putain, ça va être bon je le sens !
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Je l’avais fait mais elle n’était rien pour moi. Mais si je disais ce genre de phrase, la colère d’A.J. allait être incontrôlable et elle allait partir en claquant la porte. Alors, je préférais nier même si elle répétait sans cesse qu’elle m’avait vu.
Elle balançait des objets que j’évitai avec un air blasé qui, j’en étais sûr, n’arrangeait pas mon cas. Que fallait-il que je lui dise ? Elle n’allait pas s’arrêté tant qu’elle aura encore de l’énergie.
Et elle était dure à fatiguer…
Je me fichais de l’énervement des voisins. J’étais bien trop concentré à éviter tous les objets que me lançait une A.J. enragée. Elle s’énervait et criait que j’étais un salaud.
-Tu as mal vu…
Ma voix restait calme, tout aussi blasée que mon visage. Jusqu’à-ce que A.J. s’empare d’un cendrier qu’elle envoya vers moi. Je l’évitai mais le cendrier alla éclater le carreau et fit un drôle de bruit en tombant sur ce qui semblait être de la tôle. Un frisson parcouru mon corps. Pas le genre de frisson agréable. Non… Plutôt celui qui annonçait un coup de sang.
A.J. s’arrêta d’un coup l’air interdit et elle s’avança vers la fenêtre alors que, moi, je savais très bien ce que le cendrier venait de percuter. Je jetai un œil par la fenêtre… Je n’aurais pas dû parce que ça venait de confirmer ce que je pensais.
Et, A.J., demanda si j’étais venu en Mustang parce que le cendrier venait de cabosser la Mustang garée en bas.
-Oui… Une toute nouvelle Mustang.
Je disais ça en la foudroyant d’un regard froid alors que mon ton se collait parfaitement à mon regard.
J’aurais dû la balancer par la fenêtre…
J’y ai pensé…
Mais finalement, je me suis retenu.
Mon cœur s’était accéléré alors que ma colère ne faisait que grimper en flèche. Mais A.J. avait l’art de changer de sujet du tout au tout et quand elle me proposa une douche tout en se déshabillant, je finis par oublié mon envie de lui faire faire un vol plané bien mérité.
Je la suivi enlevant mon t-shirt au passage alors que je lorgnais sur ses courbes. Je savais ce qui nous attendait et j’en avais envie. J’en avais d’autant plus envie depuis que ma Mustang était bonne pour le garage.
Je la rejoignis et elle me gifla avec une telle force que ça explosa ma lèvre inférieure. Je restai un moment la tête tournée avant de doucement la tournée pour reposer mon regard sur A.J.. J’avais la haine. Elle pouvait facilement le voir. Mais je savais que chacune de ses attaques était destinées à m’amener à la limite.
Je l’aimais pour ça.
Je la détestais pour ça.
Je passai ma langue sur ma lèvre pour enlever le sang alors qu’elle rigolait. J’allais lui rendre la pareille mais elle descendit emportant mon pantalon et mon boxer avec elle.
Je fermai les yeux passant mes mains dans ses cheveux et faisant des allée et venue pour amplifier les choses.
Elle était enfin décidée à enterrer la hache de guerre ? Non… C’était trop facile…
Pourtant, je le crus tellement le plaisir montait et que j’étais sur le point de craquer. Mais elle s’arrêta alors que j’étais au bord de la rupture. Elle disait que je ne le méritais pas et se dirigea sous l’eau de la douche.
Mon sang ne fit qu’un tour et, cette fois, j’explosai la suivant dans la douche pour la prendre par la nuque d’une main et frapper sa joue contre la paroi de la douche. Je continuai de serrer au niveau de sa nuque pour lui dire en sifflant entre mes dents. -Tu as explosé ma Mustang, bébé…
Je continuai à de faire pression sur sa nuque la maintenant contre la paroi.
Je tirai sur ses cheveux de ma main libre faisant légèrement tourner sa tête vers moi alors que mon corps était collé au sien. Je l’embrassai au bord des lèvres avant de violemment la faire se retourner plaquant son dos contre la paroi pour l’embrasser passionnément avant de mordre jusqu’à sang sa lèvre.
Ma main descendis le long de son flanc y laissant des marque ensanglantée tellement je plantais mes doigts dans sa peau. Tout ça en l’embrassant encore jusqu’à ce que sans crier gare et avec mon « infinie douceur », mes doigts trouvent le chemin pour que le plaisir se mélange à la douleur qu’elle devait ressentir.
Kimberley n’était rien… Parce que Kimberley n’était pas comme A.J… Elle, elle était uniquement. Il n’y en avait pas deux comme elle. Et je l’aimais.
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé] Mar 16 Avr - 21:07
Complicated Love, Easy Violence ft. Edward Fleming
Cette querelle a atteint un certain équilibre. Ward m’a vraiment fait chier en couchant avec cette greluche de Kimberley et moi, je viens de lui défoncer le pare-brise de sa soit disant nouvelle mustang.
Vous pariez combien qu’il l’a volée ?
Je suis prête à passer à autre chose maintenant que je n’ai plus forcément de munition et que l’appartement est sans dessus dessous. Ça donne chaud et j’ai besoin de me détendre, quoi de mieux donc qu’une douche à deux pour pouvoir mieux remettre ça, par la suite ? Ward est ce genre d’homme qui utilise son sexe pour penser. La preuve étant qu’il ne résiste pas à ma parade à moitié nue dans l’appartement et qu’il me suit jusque dans la salle de bain.
J’ai besoin d’être surprise et il le sait ! Rien de mieux qu’une gifle bien cinglante pour lui remettre le pendule à l’heure ! Le sang qui coule de sa lèvre que je viens de lui fendre me fait marrer. Il est trop prévisible. Je n’ai besoin que de m’abaisser au niveau de son intelligence pour qu’on puisse enfin être sur l même longueur d’onde.
Je suis tenté de le mordre mais je me priverais par le fait même de mon jouet favoris, ce serait vraiment dommage surtout que je sens que mes efforts sont sur le point de payer, surtout si j’en juge par les mouvements de hanches qu’il m’offre.
Il me rend la tâche beaucoup trop facile, presque même ennuyante ce qui me pousse à me lever et entrer sous l’eau au moment où je le savais sur le point de craquer. Il doit me mériter ! Je ne suis pas n’importe qui !
Et c’est là, qu’enfin, il réagit !
Ward gronde puis me frappe le visage contre la paroi de la joue. Je suis presque certaine qu’il m’a éclaté la pommette. J’en ai mal aux dents ! Sa poigne me serre la nuque avec fureur et tout ce qu’il trouve à dire c’est que je lui ai explosé sa mustang ?
- Ouais ! Et je regrette que tu n’aies pas été dedans !
Il me fit ensuite pivoter et me mordit la lèvre jusqu’au sang. Tous deux la lèvre éclatée, nous mêlons notre sang aussi sûrement que notre salive alors que l’eau au fond de la douche prend une teinte légèrement teinté de rose. Il m’a griffé au sang, bel enculé !, juste avant de me doigté avec autant de rage que de passion. Je peux sentir ses ongles écorcher ma chair intime, me lacérer sous ses passages frénétiques.
- Fait ça comme un homme ! T’es un homme au moins, hein, Ward ?
Je lui empoigne le poignet et le force encore plus entre mes cuisses. Mon intimité brûle comme du feu, je suis excité au possible pourtant, avec ses manœuvres endiablé, je m’assèche comme le désert du Sahara.
- Prends-moi, maintenant !
Que ça fasse mal, que ça égratigne.
Je le repousse pour grimper à lui, l’embrasser furieusement, lui mordant langue et lèvre et, me retenant d’un bras autour de son cou, glisse l’autre entre nous deux pour guider à moi son sexe aussi dure que le béton. Je pousse un cri, je lui enfonce les ongles dans le cou puis je le regarde dans les yeux riant aux éclats.
- T’es le pire connard, mais tu baises comme un dieu !
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé] Jeu 18 Avr - 9:23
Complicate Love, Easy Violence ft. A.J. Litrell
Je n’étais pas assez satisfait quand je sentis sa figure frapper violemment la paroi. Ce n’était pas assez que pour lui faire comprendre que je n’avais pas forcément aimé qu’elle s’en prenne (même sans le faire exprès) à ma toute nouvelle Mustang.
Et quand je lui fis part de ça, elle déclara qu’elle regrettait que je n’avais pas été dedans. A.J. était une garce, une moins que rien, une cinglé… Mais elle était à moi et je l’aimais.
Je la fis alors pivoter violemment comme réponse à sa provocation. Elle aimait faire la maligne, A.J.. Elle adorait me rabaisser autant que j’aimais le lui faire regretter. Je l’embrassai non sans faire couler son sang au point que l’eau devint rosée. Mais je ne m’arrêtai pas là y aller chaque fois plus fort alors qu’A.J., elle, ne voulait décidément pas la fermer.
Elle aimait causer dans ces moments-là alors que moi, c’était tout le contraire. En vrai, dans notre relation en général, elle aimait causer et moi j’aimais agir. Pas besoin de répondre à sa provocation par les mots, de toute façon, j’y répondrais par des gestes.
Elle prit mon poignet pour accentuer mon geste alors qu’elle en voulait plus. Mais A.J. était A.J. et elle vint chercher le « plus » elle-même. Elle grimpa sur moi venant m’embrasser ou plutôt me mordre. Je lui rendis ses morsures plus forts encore avant de gémir contre ses lèvres quand elle prit mon sexe pour obtenir ce qu’elle voulait. Pas besoin de plus pour nous unir alors qu’elle cria m’arracha un frisson provoqué par la douleur et le plaisir quand elle enfonça ses ongles acérés dans la peau de mon cou.
Garce…
Elle va me le payer même si elle m’insultait tout en me complimentant. -T’as encore rien vu…
C’est certainement les seuls mots qu’elle entendra… Je la plaquai à nouveau contre la paroi assez violemment que pour que son dos soit marqué d’un bleu demain. Ça ne sera pas le seul…
Je commençai des coups de reins sans retenue l’embrassant encore tout en endommageant encore plus sa lèvre déjà meurtrie. Elle était toute petite pour moi et légère comme une plume. Alors c’était facile de tenir cette position. J’avais une main qui soutenait sa cuisse alors que je portai l’autre à son cou. Elle aimait parler pour dire des conneries… J’allais lui en faire passer l’envie. Je commençai à serrer son cou tout en continuant mes coups de rein la faisant chaque fois heurter la paroi. Ma respiration s’emballait alors que je serrai plus fort. Je n’arrivais pas à lâcher… Ce n’est que quand elle commença à vraiment suffoquer que je trouvai la force de lâcher son cou avant d’y aller plus fort, accélérant et sentant le plaisir monter jusqu’à exploser en elle.
Je ralentis laissant tomber ma figure dans le creux de son cou maintenant marqué de rouge. Je reprenais mon souffle l’eau coulant toujours.
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé] Dim 21 Avr - 21:18
Complicated Love, Easy Violence ft. Edward Fleming
Ma pommette irradie de douleur. Je suis certaine qu’il m’a pété quelques dents; j’ai un goût ferreux intense dans la bouche. Je n’ai pas le temps de vérifier avant qu’il ne me retourner et me montre enfin un peu de sa fougue.
Mais ce n’est pas suffisant !
Il m’a habitué à beaucoup plus de passion violente que ce qu’il ne me montre en ce moment. En fait, j’ai l’impression d’avoir affaire à une pâle imitation de mon petit ami. Je dois forcer sa main entre mes cuisses puis, après un petit moment, et surtout parce que je ne voudrais pas m’endormir d’ennui, je me hisse la lui et le guide à moi.
Son sexe n’a pas atteint l’état de grâce que j’espérais mais ça ne l’empêche pas de me pénétrer puis, de me plaquer, dos contre la paroi de la douche ce qui m’arrache un cri de douleur, suivi d’un grand éclat de rire.
- Enfin !!
Il me retient très fort en pressant son torse contre moi et en m’empoignant d’une même ferme sur la cuisse et l’autre, sur ma gorge qu’il serre de plus en plus fort. L’air passe avec difficulté au point où je commence à sentir les engourdissements provoqué par le manque d’oxygène. Je pousse sur son visage d’une main, je grogne comme je le peux mais je perds en force aussi sûrement que l’air se fait rare. Et lorsqu’il me lâche, je retombe mollement sur lui, toujours maintenu contre le mur de porcelaine par la pression de son corps contre le mien.
Je vois plein de points blancs et noirs danser devant mes yeux et j’ai la nausée.
- C’est bon, Ward !! T’arrête surtout pas !!
Ma voix est brisée par l’étranglement, je devrai porter un foulard, sans aucun doute, pour cacher les marques de ses doigts sur ma peau délicate. L’orgasme n’aurait pas été aussi bon sans quelques légères griffures.
L’amour qui ne laisse pas de marque n’est pas de l’amour !
Edward respire au creux de mon cou, la salle de bain est emplie de brouillard due à la vapeur d’eau.
- Si tu n’avais pas couché avec elle, tu n’aurais pas mis trois plombes à me faire jouir.
Les autres femmes ne savent pas encaisser les ardeurs d’Edward, les vraies ! C’est pour ça qu’il revient toujours vers moi, parce qu’il ne sait pas faire autrement qu’en faisant mal et j’adore avoir mal.
Les autres ne sont que des fleurs fanées, inodores, incolores.
Après coup, nous avons droit à un peu de tendresse. Quelques caresses sous l’eau qui devient petit à petit un peu plus froide, assez pour que je commence à claquer des dents et que l’envie de me réchauffer sous les draps me prenne.
- Je ne veux plus que tu me trompe, chaque fois ça me fait perdre la tête de colère, Edward.
Nous pourrions être heureux s’il ne se sentait pas le besoin de Flemingniser le monde entier ! Je retombe sur mes pieds, mes jambes encore molles et trace mon chemin d’un pas incertain jusque dans notre chambre, puis me laisse tomber sur le lit.
Mon cou me fait atrocement mal.
- Un jour, faudrait que tu serres jusqu’au bout, Ed !
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
J’avais failli aller trop loin… J’avais failli serrer jusqu’à-ce qu’elle ne bouge plus. Mais j’avais réussi à lâcher prise. Ça m’avait demandé beaucoup d’énergie mais j’avais réussi.
Ma rage, je l’avais alors mise dans les coups de reins alors que A.J. était à bout de force même si elle m’incitait à ne pas arrêter. Sa voix était endommagée par ce que je lui avais fait subir mais ça ne l’empêchait pas de gémir quand l’orgasme arriva nous emportant tous les deux.
Je respirais dans le cou meurtrit d’A.J.. Je reprenais mon souffle alors que l’eau emportait les traces du mal qu’on s’était fait l’un à l’autre juste par plaisir. Mais A.J. avait toujours son mot à dire et elle ne se privait jamais de le faire. Elle m’en voulait toujours d’avoir couché avec Kimberley. -Elle ne vaut rien…
Je soufflai ça dans son cou. Je ne coucherais plus jamais avec Kimberley parce que Kimberley avait maintenant la trouille. Elles finissent toutes par avoir la trouille.
Sauf A.J.
Je caressai doucement A.J. et elle fit me même ce qui me faisait frissonner. Des moments de tendresses comme ça il n’y en avait que quand A.J. était à bout de souffle.
Elle commençait à avoir froid mais ça ne l’empêcha pas de me dire de ne plus jamais la tromper. -Je sais… Je ne le ferais plus.
Ou je le ferais encore juste pour la mettre en colère. Juste pour qu’elle me montra ce côté qu’elle avait en elle et qui était si proche de ce que j’étais moi.
Elle retomba sur ses pieds et sortis de la douche pour rejoindre notre chambre en titubant presque. Je sortis à mon tour, me séchant un peu avant de la suivre. Elle s’était laissée tombée sur le lit et je l’avais rejoint ramenant les couvertures sur nous. Elle lâcha alors qu’un jour, il faudra que je serre jusqu’au bout. Je fermai les yeux les rouvrant tout aussi vite en poussant un soupire. J’étais prêt à lui dire de ne pas me tenter. Mais à la place, je me mis sur le flanc passant mes doigts dans ses cheveux encore mouillés. -Je m’ennuierais si je faisais ça, bébé.
Parce qu’A.J. n’avait pas d’équivalant dans ce monde ou alors, je ne l’avais pas encore trouvé.
Mes doigts descendirent dans son cou. Je passai sur ses marques bien rouges. C’était mon œuvre comme la plupart des cicatrices qui marquaient le corps d’A.J..
-Sans toi, ça serait pas pareil. Je t’aime.
Et pour le lui prouver, je l’embrassai longuement et langoureusement. Il n’y avait qu’elle qui comptait… Parce qu’il n’y avait qu’elle qui encaissait.
Complicated Love, Easy Violence ft. Edward Fleming
L’état dans lequel je me sens est indescriptible. Il y a quelque chose de complètement intense à frôler la mort en faisant l’amour, ça rend l’orgasme encore plus puissant. Pourtant, ce n’est pas encore assez. Je suis convaincu que Ward peut pousser un peu plus loin encore.
Je sais très bien qu’il me ment quand il me promet que plus jamais il ne me trompera mais je m’en fiche un peu. C’est également le but. Parce que chaque fois qu’on se blesse, on s’aime plus fort au point de vouloir s’entre tuer.
Quand il me rejoint dans le lit, ramenant les couvertures sur nous, j’entrelace tout ce qui peut l’être cherchant autant de sa chaleur que de sentir son sexe encore dur pousser contre mon bas ventre. Cette accalmie après l’orage est tout aussi nécessaire qu’elle me permet de me recentrer et lui dire que la prochaine fois, il devra serrer assez fort pour me faire perde connaissance, plus si c’est possible.
- Tu sais que tu le feras. Tu sais que je n’attends que ça.
Depuis longtemps que je lui répète. Tout ce jouera sur un très court délai entre le moment ou l’asphyxie me fera perdre connaissance et que mon cœur ralentira, celui où il atteindra l’orgasme puis le moment de me ranimer. C’est un truc complètement dingue, gore, mais à notre image, nous qui recherchons toujours plus de sensation forte.
Et au cas où, personne ne douterait que j’ai pu décider d’en finir.
- Je t’aime aussi, bébé.
Je l’aime, ça c’est certain. Même s’il me donne plus souvent qu’autrement des envies de meurtres et que la façon que nous avons de se montrer nos sentiments réciproques pourraient laisser croire le contraire.
Je me hisse sur lui que pour reposer ma tête contre son torse et fermer les yeux, traçant mes doigts tout le long de ses flancs jusqu’à me sentir lentement m’assoupir avant de relever la tête d’un coup vif, me faisant grimacer parce que le mouvement a ravivé la douleur de mon cou.
- Je ne saurai plus te sortir de narcotiques de la clinique. Ils commencent à avoir des soupçons et ouvrent l’œil. Il faudra attendre que ça se calme avant que je puisse recommencer à piger dans la pharmacie.
Ma colère envers sa partie de jambe ne l’air avec cette pétasse de Kimberley m’a fait oublier de petit détail. Je sais qu’il comptait sur moi mais il devra se débrouiller autrement. Je ne suis encore qu’une étudiante et le risque est beaucoup trop grand.
Dommage, ça se vendait plutôt bien et ça aidait plutôt à arrondir nos fins de mois. Je pourrais peut-être coucher avec mon directeur de stage, et lui, en tirerait des polaroïds. Je suis certaine que mon directeur de stage paierait fort pour éviter que ça se retrouve sur le bureau du recteur ou entre les mains de sa femme! Edward et moi, c’est ce qu’on fait le mieux, après se taper sur la gueule, se soutenir et se sortir du pétrin par tous les moyens possibles.
@ Billy Lighter
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé]
Page 1 sur 1
Complicated Love, Easy Violence [PV Edward Fleming][1975][HOT][Terminé]