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 C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!

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MessageSujet: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 23 Jan - 11:41

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Elle amenait son verre à ses lèvres et but son deuxième shot de vodka cul sec ! Voilà qui lui permettrait de bien commencer sa soirée dans ce bar qu'elle ne connaissait pas très bien. C'est vrai. Gaïana avait plutôt l'habitude du Stryge Bar ou du Dizzy Warhol. Mais soit, changer de temps en temps ne lui ferait pas de mal, que du contraire. Elle redéposait son verre sur le comptoir et regardait autour d'elle.

Maintenant qu'elle avait bu assez d'alcool, elle qui avait presque toujours besoin de prendre quelque chose pour s'amuser ou tenir le coup, tout simplement, elle pourrait se fondre dans la foule comme n'importe qui. Dommage que sa meilleure amie Carmen n'était pas venue. Elles étaient toutes les deux fort liées. Elles aimaient passé du bon temps ensemble mais depuis que Gaïana devait bosser chez Billy en journée, son amie semblait la délaisser un petit peu. Ou alors, la soviétique avait-elle besoin de faire autre chose ? De voir de nouvelles têtes, de nouveaux endroits pour se sentir bien ? Elle avait l'impression que le roux avait le don pour la mettre de mauvaise humeur et c'était réciproque. Vu comme ça pouvait péter dans l'appartement de Billy. Personne n'aurait voulu être à sa place. Gaïana avait l'impression qu'elle devenait tout aussi frustrée que lui, à force. Oui, peut-être aussi ça dont elle avait besoin. D'une petite soirée olé-olé pour évacuer tout ce stress qui la rongeait.

La jeune fille passa sa main dans ses cheveux bruns alors que son autre bras était accoudé au comptoir du bar. Elle se mordit la lèvre inférieur alors que son regard balayait la foule. Elle était venue seule, et il fallait qu'elle revienne accompagnée. Ou au moins, trouver quelqu'un, un garçon de préférence, de suffisamment mignon et intéressant pour passer la soirée avec elle. Sinon, ce serait un échec total. Et dans le monde des mecs, Gaïana n'essuyait pas de refus. Et hors de question que cela commence aujourd'hui ! Il devait bien y avoir un jeune homme beau et sans attache, ici ! Gaïana mourrait d'envie de se faufiler dans la foule avec quelqu'un à qui se coller et danser, comme une bitch.


Dernière édition par Gaïana Dugopoliac le Mer 12 Fév - 12:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 23 Jan - 13:49

J'étais nouveau dans cette ville. Enfin nouveau, oui et non. Cela faisait déjà quelques semaines que je trimballais mes bagages d'auberges de jeunesse en auberges de jeunesses puis que je les avais posées chez mon boss. Temporairement d'ailleurs. Oui car, mon boss en plus de cela était donc mon hôte mais aussi mon meilleur pote. J'avais de suite eu besoin de trouver du travail et par conséquent, je n'avais pas eu le temps de me pavaner, me promener sur les plages de la cité des anges ou faire des rencontres à foison. Bien sûr que je sortais, comment tenir autrement? D'ailleurs, heureusement que le café existait pour me tenir éveillé certaines journées au travail. J'avais fait quelques rencontres, mais des rencontres classiques de soirée, celles dont on ne se souvient généralement plus le lendemain, ayant déjà du mal à se rappeler de notre propre prénom.

Je voulais m'affranchir de mon boss, c'est d'ailleurs pour cela que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], même si c'était plutôt pratique, que je ne lui payais rien, je n'en pouvais plus, je voulais une colocation avec n'importe qui pour pouvoir me tisser un réseau. Après tout, pour les sorties, ça serait mieux, pour éventuellement trouver un autre travail aussi. Et puis merde, j'en avais marre, je sortais déjà régulièrement avec lui me bourrer la gueule et me glisser quelques rails dans les narines, j'en avais marre. C'est d'ailleurs pour cette raison que, ce soir, j'avais décidé de sortir seul. Adviendrait ce qu'il adviendrait, je me bourrerais la gueule c'était une certitude, je prendrais de la drogue ça en était également une et puis je rencontrerais forcément des gens. L'interrogation était donc sur le type de gens que je rencontrerais. Peu importe, j'avais l'intime conviction que je passerais une bonne soirée!

Mon look soigné était aux antipodes de ma façon d'être en soirée. J'avais un fort penchant pour l'alcool et la drogue, je ne le cachais pas, mais mon visage angélique et mon look propre sur soi faisait penser aux gens le contraire. Ce soir, je n'avais rien prévu de fou, simplement un t-shirt blanc, une chemise par dessus et un petit collier avec un pendentif. Allez savoir pourquoi, il avait beaucoup d'importance pour moi.

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Depuis mon arrivée, je n'étais pas retourné deux soirs de suite dans le même bar. C'était aussi peut-être la raison de ma "solitude". En effet, souvent les gens ont leurs habitudes et établissent leur quartier général dans tel ou tel bar. Pour moi au contraire, il s'agissait de tous les tester pour déterminer ceux qui me plairaient le plus et ceux dans lesquels je serais susceptible de retourner par la suite.
Ce soir là, j'avais bu quelques bières chez mon boss, on avait même fumer un bon gros joint bien chargé qui nous avait tapé sur le cerveau. Puis on avait bu à nouveau des bières en mangeant des restes d'une vieille pizza miteuse. De la grande gastronomie en somme. C'est seulement ensuite que j'avais décidé de m'éclipser. J'avais alors atterri devant un bar encore inconnu pour moi, The Rainbow. Naturellement en grand curieux, j'étais entré. À peine arrivé, je m'étais fait une place au comptoir, j'avais sorti un billet de ma poche, levé le bras et commandé un double jack sans glace. À peine servi, il finissait sa route d'un trait dans mon oesophage, lui donnant d'ailleurs une sensation d'incendie. Mais cette sensation s'était rapidement dissipé, la soirée était lancée, ce whisky m'avait mis dans l'ambiance, j'allais pouvoir m'amuser.
D'un air décidé, je sortais mes cigarettes. Mes poches étaient pleines. Dans l'arrière de mon pantalon usé, j'avais mon portefeuille, à gauche j'avais un sachet de poudre blanche et les clés de chez mon boss, à droite j'avais une petite fiole de whisky au cas où je serais en situation de famine et sans le moindre dollar dans la poche. Oui, j'étais quelqu'un de prévoyant, et généralement, cela servait, et pas qu'à moi. Quant à mes cigarettes et mon joli briquet, c'était dans la poche pectorale de ma chemise qu'elles se trouvaient. D'ailleurs en parlant de cigarettes, je tirais doucement sur celle que je venais d'allumer, recrachant la fumée tel un cow-boy, faisant un round d'observation dans ce bar où aucune tête familière n'étais présente.

J'avais envie de me poudrer le nez. Pas vraiment comme les filles le font à coup de maquillage, plutôt à l'aide d'un billet ou d'une paille que d'un pinceau. Je n'aimais pas le faire en public, ce n'était que très peu "légal" et parfois mal-vu. Étant donné que je ne connaissais pas l'établissement, je n'osais pas. Certes je commençais à être bourré, mais pas assez pour partir totalement en couilles. La poudre attendait, j'avais besoin d'un autre whisky, un autre double jack, un autre cul-sec qui me retournerait probablement le cerveau, chose qu'après tout, j'attendais de cette soirée. Je me décidais alors à commander ce dit-whisky, avant de le porter à la bouche, je tirais une dernière bouffée sur ma cigarette puis la jetais à mes pieds, décidant de l'écraser. Je pris le verre de whisky et sans réfléchir, transvasa le contenu du verre à ma gorge. WAOUH putain. Celui là il m'avait fait mal, tellement que j'en avais trébuché en arrière et que en étais tombé sur quelqu'un, ou quelque chose je n'en savais rien.

Je me retournais néanmoins au cas où je ferais face à un grand costaud pour m'excuser et éviter la bagarre si tôt dans la soirée, mais je me retrouvais face à une belle créature blonde, tatouée. Elle était accoudée au bar, juste à côté de moi, mais je n'y avais pas tellement prêté attention lors de mon tour du bar car elle était justement trop près de moi pour que je puisse l'apercevoir à l'horizon. Heureusement, je semblais ne pas lui avoir fait mal. Le double jack que je venais de m'enfiler explosait dans mon cerveau et alors que je secouais la tête pour que ces vapeurs se dissipent, je décidais de m'excuser, tout confus:

- Oups, désolé, j'espère sincèrement que je ne t'ai pas fait mal.

Je l'espérais. En tout cas, le whisky lui, m'avait fait mal. Deux consécutifs comme ça, ça aurait pu réveiller un mort! Je ne pus m'empêcher de tousser. Après avoir poliment mis ma main devant ma bouche, je la gratifiais d'un sourire tout en lui tendant ma main pour serrer la sienne.

- Moi c'est Andrew! Encore désolé, mais ce double-jack m'a fait l'effet d'une bombe! Je peux t'offrir quelque chose pour me faire pardonner?

Lui dis-je en souriant. Un sourire volontaire mais aussi forcé pour cacher le mal qu'avait provoqué ce double dans mon corps. La soirée commençait, et déjà une personne de rencontrée, mais probablement aussi, un verre de plus ingurgité. Fallait juste que celui-ci le soit moins rapidement, sinon la soirée risquait de tourner court. Et ça, il fallait l'éviter à tout prix car, la soirée ne faisait que commencer.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 23 Jan - 15:38

Alors que ses doigts parcouraient le comptoir au rythme de la musique du bar, la jeune fille tentait désespérément de trouver sa proie. Cela lui semblait peine perdue jusqu'au moment ou son voisin, qu'elle n'avait d'ici là pas encore remarqué, s'écroula sur elle. NON MAIS OH ! En plus que le jeune homme n'était décidément pas une plume ! Heureusement il se rattrapa et se tourna, tout de même pour voir à qui il aurait à faire. Oui, bonne idée car Gaïana avait bien envie de lui en foutre une d'avoir osé se comporter de la sorte avec elle! Seulement celle-ci resta immobile telle une statue en voyant le jeune homme en question se positionner face à elle. Waw ! Mais c'est qu'il était pas moche le maladroit !

La russe le regarda avec des yeux de tueuse, attendant tout de même d'avoir des excuses. Il avait beau être très mignon, Gaïana escomptait tout de même ne pas se laisser marcher sur les pieds. Pas question de pardonner des gens qui ne le méritaient pas ! Mais celui-ci s'exécuta parfaitement, amorçant par la même occasion une discussion. L'attitude de la jeune fille changea alors radicalement. Passant de la fille froide qui ne compte pas se laisser faire à une demoiselle plus chaleureuse et souriante.

« Ouais... Ca va. J'ai failli mourir écrasée mais c'est bon, je respire encore ! »

Oui, non... Ca a quand même été plus fort qu'elle de répondre un peu ironiquement. Ca lui arrivait de temps en temps, de vouloir montrer qu'elle avait un peu de caractère et qu'elle savait répondre. Mais le jeune homme ne se laissait pas impressionné, non sans avoir toussé avant, il continua la discussion et Gaïana en fut ravie. Il se dénommait Andrew. Bien joli nom, sonnant bien anglais. Pas de doute, il devait bien être américain. Décidément, elle devait être la seule soviétique dans ce pays ! Mais pas de quoi se plaindre, ses origines lui plaisaient.

Le sourire d'Andrew était charmant, aussi, la jeune fille y répondit par un autre sourire tout aussi plaisant alors que son regard se portait sur le visage de l'américain avec un intérêt prononcé.

« Et bien... Enchantée Andrew, moi c'est Gaïana. »

Elle passa sa langue sur ses lèvres en les pinçant pour les humidifier puis passa une seconde fois de la soirée ses mains dans ses cheveux pour déplacer une mèche brune rebelle alors qu'elle passait un rapide coup d'oeil autour d'elle. Visiblement, Andrew allait être un bon coup pour la soirée car il ne semblait pas y avoir d'autres personnes prêtes à lui adresser la parole ou qu'est-ce.

« Ce serait avec plaisir ! J'accepte tout ce qu'on m'offre ! »

Refuser que quelqu'un lui offre quelque chose ? Jamais ! Sauf si le mec était peut-être un peu trop bourru ou que c'eut été Billy, avec lequel elle se serait fort méfiée. Elle savait choisir les gens avec qui elle trainait mais Andrew lui semblait être un type bien, habillé raisonnablement alors qu'elle avait un penchant plutôt pour les mecs qui n'avaient pas froid aux yeux, un peu rebelles. Mais qui sait ? L'américain avait peut-être l'air brave sans forcément l'être ? Comme dit le proverbe, l'habit ne fait pas le moine.

« Maintenant... à voir ce que tu es capable de m'offrir... »

Gaïana s'était penchée vers le jeune homme, laissant mieux voir la naissance de sa poitrine et son tatouage sous son petit tee-shirt noir décolleté, pour pouvoir lui chuchoter ses mots à l'oreille. Ses yeux trahissant un certaine attirance et son sourire, une complicité naissante alors qu'elle reprenait un peu de recul. Il y avait sûrement moyen de bien s'amuser avec lui...
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeVen 24 Jan - 0:10

Les secondes qui passaient, faisaient du bien à mon organisme. Il est vrai que celui-ci était habitué au whisky et à l'alcool en général. Pourtant, ces whisky m'avaient littéralement retourné à tel point que j'étais tombé à la renverse sur cette jolie brune. Heureusement, elle ne semblait pas m'en tenir rigueur. Le contraire m'aurait embêté. Tout était bien qui finissait bien. Et puis ça m'évitait d'être hasardeux pour l'aborder. Bon c'est sur, une toute autre approche aurait pu être meilleure, mais je ne pouvais revenir en arrière.

Elle s'appelait donc Gaïana. Ca faisait pas très américain, elle ne devait pas l'être d'ailleurs. Elle était typée. Mais je ne savais pas d'où elle pouvait venir. Et voilà, ça allait faire un sujet de discussion avec, le hasard faisait bien les choses. Me faire tomber sur elle et m'offrir des sujets de discussions aisés.

- Enchanté Gaïana !

Lui dis-je avec un grand sourire figé aux lèvres. J'étais certes parfois timide, parfois maladroit, mais ce sourire, c'était l'une de mes armes. Et je l'utilisais sans modération. À travers celui-ci, je ne pouvais pas décevoir ni être maladroit. C'était une valeur sûre!

- Gaïana... Ca fait pas trop Américain non? Serais-tu comme moi tout fraîchement arrivé d'ailleurs?

Il fallait avouer qu'elle était ultra sexy. Ma chute sur elle ne semblait qu'une lointaine histoire, elle me regardait en passant sa langue sur ses lèvres de manière sensuelle, mordillant d'ailleurs au passage ces dernières puis elle se passa la main dans les cheveux. Généralement, quand les filles passent leurs mains dans les cheveux, c'est un signe. Un signe qui veut dire qu'elles sont intéressées ou du moins, qu'on ne les laisse pas insensibles. Si tel était le cas, j'étais le plus chanceux du monde. Tomber à la renverse sur une fille et avoir l'opportunité avec son aval qui plus est, de la draguer, ça devait être du jamais vu!

Avec ma galanterie anglaise légendaire, je lui avais proposé un verre. Je ne roulais pas sur l'or, mais c'était quand même la moindre des choses. De simples excuses ne pouvaient suffire, surtout avec une si belle créature. Une créature tatouée d'ailleurs. Pas mal tatouée même.
Elle ne s'était pas faite prier pour accepter mon verre comme je l'imaginais. Je dégainais alors un billet, fit signe au barman de venir vers moi. Le bar grouillait désormais de monde et il fallait que je m'approche de lui pour lui passer ma commande. Elle ne m'avait pas donné d'indication. Alors que je la regardais une dernière fois avant de prendre commande, j'aperçus son verre, vide. Ce n'était pas un verre à whisky, mais je ne savais pas ce qu'on lui avait servi dedans. Audacieux, j'optais alors pour lui offrir une double vodka en grand seigneur.

- Remets moi un double jack sans glace et sers une double vodka à la demoiselle, s'ilteplait.

Alors que j'attendais la réception des verres, elle s'était approchée de moi, penchée, me laissant découvrir un nouveau tatouage situé entre ses deux seins. C'est vrai que je l'avais déjà aperçu, mais là, j'y voyais plus clair. C'est vrai qu'il était joli ce tatouage....
Elle en profita pour me susurrer à l'oreille un "Maintenant... à voir ce que tu es capable de m'offrir".
WAH ! Elle y allait pas de main morte. Ca avait le mérite d'être clair. Heureusement pour moi, j'avais quelques verres dans le nez et, l'alcool aidant, je me mutais en un homme moins timide, moins réservé et même moins maladroit. Sans alcool, j'aurais été capable de répondre naïvement et de la faire fuir. Maintenant, avec ces quelques bières et ces doubles whisky qui avaient attaqué ma matière grise, je ne disposais pas de toutes mes facultés de discernement et tel un taureau, j'étais prêt à foncer tête baissée.  
Le serveur me fit signe que les verres étaient prêts alors que je restais muet à ces mots pleins de poigne que venaient de me chuchoter Gaïana. Je réceptionnais les verres, tendis la double vodka à ma voisine qui me servait ce soir de charmante compagnie et saisis le mien.

Alors qu'elle s'était un peu reculée par rapport à la posture qu'elle avait adoptée pour me chuchoter ses doux mots pleins de sous-entendus, je tendis mon verre pour trinquer à une bonne soirée qui ne faisait que commencer.

Une fois que nos verres s'étaient entrechoqués, je bus une bonne gorgée de mon whisky sans pour autant faire comme lors de mes deux précédents, un cul-sec. Malgré tout, une nouvelle déflagration envahit mon corps. Je serrais alors les dents, grimaçant. Troquant alors la grimace pour le sourire, je mis une main sur son épaule pour ensuite saisir délicatement son cou et la rapprocher de moi. À mon tour, je lui chuchotais quelques mots à l'oreille.

- Ce que je suis capable de t'offrir? Un verre déjà, mais crois moi, je suis sur que j'ai de quoi te faire passer une bonne soirée. Même une très bonne. Crois moi.

Le Andrew alcoolisé était un autre homme. Je reculais alors ma tête, lui fis un clin d'oeil qui se transforma presque aussitôt en sourire. Je saisis alors mon verre, le tendis vers elle puis le portais à ma bouche pour engloutir le reste du brevuage alcoolisé. Nouvelle déflagration. On allait s'amuser. L'alcool me changeait, mais j'avais toujours mon côté gentleman britannique. Je sortis de ma poche pectorale mon paquet de cigarette, le briquet qui allait avec et m'alluma alors une cigarette. Pourtant, j'avais l'impression que rien qu'avec mon haleine je pouvais l'allumer cette cigarette. Je ne pus alors m'empêcher d'en proposer une à la jolie Gaïana.

Alors que le paquet était tendu en sa direction, ouvert, je levais mon index et mon majeur en rigolant, mimant le chiffre 2. Oui, c'était la deuxième chose que je proposais de t'offrir de la soirée, et mon petit doigt qui lui, n'était pas levé, me soufflait que tout ça allait monter crescendo. Je n'en pensais pas moins, on allait s'amuser.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeVen 24 Jan - 16:54

Bingo ! Andrew avait vu juste en supposant que la brune n'était pas originaire des Etats-Unis. Que dis-je ! Elle vient de l'autre côté de la planète, presque.

« Oui, effectivement. Je ne suis pas américaine, je suis originaire de l'URSS. Cela fait 5 voir 6 ans qu'on a déménagé ma famille et moi. Oh, je n'aurai pas cru que tu es nouveau ici. Tu sembles déjà bien... intégré. »

Bien sûr, Andrew était nouveau ici mais l'ambiance festive de Los Angeles ne semblait pas lui donner l'impression d'être dépaysé ou au pire, charmé. Mais il devait s'y sentir comme un boisson dans l'eau, à moins que l'alcool ne l'aide à être si posé et si confiant alors qu'il ne devait pas connaître beaucoup de monde.

Celui-ci sortit un billet de sa poche et commanda alors à boire. Il choisit pour elle, non sans jeter un coup d'oeil vers son verre vide qu'elle avait fini quelques secondes plus tôt, une double vodka ainsi qu'un double jack pour lui. Bien. Très bien. Et alors qu'elle se redressa après avoir chuchoté à l'oreille du jeune homme, les verres furent déposé sur le comptoir et ensembles, ils prirent chacun leur verre et ils trinquèrent. Que cette sublime soirée commence, alors !

Chacun but une gorgée de sa boisson donnant une nouvelle vague de chaleur dans le corps de la soviétique qui commençait à ressentir les effets de l'alcool. Si ça continuait, elle n'allait peut-être même plus savoir tenir debout. Mais le goût de la vodka lui remémora quelque souvenirs. Cachés dans une cabine avec ce qu'on pouvait appeler un "petit copain" d'enfance, celui avec qui on sort sans qu'il ne se passe quoi que ce soit car trop jeunes ou la fille trop prude, ils avaient chipé une bouteille d'alcool à un de leurs parents. Son copain ouvrit la bouteille et reniflant les relents il tira déjà une sale mine. Gaïana se souvenait lui avoir dit : Attends, laisse-moi d'abord goûter! Et par la suite, l'avoir bu ça comme on buvait du lait, dans un premier temps avant de sentir sa gorge en feu et en recracher la moitié sous les fous rires de son copain de l'époque.

La Gaïana actuelle sourit en pensant à sa petite enfance avant de reposer son attention sur son «copain» du moment. Celui-ci amena sa main dans la nuque de Gaîana, occasionnant un petit frisson qui courra le long de son échine, alors qu'il la rapprochait de lui. Elle se pencha à nouveau pour qu'il puisse à son tour chuchoter quelques mots dans son oreille. Il lui fit alors un clin d'oeil suivit d'un sourire charmeur auquel la jeune fille répondit par un sourire amusé.

« J'attends de voir ça. »

Amenant son verre à ses lèvres pour boire une deuxième gorgée, Andrew sortit son paquet de clope pour en fumer une qu'il alluma sas difficulté. Gaïana déposa son verre sur le comptoir et l'anglais lui tendit son paquet pour lui en proposer une. Ses doigts désignant un petit deux alors qu'il riait. Il ne fallut pas longtemps pour que la soviétique comprenne de quoi il s'agissait. Voilà la deuxième chose qu'il lui offrait. D'un sourire entendu, elle prit une cigarette qu'elle amena à sa bouche et s'avança vers Andrew pour qu'il l'allume avec son briquet. Une fois fait, elle tira dessus et prit la clope entre ses doigts pour reposer son attention sur le jeune homme alors qu'il fumait.

« Merci. »

Et bien oui, même si le garçon l'invitait, il avait droit à son lot de remerciements. Et celui-ci allait sans doute être le premier de bien d'autres, différents sur bien des égards mais que le jeune homme apprécierait. Gaïana n'avait pas l'habitude de laisser ses compagnons de jeux, appelons-les ainsi, non remerciés. Elle leur offrait toujours un cadeau en retour, d'une façon ou d'une autre.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeLun 27 Jan - 11:51

Bingo. Je le savais. Elle n'était pas Américaine, ça se sentait. Elle était donc issue de l'URSS, un autre pays Européen que je n'avais pas eu la chance de découvrir. À vrai dire, hormis l'Angleterre et encore je ne connaissais pas tout mon pays, je n'avais pas eu la chance, ni l'argent pour me le permettre. Ce voyage que j'avais fait jusqu'à la Californie était le fruit de longs mois d'économie. D'ailleurs, ce n'était pas un voyage de tourisme mais réellement un changement de vie. Los Angeles était ma nouvelle ville et je l'apprivoisais petit à petit.
Elle ne pensait pas que je pouvais venir d'Europe moi aussi. Je semblais intégrer? Je cachais bien mon jeu alors, car j'étais vraiment nouveau ici. Je doutais qu'au Rainbow où nous nous trouvions ce soir, une personne soit arrivée après moi en Californie.

- Pourtant, je le suis... Je suis arrivé il y a très peu, très très peu. J'ai probablement pas mal intégré l'alcool, mais ça, je l'avais déjà en Angleterre lui dis-je en rigolant.
Mais après, je pense que c'est toi qui peut le plus m'apprendre ou me montrer des choses ici rajoutais-je en la regardant droit dans les yeux.

Plus le temps passait et plus l'alcool faisait effet, plus je me sentais différent du Andrew que j'étais sobre. Je me montrais beaucoup plus direct, beaucoup plus direct. Malgré tout, je ne savais pas si cela dérangeait réellement Gaïana, au contraire, même si elle était elle même entreprenante elle semblait aimer qu'on "lui rentre dedans". Et si elle aimait ça, le Andrew alcoolisé n'allait pas la décevoir.

Les premiers verres offerts par le jeune Anglais avaient été engloutis par les deux convives. J'avais également entrepris de lui offrir une cigarette. La nicotine était l'une de mes addictions parmi tant d'autres et la cigarette couplée à l'alcool était l'une des choses bénites et desquelles je ne pouvais me passer. Il apparaissait donc logique, si elle était fumeuse, que je lui en offre une. Elle la saisit sans se faire prier et la porta à sa bouche. Elle se pencha également vers moi pour que je lui allume la dite-cigarette. Elle laissait alors pour la seconde fois en peu de temps apparaître sa très attirante poitrine et son tatouage jonché entre ses deux seins. J'avais envie de plonger ma tête dedans pour voir de plus près son tatouage. D'ailleurs, elle ne s'était pas privée de me le montrer. Enfin, de me les montrer puisque son corps semblait largement rempli de tatouages. J'étais moi aussi tatoué, et ça allait évidemment faire un sujet de conversation. Alors que je ne lâchais pas ma cigarette et la regardais dans les yeux, je lui lançais.

- Tu m'as l'air, comme moi, plutôt branchée tatouages... D'ailleurs, très ... sympa ton tatouage...

Si elle se demandait duquel je parlais (même si j'en doutais), j'allais lui rafraîchir les idées. Ma cigarette en fin de vie dans ma main gauche, ma main droite se tendit vers elle et mon index se posait délicatement sur son menton puis descendit dans le bas de son cou pour s'arrêter juste à la limite de son t-shirt. Pour le moment, je m'arrêtais là, mais il était possible que je ne m'y arrête pas d'ici quelques minutes.

Alors que je le retirais, je réalisais que mon verre était vide. Le sien également d'ailleurs. Il était évident qu'il fallait prendre son temps, j'avais déjà bu trois double-jack en très peu de temps, il fallait tout de même faire attention. Malgré tout, l'idée que j'eus me sembla idéale pour que nous nous rapprochions. Après tout, j'étais alcoolisé, je me sentais plus confiant et surtout beaucoup moins embarrassé. Il n'était pas sûr que je sois moins maladroit, mais après tout, l'alcool m'empêchait de penser à cela. Tant mieux à vrai dire.
J'alpaguais alors le barman qui à ce rythme là, allait devenir mon meilleur ami mais aussi l'homme qui m'aurait ruiné. Mais nous n'avons qu'une vie et je comptais bien profiter de toutes mes soirées californiennes. Alors qu'il s'était approché de moi, je lui commandais deux téquilas paf, sans que Gaïana s'en soit rendu compte. Il me les tendit rapidement, accompagnées de sel et de citron.

Je tendis la sienne à Gaïana, installa le sel dans le creux de ma main puis pris les deux citrons pour moi. Pourquoi ? Pourquoi? Pourquoi alors que je tendais son verre et le sel à Gaïana? Pour qu'elle vienne le chercher toute seule, c'était évident.
Je portais alors le citron à ma bouche, le tenant l'intérieur vers Gaïana. Je l'enlevais néanmoins pour lui parler.  

- Tu connais les Téquilas Paf? Sel, Citron, Téquila et explosion dans la tête. Tu as le sel, la téquila, par contre, le citron, va falloir que tu viennes le chercher.

Lui dis-je sourire gigantesque dans mes lèvres tout en lui faisant un petit clin d'oeil. Je lui montrais alors la marche à suivre, lécher le sel sur sa main, prendre l'arôme du citron, secouer la Téquila et la boire d'un trait. Explosion dans ma tête, je lui fis signe, que c'était à son tour tout en saisissant le citron dans ma bouche. Si elle venait, nous allions réellement nous rapprocher physiquement. Et c'était le but de l'opération, il ne fallait pas se mentir.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 30 Jan - 15:11

La cigarette à ses lèvres, elle inspira la fumée dont la substance lui donneraient sans doute un jour le cancer du poumon si elle ne mourrait pas d'une overdose avant. Il fallait dire qu'elle n'avait pas peur de vivre sa vie à fond, sans réfléchir au lendemain. C'était sans doute le mode de vie de la plupart des gens à Los Angeles. Sauf que la plupart s'en sortiraient sûrement, dans leur têtes ils grandiront, les bêtises deviendront moins fréquentes. Mais Gaïana, elle, ne voudrait jamais changer. Pour rien au monde. Ce mode de vie lui convenait parfaitement et elle préférerait mourir jeune et belle de ses bêtises plutôt que vieille, moche et assagie.

Nouvelle bouffée de nicotine, la jeune fille expira la fumée en penchant la tête en arrière, écoutant Andrew d'une oreille. Puis, elle reposa son regard sur le jeune homme qui l'approcha alors pour poser son doigts sur elle, s'attardant sur son cou.

« Ca nous fait donc un point en commun... »

Elle l'avait dit avec son petit sourire en coin et les yeux pétillants. Gaïana baissa alors son regard et sa main gauche vint sur son legging zébré blanc et noir, près de sa hanche gauche. Elle abaissa légèrement le tissu pour laisser le garçon entrevoir un autre tatouage (cf [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) sur sa hanche et se dévoilant un peu par la même occasion, se tournant pour mieux lui montrer.

« J'en ai plusieurs à te montrer, si ça t'intéresse... »

A son tour de faire un clin d'oeil à Andrew. Celui-ci n'avait pas lâché ses gestes des yeux mais lorsque Gaïana releva son legging pour recacher son tatouage qui représentait des fleurs en plusieurs bandes ondulées, il se rendit compte que leurs verres étaient vides. Andrew héla de nouveau le barman pour lui commander une autre boisson alors que Gaïana terminait sa clope dont elle écrasa la mégot dans un cendrier sur le comptoir.

Le barman revint assez rapidement avec deux verres, du sel et deux morceaux de citron. L'ukrainienne lança un regard complice à Andrew. Il semblerait que la tequila paf soit un bon moyen pour les mecs de se rapprocher d'une fille. Oui, ça donnait une bonne excuse. Aucun doute là-dessus et comme Gaïana était une bonne joueuse, elle s'y prêtait avec plaisir.

Andrew lui montra la démarche à suivre et cela fit rire Gaïana, sûrement dû aux effets de l'alcool mais aussi de voir comment évoluaient les choses. Justement comme elle espérait que cela se passe. La soirée, elle ne voulait pas la passer ni la finir seule et Andrew était là, en bon gentleman pour lui changer les idées après sa journée de labeur chez cet infâme Billy Lighter.

« A mon tour. »

Gaïana déposa du sel dans sa paume et prit alors son verre de l'autre. Dernier regard complice vers Andrew avant qu'elle ne vienne lécher tout le sel dans sa main puis boire la tequila cul-sec. Petite grimace de l'ukrainienne mais elle ne s'arrêta pas pour autant. Sa main droite se posa sur l'avant-bras de son interlocuteur pour avoir plus de stabilité et elle se pencha vers lui pour pouvoir venir mordre le citron qu'il tenait dans sa bouche. Elle en extirpa le jus et la chair non sans cligner quelque fois des yeux avec l'amertume tant connue de l'agrume. Son autre main s'était perdue dans la nuque d'Andrew. Elle recula son visage, histoire de laisser le jeune homme enlever le restant de citron de sa bouche avant que la soviétique ne revienne prendre possession de ses lèvres. Elle s'avança alors de quelques pas pour réduire la distance entre eux à quelques centimètres. Sa main droite ayant remonté dans le cou d'Andrew pour ensuite descendre sur son torse qu'elle caressait, ses doigts dessinant une figure imaginaire.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 30 Jan - 18:28

La température montait indéniablement. Je le savais, j'étais beaucoup plus direct quand j'étais alcoolisé et on ne pouvait pas dire que je ne l'étais pas en cette soirée... J'avais soulevé le fait que nous étions tous les deux tatoués. Certes, elle l'était visiblement beaucoup plus que moi. J'avais aussi fait quelque chose que jamais je n'aurais pu. J'avais posé mon doigt sensuellement sur son menton puis l'avait descendu à la limite de sa poitrine. Ma démarche était claire, je la désirais et je pense que ce postulat était largement réciproque. Nous nous observions et l'affaire devrait se conclure d'ici peu pour quelques heures de folie. Enfin, je l'imagine. Elle le savait donc, sur ce point là, nous avions des points communs, mais elle passa la vitesse supérieure lorsqu'elle baissa temporairement son legging zebbré pour laisser entrevoir un tatouage sur sa cuisse remontant presque à ses fesses.

J'avais alors été non pas choqué mais presque. Je ne m'attendais pas à une telle démonstration. En effet, nous nous aguichions depuis que je lui étais tombé dessus, mais elle avait passé la vitesse supérieure. Je ne saurais exactement dire ce que représentait son tatouage. Si ce n'est des fleurs entrecoupées, mais peu m'importait, elle avait dévoilé une partie de son corps que j'avais envie de revoir sous peu. Et je ne me priverais pas pour lui faire savoir, de manière plus ou moins implicite. L'alcool m'aidait bien pour cela, et j'allais en profiter moi qui n'avait pas l'habitude de pouvoir ne serait ce qu'imaginer.

Elle m'avait donné chaud et nous allions pimenter le tout. C'était comme une évidence que je commandais des téquilas paf en décidant, après lui avoir montré l'ordre à suivre, que j'allais garder le citron pour qu'elle vienne le chercher dans ma bouche. Ca serait probablement le moment qui ferait basculer notre soirée commune en une nuit d'enfer et d'extase. En tout cas, et elle l'avait sûrement compris car je ne m'en cachais pas, je la voulais et j'allais l'avoir. Hors de question que je reparte tout seul. Je comptais profiter de mon état avancé d'ébriété pour profiter. Je bus la téquila qui me mis un coup de plus derrière la tête. Une explosion créée par le mélange d'alcools et de substances depuis le début de la soirée. D'ailleurs, en parlant de substance, j'avais toujours mon sachet de poudre blanche bien au fond de ma poche et j'avais plutôt envie de me repoudrer le nez. J'avais l'impression que cela pourrait également l'intéresser.

Mais après avoir pris et mis le citron à ma bouche après avoir bu ma téquila, je mis l'autre dans le sens inverse le sien. Elle s'exécuta, lécha sensuellement le sel sur sa main. Enfin, sensuellement je n'en sais rien, mais j'osais espérer qu'elle se servait de ses lèvres et de sa langue de la même façon pour autre chose... sans arrière pensées, ça allait de soi. J'étais quand même un gentleman Anglais et même si j'étais ivre, je gardais des principes... bon pas trop d'accord, ce soir j'avais envie de m'amuser et je pense qu'avec la jeune Russe, nous nous étions bien trouvés. Elle bu ensuite sa téquila d'une traite et s'approcha alors de moi pour prendre le citron. Le moment tant attendu. Qu'allait-elle faire? M'embrasser? Simplement prendre le citron? Ne pas porter d'attention à mon "subterfuge" pourtant si évident?

Elle agrippa d'une main mon avant bras gauche, de l'autre ma nuque pour s'approcher de moi. Elle prit le jus et la chair du citron sans extirper l'agrume de ma bouche. Sa main sur mon avant-bras servait plus à avoir un certain équilibre alors qu'elle était penchée, l'autre en revanche me donnait des frissons tant ses mains caressaient mon cou. Elle se recula alors un peu. J'en profitais alors pour cracher ce reste inutilisable de citron encore présent sur ma bouche sur le comptoir. À ce moment précis et alors que j'avais la tête en direction du comptoir vers lequel je venais de jeter dédaigneusement le reste de citron, elle s'était approchée de moi de manière considérable. Peu de place nous séparait l'un de l'autre, et je devais avouer que ce n'était pas pour me déplaire. Nous nous regardions alors dans les yeux, ayant visiblement la même idée. Son bras droit vint à nouveau se glisser dans ma nuque pour me donner de forts frissons puis descendit sur mon torse enchaînant les caresses.

Je la fixais dans les yeux en souriant, je laissais faire sa main sur mon torse. Je la pris alors par surprise quand, avec mon bras gauche, je la saisis à la taille, la collant par la dite opération à moi. Je la tenais contre moi. Ses doigts continuaient de parcourir mon torse, effectuant des mouvements incompréhensibles mais pour le moins agréables. Nous étions collés l'un à l'autre, prêts à se sauter dessus. Je n'étais pas très grand, mais elle était légèrement plus petite que moi. Je baissais très légèrement la tête pour me retrouver quasiment lèvres contre lèvres avec elle. Nous sentions réciproquement nos souffles un peu plus saccadés et excités. Alors que nos lèvres s'effleuraient sans pour autant s'entremêler, non sans relâcher l'étreinte mais au contraire pour la saisir un peu plus bas, au niveau de la fesse et la monter contre moi. De la main droite je l'avais donc surélevée toujours collée à moi, de l'autre main, je lui caressais la nuque tout en remontant délicatement vers les cheveux. Nous étions à nouveau proche, très proche, à deux doigts de ... conclure.

Le bruit m'empêchant de pouvoir m'adresser clairement mais également pour faire monter l'excitation, je m'approchais de son oreille pour lui sussurer quelques mots.

- Je suis quelqu'un de plutôt... généreux, tu accepterais d'autres choses de ma part?

En finissant ma phrase, je ne pus m'empêcher de lui mordiller le lobe de l'oreille tout en espérant qu'elle fut prise d'un frisson profond. Elle était toujours maintenue "en l'air" par mon bras. Avec l'autre, je rapprochais sa tête de la mienne par l'emprise que j'avais au niveau de sa nuque. Nous nous rapprochions doucement encore une fois, sentant nos souffles respectifs taper sur nos visages. Comme elle l'avait fait plus tôt dans la soirée, je m'humidifiais les lèvres en passant ma langue dessus, comme un clin d'oeil à nos premières secondes d'échange. Nos lèvres s'effleuraient encore une fois mais je me reculais à nouveau pour revenir à la charge à son oreille pour lui glisser quelques mots.

- Elles sont à toi, libre à toi d'en faire ce que tu en veux.

Je revins alors à la place que j'affectionnais, celle où nos lèvres étaient séparées par quelques micro-centimètres et où elles s'effleuraient dans pour autant se marier. Elle avait les cartes en main, je faisais tout pour qu'elle me saute dessus et pour qu'une soirée d'anthologie débute. Ce n'était plus qu'une question de secondes pour que ce jeu se transforme en baiser langoureux. Nos corps étaient l'un contre l'autre et seules les lèvres manquaient à l'appel, mais plus pour longtemps, c'était une évidence.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeLun 3 Fév - 22:36

Leur rencontre prenait une tournure différente, plus réelle. Plus... Charnelle. Ils avaient brisé la glace. C'était comme si leur bulles respectives s'étaient éclatées ou avaient fusionnés pour n'en laisser qu'une. Ils étaient dedans et le reste de monde était à l'extérieur. Et ce, jusqu'à la fin de la soirée.

La coeur de Gaïana manqua un battement dans sa poitrine en sentant Andrew la saisir pour la rapprocher de lui. Un petit gémissement sortant de sa bouche par la même occasion. Son corps entier fut parcouru de petits frissons accentués par l'alcool. Ses mains continuant de vagabonder sur le torse du jeune homme alors qu'ils se fixaient intensément. Gaïana se mordilla la lèvre exprimant ainsi un désir intenable. La main de l'anglais qui descendait sur ses fesses procura des fourmillements dans son bas-ventre et elle eut une nouvelle vague de frissons en sentant le souffle d'Andrew se perdre dans son cou, près de ses oreilles. Et elle fondit entièrement dans ses bras quand il passa ses dents sur le lobe de son oreille. Son corps entier brûlait et elle n'aspirait qu'à être caressée, possédée.

« Je l'ai dit, j'accepte absolument tout. »

Elle s'était à son tour approchée de son oreille pour lui répondre, debout sur la pointe de ses pieds et aidée par Andrew qui la soutenait et la surélevait un peu aussi. Et c'était vrai. Peu importe ce que les gens avaient à lui offrir, elle acceptait. Un cadeau empoisonné autant qu'une fleur. Elle ne savait rien refuser.

Leurs lèvres s'approchèrent à nouveau dangereusement. Le jeune homme y passa la langue pour les humidifier. Selon lui, elles lui appartenaient. À elle. Rien qu'à elle. Pour le moment, du moins. Il semblait jouer un petit jeu d'approche-retrait très... excitant. La promesse d'une suite puis la frustration de le voir reculer. Il n'y avait rien de mieux pour susciter en elle une vive envie de continuer, d'aller plus loin, de la faire attendre jusqu'au bout, au bord de l'extase.

Et ce qui devait arriver, arriva, naturellement. Alors qu'ils laissaient leurs visages se frôler, partageant leur haleine grisée d'alcool, les yeux mi-clos surveillant les gestes de l'autre, les lèvres sèches par l'ambiance torride. Leurs bouches se rencontra une nouvelle fois la seconde qui suivit car Gaïana n'était pas une fille très patiente, vous savez. Ses mains remontant en pianotant sur la poitrine du jeune homme pour venir se loger dans sa nuque. Leur baiser était doux, humide mais l'impatience de Gaïana prit rapidement le dessus car il devint plus rapide, tendu, fougueux et elle se pressa encore un peu plus contre lui. Elle se retint néanmoins de lui sauter entièrement dessus, reprenant conscience qu'ils étaient encore près du bar. Elle mordit délicatement la lèvre inférieur d'Andrew avant de lâcher sa bouche pour lui lâcher un regard de braise, lourd de sous-entendus. Ses mains se reposèrent sur le torse de l'anglais pour s'agripper à la chemise et en reculant vers la piste de danse, elle le tirait vers elle tout en s'immisçant dans la foule. Leurs lèvres se retrouvèrent, leurs langues recommençant leurs ballets pour s'interrompre encore l'instant d'après pour reculer encore un peu. Ils profitèrent d'un petit moment collés l'un à l'autre pour se fondre dans la masse en bougeant dans le rythme endiablé d'un petit solo de guitare d'un autre groupe fraîchement arrivé sur le podium. Gaïana n'hésitait pas à onduler des hanches alors qu'ils étaient à nouveau collés l'un à l'autre. Dans son élan, la soviétique se tourna et se trémoussait contre son partenaire qui posait ses mains sur ses hanches. Elle sentait son haleine lui chatouiller le cou alors qu'elle cambrait du dos pour laisser ses fesses se frotter contre lui. Elle n'avait qu'un but, l'allumer un maximum. Tout comme lui avait essayé de le faire avec elle. Mais cela ne dura pas. Se retournant, face à lui, elle l'enlaça dans ses bras reposant ses lèvres sur sa bouche pour la enième fois. Elle recula son visage pour revenir lui dire quelques mots à l'oreille.

« Viens, suis-moi... »

Il voulait jouer, il allait jouer. Pas besoin d'attendre plus longtemps. Sa petite danse ne devait pas durer une éternité. Ils avaient... d'autres chats à fouetter. Un sourire malicieux aux lèvres, sa main trouva celle d'Andrew. Elle entremêla ses doigts aux siens puis se décolla de lui pour se diriger de l'autre côté de la salle, près des toilettes. Elle ouvrit une porte à la pancarte "entrée interdite" uniquement réservée au privé. Ils débouchèrent dans un petit couloir étroit étrangement frais après l'air chaud et irrespirable du bar en ébullition. Gaïana rit et se laissa aller contre le mur pour qu'Andrew rentre et vienne se coller à elle pour s'embrasser. La musique ici était plus faibles et ils pouvaient entendre leur respiration saccadée. Mais Gaïana mit rapidement fin au baiser pour aller un tout petit puis plus loin, elle ouvrit une porte en bois où se trouvait la toilette du personnel accompagnée d'un petit lavabo. La soviétique ne venait peut-être pas souvent ici mais son amie et elle partageaient leurs petits secrets quant aux meilleurs endroits où s'éclipser dans une situation telle que celle-ci. Son amie lui avait décrit cet endroit, juste parfait.

Les mains agrippées sur la chemise d'Andrew, elle lui lançait un regard enflammé alors qu'elle le tirait vers elle. Elle s'adossa au mur de la petite cabine et gémit quand le garçon se colla à elle. Voilà, ils pourraient continuer là où ils en étaient restés, au bar.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeMar 4 Fév - 20:35

J'avais tout fait pour que nous nous rapprochions jusqu'à la limite. J'avais dès le début vu droit dans son jeu. Nous étions bien tombés car, il est vrai que sobre, j'étais plutôt timide et maladroit et je n'aurais pu l'approcher, ou du moins je n'aurais pu faire ce que j'avais fait depuis que nous nous étions "rencontrés". En effet, je n'aurais pas pu ouvertement la draguer, encore moins en lisant dans son regard qu'elle voulait que l'on s'amuse tous les deux. En temps normal, j'aurais perdu mes moyens, aurais baissé le regard et n'aurais rien pu faire. L'alcool aidant, j'avais pu faire se toucher nos lèvres puis me faire désirer, lui saisir d'une main ferme les fesses pour la rapprocher de moi et même pour que nous ne soyons plus qu'un, lui mordiller le lobe de l'oreille pour faire monter en elle l'excitation qui l'obligerait à me sauter dessus et à dévorer mes lèvres. Elle attendait peut-être que ce soit moi qui le fasse, mais j'avais envie de la pousser à bout pour qu'elle me saute dessus. Nous étions entrés dans un petit jeu qui avait rapidement passé le stade de l'observation.
Je lui avais demandé si elle accepterait de ma part un autre présent, c'était évident, je sous-entendais l'embrasser, même si je voulais qu'elle le fasse, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs, mais c'était comme ça.

Elle répondait du tac au tac. Ma main serrait toujours ses fesses, manoeuvre destinée à la tenir près de moi. Elle se mit alors sur la pointe des pieds, comme si elle voulait me parler, me susurrer quelque chose à l'oreille. Je maintins alors l'emprise pour l'aider (et par plaisir, ne mentons pas) et en effet, elle me chuchota à l'oreille, qu'elle acceptait absolument tout. Je le savais déjà en grande partie, mais tout allait basculer, ce n'était plus qu'une question de secondes.

Elle semblait trépigner d'impatience, nos visages étaient collés, nos respirations alcoolisées s'entrechoquaient, nos lèvres se rapprochaient mais volontairement je les éloignais pour tout de suite revenir à la charge. Elle n'en pouvait plus, moi non plus, mais j'essayais de ne pas le montrer. À son initiative, nos lèvres se mêlèrent enfin pour un doux baiser. Je la serrais de plus belle contre moi, ma main sur ses fesses pour la coller vers moi. Sa main elle, était toujours sur mon torse. Mais toujours pas son impatience, le baiser devint plus langoureux, plus sexy si je puis dire. Nos langues se rencontraient à grande vitesse, nos bouches étaient fusionnées, nous oublions presque que nous étions dans un bar tellement nous étions collés, serrés, tant les baisers se faisaient longs et fougueux. Nous aurions été ailleurs que dans ce bar, je suis persuadé que nous nous serions dénudés rapidement avec une telle poigne dans ces baisers.
À un moment, elle me mordit la lèvre délicatement puis arrêta de m'embrasser. Elle me jeta un regard endiablé et je pus lire sans difficulté dans ses yeux, que nous allions nous amuser tous les deux et que ses intentions pouvaient clairement m'intéresser. Ses sous-entendus ne tombaient pas dans l'oreille d'un sourd, j'allais répondre à ses insinuations sans problème et la nuit risquait d'être plutôt longue, mais j'étais préparé. De plus, en cas de coup de moins bien, la petit poudre blanche en sachet qui était toujours dans ma poche allait m'aider. Et ça pourrait également mettre un peu de piment pour ce que j'imaginais qui allait se passer dans les minutes ou les heures à venir, à savoir conclure véritablement de manière charnelle, deux corps l'uns contre l'autre, ruisselant de sueur et d'excitation.
Elle me tenait par la chemise et me poussait vers la piste de danse. Je n'avais d'ailleurs pas remarqué que le groupe avait changé. Et c'est sur un solo endiablé de guitare, que nous nous sommes retrouvés en plein milieu de la foule qui n'avaient d'yeux que pour le groupe et qui dansait. Nous, nous dansions l'un contre l'autre, à nous embrasser fougueusement. Nos échanges de salive et nos langues mêlées devenaient presque une habitude tant nous répétions ces manoeuvres sans nous stopper. Elle décida à un moment de se tourner, étant de dos, juste devant moi, elle se frottait à moi de manière sensuelle, jouant d'un déhanché des plus excitants, montant et descendant en se frottant à moi. On aurait dit un sorte de vengeance pour m'être fait désiré juste avant. Là il était vrai que la tension montait. J'avais envie de lui sauter dessus, certes nous étions déjà proches l'un de l'autre, même très proches puisqu'elle se dandinait en se frottant contre moi, mais j'avais envie de plus. J'étais sûr qu'elle faisait ça volontairement, et au lieu de me frustrer, ça m'excitait, et je patientais. Nous viendrons aux choses sérieuses d'ici peu de temps, c'était une évidence.

Mais alors que je pensais que j'allais craquer en premier, elle se retourna vers moi pour m'embrasser une énième fois. Je n'étais pas contre, j'aimais plutôt ça d'ailleurs, sur les accords d'un groupe que je ne connaissais pas, mais duquel je vendrais bien les disques à la boutique. Elle s'arrêta soudainement pour me glisser quelques mots à l'oreille et pour croiser ses doigts avec les miens. Elle voulait que je la suive. Pas de soucis, les choses sérieuses allaient pouvoir commencer. Elle m'emmena alors dans des endroits auxquels je n'aurais jamais pensé. D'abord nous passions une porte avec un large écriteau "entrée interdite" puis toujours en la suivant, ma main dans la sienne, nous nous faufilions, elle ouvrit une porte en bois, des toilettes, plutôt confortables pour des toilettes d'un bar, avec un petit lavabo. C'est là que notre chemin s'arrêtait et que les choses allaient probablement prendre une nouvelle tournure, plus intime. C'était sans se mentir, ce que nous attendions, tant elle que moi. Nous nous étions bien trouvés.

Elle agrippa ses mains à ma chemise, me tirant vers elle alors qu'elle s'était adossée au mur. J'étais contre elle, la porte des toilettes était toujours ouverte. Mon bras se faufila autour de sa taille tandis que ma bouche venait pour la énième fois depuis quelques minutes se coller à la sienne. D'un coup de pied rageur et décidé, je fermais la porte pour que l'on ne nous dérange pas. Une légère lumière dans la cour juste à côté de ces fameux toilettes où nous nous trouvions nous éclairait. Ni trop faible, ni trop forte, elle nous laissait y voir, plutôt que de manoeuvrer dans le noir total.

Ma main autour de sa taille était descendue au niveau de ses fesses que je serrais et ce fût alors mes deux mains qui descendirent pour une meilleure emprise sur elle. Elle gémissait et j'aimais cela. Mes lèvres étaient passées des siennes à son cou où je déposais de doux baisers et de petits coups de langue qui la faisaient frémir et sursauter. Pendant ce temps là, mes mains ne décollaient pas de ses jolies fesses que je serrais au rythme de mes baisers sensuels dans son cou, provoquant, je l'imagine, une double sensation plutôt excitante en elle. Et en moi aussi. Ses seins étaient collés contre mon torse, séparés par nos habits respectifs. La chaleur montait dans ces petits toilettes qui seraient d'ici peu les hôtes de choses peu catholiques. Cela tombait bien, en Angleterre, nous étions plutôt protestants, et moi pas croyant ni pratiquant. Au diable donc ces manières.

Je desserais mon étreinte et m'éloignait (le terme était un peu fort) d'elle pour respirer un peu. L'atmosphère était lourde et la température avait atteint des sommets. Je décidais alors tout en la regardant droit dans les yeux de mon regard le plus séducteur, de sortir ce fameux sachet de poudre blanche de ma poche. Je sortis un billet de 10$ de ma poche en le roulant. J'ouvrais alors le sachet, tout en saupoudrant l'évier de quelques grammes. Avec mon billet, j'en faisais une ligne, que je pris d'un trait en approchant le billet de mon nez. Ce rail me fit l'effet d'une explosion dans la tête, comme le firent précédemment les double jack. Quelques petites particules restaient sur l'évier, minimes particules que je décidais de prendre sur la langue pour ensuite embrasser la jolie et sexy Gaïana. Avant cela, je décidais de maintenir mon regard fixant et insistant rempli de sous-entendus pour lui dire:

- Je pense que nous allons nous amuser ce soir ma jolie Gaïana!

Tout en rigolant. D'un coup de langue, je pris les restes de cocaïne sur l'évier et sans ferme la bouche, je me précipitais vers Gaïana pour l'embrasser langoureusement, à grands coups de langue. La cocaïne s'était alors dissipée de ma langue et devait maintenant faire un léger effet, plus léger que le rail que je venais de prendre, dans son organisme. De plus, ceci avait fait naître une osmose entre la jolie européenne de l'est et moi même. Mon cerveau s'était vrillé et mon coeur bâtait à la chamade, mélange entre l'excitation qui naissait de nos baisers langoureux accompagnés de mains baladeuses et de la poudre blanche qui tapait dans mon crâne comme un marteau aurait pu le faire sur un clou.
Néanmoins, je décidais de me reculer à nouveau, pour prendre la fine fiolle qui m'accompagnait souvent en soirée, remplie de whisky, j'en pris une profonde rasade qui, combinée à la drogue que je venais de prendre faisait un mélange explosif et me mit d'aplomb pour la suite de la soirée qui s'annonçait tout autant explosive.

La fiole dans une main, l'autre sur ses fesses, cette dernière passa alors une limite, franchissant la barrière symbolique pour se poser à proprement parler sur les fesses de Gaïana. De cette main, je serrais fortement ses fesses, passant même par dessus ses sous-vêtements, tout en faisant acte de langue et embrassant à pleines bouchées mon amie de la soirée. Alors que nos bouches étaient plongées l'une dans l'autre et que ma main se baladait sur ses douces fesses, une lueur de bon sens fit face et il me semblait donc logique de lui proposer une rasade, un rail ou même les deux. J'étais dans un état clairement second voire tertiaire, autant qu'elle le soit elle aussi (si elle le désirait), la suite ne pourrait qu'en être meilleure.
Je retirais alors ma main de ses fesses pour la passer à nouveau au dessus de son legging zébré. Mais ce n'était qu'un aurevoir, j'y reviendrais bientôt et de manière probablement différente. Ma main était même remontée au niveau de ses hanches et j'enlevais alors délicatement mes lèvres des siennes pour lui demander:

- Je t'ai juste donné un peu de cocaïne par un baiser, mais peut-être que tu vois toi-même un rail ou une rasade de whisky bien corsé? Ou même les deux d'ailleurs?

En parlant de cocaïne, j'avais laissé mon billet de 10$ dans l'évier, il était encore prêt à l'usage. Je la regardais droit dans les yeux. Des yeux qui voulaient tout dire et n'attendait qu'elle, une fois qu'elle aurait choisi que faire, cocaïne, whsiky ou les deux, la seconde vitesse serait passée et les choses s'annonceraient différentes. Mais chaque choses en son temps.
Je me rapprochais alors à nouveau d'elle, m'approchant de son oreille, la mordillant à nouveau et lui glissant:

- Choisis ce que tu veux, prends ton temps, la suite sera encore meilleure, parole d'Anglais.

The show must go on.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeJeu 6 Fév - 21:32

Andrew était venu à elle, retrouvant la saveur de ses lèvres sur les siennes après cette courte pause et elle sentit le bras du jeune homme venir lui entourer les hanches. Ce contact lui semblait étrangement agréable. Elle n'attendait que ça. Elle ne connaissait rien de plus enivrant qu'un homme qui la désire la touche, la caresse, la possède tout entière.

Le jeune homme ferma violemment la porte d'un bref coup de pied faisant bondir le coeur de Gaïana dans sa poitrine par la même occasion. Même si l'endroit était plus au moins à l'abri de gens indiscrets, ils ne l'étaient pas pour autant pour les travailleurs de la boîte. Mais les pensées de Gaïana changèrent rapidement de point d'intérêt. Les mains d'Andrew descendaient dans son dos pour venir palper ses fesses rebondies alors que sa bouche migrait dans son cou. La soviétique avait l'impression d'être littéralement électrocutée par ces diverses marques d'attention auquel elle répondait par quelques petits gémissements.

Ses mains toujours posées sur son torse allaient commencer à déboutonner la chemise d'Andrew mais ce dernier réservait d'autres surprises aussi. La première étant son petit sachet de poudre blanche. De la drogue. Encore. La jeune fille avait l'impression de ne pas savoir se passer de drogues. C'était presque chaque jour, et au moins trois fois dans la semaine. Saurait-elle encore s'en passer si elle en serait un jour dans l'obligation d'arrêter tout, entièrement, d'un coup ? Non, certainement pas. Elle devait se l'avouer, elle était devenue une véritable junkie, accro. Bien qu'elle n'exagérait pas encore trop, elle ne pouvait décidément plus s'en passer.

Andrew lâcha son étreinte pour se faire un rail sur le lavabo, le sniffant via un billet de dix euros qu'il avait roulé. Elle le regardait faire, incapable de bouger, l'esprit embrumé par sa tequila et ses quelques shots de vodka précédents et aussi par ses questionnements intérieurs. Vite, qu'il recommence ses caresses car elle ne se sentait plus aussi... Sûre d'elle. Elle voulait de l'attention. De l'amour. Du sexe.

En avait-il déjà pris avant ? Avait-il déjà sniffé cette poudre blanche avant de la voir ? Qui sait. Elle ne savait pas exactement quelle drogue c'était. Après tout, des poudres blanches, il y en avait des tas et cela pouvait un peu être n'importe quoi. Mais vu la vitesse à laquelle le jeune homme semblait ressentir les effets, cela ne devait pas être du speed avec lequel il fallait environ une demi-heure d'attente. Ces effets semblaient également plus forts, plus explosifs, plus intenses. Elle tiquait enfin en entendant sa phrase mythique « Je pense que nous allons nous amuser ce soir ma jolie Gaïana! », un véritable tue-l'amour. Mais il dit cela avec une telle confiance en soi, avec tellement d'aplomb et de conviction que la jeune fille n'y fit même plus gaffe. Cocaïne. C'est le premier mot qui lui vint à l'esprit, qui concordait avec les différentes preuves. Poudre blanche, effet immédiat, intense et procure une bonne impression de puissance et du coup, d'assurance.

Gaïana fut cependant heureuse de le revoir venir vers elle, accueillant son baiser avec soulagement. Un restant de poudre blanche s'immisçant dans sa bouche et fondant sur sa langue avec un goût délicat de composés chimiques. Et ce ne fut pas long. Rapidement, elle sentait son corps gagner une vigueur nouvelle, presque imperceptible mais elle sourit.

La deuxième surprise, après avoir embrassé Gaïana, bien sûr, était sa petite fiole qu'il venait de sortir d'on ne sait où auquel il but une rasade avec détermination. Whisky, à croire ce qu'il disait. La nymphomane émit un petit gémissement à ses mots, non pas que sa proposition était alléchante mais parce que la main d'Andrew se faufilait sous ses vêtements et la déconcentraient un peu. Puis, elle n'en voulait pas plus. Ne résistant pas énormément à l'alcool, elle se sentait suffisamment loin ainsi, et elle avait de mauvais souvenirs avec la coke. Très mauvais, elle s'en méfiait pas mal même l'esprit confus.

Le regard lourd d'Andrew la fit frissonner, il attendait sa réponse mais finissait par venir lui mordiller l'oreille et de préciser sa suggestion. Prendre son temps ? C'est sans doute ce qu'elle allait faire mais elle désirait surtout prendre son pied ! Elle mit ses mains dans la nuque d'Andrew pour le rapprocher d'elle, l'embrassant et laissant ses doigts descendre pour revenir sur les boutons de sa chemise qu'elle entreprit de défaire, un par un, à son aise. Et elle murmura alors dans son oreille :

« Après. »

Les boutons défaits, elle lui faisait enlever sa chemise. Elle voulait attaquer la suite, sans attendre.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeDim 9 Fév - 12:56

J'étais bourré. J'étais défoncé. L'effet de moultes whiskies et de ce rail de cocaïne m'avaient mis dans un état totalement second. Mais un état heureux, je n'étais pas défoncé et bourré au point d'être inerte. Bien au contraire, j'étais d'attaque. Prêt à passe à l'attaque avec ma conquête du soir, Gaïana, qui n'en attendait pas moins.

Pour être tous les deux sur la même longueur d'ondes, j'avais proposé, entre quelques embrassades, un peu de cocaïne ou une rasade de whisky à Gaïana. Ce qu'elle avait courtoisement refusé. Non pas que nous n'étions pas dans le même délire, elle ne semblait pas encline à abuser de substances. Ce qui contrastait avec moi, enclin à la prise de diverses substances pouvant permettre de mettre de côté mes défauts d'approche. Elle m'avait cependant dit, "après", ce qui signifiait qu'elle aurait peut-être envie de prendre l'une ou l'autre substance après ce que nous avions à faire. Oui, nous avions fort à faire.

Je la sentais, à attendre que je prenne réellement les choses en main pour qu'ensuite tout puisse décoller. Elle ne voulait pas le faire, pas tout faire du moins. Car oui, après avoir passé ses mains dans ma nuque, sur mon dos, les avoir faites se balader sur mon torse, elle entreprenait maintenant, tout en m'embrassant à pleines lèvres et à grands coups de langue, de déboutonner un par un les boutons de ma chemise. Les boutons étaient maintenant tous défaits et m'invitait à enlever cette dernière. Pas de soucis, mais j'allais même enlever le dessous de ma chemise, c'est à dire le t-shirt que je portais en dessous de celle-ci. Ma chemise retirée dans la main, je décidais de retirer, dans la foulée, mon t-shirt. Ma chemise dans une main, le t-shirt uni dans l'autre, je les regroupais pour n'en faire qu'un amas et le balancer négligemment dans l'évier.

Je n'avais pas un corps de culturiste, loin de là, mais j'avais cependant quelques muscles, à mon sens bien placés, qui me permettaient, une fois " l'emballage " retiré, de pouvoir plaire aux filles. Et j'étais désormais torse nu, me dirigeant à nouveau vers elle pour littéralement me coller à son corps. Son corps qui était encore trop habillé à mon goût. Plus pour longtemps. J'avais à nouveau posé mes lèvres sur les siennes, tandis que mes mains reprenaient leur place de tout à l'heure dans un legging que je prenais du plaisir à descendre peu à peu. Mes mains sur ses fesses, mes lèvres s'en allaient de sa bouche pour aller mordiller son oreilles, embrasser son cou, puis descendre et enfin, à coup de petits bisous, me retrouver dans son décolleté, à embrasser son tatouage ou plutôt son entre-sein.

Pour l'occasion, mes mains étaient remontées dans son dos, sous son t-shirt où elles caressaient sa douce peau mais se retrouvaient confrontées à des sous-vêtements qui n'auraient plus lieu d'être. Ce soutient-gorge me troublait mais cela ne m'empêchait pas de la toucher, faire des allers-retours de haut en bas de son dos qui la faisaient frissonner, je le sentais, c'était le but. L'excitation montait en nous, nous étions de plus en plus tactiles, de plus en plus entreprenants.

J'étais torse nu, face à elle, je voulais qu'elle en fasse de même. Alors que ma bouche faisait le voyage entre ses seins que je bécotais comme je le pouvais au dessus du soutien-gorge et sa bouche que j'embrassais fougueusement, mes mains descendirent vers ses fesses, mes doigts se glissant sous son legging, tant devant, que sur le côté, que derrière. Mais en réalité, c'était pour avoir une prise sur son t-shirt, une prise en bas de celui-ci pour pouvoir le remonter et lui enlever délicatement. C'est ce que je m'empressais alors de faire, la bouche toujours contre la sienne, je remontais délicatement son t-shirt jusqu'à devoir enlever ma bouche de la sienne pour pouvoir enlever totalement le t-shirt. Elle avait certes encore son soutien-gorge, mais plus pour longtemps. Je repartais à l'assaut de sa bouche, de son coup, et désormais de ses seins plus facilement accessibles.

J'étais collé à elle, mon torse-nu contre le sien qui l'était à moitié, les frissons et l'excitation atteignaient des sommets. Mes mains descendirent sur ses fesses sous le legging encore une fois, tout en lui caressant, je la ramenais vers moi. J'étais sur qu'elle pouvait sentir, collé à elle, que mon pantalon commençait à devenir serré et à ne plus me contenir.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeMer 12 Fév - 11:59

Elle avait terminé de défaire les boutons et Andrew l'aida à l'enlever tout en prenant sa chemise par la même occasion. Il déposa négligemment ses affaires sur le lavabo. Gaïana en profitait pour dévorer son corps du regard. Les mains chaudes du jeune homme reprirent possession de son corps, le parcourant avidement tout en insistant sur le renflement de ses fesses, laissant le legging descendre par moments sans l'en dévêtir entièrement. Les lèvres d'Andrew descendaient le long de son cou, puis encore plus bas, se perdant dans son décolleté. La soviétique tira la tête en arrière comme pour lui donner un meilleur accès à cette partie de sa personne et sa bouche laissa un faible gémissement s'échapper.

Gaïana sentait alors les mains de l'anglais remonter sous son tee-shirt désorienté par la présence de son soutien-gorge. Ses doigts glissèrent le long de son dos occasionnant de nouveaux frissons qui la fit se cambrer contre lui, se pressant plus fort l'un contre l'autre.

Le visage d'Andrew effectuaient des aller-retours de ses lèvres à ses seins alors que ses mains repassaient sous son legging. Il finit par attraper son haut et le souleva pour le lui enlever, à son tour. Gaïana le laissait faire, elle levait les bras pour ne pas le gêner. Ils s'embrassèrent jusqu'au dernier moment. La soviétique émit un petit cri en sentant les dalles froides du mur dans son dos. Sans y faire attention, le jeune homme revenait baiser sa gorge, sa poitrine et tentait d'atteindre le bout de ses seins à travers le tissu de son sous-vêtement. Elle sentait son souffle haletant se cogner contre sa peau lui donnant en l'occurrence, la chair de poule.

L'anglais se pressait encore contre elle, le bas de son corps appuyé contre elle. Gaïana sentait son érection à travers son jeans, à travers sa culotte déjà humide et cela suffit pour lui arracher une petite plainte. Dans l'urgence, ses mains repoussèrent brusquement le jeune homme. Il faut dire qu'il arrivait parfois que Gaïana manque de délicatesse. Elle retourna alors le jeune homme, le plaquant à son tour contre le mur. Simple petit échange de place. Son regard de braise reluquait l'anglais, la bouche entrouverte. Ses yeux s'attardaient sur son torse dont on devinait les muscles sous la peau et son entrejambe tant convoité.

La soviétique commença dès lors à se rapprocher, joignant ses lèvres à celles d'Andrew avant de descendre doucement dans son cou puis le long de son torse. Sa langue sillonnait la moindre parcelle de peau, mordillant ci et là sans jamais cesser de descendre. Ses mains avaient déjà trouvé son pantalon et entreprenaient déjà de défaire sa braguette et le bouton qui l'empêchaient encore d'accéder à sa virilité. Sa bouche en était arrivé à son bas-ventre lorsque enfin, elle put lui retirer son jeans et son caleçon. Elle leva ses yeux pour regarder Andrew comme pour lui demander son accord. Son regard et sa manière d'être exprimaient une faim vorace, carnassier et insatiable. Gaïana s'agenouilla devant lui et prit son membre épais dans le creux de ses mains. Sa bouche passant délicatement sur son sexe, le titillant, avant de l'accueillir entre ses lèvres et le taquiner du bout de sa langue.
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MessageSujet: Re: C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!   C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!! I_icon_minitimeMer 12 Fév - 23:53

C'était une belle soirée, mais là, la température était devenue irrespirable. J'avais l'impression qu'il faisait 50 degrés. Et pourtant, j'étais torse-nu, contre le torse à moitié nu -simplement couvert d'un soutien-gorge- de la jeune soviétique. L'alcool et la drogue faisaient effet (et ne faisaient pas semblant) dans mon cerveau. Je me sentais dépourvu de tout discernement. En temps normaux, jamais je n'aurais pu faire une telle chose. Mais là, ma bouche était collée à la sienne, puis descendait dans son cou, entre ses seins qu'elle faisait tout pour mettre en évidence en se cambrant de manière à la faire ressortir.

Les allers et retours de mes lèvres se déposant sur les parties hautes de son corps la faisaient frissonner. Elle esquissa un gémissement lorsque son corps, plus précisément son dos, nu, toucha pour la première fois les dalles froides. Pour ne pas arranger la chose, je la tenais, main sur ses fesses dans son legging, la rapprochant de moi, nos sexes respectifs collés l'un à l'autre, séparés par de simples vêtements qui risquaient de se retrouver écartés d'ici peu.

Contre tout-attente, elle me poussa. Je fus surpris totalement, tellement que, j'allais ouvrir la bouche pour lui demander ce qu'il se passait

- .... ....

Mêlant surprise, appréhension et alcool/drogue, rien ne sortit de ma bouche. Qu'avais-je pu faire? En une fraction de seconde, j'imaginais le pire. Mes pensées n'étaient pas claires, embrumées par les multiples whisky cul-sec et par ce petit rail de cocaïne. Avais-je été maladroit comme je savais si bien l'être à mon grand détriment lorsque j'étais sobre? Si tel était le cas, j'étais vraiment maudit, incapable de m'adresser, par la parole ou par les gestes à une femme.

Cette hésitation ne dura qu'une poignée de secondes. Et c'est également en une fraction de secondes que Gaïana me retourna, contre le mur, pour que cette fois-ci, je sois collé au mur. Je ressentais la sensation qu'elle eut quelques minutes plus tôt, les briques froides sur un dos nu. J'acceptais aisément cela, mon corps était brulant, ma température corporelle touchait les sommets et ces briques permettaient d'éteindre, ne serait-ce que légèrement l'incendie qui parcourait mon corps.

J'étais rassuré, je n'avais pas commis d'impair. Tout allait pouvoir reprendre son cours. Elle me regardait, d'un regard de braise qui enflamma de nouveau mon corps, me faisant oublier la fraîcheur des briques dans mon dos. Elle revint poser ses lèvres sur les miennes, puis, à l'instar de ce que j'avais précédemment fait, elle descendit le long de mon cou, puis de mon torse, entièrement nu. Ses lèvres embrassaient chaque minime partie de mon corps. Alors que ses lèvres descendaient progressivement, l'une de ses mains défaisait, ou du moins tentait de défaire le bouton et la braguette de mon jean. Elle parvint à ses fins lorsque sa bouche arriva au niveau de mon nombril. Elle baissa alors mon pantalon, puis mon caleçon pour que ceux-ci se trouvent au niveau de mes genoux.

Alors que je me retrouvais dans le plus simple appareil, elle s'agenouilla, puis me regarda dans les yeux, comme pour me demander l'aval d'entreprendre des choses d'adultes. Mon regard attrapa au vol le sien, et elle lut aisément qu'elle avait carte blanche. Elle saisit alors mon sexe dans ses mains, puis en rapprocha ses lèvres, les passer dessus et jouer avec sa langue. Cette sensation de plaisir extrême me figea au mur, comme paralysé de plaisir. L'une de mes main était perpendiculaire à mon corps, collée au mur, l'autre caressait les cheveux de Gaïana qui effectuait des allers-retours avec sa bouche le long de ma virilité. Elle savait indéniablement s'y prendre. Il lui arrivait parfois, tout en continuant, de lever ses yeux vers moi, me regardant en levant les yeux, ce qui m'excitait au plus profond de moi-même. Mon bras qui était sur la tête de Gaïana vint se mettre à l'opposé de l'autre bras déjà collé au mur pour faire de moi une "croix humaine".

Au bout de quelques minutes, j'entrepris de descendre à sa rencontre. Elle était toujours à genoux, sa bouche desserra son étreinte. Avant de descendre la rejoindre, j'enlevais mes chaussures négligemment à l'aide de mes pieds, retirait le pantalon et le caleçon qui se trouvaient à mes chevilles pour me retrouver nu comme un vers.
C'est alors que je rejoins Gaïana, à même le sol. Je l'allongeais délicatement contre le sol froid, ce qui la fit à nouveau frissonner.

Nu comme un ver, je me collais à elle, mon corps sur le sien, encore habillé de son soutien-gorge et de son legging. Je l'embrassais, maintenu au dessus d'elle par la force de mes bras, puis enfin d'un seul bras, l'autre me servant à lui descendre son pantalon et par la même occasion sa culotte. Je descendis ceux-ci au niveau de ses genoux.
Allongé sur elle, nos sexes respectifs s'entrechoquaient, cette fois-ci nus. Je l'embrassais, tout en laissant glisser ma main qui se retrouvait sur son sexe humide, laissant introduire un doigt la faisant gémir. Un petit gémissement, de plaisir visiblement sortit de sa bouche.

Son soutien-gorge était toujours là, mais mes lèvres descendaient, petit à petit, le long de son corps, de ses lèvres, à son cou, puis ses épaules, son entre-seins, un petit coup de langue pour descendre jusqu'au nombril. Au même moment, ma main caressait toujours son sexe humide. J'arrivais alors avec ma bouche jusqu'à son sexe. Sans faire comme elle, c'est à dire sans la regarder dans les yeux pour demander son aval, ma langue se joncha entre ses deux lèvres, sur son petit clitoris. Un gémissement un peu plus prononcé sortit de sa bouche. Je comptais bien lui rendre la pareille avant que nos corps ne fassent plus qu'un. Lui rendre la pareille, tout en espérant, que je serais aussi performant et lui donnerait autant de plaisir qu'elle m'en avait donné.

Les choses sérieuses commençaient.
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C'est en dansant n'importe comment qu'on chope n'importe qui *PV Andrew* !!!HOT!!!

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