Sujet: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mar 5 Sep - 12:55
You're the Cheese Of My Tacos
ft. Jordan Keller
La Famille, c'était très important pour Alexie et elle s'était rendu compte qu'en ce moment ,elle négligeait un peu trop ses parents à son goût. C'était Jordan, lors de leur soirée au restaurant, qui lui avait fait faire le déclic, bien sûre, l'homme ne le savait pas mais quand elle était rentrée chez Hank, elle avait regarder le prospectus du restaurant de son père avec un sourire tendre sur le visage. C'était décidé, elle allait aller voir ses parents, son agenda étant vide, elle pouvait clairement s'autoriser cette visite dans l'Eastside.
Elle n'avait pas prévenu ses parents de sa venue, elle aimait leur faire des surprises. Garant sa voiture dans un endroit plutôt reculé, elle était entrée dans l'immeuble crasseux de ses parents. Sonnant à l'interphone, espérant qu'ils soient présent, elle avait entendu la voix rauque de son père, un sourire apparaissant sur son visage, sa voix devenait du plus en plus rauque, traduisant qu'il avait dû encore une fois augmenter sa consommation de cigarette, annonçait la surprise de l'homme d'entendre sa fille. Si d'extérieur, l'immeuble semblait pauvre de repoussait les visiteur, l'intérieur de l'appartement des Greatfield pouvait être jalouser par leurs voisins. Il était chaleureux et on s'y sentait de suite bien. Elle avait vécut ici pendant 18 ans et à chaque fois qu'elle revenait, c'était avec plaisir qu'elle revisitait l'endroit. C'était une petit appartement comportant deux chambre, une cuisine séparé de son salon et une petite salle de bain. C'était bien assez pour ses parents qui vivaient simplement.
Sa mère, assise dans son éternel fauteuil en tissus rapiécé, avait été heureuse de voir sa fille, son père, en cuisine, prépara un bon repas pour trois comme il n'avait plus eu l'occasion de le faire depuis longtemps. Les conversations fusèrent, la bonne humeur aussi. Bientôt 14h arriva et le père Greatfield dû partir pour Great Nachos, Alexie l'accompagna pour se mettre au fourneaux, ça lui arrivait parfois quand elle était jeune, de venir jouer les cuisinières. Elle s'installa en cuisine tandis que son père ouvrit la boutique. Rapidement, des gens arrivèrent pour commander, Alexie travaillait dure et son père était fière de la voir ici avec lui. Il faut dire que ça n'arrive tellement peu souvent...
La sonnette de la porte retentit, une patrouille de police arriva et commanda, le père Greatfield annonça les commande, à ce moment là, Alexie arrive, les bras chargé de tortilla, du fromage sur la joue, un tablier de l'enseigne sur elle, le sourire aux lèvres. "Bienvenu au GreatNachos, j'espère que vos plats seront aussi délicieux que d'habitude même si c'est moi qui vous cuisine aujourd'hui!"
Billy Lighter
Jordan Keller
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Who Am I? Age: 40 Date de naissance: 30/05/46 Localisation: Eastside Birth place: Carson City, Nevada Je suis: colérique Song: Brothers In Arms - Dire Straits
Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mar 5 Sep - 18:09
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
-Bon ! Il est…
Conrad regarda sa montre…
-18 :30… Où est-ce qu’on bouffe ?
Regardant droit devant moi au volant de la voiture de patrouille qu’on avait stationnée à un endroit plutôt malfamé de l’Eastside en sachant très bien que ça emmerderait le monde, mais qu’au moins, pendant qu’on serait là, il ne se passerait rien, je répondis du tac au tac.
-Great Nachos.
Conrad se tourna brusquement vers moi, les sourcils froncés, désespéré.
-Encore ?!
Je répétai :
-Great Nachos.
Conrad fit une moue qui était à moitié un sourire en coin.
-Oh toi ! Tu couves un truc… Et c’est pas la grippe.
Bon… D’accord, c’était la troisième fois d’affilée qu’on allait manger au Great Nachos… Je gardais les yeux rivés droit devant, sur le vide complet étant donné que nos petits amis les dealers du coin, de même que leurs petits frangins vandales et autres joyeusetés de la faune des bas-fonds de l’Eastside avait détalé voir ailleurs si on y était un peu après que nous ayons stationné la voiture strippée sur la petite place.
Mais je n’avais pas pu m’empêcher de sourire, ce qui avait totalement décrédibilisé l’air sérieux que j’avais arboré jusque-là.
Evidemment que Conrad était au courant. J’aurais eu du mal de lui cacher comment s’était passé mon dîner avec Alexie, vu le nombre de questions qu’il m’avait posées. Il était pire qu’une gonzesse pour ce qui était de ce genre de truc.
Enfin, bref, du coup, il savait très bien pourquoi on se tapait des nachos à chaque patrouille…
Et ce fut pour ça qu’il fit semblant d’abdiquer assez vite et que je pus démarrer la voiture pour prendre le chemin qui nous mena au Great Nachos. Ouais… Il faisait « semblant », parce que ça ne le faisait pas chier du tout ! S’il y en avait un qui voulait plus que tout au monde qu’il se passe quelque chose entre la journaliste et moi, c’était bien mon binôme !
On entra dans le petit restaurant et salua le vieux Greatfield, comme d’habitude, bien que mon regard à moi fit un rapide tour de la salle. Je savais ce que je cherchais, ou plutôt qui je cherchais et Conrad le savait aussi. Mais pas de trace d’Alexie. En même temps, on ne l’avait jamais vue ici avant que je ne la rencontre sur les routes sinueuses de Malibu…
Alors pourquoi ça changerait maintenant, hein ? Jordan ?
Ce fut donc un peu déçu, mais essayant de le cacher, que je commandai une double portion de nachos avec de la sauce au fromage et un supplément de piments pour aller avec.
Je fronçai un peu les sourcils en voyant Greatfield transmettre notre commande dans l’arrière-salle, mais sans disparaître lui-même. On s’installa au comptoir et le vieux Greatfield nous offrit une canette de coca, comme d’habitude.
-Bah… Vous cuisinez pas aujourd’hui ?
Un sourire illumina le visage du gérant qui répondit :
-Ah non ! Je délègue aujourd’hui ! J’ai la chance d’avoir un peu d’aide…
Et c’est là que je me retrouvai bouche bée quand Alexie déboula de la cuisine avec nos plats sur les bras. Conrad, lui, manqua de s’étouffer avec son coca parce qu’il éclata de rire rien qu’à voir ma tronche.
Je secouai la tête et me repris, un sourire presque béat aux lèvres.
-Salut… Attends.
Je tendis les bras pour prendre les plats et les poser sur le comptoir afin de débarrasser Alexie puis me penchai au-dessus pour lui faire la bise sous le regard suspicieux de son père…
-Je m’attendais pas du tout à te voir ici…
Conrad… fit ce que tout binôme ferait à ce moment-là…
-Tu parles ! Trois jours qu’on bouffe des nachos rien que dans l’espoir de voir vos beaux yeux !
Bienvenue dans la vie d’une équipe de flics… Avec toute la subtilité que ça implique…
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 6 Sep - 17:04
You're the Cheese Of My Tacos
ft. Jordan Keller
Durant toutes ses années, l'ambiance dans le restaurant du père Greatfield n'avait pas changé, il y avait toujours cette radio, en fond sonore, où passait les nouvelles chansons, les habituées, les "vieux" comme aimait les appeler le père d'Alexie, il y avait les types louches qui louchaient sur Alexie quand elle amenait les plats à table et bien sure, l'éternelle odeur de viande et fromage mélangés. Cette après-midi là, Papa Greatfield était heureux de dire aux clients qui connaissaient par coeur les histoire de sa "gamine" , qu'elle était là, à l'aider dans sa tâche. Parfois, elle arrêtait les fourneaux pour discuter avec le vieux Pablo à qui elle avait piquer un pistolet étant jeune car elle pensait qu'il était d'une valeur inestimable, elle rencontrait les nouvelles générations, dont le bébé d'une copine qu'elle avait dans sa classe quand elle était au collège, l'une des seule qui n'avait pas mal tournée et elle rajoutait des canettes de coca aux flics qui passaient par là.
Bien sûre, quand elle voyait un homme en uniforme, elle avait l'espoir de voir Jordan étant donné qu'il venait souvent ici, son père n'avait pas tarder à comprendre son stratagème et se demandait même si elle n'était pas venu pour cela, il l’avait coincé en cuisine, à l'heure où il n'y avait pas d'influence, pour lui demander si c'était le cas. Elle lui avait sourit, l'avait enlacé avant d’embrassé le haut de son crâne chauve en lui indiquant qu'elle l'aimait. Elle n’avait pas répondu autre chose, retournant devant le four. L'après midi était passée à une vitesse folle, elle n'avait pas vu l'heure passée entre les devoirs "professionnels" et ceux les présentations que son père lui faisait. Il avait même essayé de la caser avec Steve, le nouveau client qui était "pas mal du tout et dans l'âge d'avoir un enfant" elle avait rougit avant de bredouiller qu'elle devait se remettre au travail.
Quand sont père lui avait donner de nouvelles commandes, elle avait prit son travail à coeur, au moins, cela soulageait un peu son père qui devenait trop vieux, selon elle, pour continuer à diriger ce vieux coucou. Elle sortit de la cuisine et découvrit à ce moment là Jordan. Elle eut un large sourire en arrivant au comptoir, les bras charger de leur commande alors que le père Greatfield était avec eux. Conrad, si c’était comme ça , dans ses souvenir, qu'il s’appelait, riait aux éclat alors que Jordan avait l'air bien surpris de la voir. Il avait été tellement dans cet état qu'il l'avait tutoyer en prenant les plats de la jeune femme. "Salut" avait-elle dit en souriant. Comme il avait abandonner le vouvoiement, elle allait faire de même. Il lui fit la bise et c'était surprenant, elle avait quitté u nJordan, au restaurant, assez timide, il lui avait simplement fait un baiser sur le front avant de partir, et là, elle avait le droit à deux bises sur les joues. Rougissant un peu, son père se racla la gorge, Alexie le regarda en haussant les épaules avant de regarder Jordan tandis que son collègue le grilla directement, arrachant un rire franc à la jeune femme. "C'était improvisé, je suis venu chez mes parents aujourd'hui et mon père avait besoin d'aide alors je me suis proposé. Je faisait souvent ça quand j'étais plus jeune, pendant les vacances."
Elle regarda l'homme en tenu de policier en souriant. "Si tu voulais me voir, tu pouvais m'appeler" avait-elle dit en faisant un clin d'oeil. Son père avait sû pour le sauvetage et lui avait déjà dit au combien il avait été reconnaissant, cependant, il n'aimait pas les voir ainsi. Il regarda Jordan, pointant son doigts d'un air menaçant sur lui. "Je vous aimes bien agent Keller mais n'allez pas sortir avec ma fille ,vus êtes trop vieux pour elle, elle a besoin de quelqu'un qui lui fasse des enfants!" Alexie s'étiat retournée vers lui, les yeux ronds. "Papa!" "Quoi? Je veux des petits enfants! Tu sais que Steve m'a dit qu'il te trouvait mignonne, même avec le morceau de fromage que tu as de collé sur ta joue depuis ce midi!!" Décidément, ils n'étaient pas aider des deux côtés. Rouge comme une tomate, elle elle lui indiqua qu'une commande allait être passé par des nouveaux clients et qu'ils fallait qu'il y aille. Une fois qu'il fut partit, elle regarda les deux hommes. "Je suis désolé de son comportement, c'est le sujet du jour et..Enfin bref..Bon appétit!" avait-elle dit en se mordillant la lèvre, à deux doigts de partir se réfugier -se cacher même- dans la cuisine.
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Jeu 7 Sep - 12:15
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
Je ne savais pas si c’était la surprise, le fait d’être sur mon terrain dans l’Eastside ou simplement le fait que j’avais mariné depuis un moment depuis notre dernière rencontre, mais quand Alexie apparut, surgissant de la cuisine les bras chargés de notre commande, je l’avais directement tutoyée. Bien sûr que, comme le souligna Conrad, on venait exprès ici dans l’espoir de voir la jeune femme (enfin surtout moi), mais c’était pas une raison pour le crier haut et fort !
Mais puisque c’était fait, je m’étais penché, après l’avoir débarrassée des plats, au-dessus du comptoir pour lui faire la bise. Ce n’était pas exceptionnel. Autant Conrad que moi, on vivait dans l’Eastside et on y connaissait donc un tas de monde. Et on allait pas nier les gens qu’on connaissait ou éviter de leur faire la bise ou de leur serrer la main uniquement parce qu’on était en uniforme.
Enfin soit… Heureusement, la remarque de Conrad avait fait franchement rire Alexie… Mais un peu moins son père qui avait soudain un air sérieux alors que le vieux Greatfield que nous connaissions était on ne pouvait plus souriant quelles que soient les circonstances, même quand il avait l’air crevé.
Mais je ne fis pas attention à lui dans un premier temps, toute mon attention étant sur Alexie.
-J’aurais bien voulu mais pas moyen d’avoir une conversation privée au commissariat…
Je filai un coup de coude à Conrad pour désigner à la jeune journaliste d’où venait mon problème d’intimité au travail…
Mais ça n’en était pas moins vrai que depuis ma sortie avec Alexie, on avait pas arrêté… Les Los Diablos étaient particulièrement nerveux, en particulier la nuit où les bagarres avec les South Panthers se multipliaient, à cheval entre l’Eastside et South L.A. Et tout policier qui se respectait pouvait sentir cette tension. Les plus anciens d’entre nous n’arrêtaient pas de parler de 1965 et de la mort du vieux Ricardo qui avait été remplacé par l’insaisissable Alonso. Les anciens disaient que ça puait le changement de main chez les South Panthers et que les Los Diablos attendaient le moment de la transition, qui allait affaiblir le gang, pour les bouffer tout cru.
Du coup, les plus jeunes des deux gangs se provoquaient entre eux, nous forçant à intervenir pour maintenir l’ordre, le temps que dans les hautes sphères sordides du grand banditisme, ils arrangeaient la transition… Sans qu’à notre niveau, on ne puisse rien y faire…
Enfin soit, papa Greatfield était pas d’accord que je sois aussi familier avec sa fille. N’ayant pas d’enfant moi-même et ayant grandi dans une fratrie de quatre garçons, je ne pouvais pas savoir quels étaient les liens de protection qui se tissaient entre un père et sa fille. Alors je regardai le père Greatfield un peu interloqué quand il me pointa du doigt en opposant son veto à… A rien du tout, en fait…
-Qui a parlé de sortir avec votre fille ?
Conrad leva la main, la bouche déjà pleine des nachos qu’il avait commencé à manger et reçu un deuxième coup, derrière la tête, de ma part.
Je continuai, rigolant à moitié. Ce qui faisait stresser Greatfield, c’était la peur de mourir sans pouvoir voir ses petits-enfants… Je me laissais pas démonter par Greatfield parce qu’on avait tellement l’habitude de rigoler avec que tout ça semblait être un jeu, malgré que je sentais bien qu’il y avait du vrai dans sa trouille de ne pas avoir de descendance.
-Et puis merci, je suis pas vieux ! J’ai que 36 ans !
J’en faisais peut-être un peu plus, mais ça, c’était un autre problème.
Alexie, bien que rouge pivoine, ne se laissa pas démonter non plus et envoya son père voir ailleurs si on y était. Et comme une ultime provocation, je me penchai à nouveau sur le comptoir, mon arme à mon ceinturon s’accrochant un peu au bord, pour tendre le bras et aller chercher le morceau de fromage en question sur la joue d’Alexie pour le jeter ensuite sur une serviette qui était sur mon plateau.
Elle s’excusa pour le comportement de son père et je lui souris.
-Oh, on a l’habitude, ne t’inquiète pas. Il nous pique une petite crise de temps en temps…
Conrad, lui, en rajouta une couche en mettant ses mains en porte-voix en direction de papa Greatfield :
-Mmmm ! C’est encore meilleur que d’habitude !
Je rigolai à la blague de Conrad tout en piochant à mon tour dans les nachos, mais je n’avais pas quitté Alexie des yeux.
-Comment ça va ?
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Dim 10 Sep - 19:22
You're the Cheese Of My Tacos
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Le fait que Jordan vienne dans le restaurant de son père plusieurs fois dans la semaine juste pour essayer de la voir l'a touchait beaucoup, elle trouvait ça même plutôt mignon même si on pourrait clairement pensé que cela serait dans le domaine du harcèlement. Elle lui avait sourit doucement en lui indiquant qu'il aurait très bien pu l’appeler mais elle comprit très vite que le privée était quelque chose de rare pour l'homme. Elle ricana un peu quand il indiqua Conrad, il n'avait pas eu besoin de l'indiquer, elle l'avait de suite comprit au vue du comportement de son collègue.
Cela serait mentir de dire qu'Alexie n'avait pas attendu un appel de Jordan malgré qu'elle eut été occupé avec Hank. Depuis le jugement qu'avait été donné entre lui et son ex-femme, il était difficile de vivre chez lui. Son ami lui avait demandé de venir habité avec lui pour qu'elle se retrouve et finalement, elle était encore plus stressé avec un Hank à deux doigts de péter les plombs. Elle connaissait son ami, elle savait qu'il ne fallait pas le chercher pendant ces période, surtout qu'Alexie aurait tant voulu aller plaider sa cause pendant le jugement, elle n'arrivait toujours pas à croire que jUlian est enfoncé son ex-beau-père.
L'atmosphère était donc très compliqué, seul un appel de Jordan aurait été une bouffée d'air. Ce n'était pas forcément une sortie qu'elle demandait, juste entendre sa voix, elle aimait beaucoup entendre parler Jordan et cela s'était confirmée aujourd'hui. Mais les sourires que la fille Greatfield donnait au policier n'était pas eu goût du père de celle-ci. Il était du genre très protecteur avait elle, surtout avec la mort de Jordan et Atticus. Il n'avait pas encore eu la chance de connaître le chanteur, mais il avait vu sa fille commencer à redevenir souriante et ses yeux pétillaient. Il ne voulait pas, au fond, que sa fille soufre encore car si elle avait fait cette tentative de suicide, il avait surtout peur qu'elle recommence si jamais elle souffrait à nouveau.
De ce fait, Papa Greatfiled s'était montrer protecteur en annonçant à Jordan qu'il ne fallait pas qu'elle sorte avec elle, Alexie avait été choquée. L'agent de police s'était défendu mais son collègue avait déjà répliqué, ce qui fit rire un peu Alexie , les joues devenant un peu plus rosies. Elle apprit, alors, que Jordan n'était pas plus vieux qu'elle, seulement de 3 ans, Atticus avait été bien plus vieux et il n'en n'avait pas fait tout un plat. Elle avait regarder son ami policier. "Ne l'écoutes pas, il est un peu sur les nerfs en ce moment, ma mère essaie de le faire arrêter de fumer et ça joue sur son comportement." avait-elle dit un peu amusée.
"Je suis comme d'habitude!" avait-il dit les yeux perçant, il tirait de plus en plus la tête, surtout quand il vit Jordan lui enlevé le morceaux de fromage qui trainait sur sa joue. "Merci..." avait-elle dit, le regardant dans les yeux, se mordillant un peu la lèvre intérieur. C'était officiel, il la faisait vraiment craqué. Le père Greatfield partit à ce moment-là en ronchonnant en espagnol. Elle se mit à rire un peu, levant les yeux au ciel. "Il fait semblant d'être espagnol alors que la famille est arrivée en 1890 en Amérique"
Le dirigeant de Great Nachos alla alors dans sa cuisine, laissant sa fille seule avec les deux policier. Elle n'hésita pas à rire aux éclats quand Conrad annonça que les plats étaient encore meilleur que d'habitude. "Vous n'avez vraiment pas peur qu'il vous fasse un mauvais coup la prochaine fois que vous venez, vous" dit -elle à l'encontre de l'homme. Puis, elle regarda Jordan en souriant, s'installant sur un tabouret, le comptoir les séparant. "Ca va, et toi? Pas trop dur la journée? J'ai entendu dire qu'il y a beaucoup de mauvais tours avec les gangs."
Elle prit une canette de coca sous le comptoir et l'ouvrit avant de piquer une chips dans le plat de Jordan. "Tout à l'heure, un homme des Los Diablos à bousculer un des Black pantherns qui était à table entrain de manger, on à éviter la bagarre dans la pièce, ils se sont donné rendez-vous dehors, c'est une autre patrouille qui est venu que vous."
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 13 Sep - 16:37
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
Papa Greatfield, même si mon penchant pour sa fille lui permettait de faire du profit au vu de nos visites un peu plus fréquentes (même si c’était déjà pas mal avant ça, il se passait rarement une semaine sans qu’on aille se restaurer au Great Nachos), était pas d’accord. J’étais pas sûr du sérieux de la chose ou s’il faisait juste semblant. Pas plus que je n’étais sûr qu’il prenait notre « flirt » au sérieux.
Et de toute façon, quoi qu’il dise, Alexie et moi, on était des adultes et tout se jouerait entre nous.
D’autant que j’étais pas vieux !
Heureusement, tout ça faisait rire Alexie qui s’efforça d’excuser son père. Je lui avais souris en retour.
-Très mauvaise idée ça… Très mauvaise !
Que serait le monde sans un paquet ou deux de clopes par jour ? Et quelque part, je comprenais beaucoup mieux l’énervement du père Greatfield, du coup. Il était tout excusé, même si je lui en avais pas voulu jusque-là…
Par contre, je m’étais employé à enlever du beau visage de la jeune femme le morceau de fromage qu’apparemment, son père avait remarqué mais ne lui avais pas enlevé lui-même. Et de la voir mordiller sa lèvre me donna un coup de chaud que j’espérais ardemment que Conrad ne verrait pas. Sinon, il n’allait pas me lâcher et, quoi qu’il arrive, j’en entendrais encore parler dans un an.
Mais heureusement, mon binôme prenait bien plus son pied à emmerder le père Greatfield pour s’occuper de moi. Et personnellement, je n’avais plus d’yeux que pour Alexie, même si j’entendis clairement son père jurer en espagnol avant de disparaître dans la cuisine…
Alexie souligna alors que son père faisait semblant d’être espagnol malgré que leur famille était arrivée aux USA y avait un bail… Je lui souris en mangeant mes nachos, appuyé sur le comptoir.
-On va l’appeler « Greatfieldo » alors, ça lui fera plaisir.
Et Conrad de ricaner… Sûr que le père Greatfield venait de gagner un nouveau surnom.
-Ta mère devrait le laisser fumer. Je le préfère de bonne humeur.
Et quand Alexie demanda si on avait vraiment pas peur de lui, mon binôme et moi furent unanime, secouant négativement la tête exactement de la même façon.
-Au pire, il nous fera faire une overdose de tabasco.
Et Conrad d’enchaîner :
-Et on rentrera plus tôt chez nous pour cause de chiasse carabinée.
Je rigolai suite à la remarque très pertinente de mon équipier, puis Alexie me demanda comment se passait la journée.
-Les jeunes sont casse-couilles, mais ça va. C’est vraiment les plus petits délinquants des deux camps qui se provoquent et se jaugent. A notre niveau en tout cas.
On était que des petits patrouilleurs locaux, pas des enquêteurs. On était là pour rétablir temporairement l’ordre là où ça merdait… Jusqu’à ce que ça merde à nouveau. Ce que raconta par la suite Alexie tout en piochant un nachos dans mon plat, ce qui me fit sourire, était un cas typique du genre de chose dont on s’occupait.
-South Panthers… Pas Black Panthers… Tu lis trop de comics…
Je lui fis un clin d’œil. « South » parce que leur territoire était South L.A., mais ils avaient la fâcheuse tendance à venir provoquer les Los Diablos sur leur territoire, l’Eastside. Ou d’y envoyer leurs prostituées aussi.
Elle affirma qu’une autre patrouille était venue et je répondis par réflexe, parce que pour nous, c’était évident.
-Sûrement Zukowski. C’est son parcours.
Je regardai Alexie dans les yeux et affirmai sur un ton rassurant.
-Ça va se calmer… Soit parce qu’on va choper les têtes pensantes du bazar, soit parce que l’un ou l’autre va gagner la guerre, soit parce qu’ils vont s’arranger à l’amiable.
Peu importait, tant que ça se calmait. Les miracles, je laissais ça à ceux qui étaient payés pour ça.
-En attendant, on est là pour colmater les fuites avec du chewing-gum.
J’enfournai d’autres nachos dans ma bouche avant de demander :
-Et toi ? Tu vis toujours sur San Fernando Valley ? Ou tu es retournée vivre chez toi ?
Parce que de ce que je savais, soit qu’elle vivait chez Hank North, et de ce que la presse disait de l’acteur qui avait été condamné à de la taule avec sursis, ça me rassurait pas, bien qu’elle n’ait pas vraiment l’air de souffrir. En tant que flic, savoir que la jeune femme que t’as dans la peau vit chez un type qui a un casier et une réputation de merde, ça donne quand même un peu de l’urticaire…
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Dim 17 Sep - 12:04
You're the Cheese Of My Tacos
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Bien sûre qu'Alexie avait fumer dans sa jeunesse, et il lui arrivait encore de prendre une cigarette ou deux quand on lui en proposait, mais elle trouvait que c'était une bonne chose que son père essaie d'arrêter -contre son grès- la cigarette, elle trouvait qu'il en fumait bien trop. Alexie avait sourit au conseil de Jordan. "Je pense qu'une fois qu'on vieillit, c'est une bonne chose." avait-elle dit en haussant les épaules. "j'en consomme aussi, de temps en temps, mais je sais qu'arrivait la cinquantaine, je voudrais arrêter."
Son morceau de fromage enlever, Alexie n'avait d'yeux que pour Jordan, elle avait vu ses joues rougirent d'un coup à ce contact si particulier, elle ne se trouvait plus dans le restaurant de son père mais vraiment dans une bulle où ils n'étaient que tous les deux, plus rien n’existait d'autre. Elle aurait pu rapprocher son visage du sien, ça aurait été le cas à quelques secondes près, mais quand elle avait entendu la voix de son père parler espagnol, elle n'avait pas pu s'empêcher de lever les yeux au ciel -perçant ainsi cette bulle invisible-. Jordan annonçant qu'il héritait d'un nouveau surnom et le rire de la jeune femme rejoignit celui de Conrad. Elle se mit à sourire un peu au conseil sur la cigarette. "Je pense qu'elle a trop voulu le faire arrêter d'un coup, faut y aller en douceur..." avait-elle dit en le regardant. La vengeance de ces moqueries allaient être horrible, selon Alexie, mais le collègue de Jordan avait vite comprit l'enjeu et ça fit rire la journaliste.
Elle avait ensuite demander comment cela se passait, si tout allait bien, revenant alors un peu dans sa bulle avec Jordan. Elle avait raconter ce qui s’était passé le jour -même dans le restaurant et avait un peu fait un quiproquo que Jordan reprit, elle se mit à sourire. "C'est comme ça que je les appelait avant, c'est rester" avait-elle dit amusée. Tout de suite, Jordan avait reconnu la personne qui était intervenu, elle, elle ne les connaissait pas, mais elle lui faisait confiance alors qu'il tentait de la rassurer sur les affrontements. Elle haussa les épaules. "Oh tu sais, on est habitué, ça à toujours été comme ça, c'est pas mon père qui avoir peur de ce genre de confrontation." Elle lui avait sourit doucement. "Faut faire attention...Le chewing-gum, parfois, ça fait des trous..." autrement dit, elle avait peur qu'il y laisse quelques plumes...
Puis, il lui avait demander si elle vivait toujours avec Hank, ouais, ça l'étonnait pas qu'il lui demande au vu de tout ce qui avait été dit dans la presse. "Oui, je suis toujours avec lui, il a besoin de moi, d'une présence avec ce qui s'est passé." Elle le regarda dans les yeux. "Ne crois pas ce qui est dit, je connais Hank depuis mes 16 ans, il n'est que la victime la dedans." Elle poussa un soupire. "C'est invivable en ce moment, pur ça que je suis là, pour changer d'air. Il reste enfermé et ronchon." Elle sourit un peu. "Du coup je suis venue ici, je repars ce soir, bien sûre, mais ça me fait du bien de ne pas le voir pendant quelques heures parce que quand je vais rentrer à la villa, je vais le voir en pyjama, mal rasé avec une bouteille de bière presque vide et ses amies vide à côté."
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Dim 17 Sep - 18:05
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
Je souris à Alexie, n’ayant d’attention que pour elle alors que la conversation qu’on avait sur le tabagisme me semblait complètement secondaire, juste un prétexte.
-Facile à dire pour une fumeuse occasionnelle… Beaucoup moins pour un junkie comme moi… Ou alors, faudra rester à mon chevet.
Je rigolai gentiment… C’était un peu une invitation à peine dissimulée, mais après tout, Conrad m’avait déjà largement grillé alors j’étais plus là-dessus.
On avait alors passé quelques secondes en se regardant droit dans les yeux… J’avais vu ses joues rosir à mon contact sur sa joue… Mais nous n’étions malheureusement pas seuls… On était même dans un lieu public et, en plus, j’étais en service… Pas que si elle avait été officiellement ma petite-amie, je me serait privé d’un chaste baiser, même en uniforme, mais c’était pas vraiment le cas… Là, j’étais en train de flirter en service… C’était pas la même chose… Même si on allait pas me faire un deuxième trou de balle pour autant…
D’autant que, de toute façon, une grande, très grande partie de moi n’en avait strictement rien à foutre de l’uniforme en ce moment précis.
-Ouais… en douceur… C’est ça…
Et merde… je pensais même plus à ce que je disais, enfournant nachos après nachos et les mâchant par pur mouvement mécanique… Mon esprit était plus ou moins ailleurs.
Ce fut Alexie qui me recadra en me demandant comment ça allait, la journée. Du coup, je me rappelai où j’étais et aussi que j’étais sensé travailler. J’avais répondu à la question d’Alexie, bien que j’aurais clairement voulu parler de tout à fait autre chose. Mais avec Conrad juste à côté, c’était limite si j’osais faire des allusions. Me reprenant petit à petit, en même temps, la guerre entre les Los Diablos et les South Panthers, c’était pas ce qu’il y avait de plus excitant, ni romantique, d’ailleurs, je me voulus rassurant pour Alexie et sa famille.
Mais sa famille, justement, devait vivre dans l’Eastside depuis bien plus longtemps que moi et comme ce genre de truc était monnaie courante, tout ce que j’avais pu dire ne servait à rien.
J’avais rigolé avec elle, pigeant le message subliminal qu’elle nous envoyait de faire attention. Je lui fis un clin d’œil…
-T’en fais pas… Mon pote ici présent et moi, on est des chewing-gums très collants…
Et Conrad d’en rajouter une couche, comme d’habitude :
-Ouais… Le genre collant à nous faire bouffer des nachos toutes la semaine. Sans vous offenser, m’dame… Parce que c’est quand même les meilleurs nachos du monde…
Je soupirai…
-Il me lâchera jamais. Ce mec est autant une bénédiction qu’une malédiction…
Et Conrad de prendre un air outré :
-C’est qui qui cause ?!
Ce qu’il fallait savoir, c’était que c’était comme ça à longueur de journée entre Conrad et moi, c’était pas juste pour le spectacle devant Alexie. Quoi que, bon, ok, on en remettait peut-être une couche en forçant le trait…
Mais j’étais redevenu plus sérieux en demandant à la jeune femme si elle trainait toujours du côté de San Fernando Valley ou si elle était rentrée chez elle. Et à vrai dire, j’aurais été plus rassuré de la savoir chez elle, même seule. Mais là, ce fut à elle de comprendre le message caché et elle se mit à me parler de Hank North et de combien il avait besoin d’elle, mais qu’elle commençait à avoir besoin d’air parce qu’il devenait invivable.
Je l’écoutai attentivement en mangeant mes nachos. Elle prenait la défense de son ami et pour cause : elle le connaissait depuis qu’elle avait 16 ans ! Je la regardai, surpris :
-Ah ouais, tant que ça…
Mais comme l’acteur n’était vraiment pas de bonne compagnie, elle avait quand même décidé de passer quelques heures loin de lui… Et ça me rassurait parce que c’était le genre d’histoire qui pouvait se transformer en romance en moins de deux, mais ça ne semblait pas être le cas de North et Alexie.
-Mouais… Je vois…
J’hésitai deux secondes, jetant un œil vers la cuisine où avait disparu le père Greatfield et puis vers Conrad l’air de dire : « Quoi qu’il arrive, ferme-la. »
-Et ben… Si jamais ton ami devient vraiment insupportable et que tu n’as pas envie d’être seule… Je vis pas loin d’ici… Et tu es la bienvenue… Les petits de BleedingHeart seront ravis de te voir… Et moi aussi…
Et Conrad se tut.
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 20 Sep - 7:34
You're the Cheese Of My Tacos
ft. Jordan Keller
Arrêter de fumer, forcément que c'était difficile et Alexie le savait très bien, le manque pouvait être bien trop fort et elle ne connaissait pas beaucoup de personne qui avait réussit à arrêter de fumer. Jordan, lui, se considérait comme un junkie avec ses cigarette, au moins, il avait conscience de sa consommation excessive même si, en soi, elle ne l'avait jamais vu fumer. Il glissait un message subliminal à son intention au sujet du chevet, la jeune femme sourit doucement '' comptes sur moi, je serais là à te rappeler à quel point la cigarette c'est nulle '' avait elle dit mi amusée, mi tendre.
Cette bulle entre eux réconfortait Alexie, c'était comme s'ils n'étaient plus dans l'eastside, plus en pleine soirée alors que Jordan était en service, comme s'ils étaient seuls tous les deux et là blonde était bien, elle aurait voulu parler encore et encore avec lui mais, ma réalité avait rattraper Alexie, elle devait sortir de cette bulle, sans quoi elle craquerai et renforcerait cette bulle pour que personne n'entre à l'intérieur.
Elle lui avait delabder comment ça se passait, être flic dans l'eastside, cela ne devait pas être de tout repos et les danger pouvaient être énorme ! Ça inquiètait légèrement la journaliste. Heureusement, la comparaison qu'ils avaient faites la rassurait un peu, Jordan se disait être un chewing-gum bien collant. Alexie lui fit un sourire '' j'espère bien... ''elle se mit cependant à rire à la réflexion de Conrad. Continuant de regarder Jordan manger ses nachos.' 'parfois être collant ça à du bon' ' avait elle dit en souriant tendrement.
Puis Jordan était devenu protecteur en demandant si celle ci était encore chez Hank, Alexie lui avait annoncé que c' était encore le cas, c'est sur que ce n'était pas forcément une bonne chose vu de l'extérieur, mais Hank ne lui ferait aucun mal. Elle l'avait d'ailleurs annoncé à Jordan qui semblait soucieux de comportement de l'acteur puis surpris de la relation qu'il y avait entre la journaliste et lui. '' ouais... Presque 20ans d'amitié.. 'on s' est rencontrés au Dizzy Warhol, le jour de l'anniversaire d'howard, on voulait y entrer et Hank nous y a aider. ''
Puis les joues de la belle blonde rougir entre encore plus à la proposition du flic. '' ça sera avec plaisir '' avait elle dit timidement. '' pour voir bleeding Heart et pour te voir toi hors ton uniforme même je dois bien avoir qu'il te va très bien ''. Soudain. Un bruit de mitraillette se fit entendre, tout se passait plutôt vite, les vitres du restaurant exploserent en mille morceaux. Une bande d'hommes tatoués de partout entra dans le restaurant alors que les clients qu'il y avait s'étaient accroupient sous les tables pour ne pas être touches et par chance, il n'y avait aucun blessés. '' il est ou cet enfoiré ?!? '' avait il prononcé en espagnol.
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 20 Sep - 11:56
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
On flirtait gentiment, maintenant que Papa Greatfieldo n’était plus là pour nous en empêcher… Je saisissais toutes les opportunités de faire des sous-entendus et Alexie jouait le jeu. C’était amusant, ça avait quelque chose d’excitant et ça restait correct… Toujours pas la chose à faire en uniforme, mais jusqu’à preuve du contraire, je ne pensais pas que quelqu’un allait porter plainte pour ce genre de petits jeux entre adultes à première vue consentants.
Je m’étais quand même un peu inquiété du fait qu’elle vivait avec un homme qui, même s’il était son ami, avait été reconnu coupable de violences conjugales. Mais savoir que l’acteur et elle se connaissaient depuis pratiquement 20 ans, sans qu’il semble y avoir eu de problème entre eux me rassurait déjà pas mal. Alexie donnait l’impression de savoir ce qu’elle faisait.
Mais cela ne m’empêcha pas de lui dire que ma porte lui était ouverte, qu’elle était la bienvenue chez moi. Pour voir BleedingHeart et moi… Hors de mon uniforme… J’allais pousser le bouchon en rigolant et en lui demandant ce qu’elle entendait pas là…
Mais je n’en eus pas le temps ! Tout ce que j’eus le temps de faire, tout comme Conrad, quand on entendit les premiers coups de feux, ce fut nous jeter par-dessus le comptoir, envoyant valser nos portions de nachos, pour nous mettre à couvert derrière.
Dans le mouvement, j’avais attrapé Alexie et m’employais à la maintenir cachée derrière le comptoir, à croupis ou à genoux alors que la rafale de tir envoya valser des débris de tout et n’importe quoi dans tous les sens. Je hurlai à Conrad :
-Appelle du renfort !
Conrad prit la radio et envoya un flash en disant qu’on essuyait des tirs au Great Nachos. L’avantage que ce soit un repère de flics, c’était qu’il n’y avait pas besoin de mentionner l’adresse parce qu’on savait tous où était le restaurant.
Et l’avantage de leurs putains de mitrailleuses, c’était qu’à un moment donné, fallait qu’ils rechargent. Et j’en profitai pour dégainer, et tirer trois coups par-dessus le comptoir. Un tir de réaction, c’est-à-dire sans prendre le temps de viser, bras tendus vers la cible.
Je fis mouche (Dé : Success). Je ne savais pas combien de munitions avaient atteint ma cible sur les trois que j’avais tirées, mais il y en avait un qui, au vu de ses cris, avait mal. Son appel radio terminé, Conrad s’y était mis aussi et en avait touché un autre (Dé : Success)… Et si je n’avais pas réussi à neutraliser le mien (Dé de dégât : 3), celui que Conrad toucha s’écroula à terre (dé de dégât : 6). Boosté à l’adrénaline, on se mit à rigoler, mais c’était la trouille qui nous faisait faire ça.
-Oh Yeah ! Un de moins !
Mais nos deux assaillants restant une fois rechargés nous prirent pour cible (Dé : Failure), puisqu’on était les seules véritables menaces présentes. Et je ne pensais même pas qu’ils savaient qu’ils tiraient sur des flics, vu qu’on était planqués derrière le comptoir. Mais alors même que j’étais à nouveau à couvert, une de leurs balles ricocha et me toucha à l’épaule droite (Dé pair : ils touchent quelqu’un ; Dé 5 : c’est moi ; dé de dégâts : 3)…
Je m’écroulai d’un coup à cause de la douleur en criant à la fois de mal et de surprise.
-Jordan !
Je serrai les dents et m’appuyant dos au comptoir, assis à terre.
-T’occupe ! Continue de tirer !
Mon regard croisa celui d’Alexie alors que j’essayais de faire pression sur ma blessure d’une main.
-Ne bouge pas ! Surtout, ne bouge pas !
Je ne voulais pas que la panique la fasse se relever, même pas réflexe… Parce qu’apparemment, ça ricochait partout !
Ils avaient un mort (je crois) et un blessé dans leur camp et quand Conrad décida de leur vider son chargeur dessus en hurlant, sans compter les sirènes des patrouilles qui arrivaient qui se faisaient désormais entendre, ils s’enfuirent sans demander leur reste (Dé : Success).
Il y avait le bruit des sirènes, les cris des quelques clients paniqués et, en ce qui me concernait, le bruit des battements de mon cœur qui s’emballait pour essayer de palier au sang que je perdais et qui coulait à travers mes doigts qui faisaient pression.
-Ils sont partis !
Conrad se laissa tomber à genoux à côté d’Alexie et moi et rengaina son arme. La mienne, je la tenais toujours dans ma main droite, mais elle ne servait plus vraiment à grand-chose, vu l’état de mon épaule. Conrad prit le relais pour faire pression. Je hurlai parce qu’il appuyait fort ce con ! Puis, je crachai entre mes dents.
-Arrête ! Brute ! De dieu !
Il secoua la tête.
-Nan nan… Fais pas l’enfant. Oublie pas de déclarer ça comme accident de travail, vieux… Ce mec vient de t’offrir de longues vacances !
Je rigolai, nerveux…
-Putain… Tu perds jamais le nord, toi !
Les équipes sur place pénétrèrent dans le restaurant arme au poing, après la guerre, comme souvent… Conrad leur gueula qu’on était là et de ne pas tirer… Manquerait plus qu’on se fasse tirer dessus par notre propre camp. Il regarda Alexie et lui demanda de faire pression sur la blessure à sa place. Nickel… Elle me fera peut-être moins mal que mon barbare de binôme qui se leva et gueula aux autres d’appeler une ambulance. Mais de ce que je pus entendre, c’était déjà fait...
Je regardai Alexie dans les yeux et caressai sa joue de ma main valide.
-Ça va ? Tu n’as rien ?
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Lun 2 Oct - 14:39
You're the Cheese Of My Tacos
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Alexie aviat mit les choses au clair avec Jordan en lui racontant la relation amicale qu'elle entretenait avec Hank North. C'était aussi histoire de le défendre un peu, le pauvre, avait quand même été reconnu de violence conjugale à tort.Le policier semblait soulagé d'avoir été mit au courant de la situation mais même avec ses informations, il lui indiqua que sa porte était ouverte et Alexie indiqua que le voir sans uniforme -donc en civil- lui ferait plaisir. Elle n'avait pas penser une seule seconde à une autre interprétation de la chose.
Le petit flirt qui opérait entre eux aurait bien pu continuer si l'arrivée des hispaniques n'aurait pas tout chamboulée. L'atmosphère faisait paniquée les clients du restaurant. Tout était aller bien vite et Alexie s'était alors mise accroupi derrière le comptoir, elle fut rapidement rejoint par les deux policiers. Elle vit son père se demander ce qui se passait dans la cuisine et lui intima de ne pas faire de bruit et de se cacher. Contre Jordan qui l'avait aider à se réfugier derrière le comptoir, elle avait son coeur qui battait fort dans sa poitrine non pas à cause du contact qu'elle avait actuellement avec Jordan -il était bien proche d'elle- mais à cause de la peur. Elle entendait les clients crier de peur et les bruits des hommes dans la salle.
Assise entre les débris des vitres qui avaient exploser, Alexie était pétrifiée et restait derrière le comptoir à regarder Jordan et Conrad faire le travail, elle visualisait chaque gestes qu'il faisait, bouche entre ouverte pour ne pas paniquée d'avantage, bizarrement, elle avait des réactions calmes, sans doute parce qu'elle avait été avocate et avait déjà entendu mille fois ses récits d'horreur. Puis le bruit d'une balle fut plus puissant et elle vit Jordan tomber à terre. "Non!" Elle s'approcha de Jordan , les mains tremblantes, elle n'avait jamais eu de cours de secourisme et n'avait jamais été face à une situation comme celle-là, elle voyait le sang de l'homme coulé de son épaule mais il lui ordonna de ne pas bouger. Elle obéit, le regardant, elle avait peur pour lui.
La suite des événements fut rapide et quand Alexie se rendit compte que les assaillants étaient partis, Conrad faisait pression sur la blessure de Jordan qui l'insultait, elle s'approcha d'avantage de lui et serra sa main après lui avoir enlever son revolver. Son binôme lui demanda ensuite de le remplacer alors qu'elle pouvait entendre leurs collègues arrivés. Elle hocha la tête et prit sa place. Elle ne savait pas à quoi pouvait ressembler le restaurant mais elle pouvait imaginer son père bien triste de le voir réduit en cendre. D'ailleurs, il arriva à ce moment là, alors qu'elle commença à faire pression sur la plaie de Jordan. (Dès Succès) Elle posa ses doigts sur la plaie et appuya comme elle pouvait, délicatement mais assez fort pour ne plus que le sang ne coule fortement, elle sentait le liquide chaud rouge couler entre ses doigts. "Si tu voulais que je te touches, il y avait d'autre solution que de te faire tirer dessus, tu sais?" avait-elle dit un peu amusée alors que son père était arrivé à leur côté à quatre pattes.
Jordan posa sa main valide sur la joue d'Alexie et elle ferma un instant les yeux, soupirant. "Vous nous avez tous sauver, toi et ton collègue..." Elle le regarda à nouveau dans les yeux. "Je vais bien..." Puis son père se leva et un pincement se fit dans le coeur d'Alexie. "Papa..." Il était silencieux, un larme coula le long de sa joue et il s’essaya à nouveau à côté de sa fille. "Tout une vie vient de s'effondré..." avait-il dit, Alexie, toujours les doigts remplit de sang, le regardait. "Je te promet de faire tout on possible pour que Great Nachos ouvre à nouveau ses portes." Des bruits de pas se firent plus près, l'ambulance était là, elle regarda Jordan, elle n'osait dire aucun mot, elle avait envie de le suivre, de ne pas le lâcher parce qu'elle avait cru le perdre en lui voyant s'effondrer au sol.
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mar 3 Oct - 17:10
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
Il me fallut quelques secondes et avoir la tronche de Conrad à nouveau au-dessus de moi à faire des réflexions débiles (mais vraies) sur le fait que j’avais gagné de longues vacances estampillées « accident de travail » pour réaliser que c’était terminé, qu’on était sorti d’affaire… Au moins nous trois, ce qui, tout bien considéré, était déjà pas mal et ce même si mon épaule était bousillée. A deux contre trois avec un armement moins performant, on pouvait s’estimer même vachement heureux !
Le bruit des détonations avait laissé place à celui des sirènes de patrouilles qui arrivaient. Mais mes yeux étaient tout à Alexie à qui Conrad avait donné sa place pour aller à la rencontre des collègues et expliquer en gros les événements. Alexie, elle, m’avait souris et m’avait fait rire avec sa réflexion comme quoi si j’avais eu envie qu’elle me touche, j’aurais pu m’y prendre autrement.
-J’y penserai la prochaine fois.
J’avais mal, mon corps un peu sous le choc faisait que je restais étalé à terre, à moitié appuyé contre le comptoir, sans avoir le réflexe d’essayer de me relever, mais j’étais loin d’être à l’agonie. Je secouai doucement la tête en souriant, ma main appuyée sur la sienne qui était elle-même appuyée sur ma blessure, alors qu’elle affirma qu’on les avait tous sauvés.
-On a tiré pour sauver nos miches aussi. Plus un réflexe qu’autre chose.
On avait été bien drillé à l’armée et tant mieux si on avait pu en sauver d’autres ce faisant, mais on était pas vraiment arrivés en héros, on avait juste répliqué à l’attaque histoire de limiter les pertes.
De toute façon, tout ce qui m’importait, c’était de savoir si elle n’avait rien et elle me le confirma.
Mon regard se détourna vers le père d’Alexie quand celui-ci apparut à ses côtés. Lui non plus n’avait rien, encore un bon point de gagné !
Mais l’homme avait tout perdu dans cette attaque-éclair et, sous le choc, les larmes coulèrent sur ses joues alors qu’apparaissaient des collègues et des infirmiers. Je laissai sa fille le rassurer, mais une fois le choc passé, il se rendrait sans doute compte, s’il était assuré correctement, qu’il y aurait moyen de repartir assez vite.
Moi, je levai les yeux vers ceux qui allaient maintenant me prendre en charge en vue d’aller me rafistoler un peu.
-Hey… Salut les gars !
Et Zurowski, énorme et roux, de répondre avec un bon rire gras en désignant Alexie d’un coup de tête :
-Ben c’est bon ! Tout va bien ! Je vois que t’as ta propre infirmière !
Je fis signe à Alexie de ne pas trop faire attention, l’humour de flic se manifestait dans les pires cas pour exorciser la trouille. Et si ça pouvait être mal pris par les civils, c’était salutaire pour nous, même pour une armoire à glace comme Zurowski.
Un infirmier vint, avec beaucoup plus de civisme et en lui expliquant gentiment comment faire, libérer Alexie en lui permettant de lâcher la plaie sur laquelle il appliqua une compresse puis un pansement de fortune, bref, de quoi tenir en attendant d’arriver à l’hôpital où ils allaient un peu regarder à ça. Pendant ce temps-là, Zurowki m’expliquait :
-Je prends le dossier de première intervention en main. Conrad et toi ne pouvez pas le faire puisque vous étiez directement impliqués dans la fusillade par malchance. Toi, tu vas commencer par aller te faire soigner, c’est la priorité. Ensuite, on viendra prendre ta déposition à l’hôpital dès que tu sauras aligner deux mots. Et vous inquiétez pas, ni toi, ni Conrad, on va vous goupiller ça pour que ces enculés de l’IGS n’y trouvent rien à redire et vous fassent pas chier.
Je hochais simplement la tête, regardant à moitié le roux et à moitié l’infirmier qui s’affairait, tranquille, sur l’hémorragie. Et j’avais ricané quand il avait parlé de l’IGS.
-Manquerait plus que ça qu’ils viennent nous emmerder pour ça.
Mais bon… C’était des enfoirés, alors… Qui sait ? Mais comme je savais qu’on avait rien à se reprocher, ça allait passer, dans tous les cas. Cela dit, si on pouvait éviter la sacro-sainte et ô combien hypocrite Inspection Générale des Services, ça m’arrangerait.
L’infirmier prit alors la parole.
-Ok. Pour moi, c’est bon, on peut y aller.
Je pris appuis sur mon bras valide, maintenant que j’étais un peu moins paralysé par l’adrénaline, et me redressai un peu. Deux autres infirmiers arrivèrent alors avec une civière.
-Hey ! Oh… Je suis blessé à l’épaule… Je sais encore marcher, hein…
Avec l’aide de Conrad d’un côté et d’Alexie de l’autre pour m’aider à me remettre debout, ce fut sans problème.
Je passai mon bras valide autour des épaules d’Alexie, Conrad, lui, pouvait me lâcher et il en profita pour me planter une clope dans le bec et me l’allumer. Je pourrai en fumer au moins un peu plus de la moitié avant d’arriver à l’ambulance si je faisais semblant de devoir marcher lentement.
-On va devoir se séparer, frangin. Moi, je vais aller au poste, faire ma disposition, aider les autres pour le rapport, ok ? Toi, tu vas à l’hosto. Et t’y restes.
Je soufflai ma première bouffée de fumée en gardant ma clope entre mes lèvres, toujours appuyé sur Alexie.
-Ok.
Puis, m’adressant aux infirmiers qui nous entouraient.
-Si vous voulez bien… Et si elle veut bien… Cette jeune femme pourrait pas monter avec moi ? C’est la fille du tenancier et ce serait pas mal de le transférer un coup à l’hosto, lui aussi… Je crois pas qu’il est blessé, mais l’homme a tout perdu, il est sous le choc, vaut mieux qu’il soit entouré durant les prochaines heures.
L’un des infirmiers répondit par l’affirmative et envoya deux de ses collègues s’occuper du père Greatfield.
Maintenant que j’étais debout, je voyais un peu mieux l’étendue des dégâts. Mais surtout, je compris en chopant au vol des bribes de conversations entre les services de secours, qu’il y avait quatre blessés graves.
Pas de chance… Mais pas de morts à déplorer, c’était déjà pas mal… Si ce n’était l’un des assaillants et, pour être franc, c’était bien fait pour sa gueule.
On arriva doucement à l’ambulance et je crachai ma clope, presque terminée, à terre avant de monter dans l’ambulance avec Alexie. Je ne m’allongeai que parce qu’on m’ordonna de le faire parce que sinon, je serais resté assis… Je tapai alors de ma main valide une fois sur la couchette de l’ambulance pour que la journaliste prenne place près de moi.
Je lui souris.
-On en était où, avant ce bordel ?
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 4 Oct - 9:17
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Alexie tentait de faire oublier à Jordan sa blessure même si cela ne devait , sans doute, pas être gagner étant donné le sang qui coulait et la douleur, pourtant, il avait un peu rit à sa remarque amusée, tant mieux, elle lui avait sourit doucement, pressant toujours fermement la blessure alors qu'on entendait des voix se rapprocher. Elle continuait de le regarder dans les yeux, ne préférant pas voir sa main ensanglantée, elle l'avait remercié de les avoir sauvé tandis qu'il considérait cela comme de la survie, c'était tout naturel pour lui. Elle déposa alors un baiser sur sa joue en rougissant légèrement.
Son père était revenu de la cuisine, sous le choc et ça faisait un mal fou à Alexie de voir son père ainsi. Elle aurait voulu payer cash tout de suite pour qu'il est un palace à la place mais elle ne pouvait pas, il y allait avoir de gros travaux sans compter les expertises et tout le tintouin pour qu'il touche des indemnités. Elle tentait de le réconfortait comme elle pouvait alors qu'il s'était installé à côté de sa fille. Ce lourd silence de tristesse fut rapidement rejeté d'une main par un collègue à Jordan qui était arrivé. Il était plutôt impressionnant par sa carrure. Il voyait en Alexie l'infirmière attitré du flic et, alors que Jordan lui intimait de ne pas faire attention, elle se prit au jeu. "Et oui, Conrad n'a pas cette chance!" avait-elle dit en souriant à Jordan alors qu'un infirmier arrivait dans leur direction.
Rapidement, sa main fut libre de tout mouvement, remplacer par les accessoires adéquat, alors que le gros roux expliquait la procédure à Jordan. Alexie comprenait parfaitement de quoi il parlait, dans son passé d'avocate, elle avait déjà eu affaire à l'IGS et ce n'était pas une mince affaire. Elle avait vu des affaires bien embêtante se faire avec cette institution. Elle resta cependant silencieuse, ce n'était plus totalement ses affaires, elle préférait regarder les gestes de l'infirmier qui était bien rapide pour faire arrêter l’hémorragie. Puis, il indiqua que c'était terminé, qu'ils pouvaient aller dans l’ambulance, alors, aider de Conrad, elle l'avait remit sur pied avant qu'il ne s'accroche plus qu'à elle pour marcher. Son ami, lui, lui avait mit une cigarette entre les lèvres, elle ne doutait pas de l'efficacité du tabac contre la douleur.
Le chemin jusqu'à l'ambulance fut lent mais cela ne dérangea pas Alexie, elle pouvait profiter un minimum de sa proximité avec l'homme blessé. Arrivé devant l'auto, Jordan indiqua qu'il voulait qu'elle monte avec lui et que son père soit transféré aussi, elle hocha la tête en le regardant. "Je reste avec toi." avait-elle dit doucement tandis que d'autres infirmiers allaient chercher son père, elle les vit revenir avec son paternelle encore sous le choc, les yeux rougis par les pleurs. "Dès qu'on arrive, je dois appeler ma mère, elle doit être folle d’inquiétude..." Cela lui faisait aussi un choc de voir le restaurant partir en fumée, elle aussi avait besoin de se reposer, mais bien sûre, elle ferait passer son père et Jordan bien avant elle...Il faudrait aussi, peut-être, appeler Hank.
Une fois dans l'ambulance, il se coucha sur la civière et prit place à ses côtés, comme il le souhaitait. Elle eut un rapide rire quand il lui demanda où ils s'étaient arrêtés avant l'intervention des hispaniques. "Tu ne perd pas le Nord toi..." Elle le regarda en souriant un peu, prenant sa main valide entre les siennes. "Je crois qu'on parlait de toi sans ton uniforme...Et finalement, c'était une parole plus que futuriste étant donné dans l'état que tu es..." avait-elle dit un peu amusée. "Si tu veux...Je peux venir de temps en temps t'aider chez toi... Enfin en tout bien tout honneur...Je veux dire...Tu auras peut-être besoin d'aider...Parfois.." Elle ne pouvait pas laisser Hank maintenant que le tribunal avait tranché, mais elle pouvait au moins venir un jour sur deux chez Jordan pour lui tenir compagnie et l'aider dans quelques tâches...
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Sujet: Re: You're the cheese of my Nachos |JORDAN|[TERMINE] Mer 4 Oct - 17:31
You’re The Cheese Of My Nachos ft. Alexie T. Greatfield
Je ne savais pas si faire augmenter d’un coup mon rythme cardiaque alors que j’étais en pleine hémorragie était une excellente idée. Mais très sincèrement, quand ça se produisit lorsque Alexie vint déposer un simple et chaste baiser sur ma joue, j’en eus strictement rien à foutre de savoir si c’était bon pour ma santé ou pas. Parce que fallait bien mourir de quelque chose et que, tant qu’à faire, si c’était à cause du baiser d’une fille merveilleuse, ainsi soit-il.
Je ne mourus pas, cependant, et ce fut une excellente chose. Aussi excellente que le fait d’être rapidement pris en charge à la fois par mes collègues et les services de secours. Les premiers se chargeant de me dire quel était le plan à partir de maintenant (et en ce qui me concernait, ma mission était fermer ma gueule et me laisser soigner) et les seconds s’occupant de ma blessure par balle.
Alexie, loin de prendre mal les réflexions limite grivoises de mes collègues, joua le jeu avec le sourire. Bien. Tout allait bien dans le meilleur des mondes.
Assez vite, l’avenir proche se dessina dans les explications de Zurowski et je me déplaçai ensuite jusqu’à l’ambulance avec Alexie. Elle monta dans l’ambulance, ainsi que son père peu après nous. Portes fermées, le véhicule démarra en trombe et chaque tournant à la con me faisait grimacer. J’étais limite prêt à frapper sur la paroi juste au-dessus de ma tête pour hurler au conducteur de ralentir, bordel de dieu. Les à-coups dans sa conduite faisaient mal à chier, nom de dieu, et personne ici n’était en train de crever ! Enfin, bref, pour lui dire un truc dans le genre, à tous les coups parsemé de jurons.
Et je l’aurais probablement fait si je n’avais pas été tout distrait par le regard d’Alexie qui restait agréablement fixé dans le mien… L’infirmier ne pouvant pas en faire plus pour moi pour le moment, il s’attelait à essayer de consoler et rassurer le père Greatfield. Comme il était sous le choc, ce n’était pas gagné… Même si de mon point de vue, il devrait déjà être ravi que sa fille et lui s’en soient sortis indemnes, avant de penser à son commerce…
Mais je faisais pas vraiment attention à ça, souriant plutôt bêtement à Alexie qui affirma que je ne perdais pas le nord… Je pouffai de rire.
-Quand j’étais à l’instruction, à l’armée, y avait un chef qui arrêtait pas de dire : « Gardez les yeux fixés sur l’objectif. »
Je souris plus largement, mais baissai un peu les yeux.
-Alors c’est ce que je fais.
Elle continua en disant que, juste avant, on parlait de moi sans mon uniforme… Et comme je retombais un peu sur mes pattes, comme tout le monde après cette dose monumentale d’adrénaline, je me rendis compte qu’en réalité, j’avais complètement oublié les détails de ce qu’on avait dit juste avant…
Mais pas Alexie apparemment qui disait que la chose était arrivée plus vite que prévu étant donné que le haut de mon uniforme avait été découpé par l’infirmier qui avait placé le premier pansement. Pour voir de quoi elle parlait, parce que je ne m’en étais pas encore vraiment rendu compte, j’avais soulevé un peu la tête pour regarder… Ben… J’étais torse nu et plein de sang… Pas vraiment comme ça que je m’étais imaginé la scène.
-Bizarre… J’étais plus sexy dans mes souvenirs…
Je levai de nouveau ma main valide pour caresser sa joue alors qu’elle proposait son aide pour quand je rentrerais chez moi… Je lui souris et mon regard retrouva le sien.
-Ok… Ce serait vraiment gentil… Je sens que je ne vais pas pouvoir bouger mon bras droit pendant un moment… Alors je serais un peu con de refuser de l’aide aussi gentiment proposée…
Je penchai la tête un peu sur le côté, souriant, où ça ne me faisait pas mal et ajoutai:
-Et en tout bien tout honneur, évidemment… Ne t'en fais pas.
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