J'étais sous la douche, clope au bec, quand le téléphone décida de sonner. C'était dans ces cas-là que je comprenais l'aversion de Billy pour ces machines. Et puis, avec le nombre de mauvaises nouvelles qu'on recevait par téléphone, à notre époque, je me demandais si je n'allais pas les fuir, moi aussi.

Je laissai sonner le téléphone tout en essayant de ne pas tremper ma clope alors que je shampooinais mes cheveux mollement. Je repensais à toutes les mauvaises nouvelles que j'avais reçues par téléphone : la mort de mon grand-père, le coma de Kayden James, l'annulation ou le report de l'une ou l'autre tournée... Je me demandais si tout ça pourrait se produire aussi facilement si le passage de l'information ne bénéficiait pas du téléphone.

Puis, c'est une phrase chantée par Billy qui me vint en tête : « It's hard to hold a candle in the cold November rain... ». Ben ouais : ma clope venait de s'éteindre sous la douche. Je comprenais pleinement le sens de cette phrase désormais. Et la douche n'ayant maintenant plus aucun intérêt, c'est les cheveux encore à moitié pleins de shampooing et complètement à poil que je me dirigeai vers le téléphone tout en me séchant. Le bouton du répondeur clignotai, j'appuyai dessus en me rallumant une clope sèche.

Je sursautai presque en entendant la voix de Billy qui me pressait de le retrouver au Rock's Los Angeles. J'avais du mal à y croire alors je réécoutai le message trois fois pour être bien sûr de comprendre. En même temps, le message était assez clair.

Je me grouillai donc de m'habiller, répondant à l'ordre de Billy. Et j'eus un stress quand je mis un peu de temps à trouver mes clés de voiture. Qu'est-ce qui arrivait à Billy ? Ce n'était pas son genre de se rendre au centre commercial et encore moins de m'y donner rendez-vous ! Ce qui arrivait devait être extrêmement grave !

Je finis par trouver mes clés et sortit. Je démarrai la CRX et allumai pour la troisième fois une clope en espérant pouvoir la finir, celle-là. Et je démarrai en trombe... Enfin presque... La vitesse eu du mal à passer et la voiture fis un bruit horrible. Les passants se tournèrent vers moi et je ne trouvai rien de mieux à faire que de sourire comme un imbécile avant d'arriver à passer ma vitesse et de me tailler.

J'arrivai au centre-commercial et entrai dans le parking sous-terrain. Je me fis la réflexion qu'il était vraiment mal indiqué, ce parking, pour ceux qui connaissaient pas l'endroit. Mais c'était peut-être fait exprès... Pour que seuls les natifs de L.A. sachent où se garer. Et quelque part, l'idée me plaisait assez.

Je garai la voiture non sans regarder après la Lamborghini de Billy... Pas trace de celle-ci. Peut-être qu'il avait changer d'avis, auquel cas, je me ferais bien un milk-shake et quelques pancakes. Mais c'est tout de même vers Rock's Los Angeles que je me dirigeais, saluant les agents de sécurité du centre-commercial qui me connaissaient bien. Et je trouvai bel et bien Billy dans le magasin avec le vieux vendeur qui pendait une gueule jusque par terre. Oh, il avait l'habitude de me voir... Je squattais même des journées entière parfois, en souvenir du temps où je n'étais pas encore connu. Mais Billy, c'était une autre histoire.

-Salut Hunter ! Salut Billy !

J'allumai une clope, on savait jamais que ce soit vraiment une très mauvaise nouvelle.

-J'ai eu ton message... Heu... Il se passe quoi ?

La letttre avait un but : provoqué une rencontre a trois . Je sais pas exactement pouquoi j'avais voulu cela mais au fond je le voulais point final.
J'avais fini par repondre juste avant de me decider a bruler cette lettre du chanteur  , cette lettre etazit une preuve une verité qu'on a du mal a entendre , la verité d'un menssonges , de toute une images , de tout ce que je paraissait etre . BIlly avait tout a fait compris et me l'envoyer comme une claque en pleine gueule. Et le sentiment que j'avais ressenti ; ce sentiment mélange de beaucoup d'autres en faisait un inexplicable.

Depuis que j'avais fini par envoyer cette reponse ultimes  a notre correspondance je suis rentrer chez moi a toute vitesse et j'ai , pris d'un excé de rage,  déchirer toute mes chansons,balancer toute ses rifs ecrits a la vas vites sur des feuilles volantes . J'ai ensuite rassembler toutes les boites de medocs et de drogues dans une seule et meme boite et je les ai fait bruler au millieu de nuul part. POurquuooi? POur recommencer a zero. Suite a çaj'ai couru aussi loin et longtemps que je  pouvais pour me vider l'esprit . PUis j'ai pris un taxi et je suis rentré. Dormir. Le lendemain j'suis aller voir Baltazar  et j'me suis fais tatouer un petit phoenix, un peu trop symbolique sans doute mais  je le comprenait.

Apres j'suis retourner m'enfermer par ses jours de pluies dans mon appartement et j'ai ecdrits , des trucs radicalement different, j'ai dormi aussi, j'suis aller voir des concert. JUsqu'a hier. Hier j'ai ressorti "FRancky"ma guitare cutumiser comme mon chapeau et j'me suis entrainer dessus  , sur ce morceau de Cash, celui que j'ai repris a mon concert solo au stryge.Il est l'heure, j'ai ranger ma guitare dans son etuis, j'ai pris une douche, je me suis maquiller j'ai remis mon chapeau. Direction Rock's Los Angeles.

Une fois la bas, la porte de la boutique entre ouverte, Cash dos a l'entré, le patron au comptoir tirais une de ses tete a cause d'un Billy mal a l'aise dans un coin. Au moins les deux y etait.Le guitariste demanda a l'intention de son chanteur ce qu'il se passait.Je suis rentré dans la boutique silencieusement et j'ai repondu a la place du Chanteur.

- Beaucoups de questions pour aucunes explications reel.

J'avais salué ce bon vieux Hunter qui m'avait toujours permis, depuis le début de mon adolescence, de jouer avec différents modèles de guitares pour passer le temps. Et le vieux m'avait en quelque sorte sauvé, parce que le temps que je passais au magasin à construire mon avenir décadent sans trop le savoir, c'était du temps que je ne passais pas dehors à me shooter, ce qui m'aurait valu une mort encore bien plus prématurée que celle que j'imaginais m'être destinée.

J'avais ensuite salué Billy. Billy qui dénotait totalement dans le décor. Je connaissais Billy dans son appart, Billy au studio MTI, Billy à la villa de Daniele Ricci, Billy au Crazy Ginger, Billy (exceptionnellement) en tournée... Un peu comme dans ces livres pour enfants où les héros se retrouvent dans des décors et des situations bien déterminées.

Mais Billy au Rock's Los Angeles, ça, c'était un inédit ! Et, bien qu'un peu d'inquiétude planait quelque part au fond de moi, j'avais hâte de découvrir ce que cette nouvelle « Aventure de Billy » me réservait.

D'ailleurs, tel un gosse, j'étais tellement impatient de le découvrir que je ne résistai pas à la tentation de poser la question.

Mais ce ne fut pas de Billy que me vint la réponse.

Celle-ci vint de derrière moi, sans que je ne m'y attende. Mais je ne pris pas peur parce que je connaissais cette voix pour l'avoir entendue quelques fois. Mais je n'arrivai à la resituer qu'une fois que je me suis retourné pour faire face à mon nouvel interlocuteur.

Jayden Lucky, évidemment. Décidément, le destin s'amusait à croiser nos chemin bien souvent, sans que je ne comprenne la finalité de ces rencontres ponctuelle. Je n'étais cependant pas vraiment surpris. Mais pas tout à fait à l'aise non plus : voilà que je me retrouvais entre Billy et Jayden. Pourquoi je me sentais pris au piège ?

La réponse de Jayden ne m'avança pas beaucoup. Parce que ce n'était pas vraiment une réponse, mais plutôt une constatation. Et j'étais prêt à déclarer, vu qu'il ne semblait pas y avoir de meilleure explication qu'un coup de bol (ou pas), que, tant qu'à faire, puisqu'on était tous ici, on irait bien se faire un milk-shake tous ensemble... Mais Billy répondit finalement, un peu vite, avant que je n'ai eu le temps d'ouvrir la bouche, comme s'il savait d'avance qu'il n'allait pas aimer ce que j'allais dire.

Parce que pour moi, la situation était aussi un peu ridicule. S'ils voulaient me faire croire que ce n'était pas voulu, ils me croyaient encore plus shooté que ce que je ne pensais.

Billy était mal à l'aise depuis le début et m'expliquer la situation ne sembla pas le mettre en confiance. C'était Hunter qui semblait le gêner...

J'allumai une clope et m'approchai du comptoir où je tendis mon paquet à Hunter. Celui-ci en piocha une.

-Fait pas gaffe à nous, mon pote. C'est une petite fête surprise apparement.

Je me retournai vers Billy et Jayden. Ils étaient vraiment marrants à voir. Ni l'un ni l'autre ne semblait à l'aise dans le magasin alors que moi, j'y étais totalement dans mon élément. Je savais que chacun à leur façon, autant Jayden que Billy étaient des inadaptés... Un peu comme moi... Sauf qu'eux ne savaient pas faire semblant.

-Je ne savais pas que vous vous connaissiez tous les deux... Mais bon, je ne savais pas non plus que Billy avait une sœur avant de la croiser à l'animalerie un peu plus loin.

On a combien de point quand on vise la cible en plein centre ? Mille ?

Saluer le vendeur , ce fut un geste totalement anodins voir quotidien pour le guitariste mais totalement depourvu de sens si nous l'avions imité. J'ignore si le chanteur avait fait tout de meme ce geste mais ^pour ma part je m'en suis passer sans porblemes. il se souvenais peu etre  de moi lors de mon dernier passage lors de ma rencontre avec Cash ou absolument pas,je devais y repasser pour acheter une pedale sans jamais y aller. Par peur? Flemme?Non par pure oublie en realité puis tout c'est enchainer, Baltazar, Shain et Zoe, j'ai trouver d'autres pedales d'effets . Avant la fin de notre rencotre au deux rock stars et moi meme j'acheterai sans doute cette pedale si elle est encore la.


J'ecoutais Cash en restant dans l'ombre à l'entrée du shop,  le voyant de dos je ne pouvais distinguer l'expression de son visage mais a sa voix j'aurai pu deviné son excitation.  Alos qu'il questionnais son chanteur j'ai choisi de faire mon entrée en scene. Il me semble qu'il a reconnu ma voix car en se retournant ers moi  il n'a pas eu l'air si etonné.  Puis s'en ai suivi un long discours de soud pour moi mais  une liste de revelation entre les deux musiciens.

Billy devait se sentir perdu au fond, mes lettres l'avais mener ici mais pourquoi? Je tirais les ficelles. J'sais que ça peu paraitre legerement psychotique mais au fond je voulais les provoquer et etre inconsiament  temoinse de ça. Au fond j'avais envie de refler lerus affaires pour pas resoudre les miens. Et pour Cash? Et bien je voulais le revoir. Parler . avoir ce qu'il avait penser de ma reprise.

Alors que Billy commençai a s'expliquer alors qu'il expliqua de maniere detourné que le vendeur le deranger mais le guitariste le pria de continuer ses explications  en jouant  sur le fait que le vendeur ne devez pas faire attention a nous.  Puis le guitariste reporta son attention sur nous deux. On avait pas l'air a l'aise du tout.  Pourtant je savait tres bien me fondre dans la masse , etre adapté mais la j'ai preferer etre reelement etre moi. Un putain d'anti social, anthropophobe .


Billy avait une soeur. Et alors? Je voyait pas le problemes . Je comprennais tout a fais Billy sur le faite de pas forcement aimer parler de sa famille. Donc entre temps le chanteur n'en avais pas encore parler . J'aimerais tellement tout balancer a la gueuele de Cash pour qu'il se rende compte que Billy etait important. Mais c'etait pas mon boulot . Billy devrait le faire lui meme.

- Je vois.... La communcation.... Et bien voila tu le sais. Et inversement.

J'ai dis ce que je pensait sans oser alller jusqu’au bout . Etais je encore qu'un gamin grande gueule? J'avais clairement conscience de ça mais j'preferer mettreça de coter parfois.

Dire à Hunt de ne pas faire attention à nous, de s'effacer, me semblait extrêmement irrespectueux. L'homme était sur son propre territoire, dans la petite entreprise qu'il avait construite jour après jours, brique par brique, à la sueur de son front. Pour moi, il allait de soit qu'il était seigneur et maître ici. De quel droit pouvais-je lui intimer de ne pas faire attention à ce qu'il se passait ici ? Je n'étais pas Cash Izbel, la rockstar, ici... J'étais juste Cash, le gosse de 10 ans que Hunter avait un jour engueuler sur le pas de sa porte parce que je faisais du BMX à fond les manettes dans le centre commercial. J'avais eu tellement peur que j'étais tombé de mon vélo, m'errafflant le bras. Et le vieux Hunt, puisqu'il était déjà vieux à l'époque... Il avait toujours été vieux en fait. Le vieux Hunt, pris d'un élan de pitié pour le gamin casse-cou que j'étais, avait soigné mon bras, avant de me faire visiter son magasin. Au départ, j'avais interdiction formelle de toucher les guitares. Alors j'attendais qu'il ne regarde pas pour essayer de les toucher. Mais même quand il avait l'air de ne pas regarder, il me prenait sur le fait. Jusqu'au jour où je réussi à toucher une des guitares, sans aucune fierté cependant : j'avais compris que si j'avais réussi, c'était parce que Hunter le voulait bien. Me restait une seule fierté dans l'histoire : m'être un fait un vieux sage pour nouvel ami.

C'était pour ça que ça me rebutait que Billy et encore plus Jay se croient assez important dans cette antre pour pouvoir faire baisser les yeux à Hunt. Mes yeux n'avaient, dans un premier temps, pas quitté le vieux et un air désolé pouvait s'y lire quand je remontait les lunettes de soleil sur mes cheveux, avant de me tourner vers Billy... Et Jay qui osait l'ouvrir. Alors qu'il était qui ? Personne. Il était certes talentueux, j'en avais fait l'expérience ici même il y avait une éternité de cela. Mais il n'était personne. Parce qu'il refusait d'être quelqu'un, de donner cette partie de lui aux gens, cette petite partie de lui qui le ferait exister.

Je ne dis plus rien après avoir jeter quelques piques. Si Billy me reprochait de ne pas lui avoir présenter Jay, je pouvais très bien lui reprocher de ne pas m'avoir parler de sa sœur. Et en plus, j'étais sûr qu'il n'y avait pas que ce genre de chose qu'il ne me disait qu'à moitié. Et puis Jay... Je laissai parler Billy, sans rien dire... Puis Jay intervint. Il pouvait il nous reprochait un manque de communication. Il avait bien du culot, lui.

Avec les deux en face de moi, je formais la pointe du triangle. Et ça me mettait automatiquement, comme ça l'aurait fait avec n'importe qui, sur la défensive. Je croisai les bras.

A aucun moment, mon regard n'avait dérivé vers Jay. Seul comptait Billy. Et pour une bonne raison. Et cette raison, je la dévoilai à mon chanteur, sans aucune pitié. J'étais passé en mode Seek & Destroy. Et j'excellais à ce jeux-là.

-Jay n'est pas important. Il ne le sera jamais. C'est pour ça que je ne t'en ai pas parlé.

Toujours cet air détaché, qui aurait pu paraître arrogant si mon regard n'était pas aussi absent, laissant paraître que finalement, rien n'avait d'importance. Alors que ce n'était pas vrai.

-Et son concert... Je ne m'en rappelle pas.

C'était vrai. Après ma petite « altercation » de ce soir-là avec Jay, je m'étais planqué dans les chiotte du bar et m'était envoyé une dose d'héroïne monumentale. Du coup, je ne me rappelais plus de rien à partir du moment où le concert de Jay avait commencé. Non. C'était un mensonge. Il y avait cette drôle d'impression dont je me rappelais : celle d'avoir passé la soirée à écouter des disques qui se seraient déformés sous une lampe.

Mais. Parce qu'il y avait un mais. Et là, mon regard se fit plus fixe, soulgnant l'importance de ce que j'allais dire.

-Mais je me rappelle très bien de la question que Jay m'a posé ce soir-là Billy. De la question qui a fait que j'ai pris une dose pour calmer ma colère envers lui...

Je ne voulais plus être la pointe du triangle. Et j'allais échanger les rôles. Quitte à détruire à tout jamais les espoirs de carrière de Jay, s'il n'était psychologiquement pas assez fort pour surmonter ça.

Et là, mon regard se posa enfin sur Jay. Et je répétai mot pour mot la question qu'il m'avait posée ce soir-là.

-Mec pourquoi tu as décider de commencer avec Billy?

Je le savais putain. On m'as prevenu a plusieurs reprise. Je me croyais plus intelligent plus fort , au dessus des autres. Superieur. Mais bien sur Jayden! Tu as du talent! Multi-instrumentiste,  Ce petit truc  sur scene qui conquis le public,des bon tres bon textes a ma hauteurs des plus grand, j'pourrais etre la nouvellle generation ! Encore faut il que je signe , que je donne une partie de moi en echange . M'offrir au l'enfer pour m'offrir au public. J'avançais vers cela mais changer c'ets pas si simple.

Depuis ma derniere  rencontre avec Cash j'avais pas mal reflechis a tout ça . Alors Oi je savais tout ce qu'il pointer du doigts, j'en etait bien trop consciens, Si j'avais voulu  juste me faire desirer sans pouvoir m'attraper , continuer a me produire dans quelques bars n soir par semaine dans les villles les plus moisi les unes que les autres d'indiana. Non je me suis barrer de cette fournaise  pour Los Angeles pour vraiment monter sur de vrais scenes , faires des concerts remunerer, avec un vrai studio pas ma chambre et des micros  basique a un son cresiller. Donc oui je suis venu chercher cette  fucking celebrité mais j'ai peur putain.Je suis un froussard mais je ne suis plus seul.

Cash n'avait pas poser les yeux sur moi depuis le debut, s'adressant toujours au vieux gerant ou a Bily. Ca cacher quelques choses. Je restai sur mes gardes en l'ecoutant mais jamais je me serai douter de ce qu'il dirai avec son putain d'air blasé! La j'ai juste ecouté.Billy lui voulait des reponses . Moi je regrettais deja d'avoir fais cela.

"Jay n'est pas important. Il ne le sera jamais. C'est pour ça que je ne t'en ai pas parlé." Il avait laché ça comme un anodin  "tiens il fait beau..." avec en plus une petite pointe d'arrogance caché par son regard perdu  , vide. Ce regard je le connaissait trop bien, apres le depar D'ivy , quand je me suis retrouver seul, mon regard etait le meme, lors de, l'accident il etait revenu . Dans cesimportant mais c'ets faux. Cash n'etait pas honnete du moins je l'esperer.

Il ne se souvenait pas de mon concert ça a la limite j'pouvais comprendre. Le guitariste avait du boire pas mal , pour dire vrai je me soviens que tres mal de mon propre concert. Lors des derniers morceau ma tete c'etait dit qu'elle pouvais aller faire un tour et je m'en souviens plus apres.Cash n'avait pas fini, non pas encore, comme si il vidai son sac. Pour ma part j'optais pour l'option du mutisme,  les yeux dans le vide  sans point fixe. J'ecoutais attentivements chaques mots.

Lorsqu'il parla de son souvenir de mes paroles  j'ai soudainement relever tete . J'avais dis pas mal de chose ce soir la et en particulier une chose. Qui l'avait apparament provoquer. Je le lui avait clairement jeter a la gueuele wque je l'aimais. D'ailleurs  c'est toujours le cas.  Puis il a deballer  . J'ai lacher un profond soupire de soulagement  . Il me regarder , ses yeux nousette dans les miens , Bleu vs  Marron.

-Oui, je voulais comprendre....


Non il m’impressionner pas au point d'en perdre mes moyen. J'etais vraimet trop motivé pour me laisser casser par lui.J'encaisse tout sans rien dit ça me donne la rage de prouver le contraire.

Où est-ce que je voulais en venir en étant aussi cassant avec Jay ? Et bien je voulais le réveiller, lui ouvrir les yeux, et non le détruire. Je voulais aussi choquer un peu Billy. Lui faire comprendre que, Bon Dieu, on allait jamais y arriver si on ne se disait les choses qu'à demi-mots. C'était pour ça que je faisais un exemple avec Jay. Parce que ce que je venais de dire, aussi odieux que ça pouvait paraître, était la vérité. Jay ne deviendrait jamais quelqu'un s'il ne se bougeait pas le cul, s'il ne s'offrait pas à ses fans un minimum. Et son concert, je ne m'en rappelais pas.

Une seconde avant que Jay réagisse, essayant directement de se justifier. Je n'avais fait que répéter sa question, sans la commenter, sans expliquer celle-ci. Du coup sa signification profonde restait floue. Et c'est comme ça que les rôle s'échangèrent. L'attention de Billy fut instantanément détournée sur Jayden. Ça me laissa une seconde de répit où je me détendis un peu.

Mais c'était sans compter que Billy ne perdait jamais le nord. Heureusement, mes lunettes de soleil me permettaient de garder une distance, comme avec le public. Et il n'avait même pas laissé Jayden lui répondre avant de me poser la question sur ce que j'avais répondu à Jayden ce soir-là.

Alors, quel était le but maintenant ? Et bien je continuai sur ma lancée. Si le but était, en quelque sorte, de « bouffer » Jayden pour lui prouver que sa façon de faire, c'est-à-dire se planquer tout en se croyant supérieur, n'était pas la bonne, je savais comment faire.

Il ne voulait pas exister aux yeux du monde, il voulait rester caché dans son petit monde à lui qui était tellement sécurisant ? Et bien j'allais l'y laisser, et le faire totalement disparaître, en faisant simplement comme s'il n'existait pas. En ne le laissant pas en placer une. Et Billy et moi, on faisait même encore lus fort. On arrivait à annihiler l'existence du multi-instrumentiste alors même que c'était de lui qu'on parlait.

Je répondis à Billy avant que Jayden ait eu le temps de rassembler ses idées et de savoir comment les sortir. Parce qu'avec Billy chaque mot était important.

Je ne me rappelais plus exactement des mots que j'avais prononcés ce soir-là pour illustrer mon mécontentement envers Jay et ce qu'il avait insinué. Mais comme ma réponse resterait la même, peu importait comment je le disais. Quoi que.

-Je ne sais plus exactement. Quelque chose comme quoi tu valais vachement mieux que n'importe qui d'autre. Que tu étais travailleur et intelligent, avec les défauts qui vont avec. Et que ça me convient.

C'était une bonne chance de me rattraper et je restais fidèle à ma résolution du jour, qui était de DIRE les choses.

Mon regard se posa sur Jay, mais c'était toujours à Billy que je parlais.

-Je lui ai fait comprendre qu'il n'était pas supérieur à toi. Qu'il ne valait pas autant la peine que toi.

Jayden cherchait probablement toujours l'occasion de dire quelque chose, peut-être pour se justifier. Je n'allais pas lui laisser cette occasion. J'enchaînai directement avec une question pour Billy. En espérant que ma franchise allait provoquer la sienne.

-Comment tu as connu Jayden ?

HS:

Bon j'avais qu'une envie. Me barrer , prendre ma guitare et partir loins de ces deux la. Je detester a ce moment precis Cash, et Billy , le mec qui entrai dans peu etre s'en rendre compte dans son jeu. Il etait concentrer ,  soumis carremnt  A Cash. Non pas specialement soumis plus hypnotiser qu'autres choses, ll connaissait trop bien son chanteur . Savais quelles etaient les bons mots.  A chaques fois que Billy se figeait sur moi Cash  le  faisait revenir a lui.

Je suis rien. Comparé a ces deux rockstars c'etait ce qu'ils pensait. Bon theoriquement du point de vu  de l'echelle social mais si on les jugent superieurs du a leur celebrités   c'est vraiment que le monde est un idiot. On est tous humain, tous au meme stades , egalité. Je sais pas vraiment comment reagir. Gueuler pour couper Caash et pouvoir m'exprimer ou bien me taire et ecouter .

Cash voulait me reveiller j'avai saisi. Mas il n'y arriverai pas j'etait trop calme. Tout ça je savais ça me toucher mais ça rester en moi.  Oui je me croyais superieur, bourré de talents mais blasé et en ce fait je serai pas connu tant que je serai pas  changer. Faut que je me bouge . C'est en marche , je leurs prouverai.

Cash me laissa pas une minute de repit. Il enchainé les questions qui ne m'etait jamais  destiné, parfois il me regardai tout en parlant a son chanteur. Billy m'a demandé se que je voulais comprendre pus il a regarder son guitariste en lui demandant se qu'il avait repondu . L'afro repondit tres clairement qu'il avait voulu me faire comprendre que je  n'était pas supérieur à Billy. Que je ne valait pas autant la peine que Billy. Bien sur Billy etait parfait.Il cherchait faire quoi? Lecher les bottes de billy?

Je ne cherchai pas specialement des occasions de dire quelques chose, de me défendre . J'ecouté.  Apres sa dernier reflection sur ma petitesse par rapports a lui  j'ai rehaussé  ma guitare  sur mon dos avant de m'etirer les bras pour me diriger vers la sorti. Je n'avais plus rien a faire ici. Ma main allait pousser la porte d'entrée quand Cash m'a fait retenir ce dernier geste. Il venait de demander a Billy  tres honnetement comment il m'avait connu. J'etait dos a Billy  en attendant  la reponse.

J'étais bien conscient que ce que je disais n'étais pas réellement ce que je voulais faire comprendre. Mais j'étais conscient aussi qu'il me fallait faire un choix, et que ce choix était fait.

Je ne considérais pas Jayden comme étant inférieur à Billy ou à nous deux ou à The Lightening, loin de là, et surtout pas en ne me basant que sur la célébrité. Ce que je voulais dire, en réalité, c'était que Jayden ne valait pas Billy uniquement de mon point de vue, uniquement au niveau de mes sentiments. Billy était mon ami, mon partenaire de galère depuis des années, il était celui avec qui j'avais tout construit, lui et les autres membres de The Lightening. Je ne parlais pas ici des capacités de création de Jayden, ni de son talent. Jayden, s'il le voulait, pourrait être l'égal de The Lightening d'un point de vue renommée, et assez facilement en plus...

Et quand je disait que Jay n'étais pas important, ce n'était pas non plus d'un point de vue de la célébrité... enfin oui et non, parce que l'un entraînerait l'autre : s'il ne s'acceptait pas comme faisant partie intégrante d'un groupe, s'il ne se donnait ni aux autres musiciens de ce groupe, ni à ses fans comme l'avait fait Billy et nous autres membres de The Lightening... Si Jay restait un solitaire blasé, il ne serait jamais important pour personne.

Mais l'expliquer comme ça, je ne pouvais pas le faire. Pourquoi ? Pour deux raisons. La numéro un, c'était que ça reviendrait à avouer clairement à Billy que sans lui, je n'étais rien. Et j'avais peur que qu'en le sachant, il prenne la totale domination sur moi. Mais la raison la plus importante à mes yeux, à ce moment même, c'était que si je l'expliquais comme ça, ce serait trop soft, trop gentil, vis à vis de Jayden. Alors que ce que je voulais, c'était le secouer.

Voire même pire. Le détruire, pour le forcer à se reconstruire. Et si je voulais le détruire, je ne pouvais pas être gentil, ni avec lui, ni avec Billy auquel j'aurais pourtant tant voulu dire le fond de ma pensée...

Jay d'ailleurs, était sur le point de partir. Trop faible qu'il était pour encaisser les coups, il fuyait, sous ses faux airs de blasés. Ses yeux l'avaient pourtant trahis, une seconde avant qu'il ne se tourne vers la sortie. Ils étaient emplis de haine envers moi. Sauf que moi, je pouvais l'encaisser. En tout cas de la part de Jay. Parce qu'encore une fois, il n'était pas important. Jusque là, il n'avait pas fait partie intégrante de ma vie.

Quant à mes réponses, j'allais les avoir, mais sous la forme d'un retour de flamme qui me pris de court.

J'écoutai Billy, abasourdi, me raconter, en gros, que s'il était toujours là, c'était grâce à Jay. Ce qui rendait donc le petit gars très important pour mon chanteur...

...Mais alors... Par extension. Si je n'étais ce que j'étais que grâce à Billy et si Billy n'était toujours là que grâce à Jay... Jay ne devenait-il pas, par la même occasion, très important pour moi aussi. Ne devenait-il pas mon sauveur à moi aussi ?

Mon regard se porta sur Jayden. Mais une seconde seulement, le temps que je remette mes lunettes afin de caché mon regard. Pour qu'aucun des deux ne voit que je baissais les yeux en signe de soumission. Ce qui ne m'empêcha pas de dire, tout en prenant une cigarette que j'essayai d'allumer d'une main que j'essayais d'empêcher de trembler :

-Si tu me l'avais dit, j'aurais su.

C'était vrai... Il y avait des choses que je ne pouvait pas deviner. Et ça, Billy avait du mal à le comprendre.
J'étais un animal blessé, soumis au combat pour la dominance... Et vous savez ce qu'on dit des animaux blessés ?

Mon cœur s'emballa brusquement alors que je portais la flamme de mon briquet à ma clope. Je dus interrompre mon geste pour me rattraper brusquement au comptoir sur lequel j'étais assis pour ne pas m'effondrer dessus.

"-Si tu me l'avais dit, j'aurais su." Tiens c'est comique ça. La bonne excuse. C'est la cousine de " J'suis pas madame Irma " C'est  le genre d’excuses à deux balle que je supportes pas. Ça me donne envie de vomir; D'aller voir le mec et de le faire répéter  . Ce genre de type qui se fous de moi en disant ça. Je me suis retounée pour voir la réaction de Billy  . J'etait peu etre -oui enfaite c'etait certain - amoureux d'un  idiot, je nomme idiot ceux qui pense pouvoir donnée une moral de la vie sans connaitre la leur , d'une rock star junkie,  de mon opposé radical. J'etais amoureux de Cash mais a ce moment précis j'allais lâcher ma guitare et venir lui mettre un cou de poing au niveau du diaphragme . De manière a ce que sa respiration soit couper momentanément pour que sur l'instant il ferme sa gueule surtout.

J'aurais pu tirer cette fichu porte et me barrer, loin d'eux , loins de tout ses secrets qui me regardaient indirectement. Mais trop tard je les ai regardé  . Ils devaient s'expliquer. En theorie ça ne concernait que les deux musiciens. Mais j'etait devenu suffisament important dans leurs histoire pour rester. Ca peu paraitre pretencieu xoui sans doute, mais ça e l'est pas du tout. Dans ce cas j'avais moi aussi mes explications a donnée, meme si je m'ne serais volontier passer a vrai dire.

Cash avait comme anticipé  ce qu'allait dire Billy car le guitariste lui demanda « -Comment tu as connu Jayden ?  » Ça aurait pu paraître une simple question de curiosité mais trois trois savions que ce n'etait pas du tout le cas. A cet instant j'ai stopper net, j'ai senti le mouvement tres calme de billy se tournant vers Cash. Sa respiration était calme, laissant transparaître un homme dénuer d'effroi. Et dans sa voix j'ai entendu un mec détermine. Rencontre nocturne. Plage  de LA. Crash. Nous . Stop. Il a parlait à cœur ouvert face a  un guitariste dont j'ignorai la réaction.  Pause de la part du chanteur avant de  reprendre. Billy m'a touché. Je me suis arrêter tout a coup. J'allais repartir et puis non je voilà savoir. Il comprenait ce que j'avais vécu pendants des mois. My savior je comprenais mieux ce  mots. Billy criait sa rage gardais  enfouit en lui depuis des mois voir des année, depuis trop longtemps en tout les cas.

Billy venait de L'indiana, on avait deja tres vaguement  parlé  de ça. On le fuyait tout les deux. Un point commun comme un lien,Billy me defendais.

Puis apres ça Cash nous a sorti ça superbe excuse : « si tu me l'avais dit, j'aurais su » je me suis retourné pour le frappé mais non il etait deja assez amoché. J'ai lâché un petite sourire sadique avant de reposer ma guitare au sol. Attendant la suite.

Mon corps réagissait toujours beaucoup plus vite que mon cerveau. Mon cœur était un repère infaillible. Il était le seul à savoir quand j'allais trop loin, quand il fallait que je change mon fusil d'épaule. Et dans ces cas-là, c'était toujours douloureux.

C'est dans la voix désespérée de Billy qui gueulait que Jayden l'avait sauvé que j'avais compris. Pas dans les mots qu'il prononçait. Juste dans le son, dans l'émotion qu'il y faisait passer. Sa voix était comme un bon riff de guitare et je pouvais le comprendre. Je ressentais en cet instant ce que Billy lui-même ressentait. Et mon cœur en prenait un coup. Les émotions de Billy, lui seul pouvait les contenir dans son corps, personne d'autre. Un homme pouvait mourir s'il avait à subir ce que Billy pouvait ressentir. Et c'était ce que je faillis faire, mourir.

Mais Billy s'arrêta. Les émotions retombèrent. La colère mêlée d'angoisse de mon chanteur se changea en brève peur quand je manquai de m'écrouler, me rattrapant au dernier moment.

J'étais lent et en plus, j'étais têtu. Quand j'avais une idée en tête, un jugement, il était très difficile de m'en faire changer. Je regardai Billy, puis Jayden, alors que mon chanteur m'expliquait, pour la énième fois la même chose. Je devais apprendre à me mettre à la place des autres, à accepter que ceux-ci n'ont pas les mêmes exigence envers eux que celles que j'ai envers moi... Ni les mêmes démons et que ça donne des comportements bien différents du mien.

Je me reprenais doucement, maintenant que Billy ne me bombardait plus d'ondes émotionnelles trop lourdes pour mon système. Mais je m'accrochais toujours au comptoir. Hunter, lui, alerté par le cris d'alarme de Billy, était sorti de la réserve et observait.

Billy admettait qu'il aurait du me raconter ce qui s'était passé. J'aurais peut-être mieux compris et surtout, je n'aurais pas eu l'impression, aujourd'hui, d'être pris au piège.

Je ne peux pas tout comprendre. Je ne peux pas tout solutionner, c'était ce que Billy disait. Mais surtout, je n'étais pas le seul pour qui Billy comptait. Et je devais laisser de la place pour d'autres comme le jeune bassiste.

Billy n'avait pas encore fini de parler que mon regard était déjà braqué sur Jayden depuis un moment. Je voyais bien que je l'énervais. Et pourtant, il ne disait rien. Et c'était justement ce qui était râlant avec Jayden : quoi que je fasse, je finissais contre un mur. Un mur de protection que Jay avait du construire depuis des années. Un champ de force infranchissable. Et, depuis que je le connaissais, je tâtonnais, cherchant la faille, le point faible qui me permettrait de rentrer dedans, de passer de l'autre côté. Pas pour le détruire, comme bien d'autres le feraient, mais pour le porter vers le haut. L'aider. Mais là, on arrivait à mon propre mur : je ne pouvais pas formuler ça clairement. Je ne pouvais pas l'expliquer en mots.

Il avait déposé sa guitare. Il n'avait plus l'intention de partir. Et je ne voulais pas fuir. Parce que Billy avait raison. Jayden était la seule cause qui nous permettait d'être ici, aujourd'hui, tous les trois. Vivants.

Je n'ouvris pas la bouche. Je n'avais pas les mots. Mais toujours, j'avais su manifester ce que je ressentais. Et cette communication était optimale entre Billy et moi.

Je me décollai du comptoir, hésitant parce que je doutais de mon équilibre. Mon corps et mon cœur étaient fatigué. Les émotions de Billy m'avaient vidé de mon énergie.

Une fois sûr que je n'allais pas tomber, je fis deux pas en avant. Droit vers Jayden.

Et je le pris dans mes bras.

Un remerciement. Un encouragement. Une acceptation.

Et Jayden Lucky fut.

Bordel. Cash , le guitariste de The lightenning, etait venu face a moi et m'avais prit dans ses bras. Pourquoi ? Me remercier ? Non pas possible. Biilly avit crier ses pensée, lors que j'entrepris d'engager cette rencontre, regler les compte, et puis je voulais vraiment savoir, savoir ce que Cash avait a repondre a ça, a mon concert, il y etait peu etre bourré mais il y etait et je refusai xde crorize qu'il n'en ai rien pensé meme ivre il restai musicien. Un tres bon musicien, analysé quand résonnement, chaque note., un musiciens mécompris par un citoyens lambda qui lui ira juste l'ecouté .
Je m'y attendais tellement pas que lorsque je senti sa presence au plus pres de moi j'ai tresaillit lachant ma guitare dont le bruit sourd retenti dans toute la boutique lorsque qu'elle tomba au sol . La boutique etait vide, pas un seul client, le soleil de fin d'apres-midi illuminer le magasin par ses rayon orangées a travers la vitre. De la vitrines. Apres quelques secondes j'ai envie reagis en le serrai tres legerement avant de me reculer pour ramasser mon chapeau tomber en meme temps que la guitare.

J'ai regarder autours de moi . Au comptoir Hunter- ou quelques soit son nom- nous observait depuis quelques minutes, c'etait fini, plus de gros retournement de situations prevus. J'ai regardais le maitre dans lieux dans le syeux puis a quelques metres de mois cas et a ma droite billy.

Alors que son chanteur parlait son regard devait etre figé sur moi, du moins c'est a ce moment la que je m'en suis rendu compte, Apres ça billy m'a sourit. Je m'en suis etonné , le sourire lui allait bien.

- Je me reproduis bientôt au Rainbow si ça vous intéresses.

Ca suffissait comme ça. J'en ai assez entendu. Reprenant ma guitare j'ai rejoins la sortir , ouvert la porte avant de me retourné face au deux musiciens.
-On se retrouveras sur scenes.

Un bruit de guitare qui tombe, une note horrible, résonnante. Jayden l'avait laissée tomber de surprise quand je l'avais pris dans mes bras. Enfin, le jeune artiste avait pris une certaine importance à mes yeux. Je pouvais lui donner une place dans mon monde à travers Billy. Comment pouvais-je rejeter ou nier l'homme qui avait sauvé mon meilleur ami ? Qui m'avait sauvé aussi du même coup ?

C'était un commencement, et non la fin. Jayden était le sauveur de Billy, pour moi, pour l'instant. Mais rien de plus, jusqu'à ce que je le voie à nouveau jouer. Maintenant qu'il existait, j'allais pouvoir l'entendre, puis l'écouter.
Le problème des gens, c'était qu'ils pensaient que parce que j'étais moi-même un guitariste, j'étais capable de critiquer le jeu des autres. Il n'y avait rien de plus faux. Je régissais au feeling, comme tous les autres fans. Souvent, je ne savais dire que « j'aime » ou « je n'aime pas ». Ce que je ressentais au fond de moi était impossible à expliquer avec des mots. Seule Adriana aurait peut-être trouvé ces mots, si elle avait pu parler au reste du monde.

Je sentis légèrement les bras de Jayden autour de moi. Bien. C'était là que nous en étions. La paix était signée.

Et le jeune musicien s'en fut juste après avoir ramassé sa guitare et son chapeau bizarre, comme s'il était effrayé par ce qui l'attendait à partir de maintenant. Mais son regard, que j'avais pus croiser avant qu'il ne nous tourne le dos, montrait qu'il était maintenant prêt à relever tous les défis, à faire ses preuves.

Tout ce que j'espérais, c'était qu'il allait arrêter de tirer sa gueule de grand blasé pour s'émerveiller et saisir les chances que L.A. pouvait lui offrir.
Et je me réjouissais de le voir en concert.

Je me tournai vers Billy que ma réaction silencieuse avait du surprendre autant que Jayden. C'était ma force et mon bouclier : être imprévisible.
Je souris à Billy et, dans mon champ de vision périphérique, le vieux Hunter approuvait.