Prénom P. Nom : Maureyn Legrio Âge : 29 ans Nationalité : Américain Goûts musicaux : éclectiques, mais il aime les sensations fortes Maison de disque : MTI Animaux : sans façons Statut amoureux : la même chose, Alfred ! Orientation sexuelle : bisexuel, mais surexposé, indifférent sauf sous crack.
A dix mètres dans la rue, tu vois un surfeur californien classique, moumoute dorée, lunettes d’aviateur, jeans déchirés stratégiquement, bronzage étincelant, collier de cuir, vieilles sandales pourries… un look, ça se travaille, grand-père. Rapproche-toi un peu et tu te poseras quelques questions. Le type n’a pas de walkman, ne swingue pas tellement et traîne seul, sans l’habituelle bande de potes lourds à l’enthousiasme alcoolisé, il semble observer les environs, peut-être suivre quelqu’un ? Tu penses brièvement à un flic en civil, puis tu secoues la tête, nan, ce serait fendard, mais ça n’arrive que dans les films ! Un peu plus près : bon, c’est pas de la gonflette, il est costaud. Il résiste aux coups de coude comme un iceberg aux paquebots de croisière qui passent un peu trop près. Il a le regard fixe, d’un vert aux reflets changeants, pas spécialement rassurant maintenant que t’y penses. Si tu devais faire son portrait-robot, difficile de nommer une ethnie plutôt qu’une autre, selon l’angle : un peu caucasien ? un peu oriental ? un peu indien ? méditerranéen, peut-être ? Si tu devais deviner ce qu’il fait dans la vie, pareil, difficile à imaginer. Tu le verrais bien tenir un rade sur une île perdue des Antilles, accueillir les équipages plus ou moins pirates à la Corto Maltese, un couteau Bowie à la ceinture, juste au cas où. C’est là qu’il s’aperçoit que tu le dévisages. Là, c’est la métamorphose. Tu retrouves le brave surfeur californien de tout à l’heure. Un grand sourire niais, une pose de magazine, un sourire colgate. Ce doit être un commercial. Tu t’esquives, avant qu’il essaye de te refourguer un vieux tapis ou une passe avec sa frangine. Ouais, ça semble plus prudent. Bon, le voilà qui entre dans une boîte de nuit comme si c’était chez mamie, mais ça veut rien dire, il fait ça dans toutes les boîtes de la ville ; c’est peut-être juste son attitude fétiche quand il passe le seuil d’une porte.
Caractère
Pareil, ça dépend qui le demande. C’est pas comme une boîte de chocolat… Disons que c’est plutôt comme un millefeuille. Bon, y a des gens qui peuvent mordre direct à travers toute l’épaisseur, s’ils ont de bonnes dents ou savent où mordre. Impulsif ? Oui et non, ça dépend. Certains trucs le font sortir de ses gonds et abandonner tout vernis de bienveillance nonchalante. Tu sais, y a des gars, ils aiment pas trop qu’on s’en prenne aux plus faibles. Lui, c’est de la névrose. Il te défoncerait le crâne pour avoir cogné ton chien ou craché sur une pute. Tiens, une insulte qu’il prend vraiment mal, c’est : « fils de pute ». Oh, c’est peut-être juste un truc de camé. Mais sinon, dans l’ensemble, il se maîtrise, même à un point quasi flippant, c’est un vrai pro. Il sait parler aux clients, flatter les puissants et regonfler l’ego des pires losers. Tu vois le renard de la fable ? C’est ce genre de vaudou. Il pourrait te faire bander à volonté rien qu’en te racontant une blague carambar, si ça lui rapportait ses cent dollars, évidemment. C’est pas le genre de bonhomme qui se fatiguerait gratuitement, quand il est dans son état normal en tout cas. Mais au moins, il s’est jamais servi de son vaudou pour faire perdre ses moyens à un concurrent, pousser une petite copine chiante au suicide ou ce genre de saloperies, généralement tout le monde y trouve son compte. Un vrai capitaliste, quoi ! C’est pas un grand admirateur des forces de police, mais tant qu’on le fait pas chier, il va pas foutre la merde non plus ; il a plutôt l’air amateur des solutions parallèles, type arrangements entre copains, vieux privés louches et règlements de compte d’homme à homme. Au moins, c’est tout sauf une balance.
La mère à Maureyn, il aime pas trop en parler. Mais tu vois que ses yeux brillent, et parfois ses dents aussi, l’espace d’un instant. Il dit toujours : le premier commandement, c’est « Je veux que tu vive ». En gros, c’est ça le premier engagement que tu prends envers tes vieux.
Et tout ce qu’ils te demanderont ensuite, tout ce qu’ils attendront de toi, tous leurs grands espoirs d’études de médecine et de jolis petits-enfants, ça passe après. C’est bien, en bonus, mais c’est secondaire. Du coup, il estime être à peu près réglo envers sa vieille mère qui le regarde de là-haut, même quand il fait des choses dont elle ne serait pas forcément très fière. Il est resté en vie jusqu’à maintenant, et ça sera toujours la priorité. Il peut au moins faire ça pour elle.
Son père ? Encore moins à dire. C’était probablement pas l’amour fou, mais on sent qu’il a du respect pour ce souvenir assez vague. Le bonhomme a quand même quitté l’armée pour s’occuper de sa famille, c’est pas trop mal pour un foutu vétéran du Vietnam, même s’il est parti au bout de quelques années. Portrait brossé en une phrase, fin de l’histoire. Oui, si tu insistes, ils ne sont plus de ce monde. Enterrés ensemble à San Francisco, où il a passé sa jeunesse, le jour de leur anniversaire à tous les deux, un jour qu’il passe à dormir enroulé dans sa couette pour ne pas y penser, tous les ans depuis ce temps-là. Il coupera court, direct : c’est pas un sentimental, c’est un pragmatique. Les condoléances, ça ne lui apporte rien, gardez ça pour ceux qui font la collection.
Quand il était petit, son rêve, c’était New York. Il voulait faire du théâtre, et balader son dalmatien en petit pull au crochet dans la neige de Central Park ; allez savoir où cette idée en noir et blanc lui était entrée dans le crâne, lui qui avait le coucher de soleil sur la mer tropicale juste devant chez lui, et le désert rouge et mystique à quelques kilomètres en bécane. C’était un poète, que voulez-vous. Mais il était nul sur les planches, un vrai boulet, incapable de se mettre dans la peau d’un autre. Complexé par sa grande taille au collège, rattrapé par les copains au lycée mais horriblement timide avec les filles, chahuté par les sportifs et regardé de haut par les intellos qui feraient l’élite de demain, il rêvait trop d’être quelqu’un pour être lui-même à fond et les petits prédateurs de la mare le sentaient, et prenaient toujours une bouchée au passage.
Sa mère était coach. Elle le prit sérieusement en main. Il s’arracha les tripes et se métamorphosa en quelques années. New York et les planches, par contre, elle lui déconseillait de tenter ça. Il avait largement de quoi faire dans la région. Mais une partie de l’énergie que tu mets à contenter ton coach consiste souvent à haïr ton coach, et quelque chose bouillonnait chez le jeune homme, il avait besoin de défier l’autorité, de dominer l’issue de l’affrontement. Sa première petite amie en fit les frais, et il n’en est pas spécialement fier. Le petit diable, armé de sa caméra, la mettait en scène avec des gars ou des filles de passage et vendait ses pornos maison sous le manteau, jusqu’à ce que l’administration du lycée mette la main dessus et remonte le réseau. En fait, Maureyn a toujours haï les balances, mais jamais autant que ce jour-là, où sa mère a été convoquée chez le proviseur. Il n’a même pas attendu qu’elle rentre, il a fait son sac et filé chez un pote. Et ce fut le début de sa carrière dans le cinéma – rien à voir avec les pièces intellos de Broadway, cependant. Il était devenu une sorte de coach, à son tour, et la discipline était assez sportive.
C’était un acteur de merde, faut voir les choses en face, mais c’était un bon avocat du diable, et du coup, un bon agent. Les actrices qui s’engageaient sur la Voie de la Fesse par manque d’assurance et de confiance en elles-mêmes, notamment, adoraient sa compagnie.
Il les aidait à se sentir comme des princesses et sublimait leur performance – mais au bout d’un moment, il ne ressentit plus aucune excitation à force de baigner dans ce milieu 24h/24, et les demoiselles qui s’entichaient de lui de façon un peu trop collantes se faisaient de plus en plus souvent remettre à leur place. Bon, c’était pas si grave au final. La vie quotidienne est pleine de ces petites tracasseries. C’est alors que cette tarée sortit de prison. Il n’en parle vraiment jamais à ses potes ; quand il enquête sur elle, il prétend qu’elle est sa mère biologique et qu’il est un gentil gamin adopté qui rêve de renouer avec ses racines ; faudrait qu’il soit fin défoncé et complètement en confiance pour que la vérité franchisse ses lèvres, et il ne lui ferait pas l’honneur de prononcer son nom. Cette tarée, c’est encore trop beau pour elle. Bref, une ex de son père. Elle avait purgé sa peine, mais pas oublié la rage qui avait causé son premier accès de violence. Elle avait simplement attendu, rongé son frein, accumulé les scénarios et les pulsions sadiques.
Il sortait d’une cave, où il avait assisté à la projection de « Chiennes sauvages et grands méchants loups ». Tiarella Niphicent, sa diva contorsionniste, était au pic de sa carrière, et il n’était pas peu fier d’avoir créé un monstre. En marchant vers sa voiture, il s’alluma une clope. Mais ce fut la dernière. Après avoir entendu ce que le flic qui attendait près de la voiture avait à lui raconter, jamais plus Maureyn ne supporta d’inhaler de la fumée de tabac. Le souvenir avait de quoi faire passer l’envie de baiser à Tiarella Niphicent, et ce n’est pas peu dire. Bref, ses deux parents avaient été tués. Cette tarée avait retrouvé leur trace et procédé à une exécution en règle. Et elle avait disparu dans la nature. Il y avait quelque chose d’assez négligent dans la manière dont le flic expliquait les choses. C’est ça, la nausée qui soulève encore le cœur de Maureyn quand il croise un flic qui n’en a rien à foutre, ou quand il respire par erreur la fumée d’une cigarette. Qu’est-ce que ça pouvait faire, au final, que cette tarée se soit enfuie ? Est-ce que c’était vraiment si grave ? Est-ce que ça changeait vraiment quelque chose ? D’abord, il ne comprit pas, puis, en y repensant, s’aperçut que cela voulait dire : au fond, sa mère n’était pas une si grande perte. C’est pas comme si on avait tiré sur le président, quoi !
Maureyn, enfant, était un grand fan de la série Zorro. Quand, à dix ans, il avait voulu expliquer à sa mère – sans avoir le vocabulaire pour ça, bien sûr – qu’il était bisexuel, il avait dit : « Je suis un peu comme Zorro, et un peu comme Diego de la Vega. » Elle lui avait gentiment expliqué que tout le monde était comme ça au fond. Elle avait omis de lui signaler à quel point de nombreuses personnes étaient aussi inefficaces et indifférentes que ce putain de sergent Garcia. Croyant d’abord que ce policier était une triste exception, il avait essayé de s’adresser à divers niveaux de hiérarchie, mais partout on lui avait tenu le même discours. Le temps passait, les chances de retrouver la folle s’amenuisaient. Maureyn prit les choses en main. Sous couvert de réorienter sa carrière vers des sphères plus politiquement correct (quoique… limite hein, avec le rock…) il prit la route, et se lança dans une enquête solitaire et éprouvante, au sein de la cité tentaculaire où la meurtrière s’était fondue dans le décor : Los Angeles.
Prénom/Surnom: Bah vous pouvez m’appeler Goldilox, pourquoi se faire chier. Age: 29 ans. D'où viens-tu: D’une galaxie lointaine, très lointaine. Comment as-tu connu le forum: Sur Sawen, y m’semble. Niveau en RP: ça dépend des goûts, je dirais. De bonnes idées, un bon rythme, un équilibre drame/humour savamment dosé… mais pas fan du lyrisme flamboyant sur deux pages et demi, si vous voyez ce que je veux dire. C’est plutôt du scénar de feuilleton que de la poésie romantique. Quelques petits trucs sur toi: Là actuellement, un pull, un jean, des grolles, et une montre à gousset. Quelques mots sur le forum: Quand tu es accueilli sur le tarmac par l’équipe de Radio Rock et un petit Cheyenne discret dans le fond, ça fiche une claque, mais dans le bon sens du terme. Continuez comme ça. (Mais aviez-vous vraiment besoin de ma bénédiction ?)
ROCK ON
Eddy Cort
Date d'inscription : 24/09/2013
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Who Am I? Age: 26 Date de naissance: 13/05/60 Localisation: Beverly Hills Birth place: Los Angeles Je suis: heureux Song: SEEK & DESTROOOOOY - Metallica
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Dim 26 Oct - 9:41
Superbe fiche! Tu es validé!
Nouvelle du jour! Je ne suis plus le plus vieux^^ (mais vu ta fiche, tu te démerdes déjà mieux que moi avec un ordinateur...)!! On va s'entendre, toi et moi... On va faire vivre un enfer aux petits jeunes
L'histoire de ton perso est génial, y a moyen de faire un max de posts. Je sens que ça va donner des posts intéressants avec les autres managers et mes persos Jordan et Amon.
Bon. J'arrête mon babbeling et je te mets ta couleur! Bienvenue parmi nous et amuses-toi bien!
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Dim 26 Oct - 9:56
Me parle pas de mon âge, là ça va mais d'ici un an... brrr. Heureusement que je suis manager, parce que c'est l'espérance de vie moyenne des vraies rockstars. Allez, je crois que je vais poster de ce pas une petite fiche de liens, histoire de tisser mon réseau professionnel.
Billy Lighter
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Who Am I? Age: 31 ans Date de naissance: 6 février 1955 Localisation: Dans la mer avec les dauphins Birth place: Lafayette, Indiana Je suis: Instable, possessif, sensible, perfectionniste Song: Guns N'Roses - Estranged
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Dim 26 Oct - 10:12
Wow! La fiche est vraiment génial !! T'es doué .
C'est clair que ton personnage va être super intéressant à tous les niveaux pour le forum! Puis il pourra il y avoir plein d'histoire entre manager, ça va être super !
Je me réserve un RP avec toi si ça te va . Sinon n'hésite pas à ouvrire un post libre ou faire une demande de post dans le topic prévu pour ça!
En tout cas: bienvenue parmis nous et amuses-toi bien !
Nothing last forever and we both know hearts can change - GN'R
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Dim 26 Oct - 11:15
J'ai fait une demande détaillée, je trouve ça plus convenable (et puis j'ai une cravate, donc, voilà... convenable power.) C'est ici, pour les intéressés. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Invité
Invité
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Lun 27 Oct - 20:58
Haha super bonne fiche! J'adore ton style d'écriture!
Hâte de voir ce que ça donne dans les RP
Invité
Invité
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Lun 27 Oct - 22:00
Vous pouvez, très chère, vous pouvez. Vos yeux sur mes lignes, ce sera un plaisir.
Timmy Evans
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Who Am I? Age: 34 ans Date de naissance: 14 septembre 1951 Localisation: Downtown Birth place: Londres-Angleterre Je suis: Calme, intelligent, parfois fourbe et menteur Song: Linkin Park-Somewhere I Belong
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 12:07
Bienvenue, Maureyn! Une fiche excellente et très intéressante . Je vais de ce pas réfléchir à un lien entre nous .
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 12:15
Thanks Tim, fais-toi plaisir avec les suggestions de ma fiche de liens et sinon, si tu as quelque chose à développer du côté de ton personnage, fais-moi signe ; je ne peux pas avoir tout prévu
Cash Izbel
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Who Am I? Age: 27 Date de naissance: 01/06/59 Localisation: Hollywood Birth place: Los Angeles Je suis: introverti Song: Nightrain - Guns'n Roses
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 13:14
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 13:15
Merci. (Voui, j'ai mangé Lenny. Mais c'est pour son bien.)
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 14:37
Hey bienvenue Mareyn !! Super fiche ! Je ne connaissais pas ton vava mais il est pas mal du tout ! Amuse toi bien ici ^^
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Mar 28 Oct - 14:44
Salut et merci ! Même chose pour ton avatar, je ne retiens pas facilement les physionomies des actrices, mais le cliché est très bien pris. La lumière, l'expression, tout est au top
Daniele Ricci
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Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Jeu 30 Oct - 16:18
Bienvenue!!!! Un manager en plus, on va bien s'amuser et ça même si tu es dans le camp ennemi
You're never gonna die, you're gonna make it if you try, they gonna love you - Pink Floyd
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Jeu 30 Oct - 17:31
D'AUTANT PLUS si je suis dans le camp ennemi. Attends, minute... Tu coaches le blondinet d'en face ? Donc la course, c'est entre toi et moi ? Aiguise tes crampons, pépé, ça va swinguer.
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Ven 31 Oct - 14:45
*Saigne du nez... Devant tant de beauté et de blondineste* Yo-youkuso Maureyn-san !
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Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Lun 3 Nov - 18:51
J'avoue que j'ai du mal à interpréter, mais il me semble que c'est positif. Donc... merci, ptite tête (et au diable le dialecte des jeunes générations.)
Eddy Cort
Date d'inscription : 24/09/2013
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Who Am I? Age: 26 Date de naissance: 13/05/60 Localisation: Beverly Hills Birth place: Los Angeles Je suis: heureux Song: SEEK & DESTROOOOOY - Metallica
Sujet: Re: Maureyn 'Goldilox' Legrio Lun 3 Nov - 20:38
Maureyn a écrit:
(et au diable le dialecte des jeunes générations.)