Surnom: Gaby, surnom d'usage qui lui sert désormais de prénom. Date de naissance: 5 janvier 1956 Age: Vingt-cinq ans Origine: Allemagne et Bosnie Orientation sexuelle: Bisexuelle Style de musique: Honnêtement ? Gaby écoute de tout, fait de tout, tant que ça peut lui rapporter de l'argent et de l'influence. Maison de disque: Aucune, on se vend au plus offrant ! Sans mauvais jeu de mots Particularité(s): Gaby est transsexuelle. Cependant, elle a eu ses opérations de réassignement sexuel, elle est donc considérée comme une femme et a subi les opérations nécessaire pour être considérée comme une aux yeux de tous.
Gaby est une grande femme. Elle fait environ 1m77, et est toujours perchée sur une paire de talons de plus de dix centimètres. Sa philosophie ? Si les talons ne sont pas supérieurs à dix centimètres, eh bien, ce ne sont pas des talons. Très mince, voire maigre, la jeune femme ne passe pas inaperçue. Ses cheveux sont blond clair, longs, et légèrement ondulés. Gaby est toujours tirée à quatre épingles, bien coiffée, bien habillée, bien maquillée. Toujours prête à faire bonne impression, à décrocher un contrat, à user et abuser de son charme pour réussir dans la vie. Son visage est gracieux, ses cheveux toujours tirés en un chignon haut strict. Elle porte toujours des tailleurs cintrés et de petites lunettes de secrétaire. Oui, un peu le cliché de la secrétaire cochonne, on peut le dire. Gaby donne cependant, derrière cette belle apparence, une sensation très désagréable. Elle est trop grande, trop mince, trop tirée à quatre épingles. Cette présentation, au final, donne une impression de froideur métallisée, presque hystérique. Sa peau est très claire, et prend vite les coups de soleil. Etant anciennement un homme, les pieds de Gaby sont grands, et choquent un peu lorsqu'on voit son corps si mince et longiligne. Les lignes de ses épaules se sont adoucis, avec les hormones féminisantes, mais restent toujours assez carrées, ce qui peut sembler étrange lorsqu'on y prête attention. La silhouette de Gaby est extrêmement longiligne ; notre petite blonde ne possède presque aucune forme. Un peu de poitrine, un peu de fesses, mais voilà tout. Rien de bien remarquable. Ses oreilles sont percées, mais seules des clous d'oreille discrets les orne. Un tatouage d'arabesque lui couvre l'entièreté du dos, mais est entièrement recouvert par ses tailleurs. Son style vestimentaire est donc classique, et strict (bien que sa jupe soit plus courte pour appâter le client), ce qui ne lui fait pas vraiment honneur.
Caractère
Gabriel est une diva. Une véritable dramaqueen, toujours prête à faire scandale dès que quelque chose ne va pas, ou dès que la jeune femme pense être victime d'une injustice. On se souvient encore de l'épisode où elle fut arrêtée par la police après avoir traîné une femme par les cheveux dans un magasin de fringues, car cette dernière ne voulait pas lui rendre la petite culotte que Gaby convoitait. La blondinette est énergique et énervée, toujours dynamique, toujours prête à faire dix choses à la fois. Une vraie pile électrique. Elle est extrêmement organisée, et gère sa vie de manière presque maladive. Gaby donne l'impression d'être une garce ambitieuse, grande gueule et extrêmement superficielle. Ne nous mentons pas, c'est bel et bien ce qu'elle est ; en partie du moins. La manager préfère cependant présenter uniquement cette partie d'elle même, la partie rabajoie, grande gueule, pipelette et critique, afin de creuser son trou dans le milieu du management. Lorsqu'elle est en privé, Gabriel est beaucoup plus relax, plus calme. Plus réservée. Elle a tendance à être douce et maternelle avec les personnes qu'elle aime, voire un peu trop ; cela peut devenir étouffant à la longue, pour ceux qui aiment leur indépendance par dessus tout. Gab a tendance à dire le fond de sa pensée de manière critique et sans mâcher ses mots, et à toujours crier plus fort que son adversaire. C'est la première à tendre des coups fourrés, à faire des crasses dans le dos si cela peut lui permettre d'avancer et de se mettre en avant. Si elle peut filer des laxatifs au groupe adverse pour mettre le sien en avant, et, donc, empocher le contrat, ce sera sans scrupules qu'elle ne fera. Gaby a un train de vie supérieur à ses moyens financiers. On ne rigole pas avec l'argent; dès que l'occasion se présente d'avoir de la money, on peut s'attendre à trouver la blonde dans le coin. Venimeuse et sournoise, Gaby prépare toujours ses sales coups en cachette, attendant son heure, tapie dans l'ombre. Elle montre une façade agréable, polie et cultivée à ceux qui sont mieux placés qu'elle, qui pourraient lui apporter plus d'argent, aux groupes de renom qui pourraient vouloir d'elle, aux gens qu'elle veut punir (les laxatifs les gars, souvenez-vous en), pour mieux les arnaquer dans leur dos. En bref, Gaby est un requin.
Depuis toujours, ce me semble, je ne me suis jamais sentie totalement à mon aise. Il y avait, vous savez, ce malaise permanent qui me tenait toujours à l'écart des autres. Lorsque j'étais enfant, je vivais en Allemagne de l'Ouest. Mon père, militaire et médaillé de guerre, a réussi à obtenir des Visa pour les Etats-Unis, après presque dix ans de bataille. Je n'avais jusqu'à présent eu de ce pays que la vision idyllique que la propagande "American Dream" nous en donnait en Allemagne. Mais la réalité fut toute autre. J'avais seulement trois ans lorsque nous sommes allé nous installer à San Francisco. Mais je me rappelle encore le racisme que ma famille a subi des années durant, nous forçant à changer de nom de famille. Mon père n'avait d'allemand que le nom. Il s'était battu au côté des français, mais avait quand même hérité de la même disgrâce que ceux ayant combattu du côté nazi. Wolffenberg était un nom "trop germanique" et nous dument le raccourcir en "Wolff". Par fierté, mon père garda les deux f. Jamais nous ne renieront totalement notre identité. Nous étions des gens honnêtes, correctes, et nous n'avions pas à avoir honte de qui nous sommes. Voilà ce que papa me répétait, nous répétait à maman et moi, tous les jours.
Mais tout changea lors de mes dix ans. Cela faisait sept ans que nous étions installés dans le quartier bourgeois de San Francisco, et malgré notre changement de nom, les gens savaient que nous étions allemands. Et cela ne leur plaisait pas. Pas du tout. Ma mère, Magdalena, se fit violemment agresser un soir, à cause de ses origines germaniques. Elle en garde des séquelles à vie, et est tombée dans le coma. Je n'avais alors qu'une idée en tête, venger maman. Mais comment vouliez-vous que le petit garçon de dix ans que j'étais puisse venger sa mère contre le racisme et la fermeture d'esprit des gens ? Je ne le pouvais. Mon père le savait, lui. Il ne voulait pas risquer ma vie. Nous restâmes dans ce quartier encore quelques années, bloqués par l'espoir que maman se réveille un jour de son coma.
Elle ne se réveilla jamais. Le 10 janvier 1971, l'année de mes quinze ans, mon père fit débrancher ma mère. Je ne le savais pas jusqu'alors, mais elle était en mort cérébrale depuis quelques temps... À l'époque, je pensais que mon père abandonnait tout espoir. Qu'il abandonnait maman, qu'il nous abandonnait. Qu'il abandonnait le combat contre le monde entier. J'avais quinze ans, j'étais jeune, et j'avais mal. Je ne réfléchissais pas à ce que je faisais, et je ressentais mes émotions trop fort. J'ai toujours tout ressenti trop fort.
Nous sommes parti de San Francisco dans le mois qui a suivi. J'ai du dire adieu à ma vie, à mes amis, à tout ce que je connaissais. Nous partions vers l'inconnu. Mon père avait décidé d'aller s'installer à Los Angeles. Franz, mon père, avait toujours été strict avec moi. Il avait pour objectif de faire de moi un honnête homme, loyal, sincère. Ce fut le sujet de nombreuses disputes. Pourquoi, lui disais-je, pourquoi être quelqu'un de bien alors que nous sommes entourés de personnes mauvaises ? Pourquoi être sincère au risque d'être poignardé dans le dos, alors que nous pouvions faire comme en Allemagne. Œil pour œil, dent pour dent. Je me souviens encore de ce que Franz m'a dit, ce jour-là. "C'est à dire de personnes œil pour œil, dent pour dent, comme tu dis, que nous avons dû quitter l'Allemagne, que nous avons dû nous exiler. Cela te semble certainement idiot, aujourd'hui, mais ne prends pas les chemins de traverse. Reste dans le droit chemin, fils. Sinon, tu risques de te perdre et de ne jamais en revenir."
Je ne le pris pas au sérieux. La jeunesse se croit immortelle, intouchable. J'avais seize ans, lorsque je commençais à ne plus supporter mon corps d'homme, qui était en pleine puberté alors. La dépression, une dépression sans nom, s'empara de moi. Franz, en plein combat contre l'alcool, n'avait plus le temps et la disponibilité nécessaire pour s'occuper de moi. Ce fut dans ces années-là, que je commençais à sortir. J'allais au club, en discothèque. Je m'habillais en femme, pour y aller. Je volais une des robes de ma mère, je piochais dans son maquillage. Je prenais toujours son rouge à lèvres rouge vif.
Quand je sortais, dans le monde la nuit, j'étais quelqu'un d'autre. Je pouvais être qui je souhaitais. Alors, au début, j'étais quelqu'un de différent chaque soir. Alexia la droguée, Meg la femme fatale, Gabrielle la fille bien dans sa peau. Un soir, j'eu alors une idée folle. Pourquoi ne serait-je pas moi-même ? Gaby, la femme. Tout simplement. J'ai toujours eu un physique androgyne de nature, alors quelques artifices faisaient de moi la femme que j'avais toujours rêvé d'être. La femme que je savais être, au fond de moi. Ce petit jeu continua pendant presque deux ans. Des nuits volées où je pouvais enfin être moi-même. Mais, bientôt, ce ne fut plus suffisant. L'année de mes dix-sept ans, je ne supportais plus mon reflet dans le miroir. Je ne supportais plus ce torse plat, je ne supportais plus ces traits qui criaient leur masculinité malgré mon aspect androgyne. Je ne supportais plus d'être Gabriel. Je voulais être Gaby. Je voulais enfin être moi-même. Alors, peu à peu, je fis tout pour me féminiser.
Ca ne plaisait pas, à mon lycée, et je fus plusieurs fois passé à tabac par d'autres lycéens, qui voulaient "casser du pédé". J'étais toujours considéré comme un homme ! On me prenait seulement pour gay. J'en pleurais, je m'en arrachais les cheveux. Je finissais mon lycée cette année-là. Une fois mon diplôme en poche, je décidais enfin de m'occuper de moi. J'étais seul, je le savais. Je l'avais toujours été. Je n'avais pas réussi à me faire de nouveaux amis. Personne ne voulait s'approcher du "bosche", du "nazi"; et encore moins de la pédale de service. Mon père ne s'occupait plus de moi. Franz n'était plus que l'ombre de lui-même depuis la mort de maman. Il s'étiolait peu à peu, laissant l'adolescent que j'étais dans la détresse la plus totale. Il ne faisait pas attention à moi, ni à ce que je faisais, ni à ce à quoi je ressemblais. Pour lui, seul le whisky et les souvenirs doux-amers datant d'une autre vie, en Allemagne, comptaient, désormais.
Alors, un jour, je décidais de partir. J'embarquais mes affaires dans un sac de voyage, je volais l'argent de secours de mon père, et partit. Au fil de mes fréquentations dans les clubs, j'avais rencontré Dayanara. Une trans. Elle me prit sous son aile. Ce fut comme une seconde mère, pour moi. Je trouvais un job de gogo-danceuse dans un bar - dont je suis peu fière, mais la fin justifie les moyens. De gogo danceuse je devins strip-teaseuse. Je voulais passer à l'étape supérieure, devenir une femme. Une vraie. Ma décision était prise... Et je pense, au fond, que je savais depuis un moment que c'était la route à suivre. Que je ne pourrai être heureuse qu'ainsi.
J'avais dix-huit ans lorsque je désertais la maison de mon père. Malgré ses recherches, il ne mit pas la main sur moi. J'avais changé de quartier, changé de nom. J'étais devenue la femme de la nuit, et j'avais abandonné le garçon du jour.
J'avais vingt deux ans lorsque je me présentait au porche de mon père. Lorsqu'il m'ouvrit... Choc. Franz semblait avoir vieilli prématurément. L'alcool avait ravagé l'homme qu'il fut. Car il ne l'était plus. Mais c'était toujours mon père et.. Et je l'aimais.
"G-Gabriel...?" Sa voix reflétait son choc. Il n'en revenait pas, je crois. Avec du recul, je ne sais toujours pas si c'était de mon retour, ou de mon apparence. J'étais une femme, maintenant. Il ne me manquait que la reassignation sexuelle, et je serai officiellement une femme, aux yeux de l'Etat. Mais, physiquement, j'en étais désormais une.
"Papa..."
Sa mâchoire se serra. Je crus l'espace d'un instant qu'il allait me serrer dans ses bras. Mais il tint bon, et me dévisagea. "Qu'es-tu devenu, mon fils... Qu'as-tu fais !?" Son ton reflétait son affliction, son dégoût. Je ne pouvais répondre. Ma bouche, mon corps ne répondaient plus.
"Je t'avais dit de rester dans le droit chemin, fils. Je vois que tu ne m'as pas écouté... Et tu t'es perdu." Silence. "Tu n'es plus mon fils." Sa voix se fit un murmure, aussi brutal qu'une gifle. Il me claqua la porte au nez. J'entendis alors un gémissement... Avant de me rendre compte que c'était moi qui gémissait. Je repris le contrôle de mon corps et me rua contre la porte, martelant de mon poing le bois vernis pour que mon père m'ouvre.
"Papa ! Papa, s'il te plait ! PAPA !!.."
Je tombais en pleurs sur le pas de porte. Il m'avait renié. Je n'avais plus de famille. J'avais tout perdu, je n'avais plus rien, je, je...
J'étais seule, désormais.
Je finis par me relever, avant de me mettre à partir en courant. Devenir moi-même m'avait pris la seule famille qu'il me restait. Je n'avais plus rien, hormis moi-même. Papa m'avait dit de rester dans le droit chemin, sous peine de me perdre. Je crois ne jamais avoir trahi cette parole. Car, pour moi, ce que j'ai fait était le droit chemin. Si j'étais resté Gabriel, je serai mort, à l'heure qu'il est. Je le sais, au fond de moi. Alors... Avais-je tout perdu ? Non. J'allais me construire ma vie, j'allais choisir ma famille. Dayanara était ma famille. Je n'étais pas seule.
Plus maintenant.
Behind the screen [Facultatif]
Prénom/Surnom: Aaron Age: Dix-neuf ans D'où viens-tu: De Paris m'dame Comment as-tu connu le forum: Jack Farmer ! Niveau en RP: A vous d'en juger Quelques petits trucs sur toi: Je vis à Paris et je fais des études d'ingénieur du son, le hard rock est ma passion dans la vie et je suis inconditionnel des Guns N' Roses Quelques mots sur le forum: Original, on ne m'en a dit que du bien, et le concept est vraiment cool ! Ca faisait longtemps que je recherchais un forum comme celui-ci, j'espère avoir trouvé chaussure à mon pieds *-* . Le code est validé par Eileen J. Kramer
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Dernière édition par Gaby A. Wolff le Lun 27 Juil - 10:56, édité 1 fois
Billy Lighter
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Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 9:17
Bienvenue, Gaby .
Ta fiche est bien il manque juste le code qui se trouve dans le règlement et que tu dois mettre à la fin de ta fiche pour que tout soit en ordre et que je puisse te valider .
Un fan des Guns en plus sur le forum c'est cool !
Amuses-toi bien parmi nous.
PS: Je repasse qu'au soir alors si un modo passe et que tu as mis le code et qu'il te donne le feu vert, tu peux déjà Rp avant que je n'arrive .
Nothing last forever and we both know hearts can change - GN'R
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Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 9:50
MDRRRR miskine il a oublié le code comme moi Ben du coup,nice, on attend pour dire bienvenue. Aaron t'abuse.
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Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 10:57
Merci ! ^^ Tg Jack c'est toi qui est à 100% dans l'abus XD
J'ai mis le code (:
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Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 11:01
Bienvenue !J'aime beaucoup l'histoire de ton personnage !
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Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 11:43
Bienvenu
Invité
Invité
Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 14:24
Bienvenue Gaby ! Magnifique histoire très touchante
J'ai vu que tu avais le bon code, donc tout est bon tu peux commencer à RP et faire les demandes de liens etc … Dès qu'un des admins passera tu auras ta belle couleur Amuses-toi bien parmi nous
Eddy Cort
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Who Am I? Age: 26 Date de naissance: 13/05/60 Localisation: Beverly Hills Birth place: Los Angeles Je suis: heureux Song: SEEK & DESTROOOOOY - Metallica
Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 19:34
Bienvenue Gaby!!! Vous êtes pleins d'idées, les gars! Ca fait plaisir à voir!
Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Lun 27 Juil - 21:13
Merci Eileen !
Ah, merci à toi également Eddy, je suis content si Gab plaît ^^
Timmy Evans
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Who Am I? Age: 34 ans Date de naissance: 14 septembre 1951 Localisation: Downtown Birth place: Londres-Angleterre Je suis: Calme, intelligent, parfois fourbe et menteur Song: Linkin Park-Somewhere I Belong
Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Mar 28 Juil - 13:01
Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: Re: GABY ♪ baby's on fire Mar 28 Juil - 14:06
Bienvenue! Et un requin de plus à L.A. , je crois qu'on ne vas pas bien s'entendre, je sais pas pourquoi