Deal Or Die ft. Jayden Lucky

Le Rainbow était de loin mon bar préféré. Pourquoi ? La réponse était simple ! Il y avait plein de gens différents et, donc, il y en avait pour tous les goûts. Ici, je pouvais tout trouver fille comme garçon. C’était un de mes terrains de chasse favoris.

Mais au-delà de mes occupations pour les moins controversées, je venais aussi pour la musique et pour pouvoir alimenter ma critique du lundi. Et qui avait eu le jackpot cette fois-ci ? Le jeune Jayden Lucky. C’était lui qui se produisait aujourd’hui soir en solo. D’après ce que j’avais lu dans la presse et ce que j’avais entendu, ce n’était pas la première fois que Jayden se produisait ici et il paraissait qu’il n’était pas du tout mauvais. Et, à cet instant même, je pouvais moi-même vérifier toutes ses rumeurs vu que sur scène ce démenait le jeunot au look digne du Rainbow. Un chapeau, des cheveux noirs, des habits noirs. Il y avait quelque chose de presque glam rock dans son style sans vraiment l’être. C’était plutôt intéressant ! Et niveau musique, le petit gars se débrouillait bien. Il avait du talent pour plusieurs instruments et savait chanter. Nul doute, il avait les clés pour réussir à Los Angeles. Enfin, il réussirait si j’en avais envie. En effet, je pouvais très bien faire une critique acerbe lundi et donc dégoûter certaines personnes à venir à ses prochains concerts. J’étais totalement capable de ça !

Les gens s’amusaient en sautant sur les musiques de ce Jayden. Moi je le regardais avec  attention, bien assis sur mon tabouret. Je ne bougeais pas, j’analysais. Je devais faire tâche à côté de tous ses gens qui ne pensaient qu’à une chose : passer un bon moment sur les notes d’un jeune gars talentueux. Moi je pensais à chaque mot que j’allais mettre dans mon article.

Le concert se termina et les gens acclamèrent Jayden. Hmm, il semblait qu’il avait fait l’unanimité ici. Il fallait dire que le public du Rainbow n’était pas réputé pour être un public d’expert même si, pour une fois, ils acclamaient à raison. Tout cet engouement me donnais envie de rencontrer Jayden. Ouep, j’aimais bien rencontrer mes futures victimes. J’étais vraiment un journaliste de la pire espèce. Quoi que… S’il me plaisait peut-être que j’allais être indulgent dans l’article du lundi. Peut-être…

Je m’infiltrai dans les coulisses afin de rencontrer Jayden. Après tout, récolter son impression était une bonne idée. Si Jayden voulait que L.A. le connaissais il fallait bien qu’il passe par des gens comme moi.

Je ne pris pas longtemps avant de repérer le jeune homme. Il était occupé à ranger ses instruments.

-Hey ! Jayden ?

Une manière d’attirer son attention. Il me connaissait peut-être déjà à travers mes articles de Guitar&Pen. Après tout, il y avait ma photo en dessous de chacune de mes œuvres. Si c’était le cas, il devait sûrement savoir que je n’étais pas tendre dans mes critiques. A moi de redoubler d’effort pour l’avoir en confiance.

-T’as eu du succès ce soir. On peut dire que tu as du talent pour animer les foules du Rainbow.

Je souriais de mon plus beau sourire.

-Axel Moriarty.

Je lui tendis la main. J’aimais les approches directes. Après tout c’était mon métier.

Le Rainbow, hein ! Ce bar c'est sans doute pas  celui que j'ai le plus fréquenter depuis mon arrivé a LA, pourtant c’est la ou il m’est arrivé le plus de trucs. J'veux dire des trucs pas banal , du  moins qui me serais pas arriver chez moi, Monticello,cette fournaise géante.Pardon je m’égare la donc je disait  ici il s'est passé juste des événement déterminants.

Ma rencontre avec la jeune anglaise qui m'a donner envie de faire une tournée, Eileen  si je me souvient bien.Puis y'a eu mon premier concert Solo ou Cash Ibzel a décider de me faire la "surprise" .
Suite a ce fameux concert un mec m'a proposer de meilleur locaux pour répéter . "Et des que tu seras prêts mon petit  gars  appelle moi je t'enregistre ton album  en route vers le succès" avait il ajouter alors que je venais de décliner a nouveau son offre, comme précédemment par téléphone et lettre.

Au delà de l'enjeu artistique y'avait aussi le relationnel dans ce club Glam situé en plein centre-ville.Les gens y étaient nombreux et de toutes sortes.. Restant quand même tous très... Coloré.Un chasseur pourrais facilement y trouver sa proie.
De ce qui est de la scene c'est essentiellement du Glam joué la bas  avec parfois des artistes alternatif-comme moi- qui joue un son indéfinissable.
Y'a les auditeurs et les personnes qui viennent y boire un verre  ou finir carrément saoul.

Je fais  au moins une fois par moi une scène solo ce qui amène de plus en plus de monde a écouter. J'en était pas encore au critiques dans la salle ou alors je l'ignorait et comme je lisait pas ce genre de  presse j'en saurais jamais rien par moi même .Certes j'avais  selon certains du talent, un bon  coffre et plusieurs cordes a mon arc de musicien mais sans public je n’était rien. Sans ces critiques  je n’était rien au yeux des géant de maison de disque .Cash m'avait fait ouvrir les yeux, je les avait quasiment refermer de suite mais Keller et son coéquipier avait  fais  de même lors de notre rencontre a la plage.A présent je réalisait que je voulais avancer. ce soir c’était en tant que Jayden Lucky et non The Night Mastermind.

Les lumières se sont éteintes, je me suis installer  sur mon tabouret ddans la semi obscurité de la scène, j'ai  rapprocher le micro et j'ai commencer . trois accords en boucle .puis silence.J'avais réussit a attirer leur attention je pouvais commencer. j'ai puis le micro d'une main , aveugler par les spot -comme a chaque début de concert-  je me suis forcer a sourire avant de prendre une aspiration et de me mettre a crier.

- Bonsoir le Rainbow !

Ce fut rapidement suivit d’applaudissement et de  cris de joie.J'ai rapidement reposer le micro sur sa base et j'ai enchaîner un long riff  assez orgasmique en bougeant vers le centre de la scène. Une.Une nouvelle poussé de cris me confirma une chose. Mon concert avant commencer.

Même si le Rainbow était référencer comme lieu dédier au concert Glam Rock je pouvais lire sur les visages des jeunes curieux venu npour la première fois m’écouter un effet de surprise. " Sa musique a quelques  choses de Glam..Mais pas vraiment  ." Ça devait ressemblait a ça leur pensée .

Il y avait encore plus de monde que le mois dernier, quelques visages devenant connus mais  pas mal de nouveaux. Mon public avait l'air content de se qu'ils entendait non ils étaient carrément ravis. C'est leurs sauts  dans la fausses en rythmes et leur grand signe qui me l'apprenais. Ce qui me plaisait quand même le plus c’était  d'observer ceux assit sur leur tabouret a observer les artistes, le publique, le monde enfaîte.Certains étaient parfois critique journaliste ou carrément manager  -comme Daniel Riccci lorsque je l'ai rentrer-.

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Apres avoir jouer tout mon répertoires personnels entrecouper de reprises dont une de The Lightenning j'ai terminé le concert en sueur. Apparemment j'avais reussit mon paris  mieux que les autres soir. Je me suis relever de derrière la batterie, pris le micro  avant de m'avancer au bord de la scène. Je les aient saluer en les remerciant  puis j'ai saluer  en profitant de leur ovations durant quelques minutes.

Si de tous mes concert  il y avait  eu un critique j'ai rpier pour que ce soit ce soir. j'ai saluer une dernière fois et j'ai vite disparu en coulisse  poser le micro et boire un coup. Puis les lumières de la scènes ce sont éteintes et le publique s’est peu a peu dissous . Je suis retourné sur scènes récupérer ma basse et j'ai commencer a ranger dans leurs étuis mes différents instruments. Un brouhaha venu de la salle rt le bruit des caisses déplacer par les Roadies étaient les fonds sonores habituels des coulisses.Pourtant j'entendis  une parole m'etant adresser.

-Hey ! Jayden ?

J'ai relever la tête cherchant rapidement d'ou enfin de qi venez cette voix quand je l'ai aperçu.Taille moyenne brun, pas de look excentrique coloré.Je le connaissait pas mais lui oui.Deux choix s’offrait a moi sur son identité. Un Journaliste ou un coursier.J'ai simplement hocher  la tete pour lui confirmé que c’était bien moi en terminant de ranger mon matos.

-T’as eu du succès ce soir. On peut dire que tu as du talent pour animer les foules du Rainbow.

Il s'y connaissait un minimum. Ça pouvais pas etre un coursier , ils sont direct d'habitudes.Il a piquer mon interret vif .Je me suis relever et rapprocher de l'inconnu. Il avait un sourire radieux c'etait etonnant mais ça lui allait bien.

-Merci. Je comptes bien electriser plus que les foules du rainbow.

Sans même que je n'ai le temps de demander il se présenta lui même. Axel Moriarty. Ce nom me disait quelques chose.Peu etre un journaliste ou un critique.Je l'ai observer des pieds a la tete. Je sais  .C’est un des critique de Guitar&Pen. Je lisais pas souvent ses articles mais sa réputation était connu . Je lui ai immédiatement serrer la main qu'il me tendais. Alors lui autant prendre les devant.

Tu veux qu'on discutes dans ma loges? Ça seras plus calme.

J'ai lâcher sa main puis ouvert ma loges .

-Tu veux boire quelques choses?

J’étais sur mes gardes mais je gardais un air détendu.

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

Ah ah ! Jayden avait de l’ambition, il semblerait ! Il voulait, je cite, électriser d’autres foules que celle du Rainbow. Serait-ce un message aux managers de Los Angeles ? Peut-être, mais pour ça il lui fallait encore que les critiques soient à son avantage. Et je pouvais autant réaliser son rêve que le briser en mille morceaux.

Je lui lâchai mon nom et on se serra la main. Je n’avais aucune idée de s’il savait qui j’étais ou non. S’il lisait Guitar&Pen, il devait avoir une petite idée du genre d’individu que j’étais. Et, bien sûr, cela pouvait être un avantage autant qu’un désavantage pour moi. Il pouvait très bien me repousser ou m’inviter à discuter avec lui. J’étais curieux de savoir comment allait réagir Jayden. C’était toujours très intéressant de rencontrer de nouveaux artistes. Ils avaient tous leur propre manière de fonctionner et parfois ça pouvait me surprendre.

Et pour mon plus grand plaisir, il m’invita à le suivre dans sa loge pour discuter. Mon sourire s’élargit. Il n’avait pas peur le Jayden, c’était un bon point pour lui. Quand on me repoussait, j’avais tendance à faire des articles vraiment acerbes. Je détestais qu’on me repousse. Mais là, j’étais curieux d’entendre ce qu’avait à dire Jayden.

-Oui, je veux bien !

Il ouvrit la porte de sa loge et j’y entrai. Elle était toute petite la loge comme toutes les loges des bars de L.A. Jayden me semblait détendu et il me demanda si je voulais quelque chose à boire. Le jeune homme était plutôt poli.

-Je veux bien une bière. Merci.

S’il le proposait, autant en profiter. Je ne crachais jamais sur un verre d’alcool. Pendant que Jayden me versais à boire, je le regardais de haut en bas. Il était jeune et avait un style pas mal. Il devait attirer les filles. Je m’installai sur une chaise me mettant à l’aise.

-Tu as enflammé la scène ce soir ! Tu t’es senti comment sur scène ? Tu es un novice après tout, ça doit être impressionnant de voir autant de monde, non ?

Mon sourire était toujours bien campé sur mon visage. J’étais déjà en mode interview. Décidément, j’étais vraiment impatient et incorrigible !

Ambitieux le petit ! Voila ce que s'est dit le patron du Rainbow lors ce que je lui ai demander de pas refaire de promo pour mon concert ce soir la. Pourquoi? Il rejettes sont publiques? Non au contraire. J'ai juste fais afficher mon nom sur le tableur annonceur a l'entrée quelques jours avant. Jayden Lucky. The last song . C’était le titre  de ma dernière œuvre que j'ai joué  en premier. C’était jouissif le publique était speed des le début. Face a moi  le journaliste Axel Moriarty au milieu des caisses  dans les couloirs miteux menant a la scène du bar le plus coloré de la ville. Il avait l'air plutôt enthousiastes - sans doutes  après avoir vu mon concert il voulait creuser plus loin sur  qui était Jayden Lucky-  .

Mon ambitions faisait écho a un un espèce d'appel aux managers de Los Angeles ? Peut-être, et a un en particulier. Son nom était Daniele Ricci. Ce soir la  dans un bar avec Cort j'ai bien l'intention de rattraper les Roadtramp   eux qui -a ce que j'ai entendu-  son sur la bonne voie.Enfin avant tous ça encore fallait il que Moriarty  ne me descende pas en flèches avec un de ses articles  destructeurs. Moriarty,  par pur hasard j’avais lu un de ses article  le matin même donc bien  évidemment je savais qui il était mais  une fois face a lui j'ai  garder mon sang froid et ce n’était pas plus mal.

J'aurais pu le repousser en prétextant avoir des choses a faire pour éviter l'interview mais il l'aurais potentiellement mal pris. Alors au lieu de ça  j'ai jouer le mec sympathique  accueillant avant de l'inviter a entrer dans ma loge.Ce qui devait être intéressant pour les journaliste lors d'interviews était d'avoir une  première impression qui déterminerai l’issue de l'article:  
une futur carrière prometteuse un une image inexistante détruite d'avances. Le faire entrer dans ma loge m'accorda un bon point. Moriarty avait l'air bien curieux a moi de voir comment l'interpeller assez pour avoir un bon article dans la prochaine édition .

Nous voilà donc dans la loge du  Rainbow,  mon sac vomissant de partitions par terre dans un coin. Cette loge était assez petit et je dois l'avouer puait pas mal le renfermer et la gerbe  .J'avais pas ramener  36000  sacs justes mes instrument la gueule et mes partitions c’était suffisant. Comme je l'avait demander en sortant de scène un bac de glace avec des bière avait été apporter  dans ma loge. Apres  avoir refermer la porte je pris deux bières dans celui ci avant d'en tendre une a  Moriarty . Je n’était pas plus généreux qu'un autres mais pas  radin non plus et une bière c’était pas   un million de dollars non plus.

Alors que je décapsulais nos bières le journaliste face a moi s'installa sur une chaise en me dévisageant. Cherchait il les adjectifs pour me qualifier dans son article ? Maybe or not maybe.
Enflamé la scène. Le publique attiré est devenu speed , accrochant de suite a mon style en soliste . Ça sonnait bien . Je me suis installé a mon tour face a lui en sirotant ma bière.
Comment je me suis senti ? Sur scène ? Bien . Très bien. C'est un des rares moment ou je me sens vivre.Le publique m’importe peu  c'est leur cris qui font mon succès et ce bien être. Non je n'ai pas eu le cran de changer complètement depuis mon arrivé mais  plutôt évolué . Mes yeux bleu sont venu se planter dans ceux du journaliste.

-Merci du compliments.

J'ai posé ma bière avant d'une main prendre un clope. Puis j'ai tendu le paquet a Moriarty dans un geste qui voulais dire «  tu en veux une? Sers toi. »en allumant la mienne . Enfin j'ai tirer une latte avant de poursuivre .

-  Sans plus . La scène c'est juste... Enfaîte c'est juste jouissif. Ce monde a tes pieds.  Leurs cris  et leurs pieds qui suivent le rythme.

J'ai sourit en me levant . J'ai récupérer le cendrier et l'ai déposer sur l'accoudoir de ma chaise. Moriarty était assez avec son sourire de beau goss sur la gueule visiblement satisfait de comment aller tourner son interview. Je me suis assis a nouveau  délaissant ma bière pour ma clope.

«  A moi de vous posez une question. Comment avez vous atterrit ici ce soir ? »

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

La bière, c’était un bon point pour Jayden. Maintenant qu’on était tous les deux dans sa loge, on pouvait parler de choses sérieuses. Son concert m’avait plu et il avait du talent. Mais je ne suis pas le genre de journaliste à faire de beaux articles sur des gens uniquement pour faire leur promotion ou parce que j’ai aimé. Non, je les faisais parce que ces-dits gens m’apporte quelque chose ou me plaise particulièrement de par leur talent mais aussi de par leur personnalité. Inutile de dire que ses gens-là sont rares.

J’avais commencé par un compliment sur son concert avant d’enchainer sur des questions. On était journaliste ou on ne l’était pas, je devais bien poser des questions. Par les réponses qu’allait me donner Jayden j’allais pouvoir savoir s’il pouvait m’apporter quelque chose. Drogue, sexe, ou autre. S’il n’était qu’un musicien comme un autre, il aura le même traitement que les autres.

Je pris la bière qu’il avait décapsulée alors qu’il me remercia pour les compliments. Mais il n’y a pas de quoi, Jayden. Il me tendit son paquet de clope après en avoir pris une. Je ne me gênais pas et en pris une à mon tour. Je l’allumai avec mon briquet et tirait sur la cigarette en écoutant sa réponse.

Et elle était intéressante ça réponse. Parce qu’il n’avait pas peur de la scène. Il aimait juste ça. Il aimait entendre le public aller au rythme de ses chansons. Il aimait avoir le public à ses pieds. Un large sourire se dessina sur mon visage. Ouais, Jayden aimait la gloire que lui rapportait la musique. Ça signifiait qu’il avait de l’ambition.

-Intéressant ! T’es du genre à aimer la scène alors. A aimer entendre le public crier ton nom.

Il était différent d’Eddy Cort que j’avais rencontré il y a quelques mois. Je fixais Jayden droit dans les yeux alternant clope et bière. J’allais poser une autre question mais il m’anticipa. Il cherchait sûrement à me calculer aussi, ce qui pouvait être normal. Le mieux était de répondre.

-J’ai vu ton nom dans la presse un jour. Il y avait une photo. J’aimais bien ton style alors j’ai voulu vérifier moi-même ce que tu valais. J’ai entendu que tu faisais un concert ici alors me voilà. Je suis un critique musical alors faut bien que je travaille parfois.

Mon sourire était toujours là et mon regard se faisait plus perçant.

-Mais revenons à toi. Faire de la musique en solo, c’est courageux. Mais tu fais ça pour quoi ? Pour avoir un jour un peu de gloire ? Ou pour les thunes et les filles qui vont avec ? A moins que tu ne me répondes comme tous les autres jeunes de L.A. que j’ai rencontré et qui débutaient et qui me dise : moi je fais juste ça parce que j’adore la musique et que je veux en faire mon métier.

J’avais dit cette dernière phrase en prenant la voir d’un petit gamin pré-adolescent. Histoire de bien montrer à Jayden que ce n’était pas vraiment la réponse que j’attendais et que je voulais une réponse plus originale. Je voulais voir si Jayden était capable de répondre ce qu’il pensait vraiment.

-Avoue, tout le monde veut la gloire.

Je tirais encore sur ma clope sans lâcher Jayden du regard.

Dans une petite loge miteuse, voila ou ce passait ma première interview. On avait le bruit du bar et ses buveurs animés mais cela restait qu'un fond sonore. On était plus ou moins au calme. Pour Moriarty les choses sérieuse commençaient , il était sans doute entrain de compter les points dans sa tête.  Deux chaises, des bières, rien que tout les deux.

Mon concert lu avait plu, j'en étais certain du moins je l’espérait très fortement pour mon avenir et pour demain. J'irais acheter la presse des l'aube. Après bien sur, un journaliste influent comme lui n'allait pas écrire un bel article juste par qu'il c’était éclater ce soir; Des artistes qui joue bien y en a des millier , des  artistes qui etait intéressant dans leur manière de jouer et d'etre, qui méritais un coup de pouce et qu'en plus ils avaient du talents brut oui la ils méritaient un article. Et parmi les artistes tous confondu  ils etaient rares , ceux qui y arrivaient.

Plus je regardais ce mec plus que je disais qu'il était du genre a faire quelques chose  si ça pouvait  lui apporter. Un opportuniste. J'aime ça. Il alluma sa clope avec son propre briquet . Il avait donc ses propres clopes mais je me voyez pas ne pas lui en proposer une alors que je m'en fumait une. C'est la base , enfin j'vais pas crier non plus si quelqu'un avec qui je suis ne le fait pas .

Mon dieu quel bon menteur j’étais, après non plus j'allais pas volontairement lui dire que   je trouvais cela totalement stupide non plus. Et sa question était avais tu peur de la scène. Non j'ai besoin de la scène. Elle m'attire. J’aimais  ce qu’entraîner la scène et l'ambiance.

Intéressant ?Peu être . Les musiciens des quels je m'entourais avait ce ressenti sur scène ou alors juste un talent. Enfin je faisait au besoin. Ici c’était différent.  Moriarty m'imitais en alternant clope et bières et il avait bien raison. Lorsque j'ai écoute sa réponse , mes yeux se sont sans doute mis a briller d'une lueurs. Comme ceux d'un gosse qui viens de faire connerie dont il est fier. Ces mots confirmèrent mes soupons :il y avait déjà eu des  coupon de presses sur moi me produisant au Rainbow. Photo en plus. Mon style lui plaisait alors il est venu voir ce que je valait. Sa réponse me convenait parfaitement.

-Faut du frics partout de nos jours.

Ni une ni deux il relancer son interview sur ma personne. Je me suis rassit bien droit dans mon siège a l’écouter. Il avait toujours son regard perçant posé sur moi, c'etait intéressant.

Pourquoi je fais du solo? J'ai les Nights , nos chansons, notre univers mais ça ne me suffis pas. J'aime aussi appréhender les scènes en solo. Non je n’était pas comme tous les autres jeunes de L.A. qui débutaient qui disent justes pour le fun mais évidement en réalité ils veulent la gloire, les thunes et les filles. Ah et aussi ya les jeunes espoir avec leurs "j’aime la musique et je veux en faire mon métier. " quels naïfs, au final la plupart veulent la gloire. Axel voulait pas une réponse bidon comme celle la.

-J'ai besoin d'eux. J'ai un groupe a coté mais j'ai besoin de la gloire seulement pour moi!

Son regard etait toujours braqué sur moi. Le mien termina dans le sien. J'avais  envie d'aller voir qui etait Axel en dehors du journaliste.Ce mec avait la niaque. J'attendais ses prochaines questions.

Je peux te poser une question , Axel?

Je l'ai pas laisser répondre je me suis relever face a lui en me penchant face à lui .

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

Ouais, il faut du fric. Il en faut même beaucoup. J’étais né dans le fric, ça ne semblait pas être le cas de Jayden. Il était plutôt le genre de gosse à essayer de réussir pour se faire un nom. Il y en avait des milliers comme lui et seulement trois ou quatre qui réussissent. Jayden avait le potentiel pour réussir, ça se voyait. Mais tout allait dépendre de l’article de demain. Un mauvais article à l’aube d’une carrière c’était très mauvais pour la suite. Certains managers lisent la presse avant de se déplacer à un concert.

-Le fric, c’est ce qui fait tourner ce monde. Quoi qu’on en dise.

J’étais fils de politicien, je savais un peu comment tout fonctionnait. Et il y avait deux trucs qui fonctionnaient bien dans ce monde : l’argent et le sexe. Le reste, c’est que des mythes.

Mais j’étais bien ici pour une interview et je voulais entendre Jayden parler de sa carrière. Plutôt de son début de carrière parce qu’on en était encore que là. Et à ma première question, je ne voulais pas qu’il me sorte le discours classique. Je voulais la vérité. Et beaucoup savent que quand on veut percer à L.A. il faut un ego. Sans ego, on va nulle part. La réponse de Jayden m’arracha un sourire. Il avait besoin de son groupe, c’était clair. Mais il voulait la gloire pour lui. Il voulait tout ce que la célébrité avait à lui offrir. J’aimais ça. Et mon sourire était assez large pour montrer à Jayden que j’étais satisfait de sa réponse.

-Voilà une réponse sincère.

Jayden croisa mon regard et j’allais enchainer avec d’autres questions quand il me demanda s’il pouvait m’en poser une. J’allais dire non, mais il se leva se penchant vers moi. Mon sourire s’effaça rapidement. Qu’est-ce qu’il me voulait. Je ne bougeais plus, me contenant de regarder Jayden droit dans les yeux, me méfiant un peu. Après tout, je ne connaissais pas ce type. Pas encore assez et je ne savais pas qu’elles pouvaient être ses réactions.

-Je t’écoute. Pose ta question.

J’avais pas trop le choix. J’avais peur que refuser soit un mauvais choix stratégique. Je laissais sa clope se consumé sans bouger le petit doigt.

Deal Or Die ft. Axel Moriary

Plus j'observait Axel plus  ce mec m'intriguais. Le fric j'avais jamais vécus avec. On avait pas franchement beaucoup d'argent, très peu en faite, juste de quoi  vivre.Mon père qui cumulait deux boulot et ma mère avec son mi-temps a la librairie.  Pourtant je m'en sors pas plu mal, je ne suis pas né avec une cuillère d'argent dans la bouge ou le cul dans le beurre . Dites ça comme vous voudrez en gros je suis issus d'une famille modeste, tout le contraire d'Axel probablement.

-L'homme riche a le pouvoir du monde entre ses mains. ais je simplement répondu tout bas ,comme si ce n’était rien d'important.

Dans le show-biz qu'est Los Angeles, pour réussir il y avait deux moyens  principaux : Avoir le fric ou Avoir du talent . Pour la première catégorie c’était pas compliqué en somme; gosse de riche qui s'ennuie alors hop j'prends une guitare je chante a peu prés juste- et encore pas toujours- et c'est partie pour la gloire. La je prends l'exemple des musiciens mais c'est aussi valable  dans le cinéma ou la mode tout ça pour  satisfaire son ego ridicule de mioche .
Pour la seconde partie des artiste ça y vas au talents pour atteindre la gloire, ça boss dur, ça essuie des centaines de refus aux castings et ça persévèrent jusqu’à  atteindre la lumineuse et fantastique gloire, sur scène , un podium ou devant une camera.
 
Moi? Oui je veux réussir pour me faire un nom , l'argent que ça amènes est une motivation supplémentaire c'est vrai .Mais mon vrai objectifs est le cris, les acclamations du public. On appelle ça le succès? Pour l'atteindre ce soir j'était face à un journaliste qui demain matin pourrais me donner un coup de pouce ou m’anéantir.


Question sincérité, je suis franc et souvent pour ça passe ou ça casse. Avec Axel c'est passé. Il avait l'air satisfait de ma réponse et alors qu'il allait enchaîner les questions pour son interview ,mon audace a pris le dessus. Tout les deux face a face. J'avais plus envie de jouer gentillement a l'interview du jeune prodigue a en devenir ; Ses yeux était défiant presque les miens, son sourire sur de lui  avait totalement disparue. Je me suis appuyer aux accoudoirs de son siège les attrapant de pleine main ; rapprochant légèrement mon visage du mien. Mon chapeau était plus sur ma tête mais a terre a coté de son siège.
Il avait perdu toute certitude dans ses traits , qui reflétais a présent la méfiance.
Il m'autorisa a poser ma question.  Tant mieux.

Il était figer, sa clope se consumé, pourtant rien ne le ferait sans doute  bouger. Il avait compris que le choix n’était plus dans ses options.

-Alors Axel, Je t’intéresse?

Mes mains crisppé aux accoudoirs, attendaient une réponses. Dans le couloirs  des coulisse un bruit sourd se fit entendre suivit de cris , d'engueulade, entres les roadies et le public peu être. Mon visage ne bougea pas , face a face toujours avec le journaliste. Mais mes oreilles étaient a l’écoutes.

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

J’entendais la voix presque inaudible de Jayden dire une vérité qui me faisait sourire. Plus tu es riche, plus tu as du pouvoir. En général, l’un va avec l’autre. Ça signifiait que certains sont plus avantagés à la naissance que d’autres. Moi, j’étais né chez les riches, Jayden, ça n’avait pas l’air d’être son cas.

Donc j’avais en main le moyen de lui donner un peu de notoriété ou bien tout le contraire. Je pouvais anéantir sa carrière en quelques mots. Et j’hésitais, je ne savais pas ce que j’allais faire. Si je le tuais dans l’œuf, j’allais peut-être le regretter plus tard. Peut-être que je devrais plutôt attendre qu’il soit connu avant de faire de sa vie un enfer. Comme j’avais fait avec Roadtramp en les vantant dans un article.

Ses réponses étaient en tout cas assez satisfaisantes pour que je ne fasse pas une croix définitive sur Jayden. Je devrais continuer à creuse pour me faire un avis définitif et un choix tout aussi définitif. Mais je n’en eus pas le temps. Jayden s’était d’un seul coup rapproché de moi, ses deux mains cramponnées aux accoudoirs de me chaise. Je ne souriais plus pour la bonne raison qu’on ne savait jamais ce qui pouvait arriver. Journaliste peut devenir un métier à risque quand on joue avec le feu. Sa figure était très proche de la mienne, je sentais son souffle contre ma peau. Je lui laissais l’autorisation de me poser sa question. Par prudence parce que refuser aurait pu être dangereux. Je ne connaissais pas assez Jayden pour pouvoir anticiper ses actions aussi bien que je le voudrais.

Sa question me déstabilisa un peu. Parce qu’elle était ambigüe. On entendait des bruits dans le couloir mais je ne quittais pas Jayden du regard. Un long silence s’installa entre nous. Je tirais un grand coup sur ma clope avant de l’écraser sur l’accoudoir de la chaise à quelque centimètre de la main de Jayden. Est-ce qu’il m’intéressait artistiquement ? Ouais, il avait du talent…

-Artistiquement, il faut dire que tu as du talent. Mais je suis un journaliste exigeant.

Je ne souriais toujours pas parce que je n’étais toujours pas très à l’aise. Je devais retourner la situation à mon avantage sinon il allait me bouffer tout cru. Je ne savais pas ce qu’il avait derrière la tête.

-Mais maintenant à toi de me dire si la question portait vraiment sur mon intérêt artistique envers toi ou… Sur autre chose.

Là, je pouvais sourire. Oui, mon intérêt peut-être multiple parce que j’étais le genre de type à voir toute sorte d’intérêt. Artistique, financier ou un intérêt récréatif. Je regardais maintenant Jayden en essayant, par mon regard, de reprendre l’ascendant psychologique.

Deal Or Die ft. Axel Moriary

Le fait même qu'Axel est en quelques sortes le moyen de changer ma vie m’énervait, mais puisqu'on ne pouvait pas inverser les rôles, autant essayer d'en profiter.  Il pouvait avec un stylo et une vulgaire feuille de papier changer tout ce que jetait a cet instant précis  des demain matin.  Si mes souvenirs son bon c’est grâces a un article d'Axel que  Roadtramp est devenu assez visible, si je puis dire, pour faire la première partie de The Lightenning. Axel leur avait fait de bonne critique , à se demander si il n'allait pas les détruire publiquement après, quand le groupe d'Eddy serais au sommet ?

Il jouait au poker tout les soir  avec un 5eme As dans la manche, Toujours certains de gagner. Qu'en était il de ma carrière pour lui ? Allait il la tuer comme un poussin  encore dans son œuf qu'on tuerai  avant l’éclosion ou bien me descendre au moment le plus propice : le sommet. Parce que oui il détruisait forcement ceux qu'il aider . C’était ça son petit jeu. A  moins de passer un deal. Deal or Die comme on dit. Ça  sonnait bien, peu être un prochain titre .

Son boulot de «journaliste » même si je le qualifierais plus de critique assassin  devait occuper une grande partie de sa vie. Mes réponses étaient assez attractives et ce depuis toujours, mes paroles en elles-mêmes ont toujours été une invitations a la curiosité. Alors j'avais prévu en quelques sortes qu'il veuille  continuer l'interview avant que je ne l'interrompe. Son choix définitif sur le penchant de son article attendrait.

Nos visages et nos corps étaient étrangement proches, ce qui -je l’espère- devait mettre le journaliste face a moi très mal a l'aise.  J'avais un avantage , il ne me connaissais pas et ne pouvais donc pas prévoir mes réactions. C’était parfait. Tout comme ses lèvres. Plus que quelques centimètre et je pouvait les mordre, les lèvres de cette bouches très légèrement ouverte. Parfait pour  l'embrasser.Ce long silence propice a un premier baiser et s'envoyer en l'air.

Nos lèvres aurait du  se toucher, A la place une main retenant une clope entre deux long doigts s'y approcha avant qu'il se tire  une nouvelle latte. Tiens elle ne  s’était pas éteinte ?  Je n'ai pas bougé d'un cil.  Yeux dans les yeux . Visage face a face, incliné je l’étais  pour être a sa hauteur. N’étant pas très grand. Un crépitement léger vint couper le  silence, il devait  avoir écrasa sa clope sur l’accoudoir tout prêt de ma main j'imagine. Je n'ai pas pris la peine de vérifier.

Artistiquement parlant selon lui j'avais du talent  mais  il était exigeant. Moi aussi . Il avait toujours pas retrouver son sourire. Dommage.

- C'est déjà un bon point mais c’était pas la réponse que j'attendais.

Tiens. Sur tout autres  choses, il avait donc compris. Intéressant.  De plus il avait retrouver son magnifique sourire. Il lui allait a ravir . Il avait l'air  d'un type avec plusieurs sortes d'intérret. En l’occurrence ce soir je pouvait lui proposer un beau passe temps.  Ses yeux  défiant  dans les miens pour  essayer sans doute de reprendre le dessus.


- Je peux te montrer une autres facette de Jayden Lucky.

Je me suis rapproché encore jusqu’à ce que nos visages se frôlent. Mon pied remonta sur le barreau de la chaise haute d'Axel. Et vint doucement lui caresser le tibia.  Ma main gauche relacha l'accoudoir et vint subitement attraper le journaliste par le col. J'avais toujours mon sourire en coin et mes yeux dans les siens.  . J'ai attraper ma bouteille  de rhum a mes pieds avant de remettre mes yeux dans les siens. Quand allait il réagir ?

- J'vais être honnetes . Je suis prêt a TOUT  pour réussir.
                                     

Ma jambe été remonter pour que mon pied atteigne presque son entre jambe, il manquait juste que je fasse un pas de plus.  Quelques centimètre. C'est fou ce que quelques centimètres peuvent tout changer .

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

Jayden essayais en quelques sortes de prendre l’ascendant psychologique en s’étant approché de moi. Il était proche, très proche. C’était pas ça qui me faisait le plus peur, c’était plutôt de ne pas savoir réellement ses intentions. J’avais répondu à sa question, l’invitant à me dire là où il voulait en venir de la manière la plus subtile que je pouvais dans cette position.

Ma réponse ne l’avait pas satisfait. Pas grave, je souriais toujours pour me donner de l’assurance. Il alla plus loin me disant qu’il pouvait me montrer une autre facette de Jayden Lucky. Ok, je crois que je commençais à comprendre. Nos visages se frôlaient maintenant et je me sentais piégé à un jeu que j’avais, pourtant, l’habitude de jouer. Jayden était de plus en plus explicite dans ses intentions m’arrachant un plus large sourire. Devais-je pour autant lui montrer que j’étais en partie du même bord ? C’était dangereux parce que ça allait lui permettre d’avoir une option sur moi. Et, en même temps, c’était tentant.

Il me regardait ne détachant son regard que pour reprendre la bouteille de rhum. Il était prêt à tout pour réussir… Tout ? Même sa propre prostitution apparemment. Ou c’était plutôt d’une pierre deux coup pour lui, j’en savais rien. Sa jambe remonta dangereusement et je ne pus m’empêcher un bref regard vers celle-ci. Fallait que je reprenne l’ascendant avant de me faire démasquer trop vite. Qu’un rockeur sache mon petit secret c’était pas vraiment stratégique parce que ça allait vouloir dire que je n’allais pas pouvoir le critiquer une seule fois. Fait chier. Malgré tout, je souriais

-Tout ? C’est dangereux, tu sais.

Très dangereux. Mais pas que pour lui. Pour moi aussi. Et je préférais ne pas empiler sur ce qu’il était en train de faire pour ne pas lui montrer de faiblesse. Je le regardais dans les yeux, dans les miens on pouvait y voir flotter une petite lueur. Sans qu’il ne s’y attende, je lui volai la bouteille de rhum pour un boire une bonne gorgée. J’approchai ensuite ma bouche de son oreille.

-De la drogue. Il me faut ça. Contre une bonne critique. Ça me semble logique comme marché.

Tu avais dit que tu étais prêt à tout Jayden, je t’ai pris au mot. De la drogue gratuite, c’était un début. Si tu veux plus, c’est possible aussi. Lui lâché que j’étais un junkie n’avait pas beaucoup d’importance car beaucoup de gens le savaient. Un riche junkie c’était courant. Mais pour le reste, pour la partie fun de la chose, j’attendais que Jayden m’en donne réellement envie parce que je n’étais pas un gars si facile que ça. Surtout sobre comme je l’étais… Je devais avouer que sobre, tout ça me faisait un peu… Flipper… Ma joue vint frôler la sienne alors que je reculais un peu ma tête de la sienne pour pouvoir voir ses expressions. Ok, je crevais d’envie d’aller plus loin… Mais je ne devais pas être le premier à craquer.

-Alors, tu en as ?

Des couilles ou de la drogue ? Je ne savais plus vraiment de quoi je parlais au fond…

Deal Or Die ft. Axel Moriary

A quoi je jouait au juste ? Peu etre a voir ou était ses limites. Je n'avais pas  été si prêt d'un pratiquement inconnu . D'une seconde a l’autre je pouvait un pencher un peu plus prêt et l'embrasser , le faire se renforcer encore un peu plus dans son siège .  Pour l'instant j'avais un avantage sur Axel, il ignorait mes intentions.

Sa subtile question  n’était faite que pour  l’éclairait un minimum. Son sourire lui redonnais de l'assurance mais je le connaissait trop bien, il était toujours aussi déstabiliser sous son masque .Mais en réalité il était  toujours aussi paumé. C'est quand j'ai expressément dit  ce que je voulais qu'il a eu l'air plus sur de lui.  Il était encore piéger mais il avait un joker  sans doute cacher dans sa manche qui lui permettrais de gagner.  Il avait découvert   son larges sourire . Qu'est ce que ça signifiait ?

A final peu etre était il aussi intéresser que je ne l’étais . Depuis mon arrivé a LA j'avais vite saisit qu'ici on avait rien sans rien. Depuis  quelques temps  la gloire m'attirais irrémédiablement  et je suis prêt a  tout pour l'atteindre  .   Du petit  service  a la prostitution en passant pas de la drogue.  Cela aurait pu me déranger mais disons que si par le grand des hasards Axel  accepter   ça ne f airait une pierre de coup. Je le fixait  toujours   en remontant  lentement ma jambe, son regards biffurqua  une seconde vers cette dernière . Le journaliste était visiblement dans une assez mauvaise posture pourtant il avait son sourire . Il  refleurissait sans doute a toute allure , trouvant une solution pour reprendre l'avantage et je me devait de l'en empêcher.

-Si on ne  faisait rien de dangereux  on resterai enfermer chez soit, pas vrai ?

C'est ce que m'as sorti Ivy   la première qu'elle m'a  attirer dans un souterain, oui bon a 7 ans  j'était un gosse peureux mieux dans ses livres qu'as jouter au foot. Ce que me disait le reporter fallait autant pour moi que pour lui sans doute, du moins  j’espérais  ne pas etre le seul de nous deux a risquer quelques choses.

Tout as coup  il le vola ma bouteille de Rhum avant d'en boire une  bonne gorgée . Avant même que je ne puisse répliquer ne serait ce qu'un «  hé  c'est ma bouteille » il avait approché sa bouche de mon oreille pour  y murmurer.
De la drogue. C'est ce qu'il lui fallait  pour une bonne critique. Je l’écoutait attentivement avec un légers sourire. C’était correcte dans ce monde . Cela aurait pu s’appeler les intérêts communs.

Dire  je suis prêt  a tout  certains bluff d'autre-comme moi- c'est vraiment le cas. Si il voulais de la drogue gratuite , il en aurait.  Les rumeur  qu'Axel était un riche junkie était donc bel et bien fondée.
Plus je regardait nos corps proche l'un de l’autre plus   j'envie grandissais .  Ce qui n’était au dépars qu'un jeu  pour   le tester  était devenu un appel au sexe.  Approrie il n’était pas totalement fermer alors j'avoue que l'envie était bel et bien la .

Mais il était encore sobre, encore trop sobre.  Nos joue se frôlèrent alors qu'il reculais doucement .J'était perplexe. Un  sourcil froncer et  un petit rictus au coin des lèvres. Qu'est ce que j'avais au justes ? De la drogue ? Du courage ? Les deux ? Oui j'avais les deux. Spécialement ce soir .

J'ai enfin lacher  ces accoudoir avant de faire quelques pas en arrière  .

- Tout dépens de ce qui tu veux . Dehors il y a des dealers de toutes sortes, des mâles vivant de leur prostitution mais face a toi  il y a moi...

Je me suis éloigné de lui et je suis aller ouvrir la porte  de ma loge .

- Tout dépens de ce qui tu veux . A toi de choisir Axel.

Je tenait la poignet de la porte ouverte  attendant une réponse.

Deal Or Die ft. Jayden Lucky

Difficile de lire en Jayden comme dans un livre ouvert… Ou peut-être que c’était moi qui avait l’impression que la situation était compliquée alors que ce n’était pas le cas. J’étais quand même pas en position de force avec lui si proche de moi et ce pour une raison bien précise : même si tout ça était tentant, je ne pouvais pas le lui dévoilé, pas avant de bien le connaitre, sinon se serait bien trop dangereux. En parlant de dangereux, Jayden disait que ça faisait partie du jeu. Que sinon on ne sortirait plus.

-C’est vrai. Mais il faut savoir trier ce qui est dangereux de ce qui est suicidaire.

Et malgré que je sois jeune, je savais où étaient les limites. La seule chose qui pourrait me trahir était mes pulsions elles-mêmes. Celles que j’essayais de ravaler à cet instant même alors que Jayden était à quelques centimètres de moi. Heureusement, je ne m'étais pas shooté ce qui était un avantage pour me contenir. En parlant de drogue, c’est ce que je voulais. Ça allait être ça le deal pour avoir un bon article. J’avais bien assez d’argent pour me l’acheter moi-même mais faire ce deal ça me permettait d’avoir un certain contrôle sur Jayden et de connaitre ses limites. Jusqu’où il était prêt à aller pour acquérir la célébrité qu’il convoitait tant. C’était comme un jeu auquel j’adorai jouer. Avoir le contrôle et manipuler, c’était ça qui m’éclatait. Il souriait ce qui était bon signe.

Jayden fini par se reculer un peu nous remettant sur un pied d’égalité. Je me penchais en avant et le toisais du regard. Il essayait d’avoir le contrôle sur moi. Le choix qu’il me posait le prouvait. Les dealers dehors ainsi que les prostitués ou lui qui semblait avoir les deux. Il en crevait d’envie, ça se voyait. Il ouvrit la porte de sa loge et c’était à moi de choisir. Son avenir ainsi que le mien était entre mes mains et c’était un avantage non négligeable. Je me levai en affichant un petit rictus.

-Les dealers de rues ainsi que les prostitués, trop peu pour moi. On ne vient pas du même monde eux et moi. Je n’ai jamais eu affaire à eux et ça n’arrivera jamais.

Par contre j’avais Jayden et il semblait disposait de la première chose dont j’avais besoin maintenant c’est-à-dire de la drogue. Je le rejoignis près de la porte me mettant face à lui et j’affichais mon plus grand sourire mystérieux.

-Tu as certainement tout ce que je veux quelque part alors je te suis ! Je suis fan de cocaïne si tu veux un indice.

Vas-y Jayden, je te suis. Tu veux le signer ce pacte, signe-le. A tes risques et périls.