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 Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé]

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Victor Hunter
Victor Hunter


Date d'inscription : 11/03/2023
Messages : 301

Who Am I?
Age: 29 ans
Date de naissance: 1 août 1956
Localisation: Beverly Hills
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Je suis: doué
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Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé] Empty
MessageSujet: Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé]   Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé] I_icon_minitimeDim 13 Aoû - 17:12

Jealousy and Privileges - A Fairfax Story
Part I

-Bon on traine encore un peu ici, puis on se casse sur la plage. Cette fête d’étudiant n’est pas à la hauteur de ce que j’ai l’habitude.

C’est ce que je venais de lancer à ma petite bande d’amis alors que la fête de fin d’année de l’école était déjà bien entamée.

Une année qui fut un véritable succès étant donné que j’avais été major de la promotion. Hey ! Je ne suis peut-être pas un artiste même fort était de constaté que j’avais le plus gros cerveau des Hunter !

-Il faudra vraiment que tu nous fasse entrer à la villa Ricci, un jour.

C’est ce que venais de dire Charlie, l’un de mes « potes ». Il me collait toujours aux baskets, le Charlie mais qu’en puis-je ? Ma popularité n’a aucune limite à Fairfax. Un des avantage d’être le frère de Vicky. Tout le monde voulait être ami avec moi juste pour espérer pouvoir approché la belle et talentueuse Victoria Hunter.

Ce lien me faisait gagner pas mal de trucs. Même de l’argent.

Je pris un air à la Jimmy Reed. Je lui ressemblais un peu, non? Alors j'aime bien me donner des airs:

-Chaque chose en son temps, Charlie…

Je tapai alors sur le cul d’Emily, ma « petite amie ». On venait d’être nommé roi et reine de la promotion alors elle se trimbalait avec sa foutue couronne. Moi, j’avais déjà largué la mienne quelque part. Elle sursauta et poussa un petit cri ce qui fit rire tout le monde.

-Va me chercher à boire, femme.

Elle s’exécuta alors que, non loin de nous passa Tisha. C’était l’intello de service. Vous voyez ? Grosse lunette, tenue de fille coincée… Même aujourd’hui, elle n’avait pas osé sortir une robe de sa garde-robe. Elle n’avait même pas trouvé de cavalier. Et, comble de tout, elle avait beau avoir buché comme une malade, elle ne pouvait dépasser mon talent.

Je m’exclamai alors bien fort.

-Oh ! Tiens ! Voilà la binoclarde ! Tisha, l’éternelle seconde ! Comme quoi, être la petite préférée de Hunt ne t’a pas permis de dépasser mes notes.

Je savais que Tisha me détestait. Je ne sais pas combien de fois je l’avais fait chialer pendant nos années d’études mais c’était assez impressionnant le nombre d’eau salé qu’il pouvait il y avoir dans un si petit corps.

Elle se tourna vers moi et s’avança d’un coup pour se planter devant moi. Elle qui avait l’habitude de s’écrasé venait de trouver le courage de m’affronter. Comme si cette dernière fête était l’occasion pour elle de rendre des comptes sans que je ne vienne répliquer le jour suivant.

-Ta gueule, Victor !


C’est ce qu’elle lança. Ça fit marrer mes potes. Ça fit marrer leur copine. Alors que, moi, je sifflai d’admiration devant la binoclarde.

-Waw ! Un gros mot ! On voit que tu n’as plus peur de te taper un A- !

Tout le monde pouffa de rire alors que je vis Tisha froncer les sourcils.

-Tu ne méritais pas la première place, Victor. Tu as triché en math ! Tu avais des copions. Je t’ai vu en sortir un lors de l’examen. Sans compter que tu n’aurais jamais dû être major de promotion alors que tu as eu un passe-droit pour le cours de sport. Comment ça se fait que pendant des années tu as pu être dispensé de certaines heures de sport ? Tu n’y allais que pour courir mais c’est tout ! Comment ça se fait que tu avais autant de privilège, hein ?! C’est injuste ! J’ai bossé, moi !


Waw ! Elle venait carrément de m’accuser de tricherie et de corruption, là ! La petite connasse de Tisha !

-Je n’ai pas triché en math. Et pour le sport, j’ai un certificat médical, ok ? Tu n’as qu’à demander à Hunt. Et j’ai bossé moi aussi. Tu es juste jalouse que je sois meilleur que toi.

J’étais meilleur ! Car si j’avais bien soudoyé mon médecin à coup d’autographe de Victoria Hunter afin de m’exempter de bien des heures de sport et que j’avais bel et bien triché en math par facilité, je n’en étais quand même pas moins extrêmement investi dans mes études. La binoclarde pouvait m’accuser de ce qu’elle voulait, je savais que je méritais la première place.

-Tu as peut-être gagné. Mais moi au moins, je ne suis pas une connasse de service. Toi, t’es un connard, Victor et tu l’as toujours été !

Elle tourna alors les talons alors que j’avais encore sifflé devant tant de gros mots. Elle venait d’en dire plus en quelques minutes que depuis le début de ses études.

C’est là qu’Emily revint avec mon verre. Je lui pris des mains et le bus d’un coup constatant le manque cruel d’alcool qu’il y avait là-dedans. Ensuite, je lançai aux autres.

-Venez, on se casse. La plage c’est mieux. Ça manque d’alcool ici.

Tout le monde me suivit sur le parking où se trouvait ma caisse. Emily se tenait à mon bras comme si sa vie en dépendait. Je savais qu’elle nous voyait déjà nous marier et tout ce bordel. Je ne lui avais jamais fait croire le contraire mais elle va vite déchanter quand j’allais la larguer après avoir tiré mon coup ce soir. Ouais parce que, elle est bien gentille, Emily mais elle avait de la confiture dans le cerveau et j’avais vu mieux au lit.

Sauf qu’en arrivant sur le parking, qui est-ce que j’avais vu assis avec son gros cul sur le capot de ma bagnole ?

Ce truc du cul de Lino Marino. Le capitaine de l’équipe de football. Un autre qui a de la confiture dans le cerveau. Et une grande gueule en plus ! Une très grande gueule. Sûrement parce que c’est un rital.  

-Bouge ton gros cul de ma bagnole, Lino ! Tu vas l’abimer avec les 500 kilos de macaronis que tu as dans le ventre !

Je dis ça sur un ton acerbe alors que Lino et ses potes (tous des footballeurs sans cervelles) se tournèrent vers moi et mes « potes ».

-Oh tiens ! Mais c’est le petit chouchou de Maguire !

Chouchou de Maguire ? Moi ? Ouais ! Et comment ! Maguire m’adore ! Pourquoi ? Parce que je bosse et que je ne réussis pas juste parce que je sais plaquer des gens à terre et shooter dans un ballon. Je dis alors sur le même ton que Lino :

-Oh tiens ! Le chouchou de Hunt ! Tu veux que je te demande encore lentement pour que tu puisse comprendre chaque mot de ma phrase ? Je sais… C’est difficile de comprendre quand on à trois de QI… Alors… Je répète. Bouge… Ton… Gros… Cul… De… Ma… Bagnole… C’est bon là ? Ou tu veux que j’aille chercher une remoque pour t’aider à déplacer ton tas de graisse ?

Ça fit rire mes « potes ». Ça ne fit pas rire Lino. Un de ses potes avança mais Lino le retins.

-Laisse tomber, Peter… Le minus compense avec sa grande gueule. Tout le monde sait que s’il est major de promotion c’est parce qu’il suce Maguire tous les jours dans son bureau. Hein, Victor ? Maguire encaisse personne. Même pas Tisha. Alors ça peut être que ça. Tu as la tête à faire ça en plus, petit minet.

Vous savez… A ce moment-là, la chose la plus logique était de me marrer, de nier et d’ignorer Lino. Car c’était faux, bien sûr. Lino disait ça uniquement parce qu’il est jaloux de ma réputation et qu’il aime descendre les gens parce qu’il a un défaut de confiance en lui à cause de son surpoids.

Sauf que… Je perdis totalement le contrôle. Je vis rouge d’un coup. Et je me ruai d’un coup sur Lino pour lui foutre des jetons dans la gueule. J’étais petit, pas forcément très musclé mais quand je voyais rouge j’avais la capacité de frapper fort.

Lino fut surpris et trébucha pour finir à terre où je continuais à le frapper. Les autres étaient choqué mais il ne fallut pas longtemps avant que je ne sois tiré en arrière assez facilement par notre prof de sport. Celui que je n’avais presque pas vu en quatre ans à Fairfax.

-Hunter ! Tu vas arrêter, oui ?!

Il disait ça et j’arrêtai de gesticuler quand je commençais à fatiguer un peu. Une fois bien sur mes deux pieds le coach me tenais toujours le bras.

-Qu’est-ce qu’il te prend ? Je t’emmène chez Hunt ! Tu n’auras qu’à t’expliquer avec elle !

Il tira mon bras alors que d’autres personnes étaient allé s’inquiéter de l’était de Lino qui, déjà, était debout bien qu’arrangé.

Le coach, lui, envoya quelqu’un appeler Hunt et m’emmena dans son bureau.


Copyright Billy Lighter

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MessageSujet: Re: Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé]   Jealousy and Privileges - A Fairfax Story (1974)[Solo][Terminé] I_icon_minitimeMar 15 Aoû - 13:32

Jealousy and Privileges - A Fairfax Story
Part II

Le prof de sport était debout dans la pièce faisant les cents pas alors que j’étais assis devant le bureau d’Hunt. Je tapais du bout des doigts sur la table avec impatience et la mine fermée alors que je venais de refaire sa tronche à cet enfoiré de Lino. Il méritait ce qu’il lui était arrivé. Il m’avait insulté. Qu’il assume !

C’est ce que j’étais en train de penser alors que les minutes passèrent. Je ne savais pas combien de temps on avait attendu comme ça en silence avant qu’Hunt ne décide de se pointer. Putain ! Il était temps ! Que je puisse me barrer à la plage ! Surtout que je n’avais aucune idée de ce qu’Hunt allait me dire, hein ! L’école est terminée. Les diplôme ont été rendu. Je ne suis plus sous leur foutue responsabilité.

Hunt s’assit face à moi après avoir congédié le prof de sport. Elle s’éclairci la gorge le visage fermé et sévère. Elle prit, alors, la parole :

-Savez-vous, Monsieur Hunter, à quoi sert votre passage à Fairfax ? Quelles sont les missions de notre école ?

Putain, mais c’est quoi cette question ? Elle se fiche de moi Hunt ? Y’a trois secondes, je faisais la fête et maintenant, elle me pose des questions débiles ? Elle a rien d’autre à foutre comme se dévergonder un peu, là ?

Je roulai des yeux me redressant sur ma chaise avant de fixer Hunt droit dans les yeux.

-A nous filer un diplôme… C’est à ça que sert l’école. Apprendre des choses, avoir un diplôme. C’est tout.

A quoi d’autre ? L’école sert à obtenir des connaissances et avoir le précieux papier pour nous ouvrir à une grande carrière. La mienne sera grande.

-Un diplôme utile à vous ouvrir les portes de l’Université, oui. Mais quelles choses est-ce qu’une école comme Fairfax vous apprends ?


Je secouai la tête pas sûr de savoir où tout ça menait.

-Math, anglais… Tout ces trucs. Vous voulez en venir où ?

Elle me regardait avec un regard encore plus sévère. Comme si elle essayait de me tuer avec ses foutus yeux. Il faut savoir que je n’ai jamais été dans les petits papiers de Hunt. Elle préférais les intello comme Tisha ou les sportif comme Lino. Moi, elle m’avait toujours regardé de travers et n’aimait pas mon attitude.

-Des matières telles que celle-ci, oui. Mais des valeurs aussi. Le respect de soi et des autres, l’équité, l’ouverture d’esprit, l’entraide, le dépassement de soi… J’en passe et des meilleurs, Monsieur Hunter. On apprends à faire de vous un adulte équilibré, responsable et humain.

Putain, c’est quoi ce speech. Je roulai des yeux mais elle poursuivit.

-Et si vous êtes un élèves brillant dans bien des matières, il semble que vous n’ayez aucunement acquis nos valeurs. La manière dont vous avez traité vos camarades de classes, particulièrement cette année en est une preuve. Mais ce que vous avez fait à Lino aujourd’hui dépassé l’entendement. La violence est totalement proscrite à Fairfax et vu l’état de votre camarade de classes, vous pourriez être très verni s’il ne vient pas à porter plainte contre vous.

Je fixai Hunt soutenant toujours son regard nullement impressionné par son petit discours. Elle était pas contente ? Tant pis pour elle. De toute façon, après aujourd’hui, je n’aurais plus à voir sa face de coincée du cul.

-Bah qu’il porte plainte, je m’en fiche. Il m’a insulté et a foutu son cul sur ma voiture. Il se croyait intouchable, il ne l’est pas. Je peux partir, maintenant ? J’ai une fête à finir et je n’ai pas que ça à faire. De toute façon, l’école est finie depuis quelque jours, je me trompe ? Je ne suis plus un élève de Fairfax. Vous ne pouvez plus me renvoyer. Je me trompes ?

Elle me fixa droit dans les yeux de son air toujours sévère.

-Absolument. Vous avez raison. Vous n’êtes plus un élève de Fairfax. Vous avez votre diplôme en poche. Un très beau diplôme avec des grades impressionnants qui vous ouvriront les portes de toutes les Université des Etats-Unis. Surtout que vous savez parler. Personne ne peut le nier, ici.

Vous savez quoi ? Je n’aimais pas ce qu’elle venait de dire. Parce qu’elle soulignait que j’avais gagné. Tout gagner.

Ça annonçait un « mais ». Je n’étais pas stupide. Ainsi je plissai les yeux et je vis un léger sourire sur le visage de Hunt. Elle sortit alors trois lettres qu’elle déposa sur la table.

-Harvard. Berkeley. Stanford. Trois des meilleures Université de ce pays. Ça vous dis quelque chose ?

Je tiquai à nouveau. Oui. Ça me disait quelque chose.

-J’ai postulé dans les trois. C’est mes trois choix…


Je voulais être le premier Hunter diplômé d’une des plus grandes Université. Je savais que ce genre d’établissement permettait d’ouvrir bien des portes et permettait d’avoir une avenir à la hauteur de mes ambitions. J’avais bossé pour ça ! Car quand je ne faisais pas la fête, je bossais comme un dingue sur absolument tous mes cours.

-Vos trois choix, c’est bien ça. J’ai eu des lettres de ces trois-là pour vous et Tisha Garvey. Vous n’avez pas encore auditionner chez eux, je le sais mais ça ne vas pas tarder. Monsieur Maguire m’a dit que vous rêviez d’aller dans une grande Université afin d’y poursuivre des études de droits. Vous en avez les capacités, bien sûr. Sauf que ces trois grande Université aiment parfois avoir un retour de la part de directeurs des écoles où les élèves ont été diplômés.

Je fixai Hunt sentant mon cœur battre plus vite comme si j’avais compris, d’avance où elle voulait en venir. Ma tête faisait, d’ailleurs, déjà « non ».

-Et je vais leur faire un retour. Je vais leur dire que, si vous êtes un brillant élève, vos valeurs ne sont pas à la hauteur de vos notes. Je laisserais entendre que vous aimez rabaisser les autres, que vous n’hésiter pas à écraser autrui pour vous mettre en avant et que, comble de tout, vous n’arriver pas à garder votre sang-froid. Je les découragerais de vous prendre, Monsieur Hunter, vous avez ma parole.

Mes yeux s’écarquillèrent. Elle ne pouvait pas faire ça ! Elle ne pouvait pas hypothéquer mon avenir de cette manière tout ça parce que j’avais refait le portrait à Lino et parce qu’elle ne m’aimait pas. Je m’emballai alors :

-Vous avez pas le droit de faire ça ! J’ai bosser comme un malade pour avoir les meilleurs grades ! J’ai tout fait pour ça ! Vous pouvez pas faire ça !

Je tapai du poing sur la table faisant légèrement sursauter Hunt mais elle ne se décontenança pas.

-Je le peux et je le ferais. Monsieur Maguire vous a longtemps défendu mais ce que j’ai entendu dernièrement et ce que j’ai vu ce soir, c’est la goutte de trop. Tout ça ne vous empêchera pas de poursuivre de très bonnes études ailleurs. Mais je sais que le seul moyen de vous faire réfléchir est de prendre de telles mesures.

Elle se leva alors avant de me regarder droit dans les yeux. Quant à moi, j’étais en colère contre elle ! Très en colère. Au point où ça se voyait dans mon regard que je posais son mon ex-directrice.

-Je ne sais pas ce que vous avez depuis septembre… Mais j’espère que vous ne continuerez pas sur cette voix. Vos parents n’étant pas là, j’ai appelé votre sœur. Elle va venir vous chercher. Mais je ne veux plus vous voir à cette fête. Vous pouvez l’attendre ici. Au revoir, Monsieur Hunter.

Et elle quitta la pièce me laissant seul. Ma colère était telle que j’aurais bien voulu ravager son foutu bureau. Elle était frustrée, elle ne m’avait jamais aimé et elle utilisait son minuscule pouvoir pour se venger. Elle avait tapé pile où ça faisait mal tout ça parce qu’elle était aussi jalouse de mon talent que Tisha. Tout ça parce que, moi, j’aspirais à mieux que d’être directeur d’une école pourrie !

-Pauvre salope !


C’est ce que je lançais les yeux remplis de larmes de colère alors que j’attendais désormais Vicky espérant pouvoir changer la donne dans le semaines avenir malgré ce qu’allait faire Hunt.


Copyright Billy Lighter

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