Apolline Mclagan ne savait pas réellement quelle heure il était à Los Angeles, ce qu'elle savait, en revanche, c'est qu'elle était au téléphone avec sa mère depuis bien trop longtemps. Elle avait beau lui dire qu'elles se verraient d'ici quelques heures, mais rien ne pouvait faire lâcher la matriarche de la famille écossaise.

Apolline était heureuse de pouvoir rentrer en Ecosse, son avion partant pour l'Europe décollait à 7 heures de matin, et il ne devait pas être loin de cette heure là, en fait, parce qu'elle entendait le "coucou" de l'horloge de sa mère à l'autre bout du fil, sonner midi -donc il devait être 4h du matin dans son appartement.- Elle s'était autorisé une semaine de vacances avant de commencé la tournée et Timmy avait accpeté, elle n'avait pas prévenu les garçons, après tout, pendant cette semaine, ils n'allaient pas prendre contact avec elle.

En tous cas, elle s'était préparé des vacances de rêves, elle resterait quelques jours avec sa famille, puis elle partirait avec son sac à dos écumer l'écosse, faire la tourner des bars et s'amuser seule avec sa guitarre. Elle reviendrait peut-être inspirée par de nouvelles chasons, qui c'est ? En tous cas, sa valise n'était même pas encore bouclé, elle devait vraiment raccorché, en plus, elle devait très certainement être la seulee debout à cette heure -là ...

Quoi que, elle eut un doute quand elle entendu sa sonnette. Surprise, elle alla ouvrir la porte et... "Putain de merde ,Howard, mais qu'est ce que tu fous ici?" avait-elle lâcher. "Maman, on se voit plus tard." qu'elle avait dit à sa mère avant de racroché.

Elle n'avait jamais vu Howard dans un tel état, il faisait peur avec ses cheveux décoiffé, sa tenu vestimentaire qui laissait à désiré et cet air perdu dans les yeux. "Rentre." avait-elle dit en le tirant par la manche avant de fermé la porte. Elle s'étai dépêcher d'enlevé sa valise de son canapé et l'avait posé par terre. "Assis toi mais...Pourquoi tu es dans cet état et...Pour t'es pas au lit?"

Il y avait un tant de question qui fusaient dans la tête de l'écossaise et surtout, pourquoi il était ici?

@ Billy Lighter

J’avais tout perdu. Ma villa… Ma petite-amie. Tout. Maria m’avait plaqué après j’sais plus combien de mois de vie commune. L’incendie criminel qui avait ravagé ma villa avait été la goutte de trop. Et elle me laissait seul avec plus rien.

J’suis parti de l’hôpital dès que Maria y est entrée. Ça ne servait à rien que je reste… Elle voulait plus d’moi de toute façon. J’avais erré un peu dans les rue de Downtown. J’sais pas combien de temps d’ailleurs… J’savais pas quoi faire. J’avais plus de maisons… J’avais pas de famille… J’voulais pas encore emmerder Amon qui n’habitait, pourtant, pas loin. J’fais qu’errer, le regard vide. Encore choqué par cette suite de nouvelles invraisemblables.

Et j’rendais Reed responsable de ça. J’voyais pas d’autres coupables. Il avait détruit ma foutue vie… Alors que moi, j’avais fait que lui détruire sa voiture alors qu’il en a sûrement d’autres. C’était pas juste…

Quand l’envie de drogue se fit sentir alors que ma marche m’avait conduit hors de Downtown, j’pensais aller chez Cash. Mais, on était en pleine nuit et j’avais pas envie de réveiller sa mère. Mais à mesure que je marchais, plus j’étais fatigué. Et plus, j’étais sur le point de craquer… De chialer comme un gamin à cause de tout ce qui s’était passé.

J’finis par me résoudre à trouver un endroit où dormir. Je fis arrêter un taxi pour qu’il m’emmène à Santa Monica chez Apolline. Elle savait pour les dettes… Quand j’lui avais dit, elle avait été sympa. J’voulais aller chez quelqu’un qui n’allait pas me faire la morale. J’savais qu’Apolline me la ferait pas.

J’arrivai devant chez elle. Je payai le taxi avec les quelques dollars que j’avais dans mes poches. C’était pas suffisant… Mais le conducteur était sympa et fan de The Burning Fire. Alors, il me avait pas tenu rigueur.

J’devais pas forcément être présentable. J’étais décoiffé, un peu débraillé et mon visage était ravagé par cette nuit infernale. Mais j’avais plus d’autres fringues… Tout devait avoir brûlé… J’montai jusqu’à l’appartement d’Apolline. J’sonnai à la porte. Elle vint m’ouvrir très vite, le cornet de téléphone plaqué sur son oreille. Elle se demandait ce que j’foutais là. Puis, elle raccrocha à sa mère. Je ne dis rien sur le coup. Et elle me fit entrer. Je m’exécutai, le regard perdu dans le vide.

Apolline enleva la valise de canapé pour que je puisse m’y assoir. Je le fis, la tête baissé. Parce que j’voulais pas qu’Apolline voit mes yeux qui étaient sur le point de déverser sous forme de larmes toutes les foutues émotions négatives que j’avais ressenties en quelques heures. Apolline cherchais à avoir des réponses.

-J’ai plus de lit…

Il était sûrement parti en fumée, lui aussi. Je relevai le regard, deux larmes perlant le long de ma joue. Je jouais nerveusement avec mes mains.

-Ma villa vient de cramer… J’ai plus rien. J’pensais…

Je m’arrêtai pour retenir mes larmes en fermant mes yeux et en passant mes doigts dessus. Mais il n’y avait rien à faire. J’avais plus pleuré depuis que j’étais gosse. Mais là, la fatigue m’avait achevé. Je cachai mon visage dans mes mains.

@ Billy Lighter

Elle avait donc vu au pas de sa porte un Howard dévasté, elle se demandait bien ce qui avait pu se passer. Un manque d'alcool ne l'aurait pas rendu comme cela, il se passait autre chose. Après l'avoir assis, elle s'était dépêché de lui remplir un verre de sa dernière bouteille de wiskey, puis elle s'était fait un thé avant de s'asseoir à côté de lui.  Elle sentait qu'elle n'étais pas prête de finir sa valise et que la nuit -pour le peu qu'il en restait- allait être longue.

Il expliqua alors qu'il n'avait plus de lit, Apolline pensa d'abord que Maria l'avait foutu dehors , vu son état, mais il continua et le visage d'Apolline se transforma en visage de stupéfaction. Il y avait eu un inccendie dans sa villa. Howard Stone n'avait plus rien...Et Apolline avait un vol à prendre dans 2 ou 3 heures...C'était pas vraiment le bon moment là... Mais elle devait être présente pour lui, c'était un ami.

"Brûler...Mais vraiment...Tout à brûler?" C'était la première phrase qu'Apolline avait réussis à sortir, elle s'était rapprocher du batteru en passant un bras autour de ses épaules. "Mais qu'est ce qui s'est passé? Tu étais dans la villa à ce moment là? Et Maria?" Bon, certaines questions pouvaient déjà etre répondue sans sa réponse à lui. S'il avait été dans la villa, il n'aurait pas été là mais à l'hopital, et si Maria aurait été à l'hopital, il aurait été la voir elle, mais alors pourquoi il était là?

Elle fronça les sourcils, elle ne comprend, pour l'instant, pas grand chose. "Je ne comprend pas tout là Howard, explique moi." Elle avait prit son thé et en avait bu une gorgée. Elle ne comprenais pas non plus pourquoi il était venu chez elle et non pas chez quelqu'un d'autre. Elle avait ensuite prit un kleenex et l'avait tendu à Howard pour qu'il s'essuie le visage. Elle n'aimait pas voir les gens pleurer, encore plus quand il s'agit d'amis, la vie d'Howard Stone n'avait jamais été de tout repos, mais une  chose était sûre, c'était que cette nuit, sa vie avait changé.

@ Billy Lighter

Apolline m’avait servi un verre de whisky. J’y avais pas encore touché parce que j’essayais de rassembler mes mots pour lui dire que ma villa était partie en fumée. J’savais pas comment les mots avaient réussi à sortir mais ils étaient sortis.

Apolline s’installa à côté de moi stupéfaite.

-Ouais… Tout…

J’savais pas s’il restait quelque chose. J’étais parti avant que l’incendie ne soit entièrement éteint. Mais j’avais vu les flammes. J’savais qui si il restait quelque chose, c’était pas grand-chose.

J’avais pas réussi à retenir mes larmes. J’avais tout fait pour mais j’y étais pas arrivé. La situation m’avait complètement échappée. Je sentais le bras réconfortant d’Apolline sur mes épaules. J’lui avais pas dit grand-chose. Elle se demandait si moi ou Maria on était dans la villa. J’hochai la tête. Ni négativement, ni positivement. J’étais pas dans la ville. Maria, si.

J’arrivai plus à parle. Je cherchais juste à retenir mes larmes et à essayer de comprendre ce qu’il s’était passé. Apolline ne comprenait pas tout… C’était normal. Je me repris quand elle me donna un kleenex. J’essuyai mes yeux avant de prendre le verre de whisky et de le boire d’un coup.

Je posai, après, mes yeux mouillé sur la guitariste en revalant mes sanglots.

-J’étais pas là quand tout à brûler… J’étais au bar. J’ai vu l’incendie à la télé et j’suis tout de suite aller voir. Maria était à l’intérieur... C’était un incendie criminel. Celui qui a foutu le feu l’a enfermé à l’intérieur…

Je marquai une pause pour passer mon bras sur mes yeux.

-Elle est en vie… Les pompiers ont réussi à la sortir de là. Elle et Ricci.

Je serrai les dents…

-Il est entré pour essayer de la sauver. Il a rien non plus…

J'fis la moue. Ça, c’était une moins bonne nouvelle.

-Et… Maria m’a plaqué sur le chemin de l’hôpital… J’crois que je le méritais. C’est ma faute si tout à cramé… Mais… Mais le pire… C’est qu’elle m’a trompé avant même de me plaquer… Alors que j’me tuais à essayer de gagner des thunes pour combler mes foutues dettes.

On sentait ma haine dans ma voix. J’avais pas été un ange ces dernières semaines mais j’méritais pas qu’elle me trompe. J’aurais préféré qu’elle me plaque plus tôt. Des larmes de rage coulaient le long de mes joues.

-Putain, j'méritais pas ça...

J'étais pas un cadeau mais j'méritais quand même pas ça.

@ Billy Lighter

Le fait qu'Howard ne prenne pas tout de suite le verre d'alcool qu'Apolline lui avait versé avait tout de suite fait tilt à la guitariste, il allait vraiment mal pour ne pas se jeter dessus. Ce qui rendais la sitaution encore plus grave qu'elle ne le pensais. Ses mots étaient durs à entendre, son ami n'avait plus rien. Plus de maison, plus de batterie, et plus de petite amie. Ca fit un choc à l'écossaise, elle qui pensait que Maria et lui étaient fait l'un pour l'autre. Encore une fois, ses espoirs de princes charmant était anéantis. Aucun couple ne pouvaient vivre heureux jusqu'à la fin des temps. C'était pour ça qu'elle ne voulait plus y croire et qu'elle allait voir un peu partout jusqu'à coucher avec Jimmy Reed -Mais pour sa défence, elle était droguer-.

Howard pleurait,  c'était la première fois que la jeune femme voyait un homme pleuré et c'était douloureux. Elle avait donné un kleenex à celui-ci avant que celui-ci ne lui dise que Maria était dans la villa et qu'il s'agissait d'un incendie criminel "Quoi?!" La jeuen femme était abassourdie  Et voilà qu'il lui anonçait qu'elle l'avait plaquée et trompée. "Oh Howard..."

Apolline ne savait pas quoi lui dire, tant de chose lui arrivait d'un coup. Elle avait simplement garder sa main dans son dos, lui caressant doucement. "Personne ne devrais mérité ça..." Elle avait ensuite regarder le verre vide d'Howard en se pinçant les lèvres. "Je suis désolé Howard..."

@ Billy Lighter

J’avais raconté à Apolline la sale soirée que j’avais passée. J’voyais encore les images des flammes qui consumaient ma villa. J’avais pas réussi à m’empêcher de pleurer. J’étais trop crever pour y arriver. J’avais tout perdu et j’m’étais fait plaqué de la pire des façons et en apprenant que ma petite-amie me trompait avec un type que j’détestais. Il y avait pas pire comme scénario.

Apolline n’en revenait toujours pas de ce que je lui racontais. J’sentais ses caresses dans mon dos, ce qui me permettait de ravaler un peu plus vite mes larmes de gosses. Elle disait que personne ne méritait ça. Ça faisait du bien d’entendre ça. De voir quelqu’un était de mon côté après tout ce qui s’était passé. J’approuvai de la tête.

Elle était désolée… J’me sentais trahi mais j’savais que j’avais merdé. J’avais des dettes et depuis que Maria les avait découvertes, j’étais parti en vrille. J’faisais que me droguer et faire des tas de conneries… Et, surtout, j’avais pas arrêté de mentir… J’regardais Apolline. Les larmes ne coulaient plus. Mais mes yeux étaient toujours mouillés.

-J’crois que c’est ma faute… Pour la villa, j’veux dire… J’avais des dettes et tout ce que j’ai trouvé de bon à faire c’est d’aller cramer la voiture de Jimmy Reed à qui je devais l’argent… Il a dû le découvrir et il s’est vengé…

Je passai ma main devant mes yeux. J’abandonnai le verre de whisky pour prendre la bouteille que je bus à grosses gorgées.

- Mais, même si j’suis fautif, j’en veux quand même à Maria… J’en serais pas là si elle m’avait plaqué plus tôt…

Je regardais Apolline d’un air malheureux. J’étais vraiment fatigué et j’crois pas que j’avais les idées très claires. J’voulais juste oublier… J’savais que l’alcool aiderait. J’savais qu’Apolline m’aiderait aussi. C’est pour ça que j’étais ici.

@ Billy Lighter

Toujours l'un à côté de l'autre, Apolline regardait Howard. Il était dévaster et ça lui faisait mal de le voir ainsi. Elle avait comprit qu'il y avait quelque problèmes dans sa vie, mais elle ne pensais pas que cela serait aussi grave. Elle n'aurait jamaias pensé que sa nana serait partie, que sa villa partirait en feu et qu'il n'aurait plus d'argent. Les yeux humides de son ami lui rappelait alors que tout ne tenait qu'à un fil.

Il lui expliqua ensuite qu'il ,'avait pas arrager les choses et qu'il avait déclaré la guerre en mettant le feu à la voiture de Jimmy Reed. Ce nom fit tilte dans la tête d'Apolline...Jimmy Reed comme...Jimmy Reed? Elle se déomposa un peu. Voilà pourquoi ce nom lui disait quelque chose. Le teint un peu blanc, elle regarda Howard. "Heu...Tu penses qu'il y a beaucoup de Jimmy Reed à Los Angeles?" C'était un peu sortir des problèmes du batteur mais elle devait savoir si elle avait fait une betises ou pas. Même si en soit, il n'y aurait sans doute pas de répercussions...quoi que...Elle ne se souvenait plus de grand chose de cette soirée passé avec lui...

Il en voulait à Maria, ce qui était logique, elle le comprenait. Elle avait hoché la tête. 'Je suis du même avis que toi Howard, elle n'avait pas à te faire ça, en principe, quand on n'aime plus une personne, on l'a plaque et après on fait autre chose...C'est pas bien ce qu'elle à fait, elle aurait dû te le dire avant." Elle avait laissé un silence placé. "Tu crois qu'elle ne te l'a pas dis pour quoi? Il doit bien y avoir une raison pour qu'elle ai attendu parce que ça n'a pas l'air d'être son style de tromper les personnes avec qui elle est. "

@ Billy Lighter

J’vis Apolline devenir toute blanche quand je lui parlai de la voiture de Reed que j’avais cramé. C’était le même blanc qu’avait Amon quand j’lui avais dit la même chose. J’m’attendais à ce qu’elle fasse cette tête mais j’m’attendais moins à sa question. J’savais pas pourquoi elle me demandait ça. J’haussai les épaules un peu surpris par la question.

-J’sais pas… J’en connais qu’un, moi. Le type qui dirige BSC… J’en ai jamais rencontré d’autres… Pourquoi ?

J’oubliai momentanément Reed pour prendre la bouteille de whisky. Et pour dire que j’en voulais quand même à Maria. J’lui en aurais pas voulu si elle ne m’avait pas dit m’avoir trompé. J’aurais pu comprendre qu’elle me plaque à cause de l’incendie. Mais apprendre qu’elle me trompait et avec Ricci. C’était un peu trop dur à encaisser. J’buvais vite en parlant à Apolline. J’la vis m’approuver. Ça faisait du bien de la savoir de mon côté. J’la regardais en lui montrant ma reconnaissance. J’approuvai de la tête ce qu’elle disait. J’méritais pas ça. Maria aurait dû me plaquer plus tôt.

La guitariste essayait de comprendre pourquoi Maria avait fait ça. Il ne restait, déjà, presque plus de whisky dans la bouteille. Mes yeux mouillés devenaient brumeux. L’alcool n’atténuait pas mon chagrin. Mais j’sentais plus la douleur dû à ma longue marche. J’sentais même plus du tout, mon corps était engourdi.

-J’sais pas pourquoi… J’veux pas lui trouver d’excuses. J’sais qu’elle voulait absolument m’aider à régler mes dettes. P’tètre pour ça qu’elle m’a pas quitté tout de suite. Elle m’a donné le chèque dans l’ambulance mais j’lui ai rendu. J’voulais pas de sa pitié.

Je serrai les poings.

-J’sais pas si c’est son style ou non. J’crois que je la connaissais pas assez.

Mes lèvres tremblaient à nouveau. J’voulais pas pleurer encore alors je bus le reste de la bouteille. Je regardai encore Apolline.

-J’sais pas où vivre, maintenant…

Je baissai les yeux.

@ Billy Lighter

Howard avait parler de Jimmy Reed et Apolline se souvint alors de la carte de visite laisser sur la table de son salon le lendemain d'une nuit de folie. Elle n'avait pas vraiment fait le rapprochement jusqu'à lors mais quand Howard lui avait rappeler ce nom, ça avait fait tilt dans sa tête...Elle avait coucher avec le Grand Méchant Loup...Du moins, c'est ce qu'elle avait entendu parler de lui. Le batteur avait demander pourquoi elle lui avait demander cela. Elle décida de se taire pour le moment parce qu'on ne parlait pas d'elle mais de lui. "Pour rien..." Avait-elle dit innocement.


Howard ne comprenait pas le comportement de Maria et à vria dire, Apolline n'avait jamais réellement rencontré la blonde, elle l'avait aperçue quelque fois après le studio ou après des concerts, mais elle n'avait jamais réellement été présenté à elle. Elle s'en faisait sa propre opinion: Celle d'une femme qui avait fait les mauvais choix et qui, maintenant, n'assumait pas le fait d'être sortie avec Howard. Elle avait regarder son ami les yeux rond quand il lui avait annoncer lui avoir rendu son chèque. "Mais pourquoi? T'avais de quoi être pénard avec Reed et maintenant...Bah tes efforts n'auront servit à rien..." Elle avait prit le bouteille de wiskey vide en l'a mettant sous le nez d'Howard. "Tes efforts pour diminué l'alcool; les jours où je te ramassais au sol parce que tu tenais plus debout à cause du manque...Ca n'a servit à rien? Tu aurais vraiment dû prendre l'argent, au moins Maria n'aurait plus tout cette argent."

Elle reposa la bouteille à table en soupirant, tout en le regardant. "Tu vois, je pense pas que cela soit une mauvaise fille, je pense qu'elle voulait réellement t'aider et le fait que tu n'es pas prit son chèque, ça à dû lui faire mal. Vous vous êtes tous les deux donnés du mal pour comblé cette dette. Ce chèque, c'était aussi tes efforts à toi qui était récompensés."


Finalement, Howard avait baissé les yeux en indiquant qu'il ne savait pas où vivre maintenant qu'il avait plus rien. Apolline ne pouvait pas le laisser comme ça, elle l'aimait un peu trop pour ça, pour le laisser à la rue. Elle prit ses mains dans les siennes. "Howard...Je pars dans 1h30 pour l'Ecosse...Je te jure que si j'aurais pu, je t'aurais loger mais là..." Mais là elle partait, elle n'allait pas le laisser seul ici. Elle fit les yeux rond, plantant son regard dans le sien.

"Viens avec moi. Je te paie le billet, le voyage, tout. Pendant deux semaines, tu ne penses plus à rien, tu te requinques, et quand on rentre, on cherchera ensemble un toit pour toi, ok?"

@ Billy Lighter

On parla de Reed et de la drôle de question d’Apolline. Elle ne savait pas vraiment pourquoi elle avait posé cette question ou, tout du moins, ça n’avait pas d’importance. J’étais trop crevé pour être suspicieux ou m’y attarder de toute façon.

J’arrivais pas à comprendre Maria. J’savais pas pourquoi elle avait pris tant de temps à me plaquer alors qu’elle ne m’aimait pas. J’me sentais trahi. J’pense qu’elle est restée avec moi juste pour m’aider pour les dettes. Juste par pitié. Mais j’voulais de la pitié de personne. J’lui avais rendu son chèque. Et Apolline ne comprenait pas pourquoi j’avais fait ça. Avec ce chèque j’aurais pu régler mes dettes avec Reed. Et que, ce chèque, c’était aussi mes efforts à moi. Elle défendit un peu Maria que j’avais, sûrement, blessé en rendant le chèque. Et bien tant pis, c’était bien fait dans un sens. Je regardai Apolline.

-Tant mieux… Elle ne méritait pas de me lâcher comme ça et de partir avec Ricci la conscience tranquille.

Et, même si je disais ça, je n’arrivais pas à me réjouir de ce mal que j’avais fait à Maria en refusant le chèque.

-Et puis, ce chèque, c’était plus ses efforts que les miens… J’ai jamais arrêté de boire… J’ai toujours trouvé un moyen de me fournir. Par toi et par d’autres… Elle ne mangeait pas pendant que j’me droguais presque tous les jours chez Cash Izbel.

Je soupirai. J’disais à Apolline ce que je n’avais jamais dit à personne.

-Elle ne l’a même pas remarqué…

Pourtant, même si je faisais attention, le creux de mes coudes étaient couverts de marque de seringue et de bleus.

-Alors elle devait garder ce chèque… Elle pourra le donner à Ricci. C’est l’argent de son album de toute façon.

J’crois que c’était pour ça aussi que j’avais pas accepté le chèque. Par ego. Une partie de l’argent que gagnait Maria venait de l’album de Ricci. C’est comme si Ricci payait mes dettes. C’était dégradant…

Restait que j’avais plus d’endroit où vivre. Et j’voulais pas vivre dans l’Eastside. Mais Apolline ne pouvait pas m’héberger parce qu’elle partait en Ecosse dans un peu plus d’une heure. J’réfléchissais déjà à un plan B. Amon… Alexie… Mais j’allais devoir encore raconter la même histoire. Et j’avais pas envie de retourner le couteau dans la plaie. J’crois que j’allais aller à l’hôtel tout simplement… Tant pis si j’dois claquer des thunes.

Mais Apolline en décida autrement. Son regard planté dans le mien, elle me proposa de l’accompagner en Ecosse. Elle voulait que je l’accompagne pendant ses deux semaines de vacances. J’étais bouche bée en entendant ça.

-C’est vrai ? J’veux dire, t’es sûre ? J’sais pas quoi dire.

Je la regardais avec un air vraiment reconnaissant.

-Merci… Et j’pourrais participer aux frais. J’ai récupérer de l’argent avec l’album. Et, de toute façon, j’ai pas de supplément de bagage.

Normal, j’avais plus rien… J’continuais de regarder Apolline, les traits moins tendus. J’étais déjà plus soulager. Et j’allais pouvoir dormir dans l’avion. J’sais pas depuis combien de temps j’avais plus dormi…

@ Billy Lighter

Howard avait annoncé que le chèque, c'était plus ses efforts à elle qu'à lui, bon, il n'avait pas tord, Apolline ne pouvait pas le nier, il venait le soir chez elle pour lui prendre tous l'alcool qu'elle avait, parfois, il s'endormait même dans le canapé où elle le laissait commater, le matin, quand elle se réveillait, il n'était jamais présent. Il devait sans doute partir pendant la nuit ,après avoir réussis à se relever. Mais Apolline ne pouvait pas lui en vouloir, il essayait et arriver à un stade avancer de l'alcolisme, on ne pouvait plus rien faire. Elle n'avait alors rien dit, se contentant de le regarder. "Tu aurais tout de même dû le garder."

Puis il lui annonça qu'il se piquait, là, par contre, Apolline n'était pas pour, son teint devint blanc, les yeux grand ouverts, elle prit doucement le bras d'Howard, releva la manche de son haut et vit les bleus. Pour elle ne savait qu'elle raison, elle avait envie de pleurer. Howard foutait sa vie en l'air...Elle le regarda, les mains posés sur son bras. "Ne fait pas ça...Ca va te pourrir encore plus la vie..." Il avait ensuite dit qu'elle n'avait pas remarqué, L'écossaise se pinça les lèvres. "C'est que ce n'était pas la bonne..."


Quoi de dire de plus à un homme qui venait de tout perdre? Quoi faire quand on part dans peu de temps? On ne peut pas le laisser seul! Dans ce cas, Apolline lui avait annoncer qu'elle le prenait avec elle dans ses bagage. Il avait tout de suite accepter d'une façon reconnaissante, annonçant qu'il payerais une partie, elle fit un "non" de la tête. "Non je paie tout, tu n'aurais qu'à me payer une pinte de bière dans un pub un soir!"

Elle regarda ensuite l'horloge en souriant un peu, il ne leurs restait plus beaucoup de temps mais elle ne pouvait pas laisser Howard dans cet état. Elle se leva et le tira pour qu'il vienne avec elle dans sa chambre. Elle tira sur un tirroir de sa commode et en sortit un jean et un haut d'homme. "Tient, c'est pas grand chose mais ça peut être déjà mieux que des affaires toute sales, on va tout de même chez mes parents avant d'écumer les bars et c'est pas rien!" Dit elle en riant un peu. "Tu as dix minutes pour prendre ta douche, après on part!" Elle lui avait sourit. "Et ne me demande pas d'où ça vient, je ne me souviens même plus des noms de leurs propriétaires."

@ Billy Lighter

Elle devait avoir raison. J’aurais dû garder le chèque. C’était ma fierté qui m’avait empêché de le prendre. J’voulais pas de la pitié de Maria alors j’avais pas pris le chèque.

-P’tètre bien…

Je soupirai. C’était trop tard de toute façon. Et puis, j’rembourserais pas la dette de Reed. J’avais d’autres problèmes avant ça… J’avais plus de maison, il allait falloir que je m’occupe de ça avant tout.

Je méritais pas vraiment le chèque de Maria. Elle l’avait plus mérité que moi. Elle s’était affamée tous les jours pendant que moi j’arrêtais pas de boire et, pire, de me droguer presque tous les jours à l’héroïne chez Cash. Je disais ça à Apolline sans me rendre compte des conséquences de mes paroles. Elle se saisi de mon bras pour découvrir les marques de seringues et les bleus. J’osais pas croiser le regard de la guitariste. Elle n’approuvait pas… Je soupirai quand elle disait que ça allait encore plus me pourrir la vie. Ah, parce que ça pouvait être pire ? Génial…

-Je sais… Mais c’était le seul moyen que j’avais pour penser à autre chose qu’aux dettes… J’vais arrêter. C’est promis…

J’allais essayer en tout cas... J’savais que mes capacités à sortir d’une addiction étaient quasi nulles. C’est comme ça qu’on se rend compte à quel point on est tombé bas. Et je regrettais, un peu, quelque part, que Maria n’ai rien vu. Si ça, c’était pas une preuve que ça faisait longtemps qu’elle s’était détournée de moi, je ne sais pas ce que c’était. Apolline disait que ce n’était simplement pas la bonne.

-Ouais… Et j’m’en suis rendu compte trop tard.

Je remis mon pull pardessus mon bras pour cacher les marques. Et, alors que j’constatais que j’avais nulle part où dormir, Apolline me proposa de partir avec elle en Ecosse. J’écarquillai les yeux ne sachant pas quoi dire. Elle savait pas à quel point elle m’aidait en me proposant ça. Elle voulait pas que je paye.

-Ok, j’t’offrirai même deux bières.

J’savais pas comment la remercier de tout ce qu’elle faisait pour moi. Elle m’offrait la bouffée d’air qu’il me fallait après tout ce qu’il s’était passé.

Elle me tira par le bras et je la suivis vers sa chambre. Là, elle me fila des vêtements à ma taille. Je la regardai un peu perplexe. Comment ça se faisait qu’elle avait des vêtements d’homme chez elle ? Elle m’anticipa me disant qu’elle ne savait plus d’où ça venait. Je lui souris.

-Ok… On va chez tes parents ? J’ferais de mon mieux pour ne pas me faire virer de chez eux trop vite.

Je rigolai un peu. J’m’étais bien fait virer de chez mes parents, en quelque sorte, alors j’parie que j’étais bien capable de me faire virer de chez les parents d’Apolline en moins de temps qu’il ne fallait pour le dire.

Je retrouvais un petit peu d’envie de vivre au contact d’Apolline. Et je finis par disparaitre dans la salle de bain pour prendre rapidement une douche. Je mis les affaires qu’elle m’avait prêtées laissant là mes vêtements sales. J’en rachèterai d’autre en Ecosse.

Je sortis de la salle de bain après 10 minutes. J’avais déjà moins l’air d’un SDF comme ça. J’regardais Apolline.

-J’sais pas à qui sont ces vêtements mais ils sont piles à ma taille. T’aimes bien les petits, apparemment.

Ouais parce que j’étais pas fort grand… Je lui souris un peu. J’supposais que ces vêtements-là devaient appartenir à une conquête d’un soir. C’était bien le genre d’Apolline.

-J’suis prêt.

J’ai pas d’autre bagage alors j’étais prêt à me barrer de L.A.

@ Billy Lighter

Le bra bleuté et pleine de marque d'Howard restait en tête de l'écossaisse. Elle ne pouvait pas le laisser là, elle ne voulait pas qu'il continue à se piquer. Ca lui faisait peur ce genre de pratique alors, quand elle lui avait proposer de venir avec elle en Ecosse, c'était aussi pour l'écarter de ce chamin là. Elle ne se drogait pas -bon, si, une fois, mais ça comptait pas!- et personne dans son entourage de le faisait. Du coup, il serait loin de cette connerie au pays des châteaux hantés. Elle lui avait sourit quand il avait promis de ne pas se faire virér de chez ses parents de suite. "Ne t'en fais pas, on ne les verra pas souvent, deux/trois jours tout au plus, ils travaillent et ils sont très sympas."

Elle l'avait laisser aller dans la salle de bain pour se laver. Bien sûre, elle avait été un peu gêné de lui donner des fringues d'hommes, ça montrait qu'elle n'était pas très sérieuse au niveaux de ses relations mais en même temps, elle profitait tant qu'elle n'était pas amoureuse. Elle ne pouvais rien se reprocher, elle n'avait jamais tromper sa ou son compagnon quand elle était en couple officiellement.

En tous cas, pendant qu'il était sous la douche, elle avait terminé de faire sa valise et de préparé leurs départ. Elle avait alors prit son billet d'avion et avait prit soin de rappeler sa mère pour lui annoncer qu'elle ne venait pas seule. Bien sûre, il fut difficile de faire croire à ses parents qu'il ne s'agissait que d'un amis, mais ils verront rapidement qu'entre Howard et elle, ce n'était que de l'amitié. Après avoir terminé de faire ces amplettes, Howard était sortit, habillé plus prorprement. "Voilà qui est mieux! T'es beau comme un camion" Avait elle dit en riant un peu. Cependant, la reflexion qu'il venait de dire sur le gout prononcer de la jeune femme sur les petits ne tomba pas dans l'oreille d'une sourde. Au contraire, ses joues se mirent à rougirent un peu. "Non...Enfin...Je ne sais pas...Je prend ce qui vient en fait!" dit-elle gênée.

Elle se reprit tout de même rapidement en lui indiquant qu'il fallait partir. Ils quittèrent l'appartement de la jeune femme, prirent un taxi et allèrent vers l'aéroport de L.A. Dans le taxi, la jeune femme briefa le batteur. "Quand on arrive à l'aéroport, on n'a quinze minutes de route, mon père vient nous chercher. Puis on fait un grand repas tous ensemble. Ma mère fait toujours à manger pour quinze alors qu'on n'est pas plus de dix." Elle avait supplié sa mère de faire à manger un peu américain et non pas que des rognons et des penses de brebis fourrées. "Ensuite on pourra aller se reposer dans nos chambres respectives, j'ai appeler ma mère quand tu étais sous la douche, elle s'active pour tout préparé."
Le Taxi s'arrêta "Et d'ici quatre jours ou cinq, on s'en va faire le tour de l'Ecosse! On achètera tout ce qu'il te faut pour partir à l'aventure. " Elle laissa un temps de silence. "Je suis sûre que ça te fera du bien."

@ Billy Lighter

Apolline me rassura en disant qu’on n’allait pas voir beaucoup ses parents sur le séjour. C’est pas que j’voulais pas les voir, c’est que j’avais peur d’me faire virer de là aussi. Ils étaient sympas d’après Apolline. J’approuvai de la tête, déjà plus confiant.

J’m’étais lavé et j’avais mis les fringues que m’avait données Apolline. J’étais sorti de la salle de bain et je ressemblais déjà plus à quelque chose avec des habits propres et les cheveux lavés et un rien coiffés. Apolline trouvait ça mieux. J’dois avouer que j’étais mieux aussi. Elle rigola à sa propre réflexion et je souris.

-J’suis plus beau qu’un camion. Même tout sale.

Je rigolai à mon tour. Puis, je constatai qu’Apolline devait sûrement aimer les petits vu les vêtements qu’elle m’avait prêté. J’eus un sourire en coin quand je la vis rougir et bafouiller déclarant qu’elle prenait ce qui venait. C’était drôle de la voir toute gênée. Mais qu’elle s’amuse avec des conquêtes d’un soir ne m’étonnait pas venant de la fille qui avait proposé comme prix à cet enfoiré de Dom de coucher avec elle.

-On n’est pas très différent. J’prends ce qui vient aussi. T’as juste plus de choix que moi.

Et j’vais pouvoir recommencer maintenant que je me suis fait plaquer. J’allais retourner à mon ancienne vie. Celle que j’avais avant la tournée de The Lightening. Et j’crois que c’est pas plus mal…

On finit par partir en taxi jusqu’à l’aéroport. Sur le chemin, Apolline m’expliqua ce qui nous attendra en Ecosse. Son père viendra nous chercher à l’aéroport et puis il y aura un repas. Bordel, un repas ! Ça faisait combien de temps que j’avais plus bouffé un vrai repas. Rien que d’y penser j’en avais l’eau à la bouche. J’appris qu’on ne serait pas plus de 10… Moi, Apolline, ces parents et… Ça fait 4 ça… Heu…

-10 ? T’as des frères et sœurs ?

Il y avait sûrement d’autres invités que ces frères et sœurs… Sinon, ça voudrait dire qu’elle en a 6… Je continuai d’écouter Apolline qui m’expliqua que sa mère préparait tout. Et qu’après quelques jours on se fera le tour de l’Ecosse. Elle avait raison, ça allait me changer largement les idées. Je lui souris.

-J’crois aussi. J’suis pressé de voir ce pays. J’suis sûr qu’après tout ça, j’aurais oublié toutes ces conneries.

On était arrivé à l’aéroport où Apolline m’acheta rapidement un billet.

On était maintenant prêt à prendre l’avion direction l’Ecosse.

@ Billy Lighter

Apolline vraiment qu'Howard se sente comme chez lui dans sa maison en Ecosse, elle savait qu'il n'y aurait aucun soucis là dessus parce qu'elle savait que sa famille serait compatisssant et amical avec le batteur, surtout qu'à priori, ils adoraient The Burning Fire en Ecosse! Ca allait êt géniale, ils allaient faire des concert improvisé souvent, elle en était sure!

QUo iqu'il en soit, malgré qu'Howard soit dans une mauvaise posture, il avait garder son humour et le fait qu'il est annoncer être plus beauc qu'un camion même sale avait fait rire Apolline. "Tu as tout à fait raison!" avait-elle en souriant. Elle ne voulait en aucun cas qu'Howard et elle ne flirt même si en soit, ils étaient un peu pareil, comme il le disait, ils prennaient ce qui venait, comme ce qu'elle avait fait pour Jimmy, sauf que c'était sans doute une grosse betise qu'elle avait fait ce jour là. Elle lui avait sourit un peu. "Oui, j'ai plus de choix mais j'avoues être plus attiré par les hommes que les femmes, même si en soirée, ça m'arrive de me faire les deux à 1 heure d'intervalle!"

Un e fois dans le taxi, elle avait briefer Howard et lui avait sans doute fait un peu peur en parler du nombre d'invités, elle avait ensuite sourit quand il avait relever le nombre. "Oui j'ai un frère, mais comme je ne viens pas souvent en Ecosse, dès que je retourne au pays, toute la famille souhaite me voir, je suis une peu leur petit rayon de soleil, d'ailleurs, ça m'étonnerais pas que mon père me demande chanter au piano pendant la soirée." C'était leurs trucs, la musique, à lui et elle, à chaque fois, il voulait une chanson au piano et elle n'allait sans doute pas déroger à la règle cette fois-ci.

Le Taxi s'était arr^ter, l'aéroport n'était pas bombé de monde, surtout dans la terminal où ils se trouvaient. Elle alla acheté un billet à Howard puis ils partirent, direction , Edimbourg.

@ Billy Lighter