. Apolline allait devoir être plus fine la prochaine fois qu'elle ne mettrait rien en dessous de son haut car Howard avait remarquer rapidement. Il avait tout de même tenu toute la journée-ou presque- sans avoir de gestes qui l'a trahissait. Il n'y avait pourtant Pas de poitrine qui pointe ni de problème de ballottage. Alors elle se demandait bien comment il avait pu voir cela. Il était sans doute plus expert qu'elle ne le pensait.

En tous cas, les caresses d'howard faisaient toujours beaucoup d' effets à Apolline, même plus de jour en jour, son corps réclamait sans cesse Howard, rendant les autres hommes beaucoup moins intéressants dans tous les sens du terme. Avec Howard, Apolline jouait au chat et à la souris, à qui allait craquer en premier, jamais elle n'avait eu une telle complicité avec un homme. Même si parfois il l'enervait a jouer un peu trop avec son corps...

Comme en ce moment...

Mais qu'importe, Apolline était le genre de fille qui ne se laissait pas berner ni se laissait faire dans cette situation alors, elle avait commencer à jouer avec le pont faible des hommes, sont intimité. Elle ne mis pas longtemps à avoir son attention, si bien qu'elle était toute fière d'entendre les gémissements venir des lèvres du batteur. Ses vas et viens étaient loin pour qu'il profite de chaque millimètre de ses lèvres sur son intimité. Elle sentit ses mains dans sa chevelure et elle fera les yeux. L'excitation était à son comble dans son bas ventre et quand il fit remonter ses lèvres pour commencer en baiser sauvage, elle lâcha un gémissement d'envie.

Elle envie de continuer, de voir de quoi il était capable alors qu'elle l'avait titillé, elle continua le baiser, jouant de sa langue dans la bouche du batteur. Elle était enfin une contre Howard. Se mettant à califourchon sur lui, elle avait prit les mains du batteur pour venir les plaquer sur ses fesses à elle, lui montrant les caresses qu'il pouvait lui donner. Son corps commençait à bouger contre le sien et leurs intimités se touchaient, faisant lâcher des gémissement à la guitariste.

Ses lèvres voyagerent de sa bouche à son oreille.  '' j'aime pas quand je ne suis pas le centre de ton monde. ''  avait elle dit d'une voix suave avant de venir embrasser son cou langoureuse ment. Ses mouvements de bassins étaient long et elle se lova parfaitement contre lui si bien que leurs intimités se frôlant doucement, donnant tout un tas de sensations différentes remplit de plaisir. Cependant un peu impatiente, elle faisait entrer et sortir Howard d'elle comme pour faire durer le plaisir sur le canapé de son appartement.

@ Billy Lighter

Y’avait rien à faire… Apolline savait exactement comment attirer mon attention. En même temps, on peut pas dire que ça avait été trop difficile. J’l’avais à moitié déshabillée et j’l’avais, ensuite, laissée en plan… Normal qu’elle se venge de la sorte. Et j’devais avouer que j’étais plutôt content de ça.

Apolline avait le chic pour me faire frissonner. C’était pas ma p’tite-amie… Mais c’était pas une conquête non plus. Apolline c’était tout autre chose. Et j’avais l’impression qu’elle me connaissait mieux que quiconque hormis Nat’. Et, j’sais pas pourquoi, mais ce qu’elle me faisait ressentir en ce moment, c’était mieux que ce que m’avait fait ressentir toutes mes autres conquêtes. Et j’m’en rendait de plus en plus compte chaque jour.

Et ce que je savais par-dessus tout, c’est qu’Apolline aimait jouer. Alors je jouais. Mais, là, alors qu’elle massait avec sa bouche le point le plus sensible de mon corps, j’savais que j’étais sur le point de perdre la partie que j’avais, moi-même, engagé. Parce qu’elle y allait franchement Apolline. Et que j’pouvais pas retenir des gémissements de plaisir. Je fermai les yeux tendant tous mes muscles. Mais fallait pas qu’je craque. J’voulais pas faire aveu de faiblesse.

Je remontai sa figure jusqu’à la mienne pour l’embrasser. Ça me laissa le temps de reprendre un peu mes esprits et de calmer un peu le feu qu’il y avait dans mon bas ventre. Enfin… Pas vraiment. Parce que le baiser que j’lui donnai et qu’elle prolongea était intense. Apolline gémissait contre mes lèvres. Et elle dirigeait mes mains pour les poser sur ses fesses. Je souris contre ses lèvres que j’abreuvais de baiser bien trop intense pour qu’ils soient contrôlés. Je caressai ses fesses remontant, parfois dans son dos. Nos corps étaient déjà chauds brûlants. Et les p’tits vas et vient d’Apolline la faisait gémir alors que ma fierté, et le jeu, me poussait à ne pas me laisser aller.

Mais quand elle commença à me parler à l’oreille. A dire qu’elle n’aimait pas ne pas être le centre de mon monde, je lâchai un gémissement de plaisir. C’était comme si elle me disait : « Regard Howard, t’as vu comme j’maitrise. Essaye plus jamais de m’ignorer ! ». Et ça flattait un p’tit peu ma fierté personnelle. Sa voix suave me fit frissonner. Et j’réussi quand même à laisser passer quelques mots.

-Et moi, j’aime pas ne pas être le centre du tien.

Mais là, on était le centre du monde de l’un et l’autre. On se l’prouvais pas des baisers et des caresses d’une sensualité sans équivalant. La bouche d’Apolline prit possession de mon cou alors que mes caresses dans son dos et sur ses fesses étaient plus vives. Apolline joua à un jeu dangereux en me faisant sortir et entrer d’elle. Je poussai un gémissement plus long. Je la fis accéléré le rythme en accompagnant ses vas et vient. Les sensations provoquées allaient me faire craquer. L’avance qu’avait pris Apolline au début était bien trop grande pour que j’garde le contrôle.

Je l’embrassai furieusement bougeant sous son corps. On ne fit plus qu’un définitivement. Les mouvements d’Apolline. Ses p’tits gémissements. Nos baisers et nos caresses. Tout ça combiné me firent faire des mouvements plus profond et plus intense. J’râlais un peu d’avoir fait l’con au début et de m’être mis à sa merci. J’arrivais plus à faire durer le plaisir et j’finis par être secoué par une décharge qui s’empara de tout mon corps en lâchant le nom de ma partenaire. J’espérais avoir tenu assez longtemps pour qu’Apolline soit allée, elle aussi, au bout des choses.

@ Billy Lighter

Apolline avait avouer une de ses faiblesses, du moins, une chose dont elle était à présent sûre : Elle n'aimait pas être loin des pensées d'Howard. Elle ne savait pas réellement pourquoi elle était autant posséssive. Elle ne l'avait jamais été auparavant et elle se trouvait bien hypocrite de  ne pas accepter, intérieurement, qu'il aille voir ailleur alors qu'elle n'avait aucun scrupule à aller coucher à droite et à gauche.

Car oui, elle ne supportait la fait qu'Howard couche avec d'autre personne qu'elle...

Mais elle s'en rendait compte que depuis peu, depuis la dernière fois qu'il avait découcher, il était revenu le lendemain matin, alors qu'elle déjeuner son bol de chocolat dans le canapé, la couette sur elle et les cheveux décoiffée. Elle ne pouvait pas lui dire, elle pouvait pas se le permettre. C'est elle qui avait fait tout un cinéma pour que personne ne sache pour eux, elle avait même résisté un moment avant de s'autoriser à embrassé Howard la première fois.

Alors, penser ce qu'elle pensait, ce n'était juste pas possible dans sa tête.

Elle s'autorisait toutefois à lui annoncer qu'elle n'aimait pas ne pas être au centre de son attention et il avait aimer entendre ça de sa part, du moins, elle le supposait avec ce qu'il avait lâché à la suite de ces mots. Elle avait fermé les yeux quand elle avait appris qu'il aimait être dans ses pensées à elle, et avait sourit d'un air satisfait avant de plonger sa tête dans son cou pour continuer à le titiller.

Apolline pensait les hommes bien facile à avoir, il ne suffisait d'un rien pour réussir à embrayer sur le sexe, la preuve, Apolline n'avait pas fait grand chose et ils en étaient arrivés à ce qu'elle soit à califoruchon sur lui nue, se frottant à lui pour les préliminaires. Tous les autres hommes, ou presque, qu'elle avait eut, elle trouvait les préliminaires d'un ennuis sans nom, mais pas avec Howard parce qu'elle aimait l'entendre gémit d'impatience et sentir son corps réclamer le sien comme jamais il n'avait réclamer. Elle aimait aussi ses baisers qui traduisait son débousollement face à la situaiton.

Elle gémissait avec ses vas et viens dangeureux et ses caresses osées. Quand ils ne formèrent plus qu'un, elle bascula sa tête en arrière tant le plaisir montait en flèche. C'était bien mieux qu'avec n'importe quel homme, bien mieux qu'avec une fille. C'était unique. Elle gémissait, ne retenant pas son plaisir, menant toujours la danse d'une façon si particulière. Elle prolongeait chaque baiser qu'il lui donnait et toujours avec plaisir et de façon sauvage et fiévreux.

Puis, elle se sentit partir, plus que les autres fois encore, une décharge electrique la secoua de plaisir, elle n'arrivait plus à gémir tant le plaisir était fort, elle tremblait. Cela ne dura quelque secondes mais le plaisir était immence. Elle avait sentit qu'Howard était parti, lui aussi, de ce côté du plaisir. Elle s'était alors laisser aller contre lui, venant lui déposer un tendre baiser sur les lèvres, essouflée par temps ce moment si intense.

Le film continuait de tourné mais Apolline n'avait d'yeux que pour Howard. "Personne ne m'avait fais ça avant.." avait-lle dit au bout d'un moment, encore un peu essouflée.  

@ Billy Lighter

Les sensations qu’on se donnait étaient unique. Ouais et j’crois que j’avais eu assez de conquête pour dire qu’Apolline était la meilleure. Y’avais pas de comparaison à faire. J’me sentais faillible face à elle. J’lui donnais chaque fois tout ce que j’avais. Et, si pendant les préliminaires j’aimais bien jouer et faire le fanfaron, quand Apolline commençait ses vas et vient je perdais mes moyens. Parce qu’elle maitrisait ça comme une pro… Et que des pros, il y en a pas tant dans l’univers.

Et j’aimais bien perdre le contrôle. Mais j’sentais qu’entre Apolline et moi c’était la complicité entre nous qui rendait tout ça meilleur. On se connaissait depuis un moment. On avait déjà partagé par mal de choses. Voyagé ensemble et tout. On est dans le même groupe. On a un lien artistique. En fait, on partage autant, voire plus, que ce que je partageais avec Natacha quand on était en couple. Et j’crois que c’est tout ça qui expliquait la dispute de tantôt. Et qui expliquait aussi notre envie de se réconcilier de la meilleure, et la plus efficace, des manières. Mais notre p’tit arrangement nous arrangeait… Parce que notre tempérament volage était ancré en nous. Tellement que j’me risquais pas à dire ce que je ressentais pour l’instant et depuis quelques temps. Parce que la liberté, c’était cool… Et que ma dernière relation avait été désastreuse.

Ses mouvements étaient tellement bien calibrés que j’avais pas résisté longtemps. Et je la sentis se cambrer sous le plaisir en même temps que moi. Elle s’était retenue de crier de là à me faire douter quelques instants alors que moi j’m’étais pas retenu d’exprimer le plaisir que je ressentais. L’orgasme atteinte, elle se laissa aller contre moi. Et le baiser qu’elle posa sur mes lèvres eut vite fait de me rassurer complètement. On était essoufflé mais dans le bon sens du terme. J’la regardais avec un sourire aux lèvres. Pas moyen de détacher mon regard d’elle. Le film c’était à peine si j’l’entendais encore.

Elle déclara que personne ne lui avais fait ça avant. Mon sourire s’élargit et je posai un p’tit baiser sur son front, puis sur ses lèvres.

-J’crois que j’peux dire la même chose.

Mon cœur battait toujours fort dans ma poitrine qui était contre celle d’Apolline. J’sais pas combien de temps on est resté comme ça, l’un contre l’autre. J’crois même que j’étais tellement bien que j’me suis endormi un peu.

Des moments comme ça, j’savais que j’en voudrais d’autres. Et je savais qu’il n’y avait qu’une seule personne qui pouvait me faire ressentir tout ça. Et cette personne c’était Apolline.

@ Billy Lighter