Prénom P. Nom : Craig West Âge : 36 ans, né le 03 Juillet 1946 Nationalité : Américain Goûts musicaux : Tout ce qui se danse ! Profession : Homme d’affaires Groupe favori : The Burning Fire Animaux : / Statut amoureux : Célibataire volage Orientation sexuelle : Hétérosexuel
A première vue, Craig West ne se démarque guère de la masse du commun des mortels, à laquelle il aime se mêler, si ce n’est son sourire espiègle qui le caractérise et son allure décontractée à la limite de la désinvolture, qui agace parfois son entourage composé en partie de riches hommes et femmes guindés et élégants. Pourtant, Craig lui-même ne manque pas d’élégance même s’il a su rester simple ; en réalité, il évite de trop en faire, que ce soit dans la vie ou dans sa manière de s’habiller et de paraître. Le jeune homme aime qu’on le remarque, mais davantage par ce qu’il fait et ce qu’il pense que par le prix de sa garde-robe, ou par son allure en général – pourtant, Craig n’en manque pas. Lorsqu’il doit adopter une tenue formelle, il s’habille de costumes sombres, noirs ou gris la plupart du temps, mais parfois revêt des couleurs plus vives - sur ses chemises généralement, et il ne porte jamais la même plus de deux jours de suite. Sa tenue de tous les jours, en revanche, est souvent la même – polo bleu, vert ou jaune, jean large gris, chaussures de ville ou mocassins, ce qui lui donne une apparence de « monsieur tout-le-monde » qui ne le gêne pas outre-mesure. C’est parfois pratique, pour le jeune West, de ne pas ressembler à ce qu’on attend de lui, de ne pas ressembler au jeune riche homme d’affaires qu’il est, même s’il étale parfois sa richesse lorsqu’il porte une de ses différentes montres onéreuses dont il fait collection ; certaines sont très anciennes, restaurées, d’autres sont beaucoup plus récentes et reflètent malgré lui son statut économique que, malgré tout, le jeune homme n’a jamais cherché à cacher. Son statut économique que sa coiffure banale et faussement négligée ne laisse pas à penser, au premier abord. Le jeune homme a des cheveux châtain foncés, presque noirs, que les femmes aiment beaucoup toucher selon lui (« surtout les petites bouclettes sur le côté, là, au réveil », comme il le précise parfois) et qu’il laisse parfois pousser jusqu’au haut de son dos, comme sa pilosité faciale qu’il omet parfois de raser, volontairement ou non, pendant plusieurs jours. En fait, Craig West ne fait pas de son apparence une priorité et ce contente de mettre et de faire ce qu’il aime, sans pour autant se négliger. Toujours un peu différente mais pourtant toujours la même, son apparence plaît pourtant, particulièrement aux femmes qui trouve que l’homme d’affaires possède un certain charme sans doute renforcé par son charisme naturel, son statut de bon parti et sa sympathie qu’il exprime en permanence avec son sourire pareil à celui d’un enfant malicieux. Cependant, les hommes le jugent son style parfois un peu trop négligé, pas assez « je suis riche et je vous emmerde », pas assez ostentatoire, au final. Mais Craig West, lorsqu’il reçoit une remarque à ce sujet, se contente, comme d’habitude, de sourire de plus belle et de répondre : « Je suis comme je suis, et je m’aime comme ça. ».
The Way I Am
Physiquement, Craig s’aime tel qu’il est et il en est de même pour son caractère qui, il le sait, ne plaît pas à tout le monde ; son côté exubérant et son manque apparent de son sérieux lui donnent de prime abord une image d’éternel adolescent, mais ce n’est qu’une des facettes de sa personnalité, celle qu’il montre le plus volontiers au plus grand nombre. Cependant, Craig West sait être sérieux, quand il le faut ; comme lorsqu’il est dans son rôle d’homme d’affaires dirigeant d’une grande entreprise – le jeune homme n’a alors plus grand-chose à voir avec l’éternel adolescent auquel tous beaucoup pensent quand on évoque son nom. Craig aime son travail et le prend à cœur, sans pour autant faire trop de zèle ; trop de travail à tendance à l’agacer, et à le fatiguer, même si son activité consiste en grande partie, à présent, à écouter les doléances des actionnaires, à signer des papiers à organiser des réunions. Néanmoins, il aime ça ; mais il n’y pense plus lorsqu’il rentre chez lui et endosse son costume d’instigateur des plus grosses soirées de Los Angeles (certains diraient, de toute la Californie). Le jeune West est un incorrigible fêtard, et de notoriété publique, ce qui rend parfois bien service aux paparazzis et divers journalistes de L.A, qu’il essaye, d’ordinaire, d’éviter, n’étant pas réellement à l’aise avec son statut de célébrité acquis malgré lui quand il devint quelques années plus tôt un des hommes les plus influents de la ville. Malgré cela, le jeune homme continue, insouciant, à profiter de la vie, de son argent, des femmes qui constituent, d’ailleurs, sa plus grande faiblesse. Craig aime les femmes, mais il n’est pas du genre à s’engager ni même à garder une relation stable ; il préfère davantage s’amuser le plus possible, quitte à briser des cœurs et des rêves. Le plus souvent, il ne s’agit que d’histoires d’un soir ou deux – mais le jeune homme ne s’en cache pas, pas plus qu’il n’en a honte. Lorsqu’on le sermonne à ce sujet, il a pour habitude de dire que tout le monde a des vices, mais que lui-même a au moins la franchise de l’avouer. West a pris l’habitude de ne jamais mentir, de toujours dit ce qu’il pense, quitte à déplaire, mais cela le rend au moins à l’abri d’être accusé d’hypocrisie, trait de caractère que le jeune homme d’affaires déteste particulièrement, lui qui s’efforce de toujours dire ce qu’il pense (et de toujours penser ce qu’il dit.) Il ne détourne la vérité que sur un seul sujet, celui qui le préoccupe le plus, sa propension à l’impétuosité, voire à la violence ; la seule chose qui lui fait peur, la seule chose qu’il cherche à cacher. Il lui arrive parfois d’exploser, sous le coup d’une forte émotion, d’une alcoolisation trop précipitée, d’une conquête d’un soir qui lui dit quelque chose qui lui déplaît ; parfois pour rien – juste une montée inopinée de rage qui lui fait parfois commettre des erreurs. C’est une partie de sa personnalité qu’il ne comprend pas, qu’il essaye de ne pas montrer, qui l’effraie. Alors il se pare, comme à son habitude, du sourire qui le caractérise et continue de faire la fête jusqu’aux premières lueurs du matin, d’être insouciant et de s’amuser. Après tout, Craig West concevait la vie comme une gigantesque fête dont il était, en quelque sorte, le maître de cérémonie.
This Is The Story Of My Life
The Californian, Numéro 42 du 4 au 11 Juillet 1976
L’histoire de Craig West, le magnat de l’immobilier qui fait rêver bien des ambitieux, par Adam Richards
Son nom se fait entendre de plus en plus souvent dans les buildings d’affaires de Downtown et les quartiers huppés de la périphérie, et pourtant, personne ne le connaissait il y a encore quelques années. Craig West, le jeune homme d’affaires originaire de la vallée de San Fernando, récemment devenu millionnaire après l’entrée en bourse de son entreprise il y a trois ans, fait tourner bien des têtes et donner bien des idées aux jeunes hommes et femmes ambitieux de Los Angeles et des alentours. L’histoire d’un self made man qu’on pourrait croire issu d’une fiction, et qui pourtant est bien réelle, reflet d’une Amérique qui encore aujourd’hui sait rendre réels les rêves les plus fous et personnifier les ambitions d’un jeune homme comme les autres qui voulait devenir quelqu’un.
C’est le 3 Juillet 1946, veille du Jour de l’Indépendance, qu’est né Craig West, d’une mère professeure d’économie et d’un père banquier. Ainsi, comme il aime à le rappeler avec amusement en interview, le jeune homme fut très vite plongé dans le monde de la finance et des chiffres, éprouvant très jeune le désir de suivre les traces de son père en devenant banquier. Il abandonna finalement cette idée quelques années plus tard en se découvrant des prédispositions plus artistiques ; le jeune Craig était en effet un enfant très imaginatif et créatif, avec un certain don pour le dessin et le maquettisme, ce qu’il démontra plusieurs fois notamment en redécorant, au grand dam de celle-ci, la maison de poupées de sa petite sœur (Jessica, malheureusement décédée en 1972 d’un accident de voiture). Outre cette anecdote, le jeune garçon était aussi connu pour dessiner ou concevoir des plans à n’importe quel moment, même en cours, ce qui ne l’empêcha pourtant pas d’être un assez bon élève. Les années passèrent et c’est tout naturellement que Craig ambitionna de devenir architecte, projet de vie qui, au début, déplut à ses parents qui imaginaient pour lui un travail plus stable dans un open space ou dans les salles de cours d’un lycée quelconque de Los Angeles.
C’est cependant en 1965 et alors âgé de dix-huit ans, que le jeune Craig West, finissant sa dernière année de lycée et s’apprêtant la rentrée suivante à débuter des études d’architecture, fut pris du virus de l’immobilier en héritant, à sa plus grande surprise, de la maison secondaire de ses grands-parents décédés cette année-là, en plus d’une petite somme d’argent. En effet, le jeune homme ne sut que faire de cette bâtisse vieillissante du début du siècle, et décida, avec un ami (Christopher Jansen, aujourd’hui dirigeant d’un cabinet d’architectes à San Francisco), de la restaurer dans le but de la revendre, au début plus dans l’optique de passer le temps et d’acquérir de nouvelles compétences que pour en tirer réellement profit. Néanmoins, Craig West se découvrit un talent certain pour la négociation, la direction et des capacités de persuasion qui lui permirent notamment de finir la rénovation de la maison en avance sur ce qu’il avait prévu et avec un budget moindre que ses prévisions. Voyant cela comme « un bon présage », le jeune homme revendit la maison, avec l’accord de son ami Christopher, et, quelques mois plus tard, grâce aux bénéfices réalisés et aux économies sur e premier projet, fit l’acquisition d’une seconde maison cette fois-ci sans Christopher, qui préféra se concentrer sur ses études.
Les années qui suivirent furent difficiles pour le jeune Craig West, conciliant ses prenantes études d’architecture à la gérance de sa petite affaire montante d’immobilier, alors nommée West Housing, qui devint une entreprise officielle dès 1966. C’est cette même année que le jeune homme se rapprocha de deux amis de son université, Charles Bell et David Jones, respectivement étudiants en économie et en droit, dans le but de faire davantage prospérer sa petite entreprise. Il était alors décrit, à cette période, comme « un homme très exigeant et perfectionniste, mais qui savait ce qu’il voulait et comment y parvenir » (selon Juliet Gray, sa petite amie de l’époque) qui n’hésitait pas à manquer ses cours, parfois plusieurs jours de suite, pour se rendre sur les lieux de ses différents projets et aider lui-même à la rénovation et à la construction, comme pour motiver ses troupes.
En 1968, tout s’accéléra lorsque West Housing reçut une proposition de rachat d’un groupe immobilier plus important, qui comptait ainsi réduire au silence la concurrence. Malgré les invectives de Charles Bell (Jones ayant alors déjà quitté l’entreprise pour vaquer à ses propres projets), Craig West accepte de céder West Housing, ce qui provoque la colère de Bell qui démissionne aussitôt en rétorquant que « de toute manière [il] aurait été évincé par la nouvelle direction » (source : interview de Craig West pour le magazine R.I.C.H #16) ; néanmoins Craig réussit à négocier le plus haut prix de rachat possible, (près d’un demi-million de dollars) et fait un pied de nez au nouveau propriétaire de West Housing en fondant aussitôt sa remplaçante, qui deviendra la tentaculaire West Realty Company ou WeReCo.
A cette époque, l’étudiant Craig West a fait place à l’entrepreneur ambitieux, le jeune homme ayant complètement délaissé ses études pour se consacrer aux affaires. Fin 1968, la WeReCo est donc fondée et ne cessera jamais de croître malgré la concurrence de l’entreprise rivale qui, ironie du sort, avait racheté sa première entreprise, et s’effondrera d’elle-même quelques années plus tard.
La suite, nous la connaissons. Sans réels concurrents de son envergure, la West Realty Company n’a cessé de se développer. En 1973, la WeReCo entre en bourse et Craig West devient l’un des hommes les plus influents de Los Angeles et de la Californie. C’est aussi à cette époque qu’il devient également connu pour son attitude peu typique des hommes d’affaires, pour les fêtes débridées qu’il organise et la désinvolture qui le caractérise. A présent, West est jeune millionnaire, et comme pour fêter son accession à ce statut particulier et privilégié, le jeune chef d’entreprise vient récemment de s’installer dans un appartement-terrasse du centre-ville, rénové en suivant le plan qu’il a lui-même dessiné, et qu’il a baptisé du doux nom de « The Millenium Flat ». C’est d’ailleurs sur sa propriété, que j’ai eu la chance d’interviewer le jeune millionnaire, non loin de sa majestueuse piscine.
Adam Richards :
Bonjour, monsieur West, et merci d’avoir accepté de me recevoir, j’imagine que vous avez dû être beaucoup demandé ces derniers temps. Comment allez-vous ?
Craig West :
Hey, merci à vous ! C’est assez dingue en fait. Je n’ai jamais pensé que je serais un jour le centre de l’attention de quiconque, et pourtant j’ai l’impression que tout le monde me connaît, en ce moment, ou cherche à me connaître. Je suis pas vraiment à l’aise avec ça … et je suis sûr que je ne le serais jamais. Mais sinon ça va oui, je suis vivant en tout cas ! (Rires)
A.R :
On vous décrit parfois comme un « génie des affaires », un « opportuniste chanceux », ou d’autres qualificatifs élogieux. Vous reconnaissez-vous là-dedans ? Ou, plus généralement, comment vous considérez-vous vous-même ?
C.W :
Elles sont dures, vos questions ! (Rires) Nan, en fait, je sais pas trop. Je voudrais pas trop me jeter de fleurs, surtout si c’est des roses, ça pique ! (Il sourit) J’imagine que … hum, que je suis un peu de tout ça en même temps ? En fait, je ne me donne pas vraiment le temps pour y penser.
A.R :
Question simple maintenant ! Qu’avez-vous ressenti lorsque vous avez gagné votre premier million et que vous avez réalisé que vous aviez réussi ?
C.W :
Euh, je ne sais pas trop … je crois que j’ai mis un moment à réaliser, puis, sans y penser, j’ai roulé une pelle (on peut dire, ça dans un journal) à la femme qui était à côté de moi, qui était surprise, sur le coup. La pauvre, c’était une secrétaire stagiaire, elle a dû me trouver bizarre ! Après je me suis calmé, je me suis excusé évidemment puis j’ai réfléchit à la phrase de je ne sais plus quel businessman qui m’a dit qu’une fois qu’on gagnait un million il était facile d’en gagner deux, quelque chose comme ça. D’ailleurs, je crois bien que c’était Donald Trump.
A.R :
Beaucoup de jeunes femmes rêveraient d’être à la place de cette stagiaire ! (Rires) On dit d’ailleurs que vous n’avez pas encore de Mme West dans votre vie ?
C.W :
(il sourit légèrement gêné) Vous avez travaillé au L.A People vous, non ? Nan, plus sérieusement, j’ai pas vraiment envie d’en parler, vous voyez. C’est le genre de choses qui ne regarde que moi. Quoique je vous avouerais bien que j’aimerais bien avoir un petit héritier ou une petite héritière ! Si vous voyez ce que je veux dire …
A.R :
A bon entendeur … maintenant, plus simplement, quels sont vos projets pour l’avenir ?
C.W :
Bonne question. J’évite de trop me projeter la plupart du temps, il y a du bon dans l’improvisation. Je dirais … continuer à faire prospérer WeReCo ? Continuer à m’amuser ? Je n’y pense pas trop en réalité. Je sais que dans tous les cas, je devrais continuer à répondre à des questions de journalistes ! (rires)
A.R :
Eh bien, on voit que malgré tout vous gardez votre bonne humeur ! Merci à vous, Craig West, d’avoir répondu à mes questions, et je souhaite chance et réussite dans tous vos projets à venir !
C.W : Mais je vous en prie !
Yacht de Craig West, l’Ivory, 1982
J’étais retombé sur ce vieux numéro du The Californian et m’étais mis à le lire lentement sans même m’en rendre compte. Six ans après, les choses n’avaient pas vraiment changé … j’étais toujours riche, toujours célibataire et toujours mal à l’aise avec les journalistes. La seule différence était qu’on me jugeait plus sévèrement et qu’en tant que … célébrité, j’étais censé donner l’exemple.
Je relève les yeux du magazine et me surprend à regretter que c’était le patron de ce même magazine qui m’avait empêché de le racheter deux ans plus tard lorsque leurs ventes étaient au plus bas, en prétextant que le journalisme n’était pas mon domaine. Bien sûr qu’il avait raison, mais s’il avait au moins daigné m’écouter, j’aurais peut-être pu sauver quelques-uns de ses employés. J’aurais pu consacrer du personnel à l’élaboration d’une revue interne à mon entreprise, ou autre chose – mais tant pis. Les entreprises se créent, s’agrandissent, se transforment et meurent, c’est comme ça.
Je regarde autour de moi – pas un bruit. Un contraste étrange avec le joyeux tumulte de la soirée d’hier soir. Rien qui ne change de l’ordinaire, et c’est tant mieux. En faisant quelques pas, j’aperçois non loin de moi T.J qui dort en travers du lit d’une des chambres (grandes ouvertes) de l’Ivory, avec deux belles blondes nues étendues sur lui. J’eus un sourire. T.J et moi ne nous connaissons que depuis quelques mois mais c’est sans doute celui qui s’amuse le plus à mes fêtes, alors que nous sommes plutôt différents. C’est mon ami malgré tout et le fait qu’il soit paparazzi ; un paparazzi qui sort de l’ordinaire, certes, bien loin du psychopathe sans morale habituel ; il est même plutôt coincé.
Je ferme la porte silencieusement pour laisser ce beau monde dormir tranquillement et remonte sur le pont supérieur. Bon, il n’y a pas tellement de bordel. La peinture blanche du yacht est immaculée, la piscine n’a pas viré au rouge comme la dernière fois (phénomène que je n’explique toujours pas, d’ailleurs, et tout compte fait c’est peut-être mieux de ne pas savoir) et personne n’a vomi dans le jacuzzi – d’ailleurs je constate avec plaisir que personne ne s’est endormi dedans comme il y a trois jours. Tout est étrangement calme, mais tout le monde décuve encore, c’est normal, ou bien est rentré chez soi par un moyen ou par un autre. Une chance d’ailleurs que l’Ivory soit à quai, je ne voudrais pas avoir de morts noyés sur la conscience – et puis ça ferait mauvais genre.
Le soleil se lève à peine, j’allume avec plaisir une des clopes que j’ai piqué à Eliza hier soir, et je réalise lentement la chance que j’ai. Je suis un millionnaire de trente-six ans dans l’une des plus belles villes du monde, je suis heureux de vivre, j’ai toutes les femmes que je veux et malgré mes responsabilités je peux continuer à m’amuser et à vivre comme un éternel adolescent. Oui, j’ai beaucoup de chance, et je compte bien en profiter tant qu’elle dure. Tous les jours, et toutes les nuits. Je sens les autres émerger lentement de leur torpeur et soudain mon mal de tête me revient.
Je garde néanmoins mon éternel sourire et je m’écris, comme si quelqu’un pouvait m’entendre :
- C’est un putain de rêve, cette vie que je mène !
Ecris ici une description de la relation qu'entretien ton personnage avec cet autre personnage. Ecris ici une description de la relation qu'entretien ton personnage avec cet autre personnage. Ecris ici une description de la relation qu'entretien ton personnage avec cet autre personnage. Ecris ici une description de la relation qu'entretien ton personnage avec cet autre personnage.
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PTDR j'suis qui ?
Prénom / Surnom(s) : Appelez-moi comme vous voulez XD Âge : 21 ans bientôt D'où viens-tu : De France Comment as-tu connu le forum : J’y étais il y a quelques temps Niveau en RP : Pas trop mal, je dirais Quelques petits trucs sur toi : J’aime les chats, le rock, aller me coucher à 2 heures du matin, le ketchup, l’humour (très) noir, le thé aux fruits rouges, Jennifer Lawrence, le Ah ! de Denis Brogniart et ce smiley : ( ͡° ͜ʖ ͡° ) Quelques mots sur le forum : Eh bien je l’aime beaucoup ! :p
Dernière édition par Craig West le Jeu 26 Oct - 18:43, édité 3 fois
Invité
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Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Lun 23 Oct - 22:46
Bordel de merde !! Je peux t'épouser ?! Jaaaames *w* Tu choisis que des avatars que j'aime c'est pour me séduire avoue J'ai hâte de lire la suite :p
Invité
Invité
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 2:58
OMG !! E.J. !! Nous en parlions, tu te souviens ?
Il manquait un James Franco sur le forum !
Re Bienvenu Bogosse et si tu cherche une p'tite femme, sache que j'ai ma Betty d'encore single
Hank North
Date d'inscription : 05/06/2017
Messages : 3397
Who Am I? Age: 42 Date de naissance: 25/05/44 Localisation: San Fernando Valley Birth place: Los Angeles Je suis: nerveux... Song: One Of My Turns - Pink Floyd
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 9:25
Rebievenue, Craig!
Très bon choix d'avatar, même si je ne l'apprécie probablement pas pour les mêmes raisons que tes groupies ici plus haut
Who Am I? Age: 31 ans Date de naissance: 6 février 1955 Localisation: Dans la mer avec les dauphins Birth place: Lafayette, Indiana Je suis: Instable, possessif, sensible, perfectionniste Song: Guns N'Roses - Estranged
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 9:31
Rebienvenue !!!
Bon rédaction ! Et j'approuve, aussi, le choix d'avatar .
Nothing last forever and we both know hearts can change - GN'R
Invité
Invité
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 10:48
Haha, merci à vous les potes (E.J, Livia, bande de fangirls va ! x) )
Abel Hudson
Date d'inscription : 26/09/2013
Messages : 544
Who Am I? Age: 34 Date de naissance: 19/02/52 Localisation: Eastside Birth place: Kansas City, Kansas Je suis: débrouillard Song: Carry On My Wayward Son - Kansas
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 16:20
Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 18:14
You're never gonna die, you're gonna make it if you try, they gonna love you - Pink Floyd
Invité
Invité
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 20:09
Nan mais on s'est jamais croisés, c'est pour ça x)
Je ne suis pas un D.C, en gros j'étais sur le forum il y a quelques temps (avec un personnage différent), je suis parti un certain temps puis maintenant je reviens
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Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mar 24 Oct - 23:27
Re bienvenue TJ
Invité
Invité
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mer 25 Oct - 2:51
Bailey Raphaël a écrit:
OMG !! E.J. !! Nous en parlions, tu te souviens ?
Il manquait un James Franco sur le forum !
Ouiiii c'est vrai !! C'est pour ça que ça me disais quelque chose
Sans vouloir vexer Betty, j'ai mieux en réserve J'assume mon statut de fangirl
Invité
Invité
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mer 25 Oct - 3:55
Non mais attends... Bogoss l'avait planifié son retour avec James Franco !
Jaaaaaames Fraaaaaanco
* reprend son sérieux et inspire un bon coup et .... puis non, c'est " James Franco!"*
Betty t'en voudra pas... j'assume mon "fangirl" reaction ... si y'en a un seul pour qui je me damnerais... c'est bien lui
Le plus drôle c'est qu'il a absolument rien de ce que je recherche en général...
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Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Mer 25 Oct - 9:28
Mais surtout qu'en vrai il est pas spécialement beau, enfin il a rien de spécial quoi
Timmy Evans
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Messages : 915
Who Am I? Age: 34 ans Date de naissance: 14 septembre 1951 Localisation: Downtown Birth place: Londres-Angleterre Je suis: Calme, intelligent, parfois fourbe et menteur Song: Linkin Park-Somewhere I Belong
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Jeu 26 Oct - 13:00
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Jeu 26 Oct - 13:42
Merci
Billy Lighter
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Messages : 3461
Who Am I? Age: 31 ans Date de naissance: 6 février 1955 Localisation: Dans la mer avec les dauphins Birth place: Lafayette, Indiana Je suis: Instable, possessif, sensible, perfectionniste Song: Guns N'Roses - Estranged
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Jeu 26 Oct - 19:11
Et bien j'ai vraiment adoré lire ta fiche, Craig ! Elle est vraiment originale !
Du coup, tu es validé ! Tu sais comment on fait pour la suite ! Il y a de quoi faire en tout cas avec ton personnage !
Nothing last forever and we both know hearts can change - GN'R
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Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Jeu 26 Oct - 19:20
Merci <3
Jimmy Reed
Date d'inscription : 12/08/2016
Messages : 1321
Who Am I? Age: 40 Date de naissance: 25/05/46 Localisation: Malibu Birth place: Los Angeles Je suis: épicurien Song: The Man Who Sold The World - David Bowie
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Ven 27 Oct - 15:24
J'ai enfin eu le temps de lire ta fiche et elle est vraiment sympa à lire!
Je vais dans le sujet que tu as ouvert pour tes liens, histoire de te proposer l'idée que je vies d'avoir.
Who Am I? Age: 39 ans Date de naissance: 13 janvier 1947 Localisation: L'Eastside Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: oppurtuniste et un sacré emmerdeur Song: David Bowie-Ashes To Ashes
Sujet: Re: I'm rich, young, happy and drunk as f*ck - Craig West [FINI !] Sam 28 Oct - 15:17