Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé]
Angelica J. Litrell
Invité
Sujet: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Lun 22 Avr - 22:40
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Mon directeur de stage, Monsieur Wallace est un petit bout d’homme d’à peine un mètre soixante-cinq, bedonnant et chauve de surcroit. Il n’a absolument rien qui joue en sa faveur à l’exception des clés de la pharmacie des narcotiques. C’est un gros plus pour moi et Edward qui peinons à joindre les deux bouts, même en étant chaque fin de mois plus créatif pour boucler la boucle.
Cependant, nos incessantes ruptures font mal à notre budget respectif, surtout que mes études coûtent la peau des fesses. Sans lui, je ne pourrai pas tenir très longtemps. Nous est venu l’idée un soir après une baise particulièrement violente qu’il serait facile de vendre des narcotiques au marché noir et de pouvoir se payer un peu de luxe pour faire changement.
Il m’a suffit de piquer la clé, un matin et de la filer en douce à Edward qui m’a rejoins en douce sur mon heure de lunch, afin qu’il puisse en faire un double et, une fois la clé maîtresse récupérée, la balancer au travers du bureau pour que quelqu’un la retrouve et que la panique général s’estompe.
En ayant ma propre clé, je pouvais voler quelques cachets, quelques boîtes de comprimés ici et là mais la demande dans la rue se faisant de plus en plus forte, Edward m’en demandait trop souvent ce qui a vite éveillé les soupçons puisque l’inventaire baissait de plus en plus rapidement.
Il fallait trouver une façon de compenser et je n’avais pas envie de craindre pour Ward qui pourrait se faire tabasser s’il ne fournissait pas ses clients de plus en plus nombreux et accros.
J’ai donc eu l’idée de séduire mon directeur de stage et de le rendre dingue de moi au point qu’il ne puisse plus se passer de moi. Au point où il risque gros pour me garder dans son lit…enfin, dans son bureau parce que c’est là que nous baisons.
En général, il me garde après les cours sous prétexte d’avoir des notes à me donner pour tel ou tel devoir et, en cette période cruciale où la fin de l’année approche, je lui donne un coup de main avec la correction. Je m’y connais en correction ! Il adore la fessée, comme s’il était un petit garçon, je dois le gronder et lui filer la fessée, avec une règle en bois ou avec une bonne gifle tout simplement. Monsieur Wallace est un gros pervers qui a visiblement quelques problèmes au niveau de son complexe d’Oedipe.
Quand je le puni, je le fait mettre à genoux devant moi, puis je lui tiens la tête entre mes cuisses en lui interdisant de sortir la langue. Il ne résiste jamais à me faire l’amour oral, c’est un pure délice que de le torturer de cette manière.
Je trouve ça franchement drôle de le tenir en laisse, en tous les sens du terme et de pouvoir continuer d’aider Edward avec son réseau de trafique de narcotique. Cependant, vaut mieux qu’il ne l’apprenne jamais, autrement, ça va barder.
Bonjour les ennuis !
En ce long congé mérité en ce début de printemps, Edward est partit sans m’en dire plus sauf de ne pas l’attendre avant la fin du mois et de continuer de stocké en son absence. Il se serait foutu dans un pétrin incroyable et chercherait à se faire oublier que je ne serais pas surprise.
Putain ! Je lui offre un truc qui fonctionne bien sur un plateau d’Argent et lui, il fait quoi ? Il fou tout en l’air et se sauve, la queue entre les jambes comme le toutou qui s’est fait prendre.
Je m’ennuie !
J’ai envie de lui !
Mais je ne sais même pas où le rejoindre, et l’envi de me promener en voiture pour trouver quelqu’un qui ferait l’affaire me rebute. Pourquoi il faut que ce soit toujours aussi compliqué avec les hommes ! Je me convaincs que le mieux, et parce qu’il y a un petit bout de temps qu’on ne s’est pas vu, c’est de faire signe à Wallace qui répond sans hésité à mon invitation. Il aura trouvé un prétexte comme un autre à sa bonne-femme qui l’endure à la maison, du genre qu’il se rend à une partie de poker ou un truc dans le genre.
Quand il arrive enfin, je lui ordonne de se foutre à poil immédiatement ! Il va s’en prendre pour la peine avec ce jeu de soumission. Je le punis d’avoir mis si longtemps à arrivé en lui claquant le saucisson du revers de la main ce qui le fait fléchir des genoux, mais, bon toutou, il en redemande.
Wallace est aussi prévisible que pathétique. Mais c’est lui que j’ai sous la main et tant que je lui donne son candy, c’est mon petit ami qui s’en met plein les poches. C’est tous bénefs pour Ward, j’espère au moins qu’il se rend compte de ce que j’endure pour lui…
Ah ouais, il ne sait pas que je me fais le gros directeur de stage pour lui.
Je vous épargne la suite de notre petit jeu salace pour en venir là où l’histoire devient intéressante. Wallace me prend avec toute sa fougue et sa graisse contre le comptoir de la cuisine. Il grogne tel un porc si fort que je ne suis pas certaine d’avoir entendu la porte de mon appartement s’ouvrir puis se refermer. En fait, je ne réalise vraiment ce qui se passe quand Wallace cesse de se faire aller le tas de graisse.
- Oh, chéri ! Tu es déjà de retour ? C'est embêtant, légèrement... Heu… Je t’ai déjà présenté mon directeur de stage, Monsieur Wallace ?
Je l'avoue, le moment est un tout petit peu embarrassant.
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Ven 26 Avr - 20:24
Trouble Means Security ft. A.J. Litrell
Je détestais devoir faire profil bas…
Pourtant, je n’avais pas vraiment eu le choix. J’avais tabassé un type un peu trop fort dans une des ruelles de l’Eastside… Pourquoi ? Parce que cet enfoiré m’avait provoqué alors que je buvais et cherchais des clients pour mon petit trafic de narcotiques (et celui d’A.J.). J’avais tenu bon, jusqu’à-ce qu’il fasse la provocation de trop… Mais au lieu de lui sauter à la gorge au plein milieu de bar, j’avais préféré attendre qu’il sorte pour le suivre et le tabasser dans une ruelle vide.
Pas si vide que ça, hélas…
Il y avait eu un témoin de mon petit règlement de compte qui s’était soldé par la mort de ce petit provocateur. J’avais frappé trop fort sur sa tempe et il ne s’était jamais relevé. Même si la ruelle était sombre, ce témoin, que je n’avais pas pu rattraper, pouvait être un danger potentiel.
Et je savais que dans ces cas-là, il valait mieux quitter la ville un temps.
Ce que j’avais fait en traversant la frontière pour aller me terrer au Mexique le temps que ça se tasse. Celui qui m’avait provoqué n’était qu’un moins que rien alors ça allait vite finir aux oubliettes. Ce n’est pas comme si j’avais tabassé le maire de Los Angeles…
La seule que j’avais prévenu de ma petite absence c’était A.J.. C’est tout. Alonso verra bien que je ne suis pas là. Il pourra se débrouiller avec les autres Los Diablos. Je n’ai pas précisément dit à A.J. pourquoi je partais. Je lui ais juste dis que j’en avais pour jusqu’à la fin du mois.
Je détestais le Mexique mais la frontière me protéger relativement bien. Le seul problème, c’est que je me suis rapidement ennuyé.
J’avais envie d’A.J.
Du coup, j’étais rentré en avance non sans me raser de près pour ressembler un peu moins au Ward que j’étais avant. Du reste… Je ferais plus attention aux flics pendant un moment. Ça devrait suffire.
Je grimpai l’escalier qui menait à mon appartement où devait, théoriquement, se trouver A.J., si elle n’était pas simplement partie ailleurs. J’ouvris la porte et entendait rapidement des bruits explicites venant la cuisine. Je m’y rendis découvrant A.J. en plein ébat avec un type énorme. Je m’arrêtai d’un coup regardant la scène sans qu’un sentiment ne transparaisse dans mon regard.
Ce type se tapait ma petite-amie dans ma cuisine.
Je regardai uniquement le gars alors qu’A.J. bafouillait disant qu’il s’agissait de Monsieur Wallace, son directeur de stage.
-Non… Tu ne me l’as jamais présenté…
De son stage, elle m’avait simplement présenté les narcotiques.
Monsieur Wallace ne savait plus où se mettre. Il remettait ses vêtements éparpillé un peu partout alors que je n’avais pas encore bougé.
Mon regard se tourna vers A.J. alors que je ne laissais encore rien transparaitre. -Tu ne perds rien pour attendre, chérie…
Je disais ça d’une voix calme avant de me diriger doucement vers une armoire de la cuisine. Wallace ne savait que dire. Il bafouillait des gens d’excuses prétextant qu’il « ne savait pas ».
-C’est ça oui…
Je parlais toujours calmement alors qu’à l’intérieur de moi ça bouillonnais.
-Tu ne savais pas ? Et bien, il fallait se renseigner.
J’ouvris le tiroir sortant un flingue. Un silencieux pour bien faire. -Chérie… Je pars quelques jours et tu ramènes des gens à la maison pour me tromper ? Tu sais que je ne peux pas laisser passer ça… Tu sais ce qui va arriver à Monsieur Wallace…
Je me retournai rapidement vers Wallace. Tendant le flingue. Il eut une expression de surprise avant de protester, affolé qu’il était. Mais il n’eut pas le temps de protester plus que je tirai deux balles dans son ventre sans aucune hésitation. Il s’écroula au sol mais il avait encore les yeux ouverts dans une expression de surprise. Il vivait toujours mais il agonisait se vidant de son sang. Je m’approchai de lui tendant le flingue prêt à lui mettre une balle dans la tête mais, avant ça, je tournai vers tête vers A.J..
-Regarde ce que tu as fait, A.J… A cause de toi, Monsieur Wallace va mourir…
Ma voix était calme alors que je regardais ma petite-amie le flingue toujours pointé sur Wallace.
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Ven 26 Avr - 21:48
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Wallace et moi sommes surprit en pleine action par mon petit ami qui est arrivé plus tôt que prévu. C’est embêtant mais je l’admets mais je ne panique pas le moins du monde. Je ne peux pas en dire autant de mon directeur de stage qui s’est extirper de moi en bougeant son tas de graisse à la recherche de ses vêtements alors que moi, après avoir enfiler un t-shirt qui traînait sur la table de cuisine, je me suis hisser sur le comptoir tout en m’allumant une cigarette.
- Tu croyais que voler les narcos c’était gratuit, chéri ?
Je lui souris avant de souffler ma fumée par-dessus mon épaule puis je pointe Wallace d’un geste de la tête.
- T’imagines quand même pas que j’ai pris mon pied, en plus !
Parce que non il n’y a rien de plaisant à s’envoyer en l’air avec Monsieur Obésité Morbide. Et ça semble même surprendre, voir choquer le principal intéressé que nos petites culbutes secrètes ne me plaisaient pas autant qu’elles en avaient l’air.
Edward est furieux. Quand il se contient autant que ça, au point où je peux voir les muscles de son cou et de sa mâchoire se contracter, c’est qu’il est sur le point de faire une putain de grosse connerie.
- Exprimé de cette manière, c’est un peu insultant, mon amour ! Ça peut ressemble à un adultère mais vois ça comme un investissement ! J’allais les prendre où les putains de pilules que tu vends ? Je baise avec, il me les donne, tu les vend et on ce paie tout ce… Je siffle entre mes dents en désignant autour de nous d’un geste rotatif de mes index relevés, tout ce luxe, bébé c’est du travail d’équipe ! On mise sur l’équipe !
Voilà la bonne façon d’expliquer la situation.
Sauf que ce n’est pas suffisant pour calmer Edward qui sort son flingue et tire dans le ventre de Wallace qui tombe sur le sol, geignant de douleur, son sang pissant de ses plaies.
- J’ai rien fait moi ! Ah si, merde… Ok, c’est peut-être un peu ma faute !
Je saute sur mes pieds en bas du comptoir en replaçant mon t-shirt pour cacher sommairement mon cul et je me penche au dessus de mon directeur de stage agonisant sur le plancher de ma cuisine.
- Pas dans la maison, merde ! À quoi tu as pensé ?
Je vois bien la détresse sur le visage de Wallace qui vient de comprendre que je n’ai pas le moins du monde l’intention de l’aider.
- Merde, regarde ! Il y a du sang partout maintenant ! Sale porc, tu peux pas crever plus proprement ?!
Fâchée et légèrement dégoûtée, je regarde Edward puis l’enlace. Il m’a manqué, quand même, mon grand connard.
- Faut se débarrasser de lui, mais je t’avertis, hors de question de le démembrer dans la salle de bain, la dernière fois j’en ai eu pour deux mois à frotter les joins du carrelage de céramique !
Wallace pousse un cri de peur en implorant notre pitié.
- C’est une blague ! On a jamais démembré personne ! Il nous prend vraiment pour des psychotiques !
Quoi qu’il en soit, on ne peut pas le garder chez nous dans cet état, non plus que je doute que de le passer dans le broyeur à déchet soit une solution. Et moi, je dois aller me doucher parce que je suis couverte de sa sueur et ça commence à me répugner un petit peu trop. Je me colle un peu plus à Edward lui répétant encore et encore une espèce de ritournelle qui n’a que pour but de lui faire péter le dernier câble.
- Il est venu en moi, plusieurs fois… Il m’a touché là où voudrais toujours être le seul à le faire. Dans notre maison… Il ne mérite pas ton pardon!
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Dim 28 Avr - 14:00
Trouble Means Security ft. A.J. Litrell
Elle baisait Wallace pour les narcotiques… C’était son excuse pour avoir couché avec ce type dans notre propre cuisine. Elle avait tout de suite donné son corps à ce type alors que j’étais sûr qu’il y avait bien d’autres moyens pour obtenir ce qu’on voulait.
Mais non…
Il avait fallu qu’elle couche avec lui ici…
Elle se prenait une cigarette alors que mon regard était sur un Wallace complètement affolé. A.J. continuait de causer comme elle avait l’habitude de le faire. Elle causait parfois trop… Elle insinuait qu’elle n’avait pas pris son pied. -Il ne manquerait plus que ça.
Je restais calme extérieurement. Le genre de calme qui avait l’art de faire flipper les gens, comme ça faisait flipper Monsieur Wallace à cet instant même.
Il n’y avait qu’A.J. que ça ne faisait pas flipper. Elle causait disant que « tromper » n’était pas forcément le bon mot et me parla de travail d’équipe. Je ne dis rien me contentant de la foudroyer brièvement du regard avant de sortir un flingue d’un des tiroirs. Et je tirai sur Wallace sans hésitation avant de m’approcher de lui déclarant qu’A.J. était responsable de l’état du gros lard. Elle avoua sa faute. -Un peu ? C’est entièrement ta faute …
Je disais ça toujours sur le même ton tout en regardant Wallace le doigt sur la détente alors qu’A.J. se plaignait que j’avais fait ça dans la maison. Je ne réfléchissais pas encore à ça. Pour l’instant mon esprit se satisfaisait de voir Wallace agoniser au sol.
Il le méritait. -J’ai pas pensé… J’ai agi…
C’était la chose à faire dans ce genre de situation. Ce type était entré sur mon territoire, avait baisé ma petite-amie…
Ce type devait mourir. Il était déjà presque mort.
Elle se plaignait du sang inventant une histoire comme quoi on avait déjà démembré quelqu’un dans la baignoire ce qui fit réagir Wallace avant que A.J. ne lui dise que c’était une vaste blague. Entre temps, elle m’avait enlacée alors que mon regard et mon flingue était toujours sur Wallace. -On n’a jamais démembré personne mais je pense qu’aujourd’hui, on n’aura pas le choix, bébé…
Parce que Wallace allait bientôt plus n’être qu’un corps inanimé… Sauf si je me retenais… Mais les phrases d’A.J. qui étaient dite comme une comptine d’enfant me firent me crisper alors que mon visage devenait encore plus froid.
Non… Il ne mérite pas mon pardon…
Je tirais alors trois fois sans hésiter dans le tête de Wallace. Trois fois avant de passer ma main libre sur le dos d’A.J.. Les gémissements de Wallace s’étaient arrêtés. Il n’y avait plus que ma respiration calme et celle d’A.J. comme trame sonore…
Jusqu’à-ce que je me détache d’elle mon flingue toujours en main.
-Retire-lui ses dents…
Je disais ça sur un ton ferme ne blaguant pas. Le sol de la cuisine était rempli d’une mare de sang et il fallait maintenant se débarrasser du corps de Wallace. Je déposai mon flingue sur la table cherchant une hachette de cuisine dans les tiroirs. J’en trouvai une assez rapidement ainsi qu’une pince et les sortis m’avançant vers A.J..
-Il va falloir le découper en petit morceau. Ça va être très sale, bébé… Mais c’est ta faute.
J’allais me salir. Elle aussi. Mais pour se débarrasser d’un corps aussi gros que celui de Wallace, il allait falloir le découper en morceau, le foutre dans des sacs en plastique et, ensuite, embarquer tout ça dans ma voiture pour aller cramer ses reste dans un endroit où il n’y avait aucune âme. -La nuit va être longue…
Je disais ça avant de l’embrasser lui faisant bien comprendre en l’embrassant qu’elle avait merdé.
Après ce baiser, je lui tendis la pince.
-D’abord les dents…
Les dents, c’était ce qui pouvait identifier un cadavre. Il faudra qu’on les dissolve dans de l’acide fluorhydrique.
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Dim 28 Avr - 16:29
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Nous voilà avec un corps presque mort sur le plancher de notre cuisine, tout ça, uniquement parce que Ward est un connard fini. Il aurait pu être un petit peu plus pragmatique et réfléchir aux conséquences de son geste. Le buter dans la ruelle derrière notre édifice aurait été moins salissant mais j’en conviens, plus risqué.
- C’est ça ton putain de problème, bébé ! Tu agis et tu penses toujours ensuite ! C’est pour ça que je suis là !
Bon c’est pas tout mais Wallace se tord de douleur et gémis comme un gros porc, faisant son sang couler de plus en plus sur le plancher de ma cuisine. Histoire de lui faire juste un tout petit peu peur, je parle qu’il faudrait penser à mieux que de le démembrer sauf que mon petit ami me ramène à l’ordre en me disant que cette fois, nous n’aurons pas le choix.
Ce triste spectacle à assez duré. Il est temps de passer à la phase B, ce que je fais en manipulant les pensées d’Edward, lui chuchotant telle une comptine, juste quelques mots pour le pousser à bout. Ça pourrait se retourner contre moi, il pourrait me tirer une balle dans la tête.
Le fait est, que je ne crains pas de mourir. Et il le sait.
Edward me tient d’un bras contre lui visant toujours Wallace puis, après un court moment qui sembla durer une éternité, il fini par lui tirer dans la tête, non pas une fois, non pas deux fois mais bien trois fois.
- Regarde, chéri ! Il y a de la cervelle sur le mur de la cuisine !
Ward fait alors quelque pas, s’éloignant de moi alors que je m’agenouille et passe le bout de mon doigt tout autour du trou que l’une des balles a fait dans la tête de Wallace.
- Ouais… je sais… c’est ma faute… j’ai été une bien vilaine fille !
Mon regard est dans le vague, mes doigts continuent de caresser la tête du mort jusqu’à ce que je voie arriver dans mon champ de vision, une paire de pince. Je jubile presque, pour ne pas dire que j’orgasme même quand il m’embrasse, même si son baiser est froid, autoritaire. Je m’en fiche que la nuit soit longue, on va s’amuser !
- Ouais ! d’abord les dents !
C’est mon premier meurtre, à peu de chose près, j’étais là quand il est mort, ça reviens au même ! Je dois faire ça bien, pour qu’Edward soit fier de moi ! C’est plutôt amusant, comme activité de couple, en tous les cas on ne pourra pas dire que nous ne savons pas être originaux. Et si jamais on se fait prendre, au moins nous l’aurons fait jusqu’au bout, tous les deux.
Alors minutieusement, je place mes pinces et serre sur une première dent. C’est beaucoup plus difficile qu’il n’y paraît. La tête du mort bouge quand je tire et parfois, les pinces glissent et la tête retombe sur le bois vernis du plancher dans un bruit sourd. Mais j’y arrive. Une a une, soufflant de temps en temps sur mes cheveux qui me barrent la vu. Jusqu’aux dernières dents du fond où je dois m’aider de la petite hachette de cuisine parce qu’elles sont trop bien enracinées dans les gencives.
Mon dos me fait souffrir quand je me redresse après cette tâche colossale.
- Je les ai toutes, mon amour !
Je me relevais, les mains pleines de sang et allais l’enlacer, réclamant la récompense pour ma bonne action.
- C’est embêtant, mais j’ai très envie de toi, là, tout-de-suite !!! Nous pourrions faire ça, contre la table de la cuisine, les deux pieds dans le sang de notre victime. Regarde comme ça m’excite !
Je le laisse s’en rendre compte en glissant sa main entre mes cuisses.
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Mar 30 Avr - 21:04
Trouble Means Security ft. A.J. Litrell
Mon putain de problème, c’est qu’elle avait ramené un type pour coucher avec lui chez nous. Plus que le fait que j’agisse avant de réfléchir…
De toute façon, c’était trop tard et Wallace finit par définitivement mourir quand je lui mis trois balles dans la tête pressé par la comptine d’A.J..
Elle remarqua la cervelle sur le mur de la cuisine. La pièce était repeinte en rouge. Un rouge qui, en séchant, allait devenir noir. -Je ne savais pas que ce genre de type avait une cervelle.
C’était pour ça que c’était toujours bien de vérifier en tirant dessus. Parce qu’il le méritait bien que tout ça soit la seule et unique faute d’A.J.. Ce que je ne tardai pas à dire tout en cherchant ce qu’il nous faudra pour nettoyer ce carnage. A.J. prit le blâme et se traita de vilaine fille.
-Très vilaine.
Je disais ça en agissant machinalement sachant très bien toutes les étapes par lesquelles il fallait passer pour faire disparaitre Wallace de la surface de la terre sans que personne ne nous soupçonnes.
Il fallait d’abord enlever les dents. Une tâche que j’attribuai à A.J. qui sembla ravie en s’emparant de la pince et après que je l’aie embrassée.
Je l’observais quand elle enleva la première dent. Ça m’arracha un léger sourire. Elle s’appliquait. Tant mieux. Pendant ce temps-là, je sortis des sachets en plastique d’une armoire. Ils serviront à emballer les bouts de Wallace qu’il faudra ensuite mettre dans des sacs pour les embarquer loin d’ici.
A.J. acheva son boulot et quand il fut fini, elle vint fièrement me le dire. Elle m’enlaça alors que je baissai un peu la tête pour que ma bouche s’approche de son oreille.
-Bravo, chérie.
Je soufflai ça alors qu’elle maculait mon t-shirt de sang. Il fallait maintenant qu’on retirer les balles du corps de Wallace avant de le couper en morceau. Une tâche qui demandait plus de force et qui sera donc pour moi.
Mais avant, A.J. me fit bien comprendre qu’elle avait envie d’autre chose. Je me laissai faire quand elle guida ma main entre ses cuisses. Je la caressai montrant bien sur mon visage que je pesais le pour et le contre.
-Je ne sais pas si tu le mérites, bébé… Après tout, à cause de toi, la cuisine est dans un état misérable et tu as toujours l’horrible odeur de Wallace.
Il avait été sur mon territoire et je le sentais partout…
Mais après avoir fait languir A.J.. Je finis par afficher un sourire en coin avant de l’embrasser. Je la fis s’asseoir sur la table. Je savais comment faire pour la punir… Il suffisait d’y aller… Le plus tendrement possible.
Ça, c’était de la torture…
Mon baiser était doux alors que ma main caressait doucement son intimité. L’odeur de sang commençait à me prendre au nez mais je me retenais de grimacer. Ma main libre caressait son corps passant sur d’anciennes cicatrices que je lui avais fait…
Mais cette fois, je ne lui en refis pas…
Je me contentais de la caresser et l’embrasser passant sur tous les parcelles de son corps comme si je voulais effacer la trace et l’odeur de Wallace.
Mais à la fin… Ma propre nature repris le dessus et mes ongles s’enfoncèrent dans sa chaire. Et je vins déboutonner mon jeans pour pouvoir me libérer et remplacer ma main par mon sexe sans la prévenir et d’une façon aussi violente que je baiser que je lui offris en même temps.
Il n’y avait rien n’à faire… Jamais je ne pourrais la faire regretter en jouant à ce petit jeu…
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Mer 1 Mai - 2:27
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Je prends cette tâche très au sérieux ! Je m’applique dent après dent, éprouvant une satisfaction profonde chaque fois que je réussis à en extirper une de la gencive, l’observant de près, complètement fascinée par la grosseur des racines dentaires, puis je les laisse tomber sur le sol, à côté de mon pied nu qui glisse dans le sang encore chaud de Wallace.
Je n’arrête qu’une fois que je les aie toutes, forcée même d’utilisée la petite hachette pour celles du fond qui sont vraiment trop bien prises. Le sont de la lame qui fend l’os me donne quelques frissons qui me parcours tout le long de ma colonne vertébrale.
Je me levais, ma tâche terminée, fière de moi et espérant trouver la même satisfaction dans le regard d’Edward qui me félicite. Je m’approche donc, pour l’enlacer, voulant plus encore. Tout ceci m’a donné le goût de faire l’amour. De baiser contre la table de la cuisine, au dessus du cadavre de mon amant.
- Ouais mais c’est aussi de ma faute si tu t’en es mis pleins les poches avec les narcos, bébé, faut pas m’en vouloir… je l’ai fait pour toi ! Parce que je t’aime !
Ces choses que l’on fait par amour !
Je ferais absolument tout pour lui ! Il n’y a aucune limite et l’inverse est tout aussi vrai, la cervelle de mon directeur de stage sur le mur peut en témoigner. Je sais qu’Edward m’en veut malgré tout, par la façon qu’il a de faire durer le suspens. Il m’effleure, me caresse à peine c’est doux, beaucoup trop doux que ça en est écœurant. Même quand il me soulève pour m’installer sur la table de la cuisine et lui, entre mes cuisses. Le sang de Wallace coule de sous mes pieds et tombe sur le parquet de bois dans un toc, toc, toc comme s’il battait la mesure du temps qui tourne beaucoup trop lentement.
Ward me punit.
Il passe sur mon corps, comme s’il l’analysait à trouver où j’ai été touché par le corps mort. Comme s’il cherchait à se le réapproprié. Si je devais le faire pour chaque fois où il m’a trompé, nous y serions encore…
Je n’ai pas le droit de m’en plaindre.
Pas maintenant.
Je dois être patiente et attendre mon dû.
Il n’aura fallu que quelques instants de plus pour que la bête reprenne le dessus et qu’enfin, Edward s’enrage et me prenne bestialement, faisant vaciller la table a chaque coup de bassin qu’il me donna. Je dû m’accrocher à ses bras, l’écorchant de mes ongles, hurlant d’une douleur si délicieuse qu’il me fit bien vite jouir.
Et comme chaque fois après, j’ai besoin qu’il me rassure, qu’il me promette la lune si c’est ce dont j’ai envie.
- je ne le referai plus, Edward, promis ! Mais, bébé, ne m’en veux pas, s’il-te-plaît !!!
Il est le seul qui puisse me contenir, qui me comprends et qui sait me ramener à l’ordre, comme ce soir. Sans lui, je perds mon équilibre et je dois inévitablement commettre l’irréparable pour le ramener auprès de moi.
Cette nuit nous liera à jamais.
L’extase consommée, je reviens sur mes pieds et je suis prête à recevoir les ordres pour la suite des choses.
- Il est… gros ! Il faudrait commencer par quoi ? Oh !! Chéri !! Chéri !! Si on lui coupait les couilles en premier ?!
Ça serait un bon endroit pour comment la découpe et voir si je sais faire ça comme il faut.
- Ce doit pas être plus compliqué que la dinde à Thanksgiving, hein ?
Je me penche sur Wallace pour l’analyser, regarder ses plis de graisses et son ventre flasque qui rebondit encore quand je shoot dedans. Je grimace parce que j’ai presque eu l’impression qu’il venait de gémir mais ce n’est que l’air restant dans ses poumons qui s’échappe.
Alors, sang trop réfléchir, je m’empare de la petite hachette et poussant un cri telle une guerrière enragée, je l’abat de toute mes forces sur la jambe du mort. La lame mord dans l’os et arrête mon mouvement et tombe par devant, glissant dans le sang qui semble s’étendre de plus en plus sur mon plancher.
- Je vais vomir !
Et j’ai vomis. Une puissante giclée de bile qui se mélange au sang de Wallace.
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Sam 4 Mai - 11:50
Trouble Means Security ft. A.J. Litrell
A.J. disait avoir fait tout ça parce qu’elle m’aimait. Apparemment sans se taper le gros Wallace elle n’aurait pas eu les narcos. Elle cherchait à se justifier. Ça n’empêchait que j’avais détesté voir Wallace sur mon territoire…
Maintenant il était mort.
Mais A.J. n’était pas encore punie.
Et j’avais tenté de la punir en agissant avec douceur. Mais rapidement ma vraie nature repris le dessus donnant à A.J. exactement ce qu’elle voulait. Mes coups de reins étaient violents au point où elle griffa mes bras ajoutant du sang au sang. Se faire griffer de cette manière avait toujours l’art de faire bien plus mal qu’un coup de poing dans la figure même si l’acte en lui-même atténuait toutes les douleurs. A.J. criait son plaisir alors que je vins en elle me calmant presque directement après.
Je respirai plus vite A.J. contre moi alors qu’elle me promettait qu’elle ne le ferait plus. Elle détestait quand je lui en voulais. -Tu as intérêt à ne plus le refaire.
Je disais ça de ma voix profonde sans lui pardonner encore pour l’instant. Elle n’avait pas encore assez souffert pour la connerie qu’elle avait faite, après tout.
Elle se décolla et je remis mon pantalon en place. On avait encore du pain sur la planche avec le corps de Wallace qu’on devait maintenant découper en morceau pour pouvoir le transporter plus facilement. A.J. constata qu’il était gros. J’ai vu, bébé… Je la regardai, les bras croisé, alors qu’elle voulait commencer par les couilles. Je levai les yeux au ciel.
-Tu aurais pu le faire il y a longtemps, ça, A.J….
Les lui couper était inutile maintenant. C’était surtout le reste qu’il fallait découper. Et A.J. qui croyait que ça ne devait pas être plus compliqué que de couper une dinde.
-Je te laisse le découvrir par toi-même, chérie.
Elle analysa Wallace alors que j’étais appuyé contre la table à regarder A.J. agir. Elle shoota dedans avant de s’emparer de la hachette pour découper avec toute la force de ses petits bras la jambe de Wallace.
Il y avait de l’idée… Mais à ce rythme-là, on n’a pas fini. Surtout qu’A.J. était déjà en train de salir encore plus le parquet en vomissant. Je soupirai.
-Décidément, tu veux vraiment qu’on ne récupère jamais le parquet…
Il était déjà foutu, le parquet… Il faudra tout nettoyer et le recouvrir de quelque chose parce que le sang allait laisser des traces irrécupérables.
Je m’approchai d’A.J. passant ma main sur sa nuque. Et, de ma main libre, je pris délicatement la hachette.
-Laisse-moi faire, bébé…
La hachette en main je commençai à découper méthodiquement Wallace. Mes coups étaient plus puissants et plus franc que celui d’A.J. même si ça n’en restait pas moins un travail laborieux. Le plus dur étant de récupérer les balles qui étaient dans le crâne et le ventre de Wallace. Je les récupérais quand mêmes toutes avant d’en finir définitivement avec Wallace.
On finit par mettre les morceaux dans des sacs en plastiques avant de mettre ces mêmes sacs dans des valises.
Le travail terminé, je me tournai vers A.J.
-Le plus gros est fait… Il va falloir qu’on aille le cramer bien loin maintenant.
Je l’embrassai brièvement avant d’enlever mon t-shirt.
-Mais avant il faut prendre une douche. On est couvert de sang… Ça risque d’attirer les soupçons.
Je lançai mon t-shirt sur la table.
-Tu me suis ?
Sans attendre sa réponse, je me dirigeai vers la salle de bain. Mais après que j’y sois entré, je fermai la porte derrière moi à clé laissant A.J. derrière. J’esquissai un sourire en coin. Je cherchais toujours un moyen de lui faire payer et l’empêcher d’entrer dans la salle de bain pendant que je prenais ma douche était une façon de lui faire payer. -Tu iras après…
C’est ce que je disais à travers la porte avant de me déshabiller pour entrer sous la douche.
@ Billy Lighter
_________________
Invité
Invité
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Sam 4 Mai - 23:21
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Découper mon directeur de stage est beaucoup plus complexe que de découper une dinde le soir de Thanksgiving. J’y ai pourtant mis la force nécessaire mais la lame de ma hachette s’est planté dans l’os et je me suis retrouver à demie allongée sur le cadavre alors que mes pieds ont glissés dans le sang.
Le son de la lame dans l’os, l’odeur du sang le gras de ventre de Wallace sur qui je me suis affaissée me donne la nausée et je fini par vomir de la bile au travers tout ce sang. C’était beaucoup plus drôle quand c’était un petit peu moins concret.
Edward prend le relais en dépeçant habilement mon amant obèse. Je le regarde avec une fascination grandissante, ouvrant les sacs pour qu’il y dépose les morceaux au fur et à mesure, ne me rendant même pas compte qu’on y passe la nuit et que le soleil commence légèrement à pointer le bout de son nez. Je l’aide cependant pour retirer une des balle de l’estomac de Wallace parce qu’on ne sait pas trop au travers tout cet amas de chair et d’organes où elle peut être. Je suis fière quand je la trouve dans ce qui semble être le foie.
- Tu crois qu’on peut le manger ? Comme celui des bœufs ? Avec des lardons et des oignons !
On a de la difficulté à joindre les deux bouts ! Manger Wallace, ça serait bien Et vu sa grosseur nous en aurions pour un putain de bout ! Bon je dis ça mais j’en serais pas capable ! Je suis cinglée moi, Monsieur ! Pas cannibale !
Pas encore, du moins !
Pendant qu’Edward termine, je sors seau et serpillère et je torche de mon mieux le parquet, vidant le seau à tous les coups de serpillères jusqu’à ce que, à force d’huile de coude, on parvienne à effacer plutôt bien les traces de notre délit.
Je suis en sueur et couverte de sang.
Tout comme Edward.
Je ne l’ai jamais trouvé aussi sexy qu’en se moment et, bien sur, quand il me demande de venir prendre ma douche avec lui, je ne refuse pas, lâchant le manche de la serpillère et gambadant jusqu’à la porte de la salle de bain qu’il me referme au nez.
- Non !! Non bébé fais pas ça non !!!
Mais il ne m’entend plus.
Ou bien il ne veut pas m’entendre !
L’eau de la douche coule et moi je suis recroquevillée sur le pas de la porte en grafignant jusqu’à m’en péter les ongles, le bois de la porte pour qu’il me laisse entrer. C’est la pire chose qu’il pouvait faire, de me laisser avec les sacs remplis du corps de Wallace, et surtout, seule, sans lui. Il sait combien j’ai besoin de le sentir avec moi, surtout après des moments aussi intense. Mon cerveau percute mal le rejet, le sentiment d’abandon.
Je rampe sur le sol , laissant des traces de sang, celui de Wallace et celui de mes doigts écorchés jusqu’à me rendre à l’évier de la cuisine dans lequel tempe la petite hachette.
Je pleure a m’en fendre l’âme en appelant Edward, glissant la lame sur mes cuisses. Je me punis moi-même, parce que ça fait moins mal que ce que me fait subir Edward en ce moment.
@ Billy Lighter
Edward Fleming
Date d'inscription : 09/03/2019
Messages : 1158
Who Am I? Age: 37 ans Date de naissance: 9 juillet 1948 Localisation: Dans l'appartement de mon ex à Downtown Birth place: Eastside, Los Angeles Je suis: un psychopathe Song: Bloody Valentine - Good Charlotte
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Dim 5 Mai - 13:27
Trouble Means Security ft. A.J. Litrell
Je découpai méthodiquement Wallace alors que A.J. se rendait utile en m’aidant à mettre les bouts dans des sacs en plastique et à retrouver les balles coincées dans son ventre. Et quand elle eut la fierté de retrouvée celle qui était calée dans l’énorme foie de Wallace, elle s’exclama demandant si on pouvait le manger comme on mangeait du foie gras… Je levai un sourcil grimaçant un peu. -Non, bébé… On ne mangera pas le foie de Wallace…
Parfois, elle avait des idées qui tellement sordide que je me demandais où elle allait les trouvées. Elle n’allait pas bien, mon A.J.. Elle était folle. Mais je l’aimais.
Je l’aimais au point de tuer ceux qui la touchaient.
On acheva le travail et A.J. avait même nettoyé le parquet de la cuisine. Je vins l’aider après m’être entièrement occupé de Wallace si bien que les traces de sang finirent par partir après un nettoyage qui avait pris pas mal de temps. Il faisait maintenant jour mais le travail était presque terminé. Il ne nous restait que la partie fun : brûler le cadavre.
Mais avant, une douche s’imposait et cette douche allait me donner l’occasion de punir A.J. de son infidélité. Et rien de mieux pour ça que de lui faire croire qu’elle allait obtenir ce qu’elle voulait avant de lui retirer sous le nez.
C’est ce que je fis en l’attirant vers la salle de bain avant de fermer brutalement la porte devant son nez m’y enfermant seul. Elle criait son désarroi me demandant de ne pas faire ça.
Oh si, je vais le faire, bébé…
J’allais me mettre sous la douche sachant très bien qu’à cet instant, A.J. souffrait plus que jamais. Pourquoi ? Parce qu’A.J. détestait être seule. Elle avait besoin de moi plus que tout.
Je le savais… Et je savais que si je la laissais trop longtemps toute seule, ça pouvait vite déraper. Je voulais la faire souffrir pour la punir mais je ne voulais pas qu’elle meurt.
Parce que si elle mourrait, c’était moi qui allait déraper.
Ma douche terminée, j’enfilai un nouveau boxer et un nouveau pantalon me laissant torse nu parce que le t-shirt que je voulais mettre se trouvait dans notre chambre.
Et en revenant dans la cuisine, je vis A.J. sangloter et m’appeler. Elle se lacérait les cuisses avec la hachette alors que le bout de ses doigts était en sang.
J’étais sorti de la douche à temps… La voir comme ça fit battre mon cœur. Si elle allait plus loin, elle allait finir par se tuer… Se tuer par ma faute.
Je ne voulais pas ça… Je l’aimais.
Je me mis à sa hauteur et passai mes mains sur sa joue avant de prendre délicatement la hachette.
-Je suis là, bébé… Tout va bien…
Je lui parlais calmement lançant la hachette plus loin. Le sol était à nouveau légèrement maculé de sang. Celui d’A.J. cette fois… -Viens.
Je l’aidais à se relever avant de la porter jusqu’à la salle de bain. Je la fis s’asseoir par terre avant de me diriger vers l’armoire où se trouvait la trousse de soin. J’en sortis du désinfectant des divers pansements et bandage. J’avais tout ce qu’il fallait ici avec toutes les fois où je revenais amoché.
Je me mis à la hauteur d’A.J. commençant à nettoyer ses blessures.
-Un jour tu vas te tuer, A.J….
Je commençai à désinfecter ses doigts. Les uns après les autres.
-Et si tu te tues, je vais faire quoi ?
Je ne savais pas moi-même… Tout ce que je savais c’est que j’allais partir en vrille.
Je mis des pansements sur le bout de ses doigts et des bandages sur ses cuisses maintenant que les blessures étaient propres. Je regardai, ensuite, A.J. dans les yeux prenant son visage entre mes mains.
-Je t’aime, bébé…
Et je l’embrassai pour ponctuer ma phrase. Un long baiser qui s’acheva avant que je ne replonge mon regard dans le sien. -Prends une douche… Je vais charger les valises dans le coffre et on ira tout cramer.
Et on ne parlera plus jamais de Wallace.
@ Billy Lighter
_________________
Angelica J. Litrell
Invité
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé] Dim 5 Mai - 19:42
Trouble Means Security ft. Edward Fleming
Je suis complètement effrayée en me retrouvant isolée d’Edward, de l’autre côté de la porte. Il n’avait pas le droit de m’exclure comme ça, de me laisser seule sachant très bien combien je dépends de notre union pour maintenir mon équilibre, surtout dans ces moments où je suis autant fragile.
Je me recroqueville sur le pas de la porte, grattant le bois désespérément, frappant parfois de mes petits poings en le suppliant de me laisser entrer mais rien à faire. Edward m’ignore complètement me laissant seule avec ma folie et mes idées sombres. Je dois me punir pour m’être mal conduite. À cause de moi, il a tué un homme, mon directeur de stage que nous avons ensuite démembré et ensachés. Les sacs s’empilent sur le sol de la cuisine et l’odeur du sang, encore bien présente me donne la nausée.
Je rampe jusqu’à l’évider de la cuisine et j’y prends la petite hachette pour me lacérer les cuisses. Je m’entaille la chair superficiellement, parfois beaucoup plus profondément, parce que je veux qu’Edward cesse de me punir en me punissant moi-même. Mes cuisses saignent, et les nombreuses coupures semblent bruler mais la douleur à quelque chose de salvateur. Je glisse la lame d’une cuisse à l’autre, encore et encore, sans même plus m’en rendre compte. Je le fais, tout en appelant Edward, encore et encore, fixant le flou devant moi.
Jusqu’à ce que le visage d’Edward s’impose dans mon brouillard et que la fraîcheur de ses mains sur mes joues me ramène à la réalité. Il me retire la lame non sans que je résiste mais je le laisse gagner pour me blottir dans ses bras, pour qu’il me berce et me rassure.
- Je suis une mauvaise fille… Je suis une mauvaise fille… Je suis une mauvaise fille !
Je me sens faible, quand il me soulève et qu’il me porte jusque dans la salle de bain pour m’installer sur le sol et nettoyer les blessures que je me suis infligées. Je gémis de douleur, le désinfectant me fait l’effet de millions de petites piqûres, autant aux bouts de mes doigts que sur mes cuisses.
- Tout le monde meurs, bébé !
Et je préfère de loin choisir quand et comment…
- Tu vas m’enterrer quelque part, là où seul toi sauras et tu viendras me rejoindre quand tu n’en pourras plus.
La tension de la nuit vient de retomber d’un seul coup.
Je tremble comme une feuille au vent, claquant même des dents. Edward termine de panser mes plaies puis, comme dans un cri du cœur, me dit qu’il m’aime et m’embrasse.
- Je t’aime à la folie, Edward.
Nous avons encore à faire. Brûler le corps de Wallace avant qu’il ne commence à se décomposer dans les sacs. Edward ira charger les sacs le temps que je me lave. Je prends donc appuie sur lui pour me lever puis entrer sous la douche avant même de retirer mon t-shirt plein de sang et, quand je suis nue et sous le jet, il me quitte. Je reste longtemps immobile à regarder l’eau couler le long de mon corps puis s’écouler dans le renvoi. Je devais avoir beaucoup de sang dans les cheveux, l’eau s’écoule d’abord rouge clair, puis de plus en plus rosée pour finir complètement translucide, je commence alors seulement à me laver.
Je dors de la douche, frissonnant, les bras croisés sur ma poitrine, et me rend dans la cuisine retrouver Edward qui en a terminé avec Wallace.
Je suis nue, dégoulinante d’eau et je l’enlace.
- Je suis une vilaine fille, et je t’aime à la folie, Edward !
@ Billy Lighter
Contenu sponsorisé
Sujet: Re: Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé]
Page 1 sur 1
Trouble Means Security[PV Edward Fleming][HOT][1976][Terminé]