Les préliminaires était une choses que j'aimais beaucoup, comme tout le monde je pense, c'est ce moment où tu profites de l'instant tout en sachant que la suite ne sera que plus délicieuse. Mais, comme Eddy et moi étions un peu trop pleins pour se rendre compte de ce moment, la douceur de mes mouvements étaient tout de même pressant. J'aurais, d'haditude, mis ça sur le compte du manque mais comme l'alcool était présent...

Mes mains profitaient du corp d'Eddy et nos peaux humides se touchaient, se frôlaient et m'excitais pas mal. Sur lui, je n'avais aucun mal de profiter du moment. Ses caresses me donnant tant de plaisir que des gémissements se faisait entendre dnas tous les coins de la "suite'' de l'hotel. Le canapé était bien assez pour nous deux même si Eddy était grand, de toute façon, là où nous en étions, il était impossible que l'ont puisse bouger.

Il fit le premier pas pour enchainer sur l'acte charnel, se hissant en moi, il commenca de lui-même des mouvements de vas et viens un peu brute mais c'était sans doute dû à nos ressentit et nos état d'âmes du moment, l'alcool faisait son effet. Des gémissements plus forts sortirent de mes lèvres et je joignai mon bassin au mouvements du sien. C'était bon, j'avais oublié ce délicieux sentiment qui m'envahissait à chaque coup de rein. Il fallait vraiment que je retrouve quelqu'un dans ma vie. J'étais beaucoup trop axé dnas mon travail et les coups d'un soir n'étaient pas vriament mon truc

Enfin je dis ça mais ce qui se passait actuellement n'allait sans doute pas avoir de lendemain....  

J'avais, un peu brutalement et maladroitement, échangé nos place, me remettant au dessus de Maria en me soutenant sur mes coudes pour ne pas l'écraser. C'était une des seules choses à laquelle j'avais appris à vraiment faire attention sur le peu d'expérience que j'avais. Zoey était un tout petit gabarit elle aussi et j'avais eu tendance à m'appuyer un peu trop sur elle au début, quand je ne contrôlais encore rien du tout. Et puis à force, j'avais appris à avoir plus le contrôle de moi-même et à faire gaffe. Hey... Rome s'était pas fait en un jour non plus...

Ma respiration rapide et profonde s'était changée en gémissements réguliers, suivant le rythme de mes mouvements de bassins, à partir du moment où nous n'avions fait qu'un. La sueur dégoulinait le long de mon dos et j'avais tendance, sentant d'énormes vague de plaisir me submerger, à enfuir mon visage entre les seins de Maria ou dans son cou en gémissant, voire criant plus fort, mes longs cheveux blond venant la chatouiller.

Quand ces vagues passaient, je venais embrasser la bouche, le cou ou la poitrine de la secrétaire de notre manager.

Au fur et à mesure, nos respirations et gémissements s'alignèrent, de même que nos mouvements de plus en plus rapide. Je finis par perdre de contrôle, serrant les dents de plaisir et me cachant une dernière fois dans le cou de Maria. J'atteignis l'orgasme, explosant en elle, puis ma respiration se calma un peu alors que je reprenais mon souffle comme si j'avais couru le 400 mètres. Ma tête tournait légèrement, mais je n'avais aucune idée de si c'était à cause de l'alcool, de l'effort fourni ou du plaisir ressenti. Probablement un peu des trois.

Je souris à Maria, rigolant un peu, style : « Bordel... On a vraiment fait ça ? Et qu'est-ce que c'était bon ! ».

Je me déportai sur le côté, me couchant à côté d'elle et la laissant se blottir entre moi et le dossier du fauteuil, bien calée et bien au chaud. Je la regardais dans les yeux un moment, caressant ses cheveux avec un sourire serein. Je ne pensais pas au lendemain, et très sincèrement, je n'espérais rien. Même plein comme une barrique comme j'étais, je savais très bien que Maria et moi, ça n'existait pas.

-Tu t'es bien amusée ? Parce que moi, ouais...

Je souris, mes yeux mi-clos se fermant à intervalles de plus en plus réguliers et de plus en plus long... Jusqu'à ce que je m'endorme complètement.

Ma respiration saccadée, les yeux à demi clos, je profitai de l’instant présent. Les cheveux d’Eddy venant me chatouiller le cou ou le visage dont la peau était humide par nos ébats passionnels. Me cambrant de plus en plus suite au plaisir que le jeune homme me procurait. L’odeur d’alcool était toujours présente mais je ne m’en souciais pas, j’avais mieux à faire comme embrasser la bouche d’Eddy, caresser son dos mouillé ou encore l’aider dans ses coups de reins. Il n’était pas mauvais du tout et puis de toute façon, mon jugement était bien trop troublé par ce que j’avais bu.


Les cris d’Eddy se mêlèrent aux miens très rapidement et quand je le sentis venir, je sentis en mois une boule dans le bas ventre qui explosa. C’était bon, les yeux clos et la bouche entre ouverte pour laisser sortir le plus de plaisir possible, je sentais Eddy ralentir. Nous l’avions fait, nous étions allés jusqu’au bout et nous ne nous en voulions pas. Du moins, pas maintenant, nous étions encore bien trop pris dans la tornade de sentiment mêlé à l’envie assouvie et l’alcool.


Le calme étant revenu et Eddy s’étant mis sur le côté, dos contre le dossier du canapé, je vins me blottir contre lui. L’acte était fini mais pourquoi n’avions-nous pas le droit à un peu de tendresse ? C’est Eddy qui brisa le silence en premier, me regardant en riant, je le suivis de près. « Oui, c’était génial... » En peu de temps Eddy s’était endormis et moi, je décuvais de plus en plus tout en fermant les yeux à mon tour pour m’endormir dans les bras du jeune homme.