Sujet: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Mer 20 Juil - 16:07
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
Il n'était pas loin de 18 heures quand notre avion attérissa à l'un des deux aéroport de Rome. Après plus de 14heures de vol, nous allions enfin poser les pieds dans la ville de Romulus et Remus. Enfin nous allions profiter de ce week end dans la ville natale de mon patron. Bien sûre, j'en avais déjà profiter un peu dans l'avion dans lequel nous étions loger en première classe. Quand nous avions été placé à LAX, je n'ai pas broncher parce que je savais que Daniele n'aurait jamais voyager en classe économique. Il était le grand Daniele Ricci tout de même!
En parlant de cet homme aux chevilles aussi grosses que des pastèques, il allait tout de même beaucoup mieux depuis qu'il avait été voir Evan et qu'ils avaient parler. J'avias bien entendu, été aux premières loges de ses retrouvailles. Reprenant petit à petit du poil de la bête, il avait organiser notre séjour dans le but de nos dix ans de collaboration. Je n'aurais jamais cru avoir un voyage comme celui-là mais j'en suis très heureuse. Cependant, mon petit ami laisser à Los Angeles était beaucoup moins enjoué que moi -Je le soupçonnait même d'avoir prit un billet pour nous espionner ah je vous jure ma paranoïa!- Howard avait désaprouvé ce voyagedès le début mais que je sache, je faisais ce que je voulais, nous n'étions pas marier.
Quoi qu'il en soit, Daniele m'avait annoncer que nos bagages avaient été emennés à l'hotel avant même que l'avion n'est atterit, toute heureuse, nous avions alors le temps de faire une petite visite dans la ville avant de se dirriger dans l'hotel pour se préparé pour le restaurant le soir.
Rome était magnifique, le soleil couchant, ses rayons se divisaient entre les arbres plat, les pavés donnaient un charme encore plus fort à la ville, c'était magique, je crois même en avoir les yeux qui petillent encore alors que nous sommes revenue à l'hotel et que je fais la retrospection dans ma chambre. Nous avons vu de loin le majestueux colisee si bien conservé et nous sommes passé par la fontaine de Trévis remplit de monde et de pick poket. Fort heureusement, rien nous à été volé.
En rentrant à l'hotel, Daniele indiqua notre suite. A udernier étage, puis on entra dans notre propriété pour ses deux jours. C'était, encore une fois, à la hauteur de la chose, nous avions un entrée qui avait à droite une porte et une seconde porte à gauche, dans l'entrée, nous avions tout de même une beau canapé de salon. A gauche, la porte renfermait la chambre de Daniele, majestueuse, à droite, c'était la mienne, elle était tout aussi grande, on aurait pu y dormir à quatre dedans. Nos chambre étaient reliée toute deux à la salle de bain, ainsi, nous pouvions venir dans la chambre de l'autre via la salle de bain. Les yeux ecarquillés, je remerça Daniele pour cette suite avant de partir me préparé pour le restaurant.
Tenue chic obligatoire, j'avais apporté dans ma valise de quoi me changer pour être présentable. J'entrai dans ma chambre, ouvrit ma valise et... "C'EST QUOI CA?" Surprise, j'avais devant moi ma valise...mais l'interieur n'était pas ce que j'avais pris, au contraire, j'avais devant moi la valise de quelqu'un d'autre, d'un homme à priori, remplit de short,tee shirt, tong et autre accessoire en tout genre.
Abassourdie, j'entrais dans la salle de bain et toquai à la porte de Daniele, entrant ensuite sans demander la permission. "Nous avions un petit soucis...ma valise n'est pas ma valise.."
Billy Lighter
Dernière édition par Maria Watson le Jeu 18 Aoû - 11:10, édité 1 fois
Daniele Ricci
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Jeu 21 Juil - 18:37
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
C’était l’heure du voyage parfait. Ouais, c’était comme ça que je qualifiais notre petit week-end à Rome avant même qu’on n’atterrisse à Fiumicino, le plus grand aéroport romain. Pourquoi le voyage parfait ? Parce que c’était moi – et Erik - qui l’avait organisé et que donc ça ne pouvait qu’être parfait !
On avait commencé tout ça pas un petit voyage en première classe. Normal, me direz-vous, pour un type comme moi. Je n’avais jamais voyagé en classe économique et Maria et moi, on valait la première classe plus que quiconque. Le voyage en avion était agréable et j’avais passé mon temps à lire des magazines spécialisé en musique et en business évitant la presse people comme la peste – pas besoin de préciser pourquoi.
On a atterri à 18h – heure local. Le décalage horaire était là mais ce n’était pas ça qui allait nous fatiguer. Je me sentais à nouveau capable de tout et j’avais maintenant une vie plus saine que les jours qui avaient suivi l’article – voyez par plus saine le fait que ma consommation d’alcool était passée de vraiment excessive à normal pour Daniele Ricci.
Pas besoin de s’embêter avec nos bagages, ils étaient déjà partis vers l’hôtel. C’était ça le service première classe ! On avait donc le temps de visiter un peu la ville avant d’aller manger dans un des restaurants les plus chics de la ville. Alors qu’on visitait les monuments – dont la fontaine de Trevis qui était la plus belle fontaine du monde – j’avais eu une petite pensée pour le petit merdeux qui devait rager d’avoir vu sa petite amie se barrer à Rome avec son patron – et c’était bien fait pour lui.
Pendant notre petite promenade, j’avais un peu parlé de l’histoire de certains monuments. En tant que Romain pure souche, j’étais calé sur beaucoup de chose. Evitant les pick-pockets avec brio, on avait fini notre petit tour à l’hôtel. Ce dernier était l’un des plus luxueux de la ville et j’avais réservé l’une des meilleures suites.
Quand on y était entré, j’avais bien vu que Maria adorait. La suite était chère mais elle valait le coup. Une chambre chacun – tu vois, Stone, je suis gentil… - , une belle salle de bain les séparant et un petit salon. Parfait pour un week-end. Maria m’avait remercié et je ne pouvais qu’accepter le compliment avec un grand sourire.
On s’était séparé chacun dans notre chambre pour se changer en perspective de notre sortie au resto. Ma chambre était magnifique et n’était pas sans me rappeler la villa de mon père dans le style. J’avais ouvert ma valise cherchant la bonne tenue pour ce soir entre tous les costards classes que j’avais pris avec moi. Le choix n’était pas facile…
J’étais toujours en train de délibérer quand j’avais entendu toquer à ma porte. C’était Maria qui – avant que je ne lui dise d’entrer – avait fait irruption dans la pièce clamant que sa valise n’était pas la sienne.
-Sérieux ?, dis-je surpris.
Sans attendre, je m’étais dirigé dans la chambre de Maria passant par la salle de bain. J’avais donc constaté qu’en effet la valise était plutôt celle d’un homme que celle de Maria. J’avais rigoler un peu essayant de couvrir mes rires pour ne pas que Maria les prennent mal.
-Je constate, en effet. Il y a du avoir une erreur, dis-je en prenant un air concerné. Je vais téléphoner à la réception de l’hôtel et à l’agence de voyage pour voir s’ils ne peuvent pas les retrouver.
Je n’avais pas tardé à le faire commençant par la réception et puis par l’agence. Mes coups de fil passés, je m’étais retourné vers ma secrétaire.
-Il vont chercher après, ils nous ramèneront ta valise dès qu’il l’auront retrouvé, dis-je satisfait.
Restait le problème que Maria n’avait donc rien à se mettre. Je regardai ma secrétaire de haut en bas.
-Il est un peu tard pour le shopping, hélas… Tu veux un de mes costards, dis-je en blaguant. Sinon, on peut essayer de te trouver un robe, je peux demander qu’on en fasse amener une à ta taille. N’oublie pas que je suis le grand Daniele Ricci et que donc tout es possible avec moi, dis-je avec un air déterminé.
Pauvre Maria, ce voyage commençait bien pour elle.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Ven 22 Juil - 9:55
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
Le voyage tournait à la catastrophe, malgré une visite de la ville fabuleuse, voilà que je me retrouvais sans vêtement pour le reste du séjour. Paniquée, j'étais aller voir Daniele pour lui annoncer la chose et le moins qu'on puisse dire c'est qu'il était plutôt amusé de la chose. Il aurait été à ma place, il aurait sans doute fait un scandale tandis qu'à cet instant précis, il retenait son rire. Je poussai un soupire. Il était bien trop tard pour aller acheter quoi que ce soit.
Cependant, tel un véritable entrepreneur, Daniele avait appeler la reception et l'agence de voyage pour retrouver mes affaires, j'espérais qu'ils les retrouvent le plus vite possible. Pour une fois que je n'emmenais aucun bloc note ou agenda, voilà que ma valise se perdait.. "Merci...J'espère qu'ils vont vite la retrouver..." Parce que mine de rien, je n'avais rien pour dormir ni pour le lendemain. Je remerçais interieurement mon patron d'avoir prit deux chambres séparés à cet instant précis.
Les coups de fils passer, Daniele blagant en voulant savoir si je voulais l'un de ses costumes, je lui fis un petit sourire. "Ils sont peut-être un peu trop grand pour moi..." Et je ne sais pas pourquoi, mais d'un air amusée, j'étais entrer à nouveau dans sa chambre après avoir traversé la salle de bain, puis avait prit un de ses pantalons que je mis par dessus mon jean ainsi qu'une de ses vestes mise sur le dos. C'était comique à voir, les manches était plus grandes que mes bras de cinq centimètre et ne parlons même pas du pantalon, je marchai dessus. Je pris les lunettes de soleil posées sur la commode et les mit. Je commençais alors à imiter Daniele. "Je vais faire de ce séjour pour nos dix ans le meilleur séjour de tous les temps parce que je suis Daniele Ricci et même le petit merdeux ne fera pas mieux pour toi Maria!" avais-je dis en imitant presque à la perfection l'italien.
Plaisanterie faite, j'avais enlever les affaires de mon patron pour redevenir sérieuse. Regardant alors l'italie, j'hochai la tête. "D'accord, on va faire comme ça, après tout, l'hotel est si grand et luxueux qui doivent bien louer des robes de soirée mais je l'a paie! " Je pris le combiné téléphonique et appela la reception, quand une jeune femme italien deccrocha, son "Pronto" me rapela que je ne savais pas parler italien, un peu désemparée, je tendis l'appareil à Daniele.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Ven 22 Juil - 19:44
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
J’avais téléphoné à l’agence et à la réception afin qu’on retrouve les valises de Maria le plus rapidement possible. Si je m’étais retenu de rire, je voyais bien que Maria était embêtée par la chose. Ce que je pouvais comprendre dans le sens où elle risquait de se retrouver sans vêtement pendant la totalité du voyage. Elle m’avait remercié.
-Plus qu’à espérer, en effet, dis-je en lui envoyant un regard compatissant.
Je me demandais bien à qui était la valise dont avait hérité ma secrétaire. Un type qui n’avait pas de goût vu les vêtements présents dans la valise. Certainement un type lambda qu’on ne remarque pas dans la rue.
J’avais ensuite blagué tout en essayant de trouver un solution pour le restaurant du soir où Maria n’allait pas aller avec les habits qu’elle avait porté pour les visites. Dans les restaurants chics, il valait mieux être bien habillé au risque de se faire mettre à la porte. Quoi que… Je m’appelais Daniele Ricci et ce simple nom pouvait faire rentrer ma secrétaire où elle voulait. Ma secrétaire avait conclu que mes vêtements seraient trop grands pour elle.
-Sans doute… Mais ils sont classes, dis-je en souriant.
Maria avait alors décidé d’aller dans ma chambre, intrigué je l’avais suivie m’arrêtant un peu dans la salle de bien pour l’admiré – elle était superbe cette salle de bain ! J’étais, ensuite, entré dans ma chambre où Maria portait l’un de mes pantalons et l’une de mes vestes. Je l’avais regardé intrigué et me retenant de rire en constatant que tout ça était – en effet ! – bien trop grand pour elle. Elle était en train de m’imiter après avoir pris mes lunettes de soleil. J’avais alors éclaté de rire. -Tu m’imites trop bien ! Et, c’est vrai, ce séjour sera quand même le meilleur malgré une valise en moins, crois-moi !, dis-je en me disant que le petit merdeux devait être chez lui à mourir de jalousie – ben qu’il meurt !
Après ce petit moment de détente, elle avait retiré mes affaires pour opter pour la décision de demander une robe à la réception de l’hôtel. Maria s’était saisie du combiné du téléphone prête à faire la demande elle-même. J’avais eu un sourire en la voyant me tendre l’appareil juste après qu’une voix féminine s’élève à l’autre bout du fil. -Je n’aime pas qu’on me tende des trucs, dis-je avec un sourire un rien sarcastique.
Ma pauvre Maria devait se trouvé dans un rôle bizarre ici. D’habitude, c’est elle qui s’occupe des appels et de tout ce qui concerne Daniele Ricci mais pour le temps d’un week-end elle allait devoir se reposer sur moi et mes compétences extraordinaires en italien – normal, me direz-vous ! J’avais fini par prendre le combiner pour sauver ma pauvre secrétaire. J’avais entamé la conversation.
-Buonasera. Vorrei un vestito per la mia amica. La vorrei subito, per piacere, dis-je avec un accent romain prononcé.
La réceptionniste avait noté toutes mes recommandations et m’avait dit qu’un employé allait nous l’apporter bientôt. J’avais raccroché et avait reposé mon regard sur Maria.
-Voilà. Ils vont nous l’amener ici. Pour ce soir, ton problème est réglé, dis-je en lui faisant un clin d’œil. Je ferais un très bon secrétaire, dis-je en m’auto-congratulant. Je t’apprendrais l’Italien, si tu veux.
Je m’étais tourné à nouveau vers ma valise. Moi, j’avais un autre problème… Je n’avais aucune idée de ce que j’allais porter ce soir. Je m’étais retourné vers Maria.
-Euh… Tu peux m’aider… Je ne sais pas du tout quoi mettre… Est-ce que je mets un costume trois pièces ? Si oui, quelle couleur ? Et quelles lunettes de soleil avec ?, dis-je en me grattant l’arrière de la tête.
Etre bien habillé c’était important ! Même si être Daniele Ricci suffisait.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Sam 23 Juil - 11:38
Maria Watson a écrit:
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
L'égocentrisme de Daniele était présent quandn ous parlions de ses vêtements, mais cela ne me dérangeait pas, il faut dire que je commençais à avoir l'habitude avec lui, en dix ans de temps, j'ai compris à ne plus y faire attention. Si son egocentrisme ne me surprenait plus, moi, de mon côté, je sortait encore des cartes de ma manche en me détendant de plus en plus et en faisant des blagues. Je crois bien n'avoir jamais imiter Daniele devant lui. C'était une première!
Quoi qu'il en soit, je m'étais retrouver bien bête devant lui quand j'avais appeler la reception. Il fallait absolument que j'aprenne l'Italien, en plus je trouvais cette langue si belle... Je lui avait tendu le téléphone -Oui oublions la règle numéro cinq, et après qu'il me l'ai fais remarquer, il vint à mon secours et -je suppose- demanda une robe à ma taille pour ce soir. J'avais gagner une bataile alors? Il avait tout de même pris le combiné que je lui avait tendu? Il arrivait encore à me surprendre en dix alors!
Le téléphone remit à sa place, je lui fis un sourire alors qu'il m'indiqua que j'aurais bientôt ce soucis de regler. Puis, il indiqua qu'il ferait un bon secrétaire. Je me mis à rire un peu "On pourrait échanger les rôles un jour alors!" Après tout, j'avais été aider Roadtramp il y a quelques jours pour leur album en studio alors que Ricci ne pouvait pas bouger.
Puis, Ricci m'avait demander de l'aider à choisir sa tenue, je m'étais alors tournée vers sa valise. "Voyons voir..." Je sortis alors une chemise blanche, au moins, le blanc allait avec tout. Puis, je me mis à sourire, il avait rapporter ce smoking trois pièce violet, il lui allait tellement bien! Je pris alors le boléron le pantalon et la veste et les mirent sur le lit. "Tu vas en faire tomber plus d'une avec ce costume, il te va si bien!" Il restait la cravate, mais étant donné qu'il en avait prit plus d'une, le choix était difficile. En sortant quelques unes, je me mis à les essayer sur le costume puis sur le principal concerné, les les posant sur son épaule. Mon choix se porta sur une noire aux reflet rosé. (comme ceci).
J'allais lui proposer de prendre la salle de bain pour se préparé quand on toqua à la porte. "Jy vais ça doit être la robe!". J'allais alors ouvrir, begayant un "Gracie" avant de refermé la porte. J'allais dans ma chambre pour ouvrir la boite en carton qui contenait la robe. Elle était très belle et, coïncidence parfaite, elle allait avec le costume de Daniele. Ce n'était pas mon genre de porter ce style de robe -préférant le noir- mais cela allait changer ce soir. Il faut dire que je n'avais pas le choix.
Cependant, nous avions eu 14h de vol et nous avions visiter la ville, pour être mieux dans ma peau, je devais me laver, me prendre une bonne douche pour me requinquer. Après que Daniele en est eu finis avec la salle de bain, j'étais partis me laver, rien de bien méchant, un bon coup d'eau et de quoi sentir bon. J'étais ensuite rentrer dans ma chambre en serviette - me remémorant ma rencontre avec Howard au passage- et m'habilla. Il était clair que La robe faisait très chic mais j'espèrais que cela n'était pas trop.
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J’avais sauvé la vie à Maria en quelques coups de fils. Je m’étais arrangé pour obtenir une robe digne de ce nom pour ce soir. Si bien que je m’en étais venté directement après, flattant mes propres compétences de secrétaire. Prenant la chose au vol, Maria m’avait proposé d’échanger les rôles un jour.
-Non, je ne voudrais pas que tu t’ennuies, dis-je pour être bien sûr de ne pas avoir à faire le travail de Maria un seul jour de ma vie – elle avait bien trop de travail pour que je puisse faire le quart de ce qu’elle faisait en une journée.
Je ne voyais même pas ce que je ferais sans Maria même en vacances. On était à peine arrivé que je lui demandais déjà des conseils pour la tenue que j’allais porter ce soir. Il n’en avait pas fallu plus pour que ma secrétaire se penche vers ma valise pour y trouver ce que j’allais porter. Elle avait opté pour le trois pièces violet – je l’adorais ce costume, il me représentait bien. Maria avait bien su me vendre le produit en me disant que j’allais en fait tomber plus d’unes.
-Merci Maria, je pense aussi que c’est le meilleur choix, dis-je en souriant contant d’avoir régler le problème du costume.
J’avais laissé tomber les Mademoiselle Watson, on était en vacances après tout. Elle avait sorti une cravate assortie et je l’avais remercié d’un regard.
On avait toqué à la porte et Maria était prête à aller ouvrir.
-Ok, moi je prends la salle de bain, dis-je en prenant mon costume.
Je me rafraichis un peu avant de mettre le costume qu’avait choisi ma secrétaire. Je m’étais posté devant le grand miroir qui trônait dans la salle de bain de luxe. J’avais le style, il ne manquait plus que les lunettes aux verres teintés pour que tout soit parfait. Relooké, j’avais quitté la salle de bain pour ma chambre laissant la place à Maria.
Pendant qu’elle se rafraichissait, j’avais loué une voiture – une Porsche 911 – ainsi que réservé une table dans un restaurant étoilé où j’avais déjà été plusieurs fois quand j’étais gosse.
Quand Maria était retournée dans sa chambre, j’avais attendu quelques minutes avant de la rejoindre dans la sienne. Elle avait enfilé sa robe déjà et elle était étrangement assortie à mon costume – les coïncidences font parfois bien les choses.
-Tu es ravissantes. Ça te change du noir, dis-je en mettant mes lunettes aux verres teinté mauve.
J’avais, ensuite, proposé mon bras à Maria. -Prête ? La voiture nous attend. J’en ai loué une pour tout le séjour ainsi on pourra aller où on voudra, dis-je avec un grand sourire.
J’allais pouvoir à nouveau conduire dans les rues de Rome. Cela allait me faire du bien.
La robe que je portais, ce n'était pas le style que je mettait d'habitude, moi qui était une accro au noir, je me sentais un peu trop "m'as tu vus " dans cette tenue. De plus, nous étions assotis avec Daniele, ce qui nous rendait encore plus voyant. Bien sûre, cela ferait plaisir à Daniele, tous les regards seraient braqués sur le couple assortis, mais pour moi, c'était autre chose.
Il me complimenta alors que je prenais la pochette qui m'avait été prête avec la robe, de la même couleur que la robe. "Merci Daniele, tu es très bien aussi, la personne qui à choisis de t'habiller comme ça à du gout!" Je ne comprenait pas totalement pourquoi ce genre de chose existait, nous ne pouvions mettre que peu de chose dedans, un rouge à lèvre et il n'y avait plus de place. Quoi qu'il en soit, j'allais être la parfaite accompagnatrice ce soir, parce que c'était un soir important et parce qu'être la plus jolie, parfois, cela pouvait faire du bien. Est ce que j'étais aussi jolie que les italiennes? Je me le demandais... "N'est ce pas trop clinquant cette robe? Je n'ai tellement pas l'habitude à la couleur que j'ai l'impression qu'elle ne me va pas. Qu'elle soit un peu trop classe pour l'endroit où nous allons..Je n'ai pas tellement envie qu'on se moque de moi..." dis-je d'un air inquiet.
Je pris ensuite son bras et on sorta de notre suite. On sortit ensuite du hall. Dehors, l'air était doux. Ce n'était pas le même qu'en Amérique, il avait quelque chose en plus...C'était peut-être le fait que nous étions en Europe, que nous pouvions voir le Colisée au loin et que nous allions passé une bonne soirée. On entra dans la voiture et j'eu un sourire. Je me faisais conduite par Daniele Ricci! J'avais l'impression d'être une gamine. Je regardai mon patron une fois qu'il eut pris place à mes côtés. "J'imagine que revenir ici, ça te fait du bien moralement? "
Durant le trajet, mon côté enfant devait se voir, j'étais en Italie, à Rome, une magnique ville. Les yeux remplit d'étoiles, j'observais par la fenêtre chaque détail du paysage. Puis, je me retournai à nouveau vers Daniele. "Au fait...J'aimerais énormément apprendre l'Italien. " Le trajet ne fut pas très long, on se gara et on sortit de la voiture, c'était une très belle batisse, j'en restais bouche bée. "C'est superbe..."
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Jeu 28 Juil - 16:05
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
La tenue de Maria était des plus ravissantes et je l’avais complimenté. Ils avaient pensés à tous les employés de l’hôtel, en témoignait la petite pochette assortie à la tenue de Maria qui s’empressa elle-même de s’auto-complimenté pour le choix de me tenue.
-Oui, beaucoup de goût. C’est normal, c’est une personne douée, dis-je en agrémentant mes dires d’un sourire et d’un clin d’œil.
J’avais déjà vu Erik s’auto-complimenté prouvant que j’avais déteint sur lui. Je voyais le même phénomène avec Maria ce qui était dôle. J’aimais quand elle faisait ça.
Les doutes avaient fini par revenir chez Maria. Elle se demandait si la robe n’était pas trop clinquante. Son habitude du noir faussant son jugement. Elle s’inquiétait alors qu’elle n’avait aucune raison de le faire. -Ne t’en fais pas. Tu es magnifique et naturelle. Cette robe ne fait que te mettre plus en valeur encore. Personne ne se moquera de toi et toutes les femmes t’envierons et pas seulement parce que tu seras avec moi mais parce que tu seras la plus belle, dis-je en souriant très sûr de ce que je disais.
Maria n’avait aucune crainte à avoir, elle était très belle et avait du caractère. Je l’avais rassuré assez, j’espérais.
Elle avait pris mon bras et on était parti direction l’entrée de l’hôtel où se trouvait notre voiture pour le séjour. Une jolie Porsche 911 noire. On avait pris place dans l’habitacle, moi au volant et Maria côté passager. J’avais démarré le moteur quand Maria m’avait posé une question.
-Tu n’imagines pas à quel point. C’est comme si je faisais un voyage dans le temps, dis-je avec un sourire nostalgique aux lèvres.
Un voyage dans le temps de mon adolescence quand Rome était mon terrain de jeu.
On avait démarré et je roulais calmement pour que Maria puisse profiter du paysage. Je l’avais regardé par moment et avait vu le bonheur de voir toutes les merveilles que réservait cette ville dans ses yeux. Elle ne m’avait regardé moi – une merveille de Rome aussi, au passage – que pour me dire qu’elle voulait apprendre l’Italien.
-Je t’apprendrais, lui promis-je.
Le voyage s’était terminé devant le bâtiment où se trouvait notre restaurant étoilé. Il était très cher mais il valait largement le coup. A première vue, ça avait l’air de plaire à Maria. -Attend de voir l’intérieur !, dis-je avec un petit sourire. Je suis venu des dizaines de fois, ici, quand j’étais môme. Je crois que mon père, lui, venait y manger toutes les semaines.
On était entré dans la bâtisse et à l’intérieur on trouvait une décoration chique à l’allure antique pour rappeler le passé de la ville. Les tons étaient dans le jaune très pâle et le rouge. A l’entrée nous attendais déjà un serveur qui s’occupe des réservations et de placer les clients.
-Buonasera Alessandro, dis-je à l’encontre du serveur.
- Buonaera Signore Ricci, sono contento di vederti qui, dit-il très enthousiaste. Buonasera Signorina, dit-il à l'intention de Maria.
Il nous avait dit qu'il allait nous conduire à la table que j'avais réservée. C'était un brave type Alessandro même s'il était souvent un peu trop coincé.
-Merci, vieux, dis-je en souriant.
Alessandro était serveur ici depuis des années. Quand j’étais môme, il était déjà là à échanger des politesses avec mon père.
Il nous avait laissé à notre table nous souhaitant une bonne soirée.
-Alors ? Qu’est-ce que tu en penses ? Le resto est à ton goût ?, demandais-je à Maria en souriant.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Jeu 28 Juil - 16:48
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
Nous allions fort sur les compliments, nous en échangeant sans cesse, mais cela flattait notre égo et parfois, il fallait bien ça pour être heureux. La robe que je portait était ravissante, je ne disais pas le contraire, mais être en rose/violet n'était vraiment pas dans mes habitudes, j'avais peut-être un problème avec les couleurs Je devais changer cela. Au prochain évènement chic, je me promettait d'utiliser de la couleur. J'avais rougis à ce que m'avais dis Daniele, il maîtrisait vraiment l'art de séduire celui-là.
Voir Daniele au volant de cette prosche, ses yeux petillant me rendait heureuse. J'étais heureuse d'être, en partie, responsable de ce bonheur. Nous avions eu la bonne idée de venir ici et j'avais eu raison: revenir en Italie lui faisait oublié cette histoire d'article.Nous étions à des milliers de kilomètres de là -Au sens propre comme au figuré!-. Mon patron accepta de m'apprendre cette langue qu'était l'italien et je lui fis un sourire pour le remercié.
Le restaurant était somptueux autant à l'exterieur qu'à l'intérieur. Chic à souhait, il ne me semblait ne jamais avoir manger dans un pareil endroit. Bien sûre, depuis que j'étais au service de Daniele, je cotoyais parfois le luxe, mais cette fois-ci, c'était différent. Nous étions que tous les deux, nous n'avions pas de dîner d'affaire et nous n'allions sans doute pas parler du travail. Nous allions profiter du moment présent et j'espérais au fond de moi, que Daniele ne trouve aucune femme à ramené à l'hotel. C'était curieux mais je ne voulais qu'il s'interesse qu'à moi ce soir, qu'à nous. Je lâchai un Buonasera au serveur avec un sourire et de l'entrain, puis, on s'installa à notre table.
Je regardai l'interieur qui était splendide avant de répondre à Daniele. "Il est vraiment magnifique, je crois n'avoir jamais manger dans un endroit pareil, mais n'est ce pas un peu trop chic? Tu sais, je me serais contenter d'une pizzaria au coin d'une rue..." On nous apporta rapidement les listes de plats et je me mi à les regarder. Tout avait l'air succulent, il fallait que je fasse un choix et ça allait être le plus difficile de la soirée -enfin je crois-. Je posai mon menu et regarda Daniele. "Tu venais souvent ici avant?" Etre en Italie était aussi l'occasion de connaître d'avantage Daniele, j'avais envie de tout savoir de lui, du moins, ce qu'il me restait à apprendre de lui.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Sam 30 Juil - 15:48
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
Alessandro nous avait conduit à notre table. J’avais entendu Maria répondre un jolie « buonasera » au serveur. Elle était adorable quand elle essayait de parler Italien – qui était pour moi la plus belle langue du monde ! On s’était installé à la table que nous avait proposée Alessandro et j’avais directement demandé à Maria comment elle trouvait la magnifique décoration de ce beau restaurant. Elle le trouvait magnifique – ah vous voyez ! Je vous l’avais dit ! – même si Maria se serrait, apparemment, contenté d’une pizzeria.
-Non, ce n’est pas trop chic pour nous. Et puis, le chic ne tue pas, Maria, dis-je avec un petit sourire. Je t’emmènerai dans une simple pizzeria demain, si tu veux, rajoutais-je en rigolant.
Je connaissais bien plus les restaurants chics que les pizzerias car c’était dans les restaurant chic que les gosses de riches allaient – et j’étais un gosse de riche. Même quand j’étais avec mes amis on ne fréquentait que ce qu’on avait toujours connu.
Les menus n’avaient pas tardé à arriver et je l’avais ouvert remarquant que rien n’avait changé au niveau des plats en 17 ans. C’était assez drôle qu’un restaurant de haut standing ne change par certaines choses – et pas étonnant dans un autre sens vu qu’ils avaient toujours la même clientèle et les mêmes habitués. Je ne savais quand même pas encore quoi prendre – le choix était vaste – si bien que j’avais regardé Maria quand elle m’avait posé une question sur ma fréquentation de l’endroit.
-Oui, je venais ici à peu près tous les deux mois… Avec mon père souvent pour des dîners avec certains de ses amis. C’était l’occasion pour lui de me montrer, à moins que ce ne soit simplement ses amis qui ont demandé ma présence pour jouer avec leurs mômes à eux, dis-je sur un ton un peu ironique. Bref, je suis venu plein de fois. C’est le restaurant préféré d’Erik aussi, dis-je avec un sourire.
J’avais marqué une pause prenant un air nostalgique.
-Ça me rappelle le jour où j’ai cassé un pichet de vin en verre. Je devais avoir 6 ans un truc dans le genre. Mon père était furax. Je ne suis plus venu pendant un an après ça. Tu aurais dû voir la tronche d’Alessandro. Il était devenu pâle comme un linge, dis-je en rigolant.
J’étais déjà le meilleur pour foutre l’ambiance à l’époque.
J'eu un petit sourire et me mis à essayer d'imaginer Daniele dans une simple pizzaria, dans chichi, celles qu'on trouvent un peu partout dans le monde, qu'on peut manger sur des tables crasseuses et où on entend fretiller les pizzas dans le four. Je me mis à rire un peu. "Je ne te vois pas dans ce genre d'endroit, je pense que ça pourrait être plutôt comique!"
Mon patron avait ensuite répondu à ma question. J'avais plutôt l'impression que depuis petit, il était une espèce de bête de foire qu'on ne sort que dans de rare occasion. Je pense que de ne pas avoir de mère a fait qu'il était lui à présent. Mais avoir la douceur d'une mère aurait pu rendre son enfance plus joyeuse car au vu de ce que j'entendais, ce n'avait pas été le cas. Enfin, je dis ça mais moi non plus j'ai grandit sans figure maternelle. "Tu t'entends bien avec ton père? Au vue de ce que tu me dis, il a lair d'avoir un certain fossé entre vous..."
J'eu un petit sourire ensuite. "On devrait ramené un sourire à Erik, le pauvre, il est rester à L.A..." Puis il me raconta l'une de ses mésaventures, je me mis à rire un peu. 'Un sale gamin déjà à l'époque!". Dis-je en blagant.
Puis je regardai à nouveau le menu, il y avait beaucoup trop de chose que je voulais goûter mais il allait bien falloir faire un choix. "Je ne sais vraiment pas quoi choisir...Je crois que je fais fermer les yeux, pointer mon doigt sur un plat et le choisir!" J'étais heureuse, décontractée, cette soirée allait être marqué dans nos vies tout simplement parce qu'elle allait être magnifique.
Je fermais alors les yeux et mon doigt se posa sur un drôle de mot, mais toute contente que j'étais, je dis d'un air enjouée. "Je vais manger un Pane! Ca doit être délicieux! Enfin...Hum...Qu'est ce que c'est?" C'était bien beau de faire ma technique mais encore fallait-il que je sache ce que c'était.
Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Je n’étais pas contre aller dans une simple pizzeria – ça me changera un peu du chic et du luxe. Par contre, Maria ne m’y voyais pas, elle.
-Je sais m’adapter tu sais. Ça peut être une belle expérience, dis-je en riant un peu.
J’avais parlé du moi et de ce restaurant me remémorant tout haut des souvenirs que j’avais eus ici. Ces souvenirs pouvaient semblés tristes. Un gamin que le père n’emmène que pour faire plaisir aux autres, c’est vrai que ça peut paraitre horrible mais j’avais toujours vécu comme ça et pour moi c’était quelque chose de normal. Cela avait amené des questions de Maria sur la relation avec mon père.
-Je ne sais pas si je m’entends bien avec, dis-je avec un sourire que j’essayais de ne pas rendre triste. Mon père c’est le genre patron d’entreprise qui bosse tout le temps quand il ne flirt pas à gauche ou à droite avec une femme friquée. On ne se parlait pas beaucoup lui et moi. C’est surtout Erik qui s’occupait de moi, dis-je en lâchant un soupire. Alors on ne peut pas dire que je ne m’entends pas avec parce que pour ça faudrait qu’il y ait une communication entre nous et ça n’a jamais été vraiment le cas.
Pourtant, Erik m’avait dit beaucoup de fois qu’Antonio m’aimait plus que tout ce que j’ai toujours eu du mal à croire. J’avais encore beaucoup de rancune pour les Nouvel Ans qu’il avait raté alors que je l’avais invité dans ma villa à L.A. Il n’est pas venu à un seul.
En parlant d’Erik, Maria avait eu une pensée pour mon majordome qui était resté à L.A.
-Oui, on lui ramènera un super truc. Il va être content, dis-je en retrouvant le sourire.
Après que j’en ai eu fini avec mes souvenirs d’enfance, Maria m’avait traité de sale gamine.
-Ouais, et j’en suis fier quelque part, dis-je en rigolant.
On en était revenu au menu. Maria avait un véritable problème pour choisir ce qu’elle allait manger alors elle avait opté pour le faire au pif. Elle était tombé sur le Pane – qu’elle prononça avec un drôle d’accent qui m’avait fait sourire. -Un pane ? Du pain tu veux dire, c’est ça ? Ou une escalope panée ?, dis-je en rigolant. Moi je vais prendre un spaghetti bolognaise. Ils font les meilleurs de la ville, rajoutais-je en faisant un clin d’œil à Maria.
J’étais vraiment bien ici à essayer de comprendre l’accent italien de Maria – qui était mignon.
-On devrait prendre une bouteille de vin aussi. Tu veux du quoi ? Rouge, blanc ou rosé ?, dis-je en souriant.
Manger et discuter, tout ce qui plaisait à Daniele Ricci.
Je me mis à sourire un peu. "Alors je te prendrais en photo demain dans une pizzaria lambda, je suis sûre qu'Erik sera heureux de voir une telle photo" Dis-je en riant un peu.
Il était évident que Daniele n'avait pas grandit avec son père, en fait, il était un peu orphelin. Il avait eu de la chance d'avoir Erik à ses côtés sans quoi, il aurait été bien seul. C'était peut-être pour cela qu'il avait cet égo surdimensionné. On ne s'interessait pas assez à lui quand il était petit alors il veut que cela chance maintenant. J'eu un petit sourire triste pour lui. Lui tapotant la main. "Tu n'as pas besoin de lui, je pense qu'Erik est ton père. un point c'est tout. "
En parlant d'Erik, je me demandais vraiment ce qu'il faisait en ce moment, il devait profiter d'un week end tranquille bien mérité. Peut-être même sortir avec quelqu'un... "Erik n'a jamais été en couple?" C'était la question qui était sortit de ma bouche d'un coup. "Depuis que je travail pour toi, je ne l'ai jamais vu avec quelqu'un."
Le menu sous le nez, j'avais annoncer à Daniele que je voulais prendre du Pane, mais il fallait croire qu'il s'agissait du pain ou d'une viande, mes joues rosirent et tout en fermant le menu, je dis d'un air motivé. "Finalement je vais prendre des pâtes à la carbonara! au moins, j'aurais pas besoin de pane ou je ne sais quoi..." Ensuite, Daniele proposa du vin, me demandant ce que je préférais, je lui dis un sourire en sortant un "Rosé".
Je regardais Daniele en souriant, puis regardais ma robe, j'allais devoir faire attention à ne rien renversé sur la robe, sans quoi j'allais devoir remboursé une grande somme d'argent que je n'avais sans doute pas sur mon compte en banque. "C'est marrant de nous voir assortit comme ça..." Je relevais la tête vers mon patron. "J'ai vu Eddy il y a quelque jours, le groupe à super bien avancer sur l'album, il est presque prêt!"
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Mar 2 Aoû - 17:00
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
J’avais bien rigolé quand Maria m’avait parlé de la photo qu’elle voulait prendre de moi devant une pizzeria pour Erik.
-Il sera surtout très surpris, dis-je en souriant.
Je lui avais parlé de mon père et de la non-communication qu’il y avait entre nous. J’avais du mal à croire, parfois, qu’il m’avait déjà désiré un jour. Pourtant, Erik clamait haut et fort le contraire ce à quoi j’avais toujours répondu à mon majordome qu’il n’en savait rien car il n’avait été engagé que quand j’avais eu 5 ans. Maria avait une vision plus radicale qui me plaisait. Le fait que je n’avais pas besoin d’Antonio. C’est ce que je me tuais à prouver depuis des années. Elle voyait plus en Erik mon père qu’en mon véritable père. -Tu n’as part tort. Erik a toujours su combler le vide en tout cas, dis-je très sincèrement.
Erik était un vrai ami. Il a veillé sur moi depuis que je suis tout petit. Je lui ai montré les joies des fêtes de gosses de riche et l’ai initié à la musique rock – et bien d’autres choses encore. Maria se posait des questions sur Erik dont un qui m’avait fait me gratter un peu la tête comme si je m’excusais d’avance.
-Si… Une fois. Avec une avocate romaine. J’étais jeune, je ne devais pas avoir plus de 19 ans. Mais ils ont fini par rompre et depuis il n’a plus jamais eu de relation sérieuse, dis-je en passant sur les détails de l’affaire. Je crois qu’Erik est un peu comme nous. Un dingue du travail.
C’était moi qui avais utilisé les grands moyens pour qu’Erik ne s’installe jamais avec Sara. J’étais jeune et seul, fallait me comprendre – ouais, je suis mon propre avocat !
On s’était concentré sur le menu et Maria m’avait parlé de pane. En traduction ça donnait pain mais avec le drôle d’accent de Maria c’était difficile à comprendre. J’avais rigolé un peu – pas pour me moquer mais parce que je trouvais ça mignon. Elle avait abandonné l’idée du pane pour les pâtes carbonara.
-Très bon choix. Ils nous serviront sûrement du pane pour tremper dans la sauce des pâtes ne t’en fait pas, dis-je en rigolant.
Elle avait choisi du rosée comme vin ce qui me convenait parfaitement – tant qu’il y a de l’alcool, me direz-vous… Elle avait regardé sa robe n’en démordant pas qu’on soit si assorti.
-Moi, j’aime bien. Ça fait couple de star, dis-je en blaguant un peu.
Je n’avais aucune arrière-pensée, c’était juste pour la blague. Notre petite sortie à Rome c’était de véritable vacances et l’occasion de dire pas mal de conneries – ou de vérités… C’était le rêve pour ne pas parler et penser boulot.
Seulement on était Daniele Ricci et Maria Watson et le boulot était vite revenu dans la bouche de ma secrétaire qui m’avait parlé de Roadtramp. -Ah oui ? Super, on pourra le sortir bientôt…, dis-je avec un enthousiasme. Ils n’ont même pas eu besoin de moi pour ça, en plus, rajoutais-je cette fois avec une petite moue.
C’était la seule chose négative car ça donnait raison à Jake Snyder…
Un serveur était arrivé et j’avais commandé pour nous deux en italien dans le texte avant de reprêter attention à Maria.
-Il sonne comment cet album ? Ils ont choisi le design et les photos ? Tu es sûr que tout est bien parfait, dis-je assez inquiet que tout ne soit pas parfait – parfait comme Daniele Ricci.
Je n’avais pas l’habitude de laisser faire les autres, c’était une grande première et j’avais accueillis tout ça avec un peu d’appréhension.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Mar 2 Aoû - 17:22
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
Je riais, je m'amusais avec Daniele, et dire que le prendre en photo dans une pizzaeria un peu comme un "monsieur tout le monde" m'aurait fait plaisir et aurait sans doute fait rire Erik. D'ailleurs, nous parlions toujours du majordome. Je le connaissais depuis dix ans lui aussi et je l'aimais beaucoup. Clamant qu'Erik était plus le père de Daniele que son géniteur lui même. Il raconta que le majordome avait déjà eu une petite amie, mais que ça n'avait pas durer. "Je ne comprend pas la fille , moi si j'avais l'âge d'Erik, je sauterais sur l'occasion et ne le lâcherait pas " dis-je en riant, cependant, la posture de Daniele me faisait croire qu'il me cachait quelques choses. Soit. Je ne dirais rien.
J'aurais au moins compris une chose durant ce voyage, mon pronociation italienne était merdique. Je m'étais mordiller un peu la lèvre, honteuse de ne pas savoir parler italien et avait opter pour des pâtes à la carbonnara. Daniele m'indiqua qu'il y aurait sans doute du pain pour les pâtes. Je fis la moue "Oui peut-être mais c'est pas drôle de se moquer..."
Daniele avait annoncer que nous faisions couple de star, ce qui me fit rire un peu. "C'est vrai qu'on peut croire à ça dans les rues" . Et même si nous étions en vacances, il fallait avouer qu'il fallait un peu parler de travail. Ce que je fis, je m'en excuserais auprès de Daniele plus tard. Il fut un peu triste de ne pas avoir eu son mot à dire sur l'album en préparation des Roadtramps mais qu'importe, j'étais sa voix. "J'étais là pour eux. Je suis aller les voir en Studio, on a discuter et j'ai choisis leu design de leur pochette d'album. D'ailleurs, Eddy devait t'en faire part. Il a dû oublier, il était tellement torché quand je suis venue"
J'eu un doux sourire quand Daniele s'inquièta et me posa toutes les questions necessaire, je lui tapota la main en souriant. "Ne t'en fais pas, il est très bien. Ils ont terminés de supprimé tous les mauvais bruits des enregistrement live, il ne manquait plus que la pochette de l'album." Je marquais une pause "Ils ont d'ailleurs uriner sur la GMC de Dustin parce qu'il voulait te piquer le groupe. Ils ont beaucoup pensé à toi pendant que tu étais chez toi, Eddy m'a demander de tes nouvelles. J'ai passé l'après midi avec lui" Avais-je dis avec un sourire.
Le serveur arriva et je laissai Daniele commander à ma place sinon cela aurait été catastrophique.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Jeu 4 Aoû - 14:04
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
Maria n’était pas tendre avec l’ex-petite-amie d’Erik même si elle avait ri. Erik m’avait raconté de Sara – c’est comme ça qu’elle s’appelait si ma mémoire est bonne – souhaitait vivre une vie en dehors des crochets des Ricci et j’avais tout mis en place pour qu’Erik se sentent encore utile auprès de moi.
-Je pense qu’elle ne voulait pas vivre au crochet de ma famille. C’était le genre femme indépendante ou quelque chose comme ça, dis-je en haussant les épaules.
On avait parlé menu et plat qu’on allait manger et, malgré la prononciation de Maria, on était arrivé à savoir ce qu’on allait commander. Tout était bon dans ce restaurant donc on ne pourrait pas se tromper en prenant un plat ou l’autre. J’avais rassuré Maria en disant qu’elle aurait certainement le droit à du pane avec son plat. Pauvre Maria, je n’étais pas tendre avec elle. J’avais ri à la moue de Maria.
-Je ne me moque pas. J’adore ton accent, dis-je sincèrement.
Maria n’était sûre de rien. Surtout pas de la robe qu’elle portait et qui était bien plus colorée que ses robes habituelles. Moi, je trouvais qu’on ressemblait à un couple de star, je nous trouvais assorti à souhait et j’adorais ça. J’avais convaincu Maria. Tout pour me faire sourire de fierté.
Les tenues qu’on portait et ce restaurant sentait les vacances mais ce n’était pas ça qui allait empêcher notre couple de travailleur acharné de parler boulot. Roadtramp avait presque fini l’album. Ça m’avait réjoui mais en même temps j’avais un peu de remord de ne pas avoir participé à sa conception. Je m’étais toujours décrit comme indispensable et ça faisait mal d’entendre que tout ce petit monde s’en était sorti sans moi. Maria avait beaucoup aidé le groupe et ça m’avait rassuré. Elle avait choisi le design alors qu’il semblait qu’Eddy aurait dû m’en faire part. -Oh… Eddy est souvent tête en l’air… Ce n’est pas grave. Je te fais confiance, dis-je avec un petit sourire.
Je n’en étais pas moins inquiet. Comment l’album sonnait ? Était-il parfait – comme moi ? Maria avait cherché à me rassurer en disant que l’album était très bien.
-J’irais écouter ça dès notre retour, dis-je presque rassuré mais pas encore tout à fait.
Je n’avais pas été au bout de mes surprises. Mon groupe – Roadtramp – avait pissé sur la voiture de cet enfoiré de Dustin.
-Sérieux ?, dis-je en éclatant de rire. Oh putain, j’ai bien fait de faire signer ce groupe ! Dustin croyait quoi ? Personne ne vole le groupe de Daniele Ricci, dis-je avec un sourire fier.
J’avais cessé de rire gardant quand même un grand sourire en imaginant la tête de Dustin quand il a vu ça et en commandant nos plats au serveur.
-Merci Maria de t’en être occupée. Tu es la meilleure comme je le dis toujours, dis-je en lui faisant un clin d’œil.
Mon groupe allait donc bien et n’était pas prêt à changer de manager malgré les histoires racontées par Amon dans L.A.People. A mon retour, le but sera de récupéré ma réputation.
-Je crois qu’on devrait organiser des concerts pour Roadtramp, histoire qu’ils ne rouillent pas, rajoutais-je en souriant.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Jeu 4 Aoû - 17:34
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
Je ne comprenait pas l'ex d'Erik qui disait qu'elle ne voulait pas vivre dépendante des Ricci, je me mettais à sa place. Bien sûre que j'étais un peu dépendante de Daniele mais cela ne m'empêchais pas de vivre une histoire d'amour. Quoi qu'il en soit, c'était le passé.
J'avais accent affreux en italien qui faisait rire Daniele, j'avais d'ailleurs fais un peu la moue quand il riait de moi, mais il s'était rattraper en disant qu'il aimait mon accent ce qui fit rosirent mes joues. Il n'était pas avare de compliment à mon égard, je ne pouvais pas me plaindre de cela, j'étais sans doute la seule personne qui avait le droit de recevoir autant de compliment de la part de Ricci.
Alors que les plats nous arrivaient -quelle service rapide!- Daniele et moi avions commencer à parler du travail. C'était inévitable pour deux travailleurs comme nous. J'avais parler d'Eddy et de Roadtramp, ce qui nous amena à parler de l'album en préparation. Daniele avait dit qu'Eddy était un peu tête en l'air, je me mis à sourire. "Il est tête en l'air mais quand il faut travailler, il sait se mettre à fond dedans. Je l'ai trouver à table avec une bière, devant lui des photos de la tournée." Daniele s'inquiètait de la sonorité de l'album, moi je ne me faisais aucun soucis à ce sujet, un sourire toujours scotché aux lèvres. "J'aurais peut-être dû leur donner une des photos que j'ai prise et qu'ils n'ont pas...Je les ai pris en photo pendant leur concert, tu sais, celui où ils ont fait le show. " Celui, aussi, où nous avions coucher ensemble Eddy et moi...Mais non, il ne fallait pas que cette information ne sorte de ma bouche.
Après avoir dit l'anecdote sur Dustin, j'avais entendu Daniele rire aux éclats. Cela faisait je ne sais pas combien de temps que cela n'était pas arrivé. J'aimais bien quand il riait comme ça. Un sourire doux sur mes lèvres, je le regardais. "C'est exactement ce qu'ils ont dit selon Eddy". Puis Daniele m'avait remercié, c'était normal, je croyais en ce groupe, j'étais prête à tout pour eux. "De rien, je suis attaché à eux, j'ai envie qu'ils réussisent et j'ai agit selon ce que tu aurais fait."
Il avait ensuite annoncer qu'il faudrait organiser des concerts, je hochais la tête. "Oh oui, ils seraient vraiment heureux, on pourra faire ça en rentrant d'Italie." Je regardais mon assiette, je m'en laichais déjà les babines. "Ca à l'air tellement bon!"
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Ven 5 Aoû - 17:39
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
La discussion sur le travail battait son plein. Il fallait nous pardonner, notre vie ne se résumait quasiment qu’à ça. Elle avait parlé de l’album de Roadtramp qui avançait et ceci même si Eddy avait complètement oublié de venir m’en parler alors qu’il avait dit à Maria qu’il allait le faire. Il fallait – aussi – pardonner Eddy qui oublier souvent vite les choses tel le gamin distrait qu’il était. Ça ne l’avait pas empêché de faire du bon boulot.
-C’est vrai, c’est une de ses qualités, c’est un travailleur, dis-je en souriant.
Ceci n’avait pas fait taire toutes mes inquiétudes concernant l’album. Ne pas l’avoir contrôlé à la baguette provoquait un petit stress en moi. C’est sans compter sur Maria qui avait tout fait pour que je sois rassuré. Elle m’avait lâché qu’elle aurait peut-être dû fournir à Roadtramp les photos qu’elle avait prises au concert – le meilleur, celui organisé à la dernière minute. Ma secrétaire était un bonne photographe. Au cours des années, j’avais pu profiter de certains de ses clichés.
-Il sera encore temps de les lui fournir quand on rentrera, dis-je pour confirmer – aussi – que la conception de l’album n’était pas encore finie et que des changements pouvaient encore être faits si on le désirait.
J’avais accueillis avec beaucoup de rire l’anecdote concernant Dustin et Roadtramp. Eddy et les autres avaient était assez intelligent pour ne pas répondre aux appels – je suppose désespéré – de ce vieux Dustin.
-Ils sont trop fort !, dis-je en rigolant toujours.
J’avais remercié Maria pour le boulot – supplémentaire – qu’elle avait fait. Je devrais peut-être penser à augmenter son salaire un jour ou bien lui acheter une villa – ainsi, elle n’aura pas à aller vivre chez Stone. Maria avait autant envie que moi que Roadtramp réussisse.
-Et comme tu me connais par cœur, tu savais ce que j’aurais dit et fait. Je vais bientôt pouvoir prendre ma retraite alors, dis-je avec humour.
Maria avait vraiment le talent pour être manager mais c’est quelque chose que je ne lui avais jamais dit – j’avais bien trop peur qu’elle ne décide de prendre en main ses propres groupes me laissant alors seul.
Nos plats étaient arrivés et le serveur avait rempli nos verres de rosé – la même marque de vin que mon père boit tout le temps. La bonne odeur de nos plats avait chatouillé mes narines alors qu’on parlait des prochains concerts à mettre en place pour Roadtramp.
-Oui, on fera ça quand on rentrera. On a du pain sur la planche, on ne risque pas de s’ennuyer, dis-je en souriant d’avance à la masse de boulot qu’on allait avoir.
Maria avait l’air de déjà bien aimer ce qu’elle allait manger.
-N’attendons pas une minute de plus, alors. Bon appétit !, dis-je en commençant par goûter – traduisez par boire une énorme gorgée – le vin. On avait attaqué le plat. C’était comme dans mes souvenirs et je me rendais compte – seulement maintenant – à quel point la cuisine italienne m’avait manquée. Elle est bien plus raffinée que tout ce que ces Américaines pouvaient manger.
On avait tout avaler – la bouteille de vin comprise dont j’avais bus une bonne partie – montrant qu’on avait largement apprécier le plat. -Alors, c’est bon la cuisine romaine ?, dis-je en avalant la dernière gorgée de vin.
J’avais demandé l’addition en souriant à ma secrétaire.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Ven 5 Aoû - 18:27
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
J'avais souris un peu, c'est vrai qu'Eddy était tête en l'air, mais on ne pouvait pas en vouloir à ce gamin, il faisait du très bon boulot. "Ca c'est parce que tu prends que des bosseurs comme groupe" Il me semblait aimer tous les groupes de Daniele -Bon ça c'est parce que je ne savais pas ce qui m'attendais en rentrant d'Italie à savoir Zach' et son groupe mais on en reviendra plus tard-.
J'aimais bien faire des photos, j'avais la chance de pouvoir figer dans le temps des moments qui pouvait ne jamais faire oublier les principaux concernés. J'aimais énormément faire plaisir aux gens en les prenant en photo et en leur donnant les clichés mais je n'avais jamais envisagé de devenir photographe professionnelle. Mon travail de secrétaire m'allait amplement. Daniele avait indiquer que l'album n'était pas encore finis et qu'on pouvait encore les ajouter. "Oui c'est vrai! Alors on verra!"
Je devais avouer qu'avoir fait le travail de Daniele pendant qu'il était en "repos" m'avait fait très plaisir, j'étais vraiment interessée pour faire ce travail, j'espérais tout de même qu'un jour, je puisse m'éloigner un peu de Daniele pour pouvoir faire ce métier dont je rêvais quand j'étais petite. Je lui fis un sourire. C'est vrai que je le connaissais par coeur maintenant mais il y avait toujours l'appréhension de bien faire. "J'ai essayé. Tu verras par toi-même quand tu seras rentré."
Les assiettes étaient déjà arrivés, l'odeur de nos deux plats me donnait vraiment faim, j'avais tellement envie de gouter le plat de Daniele gourmande comme j'étais, mais je ne lui demanderais pas. Le rosé remplit dans nos verres semblait aussi très bon. C'est sur que ce n'était pas nos vins californiens qui allaient tenir la cadence face à cet italien. Je regardai Daniele quand il m'annonça qu'on allait avoir du boulot. J'aurais tout de même voulu profiter d'Howard à mon retour, déjà qu'il avait fait la tronche quand je lui avait dis que je partais avec Daniele en Italie...Il fallait que je me fasse pardonner. "Oui enfin ménages toi tout de même." avais-je dis. C'était la seule raison que j'avais trouvé pour dire qu'il fallait y aller en douceur.
Apès avoir lâché un "bon appetit", nous avions manger et bu. C'était le plat le plus délicieux que j'avais pu manger de ma vie, comment les Européen faisaient-ils pour réussir des plats meilleurs qu'en Amérique? Le vin était quelque chose de délicieux, peut-être que j'en prendrais une pour Howard, il aimerait peut-être ça? Quoi qu'il en soit, nous avions finis de manger en continuant de parler un peu puis, Daniele me demanda si la cuisine rmaine était bonne. Tout en finissant mon énième verre, je répondit "Comment les Italiens font pour faire d'un plat aussi banale un plat aussi merveillement bon? "
Daniele avait demander l'addition, le serveur arriva très vite et nous demanda d'aller à l'acceuil pour payer. Je me levai alors de la chaise confortable où j'étais assise et on alla vers l'entrée. Bras dessus bras dessous. Daniele parla encore un peu avec le serveur, mais malheureusement, je n'avais pas la moindre idée de ce qui se disait.
Les nuits italiennes étaient plus fraîches qu'en Californie mais il y avait quelque chose en plus ici, l'atphosphère était différente de l'Amérique, peut-être que c'était cela qu'on appeller l'atmosphère romantique de l'Italie? Qu'on ne se meprenne pas, j'étais juste très heureuse de voir toutes ses belles choses.
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Dim 7 Aoû - 14:24
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
J’avais reçu les compliments de Maria. Je ne prenais que les bosseurs parce que je n’aimais que les bosseurs. Si on voulait être le meilleure il fallait soit un grand génie – comme moi – soit bosser et avoir du talent – comme Eddy. Maria était, elle aussi, une bosseuse et elle avait pris des photos lors de la tournée qu’elle n’avait pas encore fourni à Eddy. Je l’avais rassurée. Elle pourrait les lui donner en rentrant quand on clôturera l’album. Après tout, c’était elle qui en avait supervisé la conception, je voulais la remercier en mettant un de ses clichés dans l’album. C’était une sorte d’hommage à défaut qu’elle ne soit créditée comme manager. J’avais confiance en elle-même si mon visage montrait un petit stress. On verra à l’autopsie comme on dit. -Je suis sûr que l’album sera très bien, dis-je avec un sourire et enfin rassuré.
On avait mangé nos plats. Mes spaghettis étaient aussi bons que la dernière fois que j’en avais mangé ici – il l’était même plus, la faute à des années de régime à l’américaine. Tout en mangeant j’avais déjà projeté notre travail futur dont des concerts à organiser. Maria me disait quand même de me ménager quand même.
-Ne t’en fais pas. Je crois que je vais pouvoir me remettre au travail tout de suite en rentrant, dis-je optimiste par rapport à mon état physique et mental.
On n’avait fait qu’une bouchée de nos pâtes – et du vin aussi. Ravi de ce bon repas, il en était de même pour Maria.
-Ils sont les meilleurs, voilà comment ils font. Des siècles de savoir-faire !, dis-je très fier de faire partie de cette patrie.
On était allé payer l’addition à l’accueil, prenant presque une attitude de couple. Le serveur chargé d’encaissé m’avait montré l’onéreuse addition que j’avais payé à coup de carte de crédit. Avant de sortir, on était passé devant Alessandro qui était tout sourire. -Arrivederci Danielino. Arrivederci Signora, dit-il pour saluer notre départ.
-Arrivederci Alessandro, lui rétorquais-je avec un grand sourire.
On était sorti, toujours bras dessus, bras dessous. Il faisait très bon dehors et on pouvait voir les étoiles. On avait repris la voiture direction l’hôtel. J’avais conduit en prenant un autre chemin qu’à l’aller pour que Maria puisse profiter de chaque parcelle de Rome. J’en connaissais tous les petits chemins où je me pavanais pendant mon adolescence. J’avais montré du doigt – alors que je conduisais – un club huppé.
-C’est dans ce club que j’ai embrassé une fille pour la première fois. J’avais 12 ans. Je ne pouvais normalement pas entrer mais j’ai soudoyé le videur avec une bonne somme d’argent que j’avais volé à mon père pour qu’il me fasse entrer, dis-je en en souriant encore.
C’était une anecdote comme j’en avais des dizaines sur cet endroit. Après un petit tour en voiture, on était arrivé à l’hôtel et on était remonté dans notre chambre. J’avais enlevé ma veste de costard dans le petit salon qu’on avait en commun.
-Putain, c’était une bonne soirée !, dis-je en m’asseyant dans le divan.
J’étais plus que certain que ça avait été de même pour Maria.
Ce voyage avait fait du bien à Daniele et ça avait été le but premier, j'avais eu envie de faire plaisir à mon patron et se replonger dans ses origines avait sans doute rebooster l'italien, je pouvais être fière de moi. "Je suis ravie que tu aille mieux, tu as meilleur mine qu'à LA" Peut-être parce que l'air était différent ici qu'en Californie. Il n'y avait plus de L.A People, plus d'article, pas de stress.
L'addition avait été sucré mais Daniele avait tout payé, me contentant de sourire aimablement, j'avais lâché un Arrivederci Alessandro avant de sortir avec Daniele. "Mon accent s'améliore de minutes en minutes!" Avait rétoquée amusée me^me si c'était peut-être le contraire. Dans la voiture, Daniele avait prit un chemin différent de l'allée à ma grande joie. Je pouvais alors observer les milles et une beautés de la ville la nuit. "Cette ville est vraiment magnifique." avais-je soufflé peu avant qu'il ne me montre le lieu où il avait embrassé une fille pour la première fois.
J'étais amusée de rentré autant dans la vie privée de Daniele. Je me mis à rire un peu "Tu étais déjà un sale gosse à l'époque" avais-je dis en riant un peu. "Et cette fille comptait à tes yeux?" Peu importe si c'étiat le cas ou non, c'était une question d'une femme un peu trop curieuse.
Nous étions ensuite rentré à l'hotel. Dans la suite, j'avais suivit Daniele dans le petit salon, m'asseyant à ses côtés et posant ma tête sur son épaule en enlevant mes escarpins. Je poussais un soupire de soulagement. "Dieu soit benit, mes pieds sont libérés." Dis-je en riant un peu. Je regardais ensuite mon patron dans les yeux, en souriant. "C'était une très bonne soirée! Je me suis amusée et l'Italie est vraiment un très bel endroit"
Plongé dans ses yeux, le sourire accorché aux lèvres, je le trouvai beau. Sans doute l'atmosphère de l'Italie me rendait un peu plus fleur bleue que d'habitude -ou peut-être la bouteille de vin que nous avions consommé- quoi qu'il en soit, j'étais collé à lui, ma main sur la sienne. Je ne m'étais pas rendu ccompte que mon visage n'étais plus qu'à quelque centimètres du sien.
En fait, à partir de ce moment là, tout avait été très vite sans m'en rendre compte. J'avais à peine cligné des yeux que nos lèvres s'étaient collées l'une à l'autre. Oh ce n'était pas lui, du moins je crois, qui avait le premier pas mais bien moi, j'étais là, à l'embrasser.
Je m'étais vite reprise, me levant rapidement et m'éloignant de lui, un sourire gêné, rouge de honte, j'avais pris les escarpins et j'avais lâcher un "Heum...Bonne nuit" rapidement avant de me dirriger vers ma chambre. La porte fermée. Merde Maria quand arrêteras-tu de faire des conneries pareille? Je massai mes tempes, l'alcool avait monté rapidement.
Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
J’allais beaucoup mieux depuis qu’on était à Rome et cela se voyait sans doute étant donné la remarque de Maria.
J’avais payé l’addition qui avoisinait les 290440 lires italiennes – la bouteille de vin avait couté un pont – et on avait salué Alessandro – Maria compris avec son accent qui la rendait toute mignonne. Elle voyait des améliorations dans sa prononciation.
-En effet, bientôt, même les Italiens n’entendront plus que tu ne viens pas d’ici, dis-je pour la flatter.
On était reparti en voiture et j’avais fait exprès de passer par un autre chemin qu’à l’aller pour que Maria puisse profiter du paysage. Elle en semblait ravie et avait encore vanté la beauté de ma ville natale. -C’est la plus belle du monde, dis-je chauvin mais convaincu de la véracité de mes dires.
J’avais fait part à Maria d’une anecdote de mon adolescence – pas des moindre vu qu’il s’agissait de mon premier véritable baiser. Cela faisait rire Maria - qui m’avait encore donné le doux nom de « sale gosse », ce qui m’avait fait rire - qui se posait une question que seule une femme aurait eu l’audace de poser. -Oui, comme toutes les filles que j’ai embrassées dans ma vie, dis-je sincère. Même si j’oublie leur nom le jour qui suit…
Daniele Ricci était comme ça. Il aimait chaque fille qu’il avait embrassée même si c’était pour les oublier le lendemain et passer à autre chose.
Le petit tour en voiture terminé, on était rentré dans notre chambre d’hôtel. Je m’étais installé dans le divan du petit salon qu’on avait en commun et Maria n’avait pas tardée à me rejoindre posant sa tête sur mon épaule. Il faisait calme dans cette chambre, l’hôtel était réputé pour son calme et son luxe. Maria avait libérer ses pieds de ses chaussures et j’avais ri à sa remarque. Je me demandais parfois comment les femmes pouvaient marcher des heures dans des chaussures aussi inconfortables.
Maria avait encore comblé d’éloge mon pays mais aussi la soirée qu’on avait passée. Nos regards étaient plongés l’un dans l’autre et je pouvais les redécouvrir constatant que ses yeux étaient d’un très beau bleu.
-Je sais, soufflais-je avec ma modestie légendaire sans détourner le regard.
On était très proche – pour ne pas dire collé – l’un de l’autre et la main de Maria était posée sur la mienne. Un long silence s’était établi entre nous sans que je puisse déterminer pourquoi.
Il n’avait fallu qu’une fraction de seconde pour que ses lèvres ne viennent se poser sur les mienne. Mon cœur avait fait un bond et mes yeux s’étaient fermés automatiquement. Je ne l’avais pas repoussée. Ce baiser n’avait pas duré longtemps et Maria s’était vite éloignée sous mon regard un peu confus. Elle était toute rouge et je ne savais pas vraiment quoi dire. Elle avait bafouillé un « bonne nuit » avant d’aller s’enfermer dans sa chambre – sans attendre que je lui répondre.
Ok… J’avais secoué un peu la tête, seul que j’étais maintenant dans le divan. Maria avait été – depuis 10 ans – la seule femme que j’avais connu et que je n’avais jamais touché. Ce n’était plus le cas maintenant et ça me rendait vraiment confus. Je l’étais parce que ça ne m’avait pas déplu alors que professionnellement parlant ça aurait dû.
Je m’étais relevé prêt à toquer à la porte de ma secrétaire avant de me ravir. J’étais, à la place, retourné dans ma chambre pour me changer et mettre une tenue légère – traduisez par un short et un tee-shirt. Je me demandais ce qu’il lui était passé par la tête – on pouvait très bien remettre ça sur l’alcool… - et ce qu’il se passait maintenant dans sa tête. Elle ne devait pas être très bien là maintenant tout de suite…
J’avais trop de questions sans réponse et j’avais pris mon courage à deux mains pour traverser la salle de bain et toquer à la porte de Maria.
-Maria… Est-ce que ça va ?, dis-je à travers la porte.
J’allais pas lui faire l’offense – après ce qu’il s’était passé – d’entrer comme ça dans sa chambre.
La fin de soirée avait été exemplaire, nous avions beaucoup ris, nous n'étions plus un patron et son employée mais plutôt des amis. Nous avions passé une soirée entre amis, rien de plus banal. Nous nous étions flatté l'un et l'autre et nous étions rentrés à l'hotel.
On avait rit de mon accent. J'avais bien compris qu'il fallais que je m'améliore énormément mais je venais à peine de commencer à apprendre, enfin, commencer était un bien grand mot. Nous avions ris de mes escarpins qui rendaient mes pieds rouges tellement j'avais marcher avec. Nous étions bien.
Et j'ai tout gâcher...
J'avais embrassé mon patron. Pourquoi? J'avais des hypothèses mais rien de bien sérieux. Peut-être que j'en avais marre d'être l'unique femme qu'il ne "pouvait" pas toucher, peut-être que j'avais envie de savoir ce que cela faisait. Peut-être que c'était un geste pas du tout pris au sérieux...
J'étais partie dans ma chambre presque en courant, mes joues rouges de honte. J'avais fermé ma porte de chambre et m'étais affalée dans le lit avant de prendre le téléphone fixe qui était sur ma table de nuit. J'avais tenté d'appeller Howard, peut-être qu'entendre sa voix allait me remettre les idées en place, mais après trois tonalité, je compris qu'il ne répondrait pas. Raccrochant en soufflant un peu, j'avais commencer à défaire ma coifure pour me mettre au lit -quand je me rendis compte qu'avec la mésaventure de la valise, je n'avais absolument rien à me mettre et allait devoir dormir dans le plus simple appareil-.
Daniele toqua à ma porte, je posai une de mes pinces sur la commode, me regardant dans le miroir et regardant la porte. Je l'entendis me demander si tout allait bien. Comment lui dire que j'étais complètement stressé de ce qui venait de se passer? Je mis quelques secondes à parler. "Oui oui...Je...Heum...Vais aller me coucher, je pense que je suis un peu trop fatiguée...Le décalage horaire sans doute..." Menteuse Maria que tu es. Le stress me rongeait, je m'en voulais énormément de ce geste, de ne pas avoir su arrêter mes lèvres et, surtout, d'avoir eu envie de faire ça et de ne pas vraiment regretter ce baiser.
Quoi faire? Le laisser entrer? Le faire entrer? Bon sang pourquoi Howard tu n'avais pas répondu, au moins j'aurais été beaucoup moins perdue que cela! J'avais fais une betîse et j'avais l'impression que ça n'allait pas être aussi simple qu'avec la nuit passé avec Eddy... Et les minutes défilaient, J'entendais Daniele toujours derrière la porte. Les lèvres pincées, j'allais alors ouvrir doucement la porte. "Je...Vous pouvez aller vous coucher...Ne vous en faites pas pour moi..."
Le pire, c'est que j'avais eu du mal à le vouvoyer à nouveau.
Who Am I? Age: 43 ans Date de naissance: 24 juillet 1942 Localisation: Villa Ricci Birth place: Rome en Italie Je suis: le meilleur Song: Back In Black - AC/DC
Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Mer 10 Aoû - 14:26
Buon compleanno Boss
ft. Maria Watson
Ce baiser avait peut-être été de trop – ou, peut-être était-il la suite logique de cette bonne soirée. Il était - en tout cas – arrivé sans qu’aucun de nous deux ne se retienne sur le coup. Maria avait bien fait le premier pas, mais je n’avais pas arrêté son geste – et pourtant, j’aurais pu. Pourquoi ? Parce que je ne le voulais pas. J’avais eu envie de ce baiser ce qui était, en soi, bizarre. Car je n’avais jamais eu envie de ça avec Maria avant d’être devant le fait accompli – et ceci parce qu’on entretenait une relation professionnel à laquelle je tenais.
Tout ça m’avait troublé mais ça avait aussi troublé Maria qui s’était réfugié dans sa chambre. Pour la première fois dans ma vie, je ne savais pas quoi faire – bien que ça devait peut-être être la deuxième… ou même la troisième fois.
Après m’être changé, j’avais toujours ce baiser dans le tête et je devais absolument aller voir si Maria allait bien malgré tout ça. J’avais toqué à sa porte pour m’en assurer. Sa réponse hésitant ne m’avait pas convaincu alors j’étais resté tête contre la porte de la chambre de Maria à attendre de voir si elle allait m’en dire plus – ou m’ouvrir. J’avais fermé les yeux pour entendre le moindre bruit qui pouvait s’élever de la chambre de ma secrétaire. Quelques secondes plus tard, j’avais entendu Maria approché et vu la clinche bouger, j’avais reculé d’un pas et vi le visage de ma secrétaire qui me disait de ne pas m’en faire – en me vouvoyant, cette petit habitude qu’on avait perdu depuis qu’elle avait été à mon chevet ses derniers jours et qui faisait tellement tâche ce soir.
-Je ne voudrais pas que vous dormiez mal à cause de ça, dis-je en lui rendant son vouvoiement. Vous savez, on peut simplement dire que l’alcool t’a… Vous a fait faire ce geste. De toute façon, personne à part nous n’en a été témoin, dis-je pour la rassurer.
Maintenant qu’on était face à face mon cœur battait à nouveau. Je savais que Maria allait tout faire pour oublier ce geste et il valait peut-être mieux – en effet – tout oublier. Même si :
-Puis, c’était pas si mal, dis-je tout bas et en baissant un peu les yeux.
Non, ce n’était pas si mal – et c’était ça le problème. -Pardon, je ferais bien de vous laisser dormir, finis-je par dire presque prêt à me retourner et à rentrer dans ma chambre.
You're never gonna die, you're gonna make it if you try, they gonna love you - Pink Floyd
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Sujet: Re: buon compleanno Boss |Ricci|TERMINER Mer 10 Aoû - 15:07
buon compleanno Boss
ft. Daniele Ricci
J'avais ouvert la porte sans vraiment savoir pourquoi, je faisais des gestes surprenant ce soir, sans aucune arrières pensées ni même sans y avoir réfléchie avant. C'était comme ça, l'instint. Mais j'avais bien compris que mon instin avait toujours fait de mauvaises choses. Déjà avec Eddy, c'était mon instint qui avait parler.
Nous avions repris le vouvoiement, enfin, c'était plutôt moi qui l'avait à nouveau imposer parce que je voyais Daniele se reprendre. Je ne lui en voulait pas. On avait pris cette mauvaise habitudes de se tutoyer après ce qui'était passer avec l'article. Il avait raison, personne n'était témoin de ce baiser, personne ne saurait ce qui c'était passé. Ce qui se passait à Rome, restait à Rome, mais cette pensée qui me traversait l'esprit n'était pas la bonne et m'aurait laissé l'embrassé à nouveau et même peut-être aller plus loin. Il ne fallait pas. J'étais avec Howard. J'allais habité avec Howard. Il ne s'était jamais rien passé en dix ans, alors pourquoi maintenant?
"On va dire ça..." Avait- je marmonner. Mais au fond, ce n'était pas l'alcool, j'en étais certaine. Il avait ensuite marmonné que ce baiser était pas mal. Mes joues s'enflamèrent et je devins encore plus honteuse parce que oui, il n'avait pas été désagréable, oui, Daniele Ricci embrassait plutôt bien. Les lèvres pincés, je marmonnais à mon tour, honteuse un "Oui, vous savez bien embrassé..." avait-je dis avant qu'il ne songe à partir se coucher.
Je lui attrapais l'épaule une fois qu'il fut dos à moi, je croisa alors à nouveau son regard qui me fis rougir à nouveau. "Je...Pourquoi maintenant? Pourquoi au bout de dix ans, j'ai fais cette betise? Je..Je suis désolé...Je crois que l'atmosphère de l'Italie m'a fait poussé des ailes. En fait non..Je...Je ne suis pas désolé parce que je crois que je voulais ce baiser depuis longtemps...Mais je ne sais pas. Je me demande pourquoi je le fais maintenant, alors que je vais habité avec mon petit-ami. Je me demande pourquoi je ne l'ai pas fais avant..." Mes yeux étaient hypnotisés par les siens. "Peut-être parce que je ne veux pas être une parmi tant d'autre..."
Ma main toujours sur son épaule, je baissai ensuite les yeux. "Je suis stupide."