Me voici : Vanya Kournikova, fille unique d’archéologues passionnés et ardent défenseurs des droits des animaux.  Mes parents m’ont offert une vie unique en m’élevant aux quatre coins de la planète. D’origine Russe, mes parents sont retournés à Moscou pour que j’y naisse et y vive les premières années de ma vie mais dès que j’ai su me tenir debout sur mes deux pieds, la vie de bohèmes nomades a reprit son court.

Ils ont donc pliés à nouveau bagages et, en compagnie de ma grand-mère Nina, et nous avons été un peu partout.  La Grèce, l’Égypte, l’Australie, le Japon, l’Amérique du Sud, le Groenland pour ne nommer que ceux-là. Nous ne restions jamais très longtemps aux mêmes endroits, parce qu’il y avait toujours de nouveaux défis quelques part. J’ai donc fait école à la maison, appris plusieurs langues, découvert différentes cultures.

J’ai eu une vie de rêve mais pour que mon bonheur soit réellement complet, il me manquait quelque chose que chaque petite fille rêve d’avoir : une meilleure amie.  
Puis un jour, ma grand-mère nous a quittés. Elle a eu une très belle vie, et je me sais chanceuse et très fière d’avoir hérité de son caractère et de sa force. Mes parents ont donc déposés leur bagages aux États-Unis, le temps de se remettre et puis, il fallait bien souffler un peu, n’est-ce pas ?  J’étais, à cette époque u ne adolescente en quête d’affirmation.

Quand il fut le temps de repartir, j’ai décidé de rester. C’est à cotre cœur que mes parents ont accepté non sans s’être assuré avant que j’aurais un toit au dessus de ma tête. On dit qu’il n’y a pas de hasard dans la vie. Le seul frère de mon père résidait au pays de l’Oncle Sam, à Malibu pour être plus précis et c’est donc chez mon oncle Vadim que j’ai grandis. J’ai fréquenté Fairfax, je me suis fait des amies et…

Et me voilà ! Des projets pleins la tête, mordant dans la vie à pleine dent et exerçant un travail qui me permets de continuer d’ouvrir mes horizons !